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BONJOUR

suite a un sujet qui parlait de la chique j'ai trouvé que j'aurais du faire celui la

je me souviens

 

Le titre et le sujet sur la chique étaient une allusion que je vais vous servir

Comme pour dire malgré tout n’oublier qui vous été ni d’où venez

 

Pendant les événements d'algerie

 

 

Moi je me souviens avoir vue des habitations a WC ou les excréments qui était évacuer par des chemins tracé a même le sol et qui traversait le long des chemins que l’on rencontre a même ses pieds pour accéder son logement

Dans nos montagnes et douars on etait pas mieux c'est la nature qui parle a la nature

On voyait cela passer devant soi

 

Venu en France ou je croyait que la France était que éclat magique ou presque la ou on ne mange pas on aura pas faim ni soif

Moi qui arrivait de la ou on marchait pied nu et on avait comme préoccupation l'eau

a aller chercher a des km de la

Lorsqu’on est dans une ville

 

La je découvre le premier jour la neige

Que le wc quand il y en a il y en avait un par bâtiment de trois a quatre étages

Il était disposé à un étage précis

Ou ceux d'en bas y montait et ceux d'en haut y descendait

 

Certaines habitations n’avaient pas encore l'eau courante

 

On devait aller chercher l'eau dans des seau comme en algerie a une fontaine qui elle semblait ne jamais se tarir

 

 

Mais je me souviens qu'a Grenoble par une visite avec l'école

Partant depuis la gare

Dans l'avenu jean jeaures allant vert pont de clé

la une odeur nauséabonde on était obliger se boucher le nez

 

La sur le coté était comme diverse tout les canalisations d'une partie de la ville

Et on aurait dit que seule les wc était déversé la

 

Et cela s'écoulait a son grée

 

Et a ciel ouvert

 

Dans nos habitations on n’avait pas la douche

On allait à la douche municipale

Le samedi

On achetait de l’huile au verre oui on pouvait acheter un verre d’huile

On achetait une a une les cigarettes

Oui tout état vendu au détail qu’on disait et çà a la population française toutes entière

L’immigration on était pas nombreux enfin les notre on était pas nombreux

Il y avait beaucoup d’espagnole et des italiens

 

Puis peu a peu

On pouvait lire

Loue chambre ou appartement avec eau courante

 

Loue chambre ou apparentement avec eau courante et douche

 

Certaine habitation n'avait pas d’électricité

 

 

L’électricité était apparente

On en a prit des cours jus

ect ect..

Souvent on avait des disjoncteurs nus

On voyait les fils

Dans l’ancienne gaines en bois

 

ect..

ect..

 

Eh oui toutes ces chose ont exister il y a pas longtemps

J’ai vue sortir sa femme le dimanche elle se mettait derrière son vélos elle prenais place

Ou devant sur le cadre

Puis on a eut la vespas bien avant la dauphine et le reste

Les Algériens des montagnes des douars et partout ou la guerre faisait rage ont dut quitter leur régions

 

EN TOUT CAS EN CE TEMPS LA ON PRENAIS LE TEMPS DE VIVRE

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Je me souvien en france on regardait la TV dehors dans les endroit fait pour çà de buerau des journeaux locaux

bureau endroit des journeaux

on avait chez nous le dauphinée et lep rogrées ou chacun avait ue salle et une telvision ouverte de.. a ...

 

ah les samedi apres midi il etait plein a cause du foot et le sport

 

une seule chaine pour tous

 

et la axccoche au mur les photos des fait divers

 

je me souvien avoir vu la femme qui avait ENFANTER SIX ENFANT

 

elle avait un voiture d'enfant pour SIX aussi

plein de chose comme çà

oui on pouvait regarder des photos internationalement connue

 

johnny hallidays debutais il y a vais louis mariani de moreno qui tenais les affiche des cinemas

 

moi je n'eatis jamais aller au cinema

 

il a fallut 1959 avec un oncle a ma mere

 

qui m'enmena au cinema je me souvien un conw boye avant l('entracte et la piblicité de petit jean

 

quand on avait tiré je me suuis caché derriere le siege

j'ai eut peur

 

çà avait fait rire mon grand pere maternbnnelle

 

mon pere l'avait engeule pour m'avoir emmené au cinema

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je me souvient

du cinema pas chere

en dehor du centre ville

 

A 35 CENTIMES d'ancien francs

sep3a doros

 

je me souvient que nous les algerien avons manifesté en tournant avec nos voitures autour de la mairie de chambery

pour notre independance

je me souvient un colabos avait ete egorgé devant moi entre les elephants et l'hotel des prince de chambery un samedi apres midi

 

devant la foule

l'auteur m'avait meme frolle pendants sa course en s'evadant

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tu me fais rappeler mon pére,il ne cesse de se remémorer "le bon vieux temps".:)

dounia

on doit avoir prsque les memes

du fait de nos origine et du meme soucis pour le meme pays ect..

tout le plaisir est pour moi

mes amitiés a ton pere et a toute ta famille

wa siam said wa makbole

 

je croyait que ca interessait personne

 

oui on traine avec nous beaucoup d'information

nous les vieux

 

qui est une richesse

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Guest dounia25
dounia

tout le plaisir est pour moi

mes amitiés a ton pere et a toute ta famille

wa siam said wa makbole

 

je croyait que ca interessait personne

 

oui on traine avec nous beaucoup d'information

nous les vieux

 

qui est une richesse

 

merci à toi aussi ainsi qu'à toute ta famille.

au contraire,je te lis souvent mais je n'arrive pas à te suivre parfois:o mais cette fois ci,ça m'a interessé au plus haut point.

 

 

continue de nous raconter ce dont tu te souviens.:)

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Bonjour PMAT.

 

Des souvenirs ! C'est ce qui nous manque pour meubler ce vide qui nous tue.

 

Je me souviens du réchaud à pétrole. On lui achetait le fameux carburant dans une station d'essence dans des bidons métaliques de forme cubique.

Pour le mettre en marche il fallait remplir le réservoir et pomper à l'aide d'une petite tige qu'on actionnait horizontalement. Ce réchaud n'avait qu'un seul feu qui se bouchait souvent et qu'on arriver à remettre en état à l'aide d'une petite aiguille.

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Bonjour PMAT.

 

Des souvenirs ! C'est ce qui nous manque pour meubler ce vide qui nous tue.

 

Je me souviens du réchaud à pétrole. On lui achetait le fameux carburant dans une station d'essence dans des bidons métaliques de forme cubique.

Pour le mettre en marche il fallait remplir le réservoir et pomper à l'aide d'une petite tige qu'on actionnait horizontalement. Ce réchaud n'avait qu'un seul feu qui se bouchait souvent et qu'on arriver à remettre en état à l'aide d'une petite aiguille.

Bonjour Charmant

 

oui d'un rechaut a alcool

oui de çà je me souvien j'ai vue mette pardessus des marmites

 

oui il fallait a chaque foie pomper et a l'aide de l'aiguille (un fil fr fer) on debouchait les tous

 

il avait un oriffice par coté avec un bouchon vissé

ou il fallait mettre l'alcool

 

il y en a d'autre systeme , qu'on appelle lampe a carbure je crois

on ouvre et on y met des pierres avec de leau

 

et l'eau desout la pierre et la rend gaz

 

et çà se met en pression et le gaz sort

ou il suffit d'allumet

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Je me souviens de journaux racontant d'autre guerre dans le monde en même temps que la guerre dans mon pays

Souvent en regardant les journaux je me disant ah mais C'est nos fellaga a nous (ils leurs ressemble en tenus)

 

Souvent les photos de Hồ Chí Minh

De Che Guevara

De CASTRO

Dans leur camps souvent dans la foret parmi leur soldats

 

Oui on parlait de la guerre de l'Indochine

De cuba

 

En ce temps la j'aimais pas lire je regardais que les photos

 

 

En face de mon école il y avait une grande maison du secours populaire et la beaucoup de jeunes gens qui étaient drôlement habiller

Pantalon ou jupe bleue nuit

Chemise blanche ou a rayure et portant un béret avec une croix sur le coté

 

Et devant le bâtiment la publiquement il faisait des entraînements de secourisme

J’ai appris que ce fur des infirmiers et des infirmières que le secours populaire formait

 

Oui les infirmières a la base c'est les école chrétienne qui les formaient

Les soeurs quoi

Il y en avait parmi eux en face de l’école

 

Moi je passait des heure a le regarder

Et je retenais leur geste de secouriste

 

Comment aérer un homme blesser a terre

Comment gérer les gens autour la foule qui se fait a chaque accident

 

Comment prendre un corps comment soulever et déplacer un corps

J’étais devenu un vrais secouriste

 

D’ailleurs quand je suis près d'un accident et qu'il y a personne j'interviens par et grâce a ce savoir et les gens me font confiance et ils m'écoutent et me laisse faire

 

Je me souviens qu’on est monté dans l’espace

La russie avait mis en homme dans la fussé ce fut oui Youri Gagarine

 

Est un cosmonaute qui, le 12 avril 1961, a marqué l'histoire de l'humanité et de la conquête spatiale en devenant le premier homme à voyager dans l'espace, réalisant une révolution complète autour de la Terre

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Je me souviens de cette imposante caserne qui trônait devant notre quartier sur l'autre rive de l'oued. Chaque soir sortaient de là beaucoup de soldats qui nous traitaient parfois de '' Ptits fellous'' . Il y avait des Légionnaires à la stature haute avec souvent des yeux bleus, des harkis et parfois même des Sénégalais qu'on appelait Saligane.

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Oui je me souviens dans mon douar

 

L’armé française faisait des rasiats , on disait faire du cerclage

Çà consistait a partir d'u haut d'une région en la descente tout en ramassant tout les hommes

Toutes la journée ils ont attaches les uns aux autres avec une corde et font le meme trajet que les militaire de maison en maison

 

Toute la journée debout sans s"asseoir

Sans boire, sans manger

Ils étaient emmener dans des camps et des village qu'on appelle le 2eme bureau ou la soit il était condamné a ne plus retourner chez eux

Soit on cherchait plus d'information

 

Soit le soit ils étaient lâchés au compte goûte

On les voyait venir des qu'ils avait dépassé le tournant

De très loin tout le douar chuchotait ah!! C’est X non c'est Y

Et peut a peut nos cœurs se desserrer

 

Et Z il l'on pas lâcher

L’armée en ce temps la était de trois sorte on disait d'eux des parachutistes

Et l'armée de béret

 

Il y avait le béret rouge

Les béret vert

Et je crois le béret noire

 

On disait souvent ah aujourd’hui ça va être dur pour nous tous c'est les bérets rouge

Ou attention aujourd’hui c’est les sénégalais en arabe on disait SALIGANE

 

vers la fin des Années 55 l'armes prenait même les anneau avec elle, o a vus elle avait avec elle, l’armée , les vaches , les chevaux et les ânes les chèvre des citoyens quelle emmenait pour elle sûrement l'armée n'avait plus de quoi manger

Je me souviens des tire sur nous la population depuis d’autre ville par le canon , le 105 qu’on disait

 

Je me souvient l’armée avait construit la DCA qu’on disait

Sa consiste a construire comme une forteresse très haute en ciment et la se tien une sentinelle pour regarder avec ses jumelles nuit et jour ce qui se passe aux alentours

Je me souviens des nuits depuis ces DCA l’armée lance des signale qu’on disait

Et ça éclairait toute la région la nuit

Puis ils nous ont tiré dessus

On a vu les tous des balle dans les mures des maisons

 

Je me souvien une nuit les fellagas nous avait dit quiter le douard

On va couper la route et va leur tendre une embuscade

 

Voila qu’on est parttie chaqu’un a choisi une direction avec sa famille

Par groupe de 10, 15 a 20 personnes

La nuit venu on s’est mis a traverser une riviere

Et voila qu’a plus de 3 km on entendait le sont des voix on aurait dit un grondement d’une très très grosse machine

Ou des chutes d’une grande riviere

Il devait être plus de 5 mille hommes cette nuit

 

Il avait rien fait

 

Souvent ce fut la fuite des habitants des douars comme ca

Quitter son douar son village pendant deux trois quatre jours

On laissait derrière nous nos bête

 

 

 

Pour ne pas subir la vengeance de l’armée francaise

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Je ne sais si c'était de notre propre gré ou si nous étions obligés d'héberger une famille française dont le père était militaire. Je n'ai aucune idée du grade qu'il avait . Il avait deux enfants ; une fille et un garçon qui pouvait avoir mon âge.

 

Mon père que je n'avais vu qu'à l'Istiklal avait pris la poudre d'escampette après son séjour au deuxième bureau où il avait laissé les quelques dents qui lui restaient.

C'était des années dures que nous avions passées ! Pour survivre ma mère avait bradé une partie du logis qui était heureusement assez vaste.

Et si c'est à refaire nous sommes prêts au sacrifice pour que vive l'Algérie.

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Je me souviens

Juste après avoir essuyer un bombardement le lendemain

Nous voila forcer de quitter nos maisons averti par les mossablines (fellaga) qu'il allaient encore couper la route et nous priait de quitter nos maisons pendant quelques jours

Pour ne pas subir la vengeance de l’armée française

On avait (notre groupe choisi une destination) pris une direction en se disant la bas l'armée française n'a jamais mis les pied on serais plus en sécurité

Jamais l’armée n’&avais mis les pied dans cet endroit

 

Enfin le soir on est arrivé a destination

 

Aucune porte ne s’ouvre a toi sauf si tu est connu ou tu te fais connaitre

 

Enfin ceux qui nous accompagnaient nous ont fait faux bond on est rester seule que notre famille en tout une quinzaine de personne.

NORMAL MOIN ON EST ET PLUS ON T’OUVRE LA PORTE CHEZ LES TIENS.

 

Bref au bout de quelques temps on s’était installer a deux pas d’une maison a la belle étoile

On a que nos habits pour nous réchauffes

 

Un moment après voila que l’on nous sort un grand plat de couscous bien garni malgré la guerre et la pauvreté que dieu les protège et ne les oubli pas oui ils ont été charitable je témoigne que dieu leur réserve la place du paradis

 

On a pus manger puis on a dormis confiant.

Voila que le mati de bonheur on entendis les ronflement des moteur des chars venant de la ou on les attendais pas

Réveillé tout le monde et puis on s’est mis sur chemin sens inverse , d’où on est venu

A quelques mettre de la on rentrais dans la foret danse

La ou pouvait échapper aux jumelles des soldats et aux avion (El Mouchara qu’on disait)

 

Cela voulait dire avion mouchard

Elle tournoie dans l’air et elle prospecte tout ce qui est en bas

Mais elle nous avait aperçu dans notre marche et elle nous a surveillé pendant un long moment de la journée

Elle a du se rendre compte que nous étions que des civiles

Enfin du matin jusqu’au soir on a dut rester la pour ne sortir que ver le soir

 

Le soir on s’est mis en marche pour le retour chez nous la on est passe dans des douars pas loin de chez nous , on s’est renseigner sur l’armée et sur la route si c’était RAS

On nous a assuré qu’il y a rien

Et nous voila en route on arrive a la rivière a quelques km plus haut

On se met a passer la rivière mon grand père infirme resta en arrière

Moi je fut le premier de la file

Nous voila de m’autre cote de la rivière

SUITE

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SUITE ET FIN

 

On s’approche de la route

On est plus qu’a quelques mettre de la route devant nous des oliviers

Puis de derrière chaque oliviers est sortie un soldat

Moi qui était devant d’un coup je me suis trouvé derrière courant je ne sais ou !!

Puis j’aperçus ma tante et deux femme qui courait tout le long de la rivière

Je me suis mis a les suivre.

Ma grande mère me chopa dans ma corse et m’entraîna dans les hautes végétation

Et on s’est couché la .

En retenant nos respirations on entendis tirer

On avait le cœur serrer et on se disait au font de nous même, l’armée les a tuer

Et encore des tirs

O entend les soldats qui cherchaient dans la haut végétation touffu

Puis aller venait nous on comprenais ^pas ce qu’ils disait

Puis tard voila que deux soldats allait presque nous passer dessus, nous aperçoivent et nous prit de nous lever dans la position de haut les mains.

Je ne peux pas vous dire ce qu’ils nous ont dit

Je ne parlais pas le français en ce temps la.

Il nous emmena dans une ancienne cabane et la il nous pris de nous installer

Une baraque d’u mettre et demis sur un mètre et demis

On se lamentaient et on pleuraient tout doucement les notre moi et ma grande mère

Toute la nuit ils ont tirer dans la direction du cote d’où on est venu

Et du cote ou ma tante s’est enfui avec les deux femmes

L’air des pièces mitrailleuse venais jusqu'à nous

 

Le lendemain matin on nous ramena un fond de ragout de pomme de terre

Ma grande mere me dit ne mange pas c’est peut etre empoisonner , demande leur du pain plus de pain

 

Donc je ne mangeais pas et des que les militaire sont venu

J’ai demandr du pain en parlant en rabe eux aussi ne comprenais pas

J’ai du montrer en faisant voir le pain qu’enfin ils m’ont donner l’impression qu’ils avaient compris

Ils sont aller me chercher d’autres pains

Puis ils se sont mis a nous parler, nous on comprenais pas et on rependait en arabe en disant mais qu’est que vous nous dites

Puis l’un des militaires leva la main et l’a fait aller d’une cote puis de l’autre qu’on avait compris qu’il cherchait ou on habitait

On lui montra par le même geste que lui en montrant de nos mains la direction ou on habitait

 

Et la il nous accompagna jusqu'à un chemin qui commença a monter pour aller ver chez nous puis nous vis de sa main aller en avant

Ma grande mère me dit fait attention c’est pour nous fusiller peut être

Et un mètre, deux mètre trois mètre toujours pas de tir venant sur nous

Quatre 5 , 10 100 mètres ouf !!!! on était relâcher on était vivant

Arriver en haut la famille les familles la rencontre la rencontre du deuil

Tout le monde pleurait

Les hommes les femmes les enfants

On nous dit que ma tante est la elle est vivante elle avait reçu 5 balles mais elle est vivante

Les deux femme avec elle, la fille est la mère ont ete abattu elle sont couché le long de la rivière

On attend que l’armé soit partie pour aller chercher les corps

 

Me mère ma sœur ma tante furent reprises plus loin dans l’autre direction elle furent emmener dans une autre commune , puis relâcher et mis entre les mains de gens responsable qui les ont emmener de poste en poste qu’on disait car les gens ( le citoyens Algérien des douars) était organisé et ordonner comme chez les scouts

 

Mon grand père et un de mon oncle nous ont rejoint un jour plu tard

Ma tante vis a ce jour avec ses blessures 2 aux jambe traverser les deux jambes

Deux la mains et une balle qui lui a traversé en diagonale le visage

Elle l’a prise du bas de la lèvre du bas et a traversé sa tombe

 

OUI TAHYA EL DJAZAIR

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Je ne sais si c'était de notre propre gré ou si nous étions obligés d'héberger une famille française dont le père était militaire. Je n'ai aucune idée du grade qu'il avait . Il avait deux enfants ; une fille et un garçon qui pouvait avoir mon âge.

 

Mon père que je n'avais vu qu'à l'Istiklal avait pris la poudre d'escampette après son séjour au deuxième bureau où il avait laissé les quelques dents qui lui restaient.

C'était des années dures que nous avions passées ! Pour survivre ma mère avait bradé une partie du logis qui était heureusement assez vaste.

Et si c'est à refaire nous sommes prêts au sacrifice pour que vive l'Algérie.

 

oh que oui nous le somme en tout temps et de tout temps

Charmant

prêts au sacrifice

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j'adore ce topic, les souvenirs des gens sont une excellente alternative (ou un complement plutot) aux livres d'histoire, aux archives etc

je lis je lis et je lis:)

je suis tres honoré et emus talulah

que dieu te garde et te protege

cela fait toujour plaisir de savoir qu'on a pas ecrit pour rien

 

oui comme tu dis que font ils la bas est ce qu'il le font?

de tout coeur je l'espere

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Je me souvien

en 1956 vers la fin de l'après midi on entendait dans les villes et village

 

on a pris ben bella

 

on a pris les 6 chefs

je crois que peut de gens les connaissait a ma connaissance

 

 

les algériens achetaient le journal prenait la page ou l'article en parlait et ils jetent le reste du journal

 

il y avait un vent a Annaba ce jour

 

il faisait valser ces pages de journaux jeter a terre

 

toutes l'Algérie avait mal ce jour

 

 

en face de mon habitation il y avait la un moudjahid c'était un kabyle

il avait la maman un autre fils plus jeunes

 

le moussebelle (moudjahid)venait les voir il passait 1 , 2 VOIR QUATRE JOURS

et il reprenais le maquis

que sont il devenu?

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Juste quelques mois après l'Istiklal, comme si nous n'avions pas assez avec les 130 années de colonisationn, le Maroc nous réclamait le Sahara !

Alors nous revoilà en guerre face à nos frères du royaume chérifien. Dans la région de Tindouf ; au lieu dit Hassi El Baïda eu lieu une atroce bataille. Les meilleurs des deux camps tombèrent hélas pour une cause qui n'a jamais été élucidée.

La petite ville frontalière de Béni-Ounif reçut quelques salves d'artilleries et sa population fut évacuée vers Béchar ! Ironie du sort celle-ci occupa les habitations déstinées aux enfants des chouhaddas de la révolution 54/62 et qui n'avaient pas encore été distribuées.

Je fus témoin occulaire de ce déplacement massif et forcé.

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oui je me souviens de çà charmant

 

et je me souvient de tele dimanche avec Marciac

une seule chaine programme unique dans toute la France

 

en 1963 un après Midi en directe on a vu a dallas tire sur le président John Kennedy

 

oui le monde tire sur son president

 

comme pour henry 4 ?

il parait que c'est son gendre qui l'a poignardé henry 4

celui qui a le cheval blanc

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