A la memoire de Manel Keddach

[DiVeR 10]

5 septembre 2006

 

Manel Keddache, etudiante en 3 eme annee recherche operationnelle a l uniiversite des sciences et de la technologie usthb, a ete mortellement poignardee par son camarade de section, elle avait recu deux coups au niveau du cœur

 

il n y a pas de mot pour designer hadak le jour

mes condoleances pour la famille

 

Allah yerhamha w ywassaa aliha

[Guest jazairia]

Allah yarhamha et fait que sa demeure soit le paradis ya Rabbi

 

ps: pourquoi il l'a poignardé ?

[Mystery 10]

5 septembre 2006

 

Manel Keddache, etudiante en 3 eme annee recherche operationnelle a l uniiversite des sciences et de la technologie usthb, a ete mortellement poignardee par son camarade de section, elle avait recu deux coups au niveau du cœur

 

il n y a pas de mot pour designer hadak le jour

mes condoleances pour la famille

 

Allah yerhamha w ywassaa aliha

 

Je me rappelle de ce jour là, c'était vraiment affreux.

 

Allah yarhamha.

 

Elle a été poignardée par un camarde qui était je crois amoureux d'elle, et quand il l'avait vu avec un garçon dans le parking de la fac il l'a poignardé. Je crois qu'après les journaux avaient dit qu'il était dépressif ou un truc du genre.

[Guest Nimos]

C´est triste, et cela ne doit pas etre facile pour sa famille

 

Mais a t on fait quelque chose au niveau National pour prévenir que les gens rentrent avec des couteaux dans une Fac?

[Mystery 10]

C´est triste, et cela ne doit pas etre facile pour sa famille

 

Mais a t on fait quelque chose au niveau National pour prévenir que les gens rentrent avec des couteaux dans une Fac?

 

Tu rêves, en plus si je me souviens bien je crois qu'elle aurait pu survivre si l'ambulance était arrivée tôt.

 

Il y a eu quelques manif zaam pendant un moment ensuite elle a été oubliée.

[Mystery 10]

Voilà l'article:

 

Keddache Manel, étudiante en 3e année en recherches opérationnelles, a été assassinée à coups de couteau dans l’enceinte de l’USTHB.

L’agresseur n’est autre qu’un étudiant de la même filière. “C’est son camarade de section qui est l’auteur de cet acte. Nous nous sommes rendus à son chevet à l’hôpital Zmirli, mais elle était déjà décédée”, a en effet précisé le conseiller du recteur chargé des organisations estudiantines.

Cette déclaration rejoint les témoignages de certains agents de sécurité, collègues de ceux qui ont pu maîtriser et désarmer l’agresseur : “Il était entre 9h30 et 10h, en face de l’amphithéâtre M lorsque des agents de sécurité ont entendu un cri effroyable. Accourus vers le lieu, ils ont alors trouvé l’étudiante, qui était encore consciente, étendue par terre et un étudiant qui la menaçait d’un couteau. Ce dernier a également blessé un autre étudiant.”

Cet agent de sécurité posté à l’un des nombreux accès de la plus grande université du pays rapporte également que ses collègues se sont emparés de chaises afin de pouvoir maîtriser l’étudiant et lui arracher le couteau.

Un autre agent déplore, quant à lui, l’absence du médecin de l’université au moment du drame. “Rendez-vous compte que ce sont les mêmes agents qui ont maîtrisé l’agresseur qui ont conduit la victime à l’hôpital de Zmirli dans l’ambulance de l’université, mais sans médecin ni infirmier.”

Pour d’autres, la victime, qui était encore en vie après l’agression, a perdu beaucoup trop de sang lors de son transfert à l’hôpital. Des enseignants ont décrit l’étudiant agresseur comme “dépressif”. “C’est la première fois qu’un tel drame survient à l’USTHB”, attestent pour leur part certains enseignants qui se disent être tous en deuil.

Les commentaires allaient bon train hier à l’université de Bab-Ezzouar, mais sans qu’aucun ne se risque à avancer les éventuelles raisons qui ont poussé cet étudiant, âgé de 23 ans, à commettre l’irréparable.

Les étudiants s’étaient rendus à leur université afin de passer les examens de l’année dernière, reportés en raison du mouvement de grève observé par les enseignants.

Selon le conseiller du recteur, la reprise des cours n’interviendra qu’à la mi-novembre. Réagissant à ce drame, le recteur de l’USTHB, Benali Benzeghou, a rendu public un communiqué dans lequel il présente ses condoléances à la famille de la victime.

L’état de l’étudiant blessé, Sekkal Mehdi, est sans gravité, poursuit le communiqué. Par ailleurs, le recteur de l’USTHB informe que l’agresseur a été remis aux services de police qui ont immédiatement ouvert une enquête.

En raison de ce drame, peut-on lire dans ce même document adressé à la presse, les examens programmés pour mercredi 6 septembre et jeudi 7 sont reportés à une date ultérieure.

[Guest Nimos]

Tu rêves, en plus si je me souviens bien je crois qu'elle aurait pu survivre si l'ambulance était arrivée tôt.

 

Il y a eu quelques manif zaam pendant un moment ensuite elle a été oubliée.

 

Oui il est bien drole que Nos facs soient devenues des parkings de soirs, des round de vigils a la recherche de baisers, et soient devenues lieux de vente achat de drogue, de prostitution, de vol et que dans tout cela....les élementaires sont.....pas ici, l´ambulance, un défibrilateur, une infermerie,.....et tant d´autre chose, rien qu´a se demander pourquoi n´a t on pas une mini clinique dans une si immense fac?

 

A mon avis ce ne sont pas les manif qui font effet maintenant en algerie, ce sont plutot les pétitions, les mobilisations des etudiants sur Facebook, sur les groupes de discussions (á Mon avis et cela reste le mien et rien de plus) beaucoup de Journalistes y jettent un coup d´oeil pour s inspirer des tendences (Et qui sait certains membres le sont déja), alors si seulement si uniquement un journal consacre un paragraphe......chaque jour pour ce type de choses alors les choses changeraient.....

 

Cela s´appelle Tappage probable mais c´est productif de maniére positif

[Mystery 10]

Oui il est bien drole que Nos facs soient devenues des parkings de soirs, des round de vigils a la recherche de baisers, et soient devenues lieux de vente achat de drogue, de prostitution, de vol et que dans tout cela....les élementaires sont.....pas ici, l´ambulance, un défibrilateur, une infermerie,.....et tant d´autre chose, rien qu´a se demander pourquoi n´a t on pas une mini clinique dans une si immense fac?

 

A mon avis ce ne sont pas les manif qui font effet maintenant en algerie, ce sont plutot les pétitions, les mobilisations des etudiants sur Facebook, sur les groupes de discussions (á Mon avis et cela reste le mien et rien de plus) beaucoup de Journalistes y jettent un coup d´oeil pour s inspirer des tendences (Et qui sait certains membres le sont déja), alors si seulement si uniquement un journal consacre un paragraphe......chaque jour pour ce type de choses alors les choses changeraient.....

 

Cela s´appelle Tappage probable mais c´est productif de maniére positif

 

J'avais lu pas mal d'articles sur l'état de l'université Algérienne et de ses facultés, du manque de moyen et du fait qu'on peux y entrer comme dans un moulin. Mais je n'ai vu aucun changement.

 

Faut pas se voiler la face, nos journaux n'ont aucun impacte même s'ils dénoncent.

[Guest Nimos]

J'avais lu pas mal d'articles sur l'état de l'université Algérienne et de ses facultés, du manque de moyen et du fait qu'on peux y entrer comme dans un moulin. Mais je n'ai vu aucun changement.

 

Faut pas se voiler la face, nos journaux n'ont aucun impacte même s'ils dénoncent.

 

Tu sais ce qu´on dit:

 

Il ne faut point soulever un poid quand tu as un caillou dans la chaussure

 

Donc ce que font les journaux á mon avis est INUTILE, pourquoi? parcequ´on repasse les soucis de la fac de maniere....trop générale et l´on s´attaque á de trop gros soucis qui sont en relation avec la politique chose trés compliquée á bouger...Comme par exemple le choix des Recteur, les Bourses á l´etranger....etc

 

Par contre si on se concentrait par commencer par la BASE, le PLUS SIMPLE le soucis se résoudrait facilement...

 

Un Grand probléme se résout en le subdivisant en petits soucis et résolvant les plus faciles tout en analysons les plus compliqués

 

c´est pourquoi....je crois que faire une compagne d´article pour instaurer les ambulances, ou au minimum une clinique pour la fac de Babez est assez basique...

[Guest jazairia]

Je me rappelle aussi d'un incident presque similaire ,heureusement que la fille a etè sauvé ; c'était a l'école nationale des magistrats d'Elbiar un jeune étudiant avait balancé sa camarade dont il était amoureux du 4eme étage oui rien que ça , cette jeune fille ne voulait pas de lui et lui insistait et il avait fait le geste qui aurait pu être fatal si la fille n'avait pas eu de la chance une vraie chance on peut dire une miraculée et dire que ce garçon allait devenir magistrat de toute façon son avenir est foutu il a été radié de l'école , il s'est avéré par la suite qu'il souffrait de troubles psychologique.

[Guest Nimos]

Je me rappelle aussi d'un incident presque similaire ,heureusement que la fille a etè sauvé ; c'était a l'école nationale des magistrats d'Elbiar un jeune étudiant avait balancé sa camarade dont il était amoureux du 4eme étage oui rien que ça , cette jeune fille ne voulait pas de lui et lui insistait et il avait fait le geste qui aurait pu être fatal si la fille n'avait pas eu de la chance une vraie chance on peut dire une miraculée et dire que ce garçon allait devenir magistrat de toute façon son avenir est foutu il a été radié de l'école , il s'est avéré par la suite qu'il souffrait de troubles psychologique.

 

On ne peut mettre en place des examens psychologiques et systematiques des étudiants, mais ce qui se peut et se doit faire c´est assurer la sécurité et en cela c´est avant tout UN SENTIMENT et non une VISIBILITË, et l´ambulance, les cliniques tout cela fait partie des basiques, pourquoi n´a ton pas des psychologue dans les facs a forte population estudiantine?

[DiVeR 10]

Allah yarhamha et fait que sa demeure soit le paradis ya Rabbi

 

ps: pourquoi il l'a poignardé ?

 

temoignage d un camarade

 

Mehdi Sekkal, 25 ans, étudiant en informatique, racontera en ces termes les circonstances du drame : "Il devait être 8h45. J'étais parti à l'université pour m'enquérir des dates des examens. J'étais du côté du bloc des 300, près du parking, quand j'ai vu une scène d'agression à une quarantaine de mètres. Je voyais un garçon passer à tabac une fille qui n'était autre que Manel que je connaissais bien. Je connais en fait Manel depuis son entrée à la fac en 2001. Je connais tous ses amis, et je n'avais jamais vu ce type auparavant. Dès que j'ai constaté cela, j'ai couru pour arrêter l'agresseur. Je n'avais pas encore vu de couteau dans sa main. Mais, en m'approchant du type, j'étais surpris de découvrir qu'il la poignardait à coups de couteau. Je l'ai tout de suite immobilisé et jeté à terre. Au passage, il m'a asséné des coups au niveau du flanc droit, à la main et à l'abdomen." Et le témoin de poursuivre : "Quand je l'ai immobilisé, les agents de sécurité sont venus et ont pris la situation en main. L'assassin était froid. Il est évident qu'il était venu avec l'idée de commettre son crime. Il était décidé à le faire. Peu de temps après, l'ambulance du campus nous a évacués Manel et moi. Je l'ai accompagnée jusqu'à l'hôpital Zmirli. Elle était touchée un peu partout, à la poitrine, à l'abdomen, à l'épaule, partout." À propos de la relation entre la victime et son assassin, Mehdi est catégorique : il n'y avait guère d'antécédent entre les deux. "Dans l'ambulance, Manel qui était encore consciente me disait qu'elle ne le connaissait pas du tout. Elle n'avait jamais échangé avec lui un bonjour. C'était un camarade de section, sans plus. Ses profs le décrivaient comme un garçon effacé". Mehdi Sekkal affirme que jusqu'à son arrivée à l'hôpital, la défunte était encore en vie. "C'est au moment de l'introduire dans le bloc opératoire qu'elle a rendu l'âme. Elle avait perdu beaucoup de sang. En fait, elle avait reçu deux coups au niveau du cœur. D'après l'un des médecins, ce sont ces coups qui lui ont été fatals", dit-il.

[Guest jazairia]

temoignage d un camarade

 

Mehdi Sekkal, 25 ans, étudiant en informatique, racontera en ces termes les circonstances du drame : "Il devait être 8h45. J'étais parti à l'université pour m'enquérir des dates des examens. J'étais du côté du bloc des 300, près du parking, quand j'ai vu une scène d'agression à une quarantaine de mètres. Je voyais un garçon passer à tabac une fille qui n'était autre que Manel que je connaissais bien. Je connais en fait Manel depuis son entrée à la fac en 2001. Je connais tous ses amis, et je n'avais jamais vu ce type auparavant. Dès que j'ai constaté cela, j'ai couru pour arrêter l'agresseur. Je n'avais pas encore vu de couteau dans sa main. Mais, en m'approchant du type, j'étais surpris de découvrir qu'il la poignardait à coups de couteau. Je l'ai tout de suite immobilisé et jeté à terre. Au passage, il m'a asséné des coups au niveau du flanc droit, à la main et à l'abdomen." Et le témoin de poursuivre : "Quand je l'ai immobilisé, les agents de sécurité sont venus et ont pris la situation en main. L'assassin était froid. Il est évident qu'il était venu avec l'idée de commettre son crime. Il était décidé à le faire. Peu de temps après, l'ambulance du campus nous a évacués Manel et moi. Je l'ai accompagnée jusqu'à l'hôpital Zmirli. Elle était touchée un peu partout, à la poitrine, à l'abdomen, à l'épaule, partout." À propos de la relation entre la victime et son assassin, Mehdi est catégorique : il n'y avait guère d'antécédent entre les deux. "Dans l'ambulance, Manel qui était encore consciente me disait qu'elle ne le connaissait pas du tout. Elle n'avait jamais échangé avec lui un bonjour. C'était un camarade de section, sans plus. Ses profs le décrivaient comme un garçon effacé". Mehdi Sekkal affirme que jusqu'à son arrivée à l'hôpital, la défunte était encore en vie. "C'est au moment de l'introduire dans le bloc opératoire qu'elle a rendu l'âme. Elle avait perdu beaucoup de sang. En fait, elle avait reçu deux coups au niveau du cœur. D'après l'un des médecins, ce sont ces coups qui lui ont été fatals", dit-il.

 

 

 

 

Ya Rabbi, une jeune fille pleine d'avenir et sa famille qui devait être fière d'elle et faire plein de projet pour elle, c'est très douloureux une fin comme ça ,Allah yarhamha ou iouessa3 3alih, c'est triste très triste, ça fond le cœur.

[Ladoz 11]

Ya Rabbi, une jeune fille pleine d'avenir et sa famille qui devait être fière d'elle et faire plein de projet pour elle, c'est très douloureux une fin comme ça ,Allah yarhamha ou iouessa3 3alih, c'est triste très triste, ça fond le cœur.

 

Une bien triste histoire , effet !

[Harf Djar 10]

ça donne la chair de poule une histoire comme ça

Mais la faute est à l'éducation une fois encore : ce gars s'est cru tout permis, il a pensé qu'elle lui appartenait avant même de lui avoir parlé de l'avoir abordée. Il devait fantasmer déjà une vie avec elle, et la voyant parler à un autre s'est dit qu'elle le trompait.

Si on éduquait dès le jeune âge les uns et les autres à respecter les autres et ne pas croire que tout vous est du, à communiquer plutôt qu'à se servir quand on veut comme on veut, on peut éviter d'autres drames. Elle est morte, Allah yerhamha ou yati esbar à ses parents et sa famille, mais il y a sûrement d'autres femmes qui se sont faites agresser par un amoureux anonyme, un inconnu qui d'un regard a considéré que cette femme qui passe devant lui n'appartient qu'à lui, que sa vie est entre ses mains.

C'est très triste.

[Harf Djar 10]

allah yarhamha , merci pour le sujet

j été pas la bas ce jour la ,

d aprés ce qu on ma raconté a l université , que ce mec etais depressif et il n a pas pris ses medicamen ce jour la ,

 

c été la periode du ratrappage septembre , si j m en souvien bien ,

 

elle été opéré par son pere qui est un medecin ,

la pauvre morte sur la table d opération , aprés etre poignardé par ce minable , y a eu meme une intervontion d un autre etudiant pour la sauvé , que lui meme a recu quelque blessurs , mais il est sauvé

 

pour le criminel , les agents sont arrivé en retard pour que la police l emméne en prison ,

 

je me souvien y avais un titre dans le journal

(sauve moi papa)

allah yarhamha

c été la faute au agents aussi , au lieu de chassé les criminels ils chasse les amoureux

il conaissent que ( jeun el badje ta3ak )

 

Quand on est dépressif on prend des médicaments mais ça agit à long terme. Dire qu'il n'avait pas pris ses médicaments c'est penser que c'est comme une drogue ou un somnifère : quand on n'a pas sa dose , on est capable de tout. Les dépressifs ne sont pas des gens dangereux, ou juste pour eux même car ils peuvent se suicider.

SI son père est médecin, il doit savoir ça. Et tout mettre sur le compte des médicaments c'est un peu facile, il allait bien à ses cours puisqu'il était étudiant, c'est pas un fou qui s'est échappé de l'asile. Faut arrêter de déresponsabiliser, et de faire porter le chapeau à une cause extérieure : il a prémédité son acte, sinon d'où vient le couteau ? Il l'a bien apporté avec lui ? Donc il a programmé son acte.

[Guest Nimos]

Quand on est dépressif on prend des médicaments mais ça agit à long terme. Dire qu'il n'avait pas pris ses médicaments c'est penser que c'est comme une drogue ou un somnifère : quand on n'a pas sa dose , on est capable de tout. Les dépressifs ne sont pas des gens dangereux, ou juste pour eux même car ils peuvent se suicider.

SI son père est médecin, il doit savoir ça. Et tout mettre sur le compte des médicaments c'est un peu facile, il allait bien à ses cours puisqu'il était étudiant, c'est pas un fou qui s'est échappé de l'asile. Faut arrêter de déresponsabiliser, et de faire porter le chapeau à une cause extérieure : il a prémédité son acte, sinon d'où vient le couteau ? Il l'a bien apporté avec lui ? Donc il a programmé son acte.

 

On ne peut pas toujourrs forcer á se soigner, mais les institutions ont la responsabilité d´assurer la sécurtié á l´intérieur des Facs

 

De plus, j´ajouterai que la pauvre fille est décédée et la meilleure chose á faire pour que ca ne soit pas en vain c´est de forcer pour l´établissement de sécurité pour toutes les Autres qui sont encore vivantes