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Actualités : BOUTEFLIKA GRACIE 700 «CHEVALIERS» À L’OCCASION DE L’AÏD Mohamed Gharbi oublié


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Le soir d'Algérie 13sept2010

 

 

Mohamed Gharbi, le moudjahid de Souk Ahras, reste exclu de toute mesure de «clémence». A l’occasion de l’Aïd El-Fitr, Abdelaziz Bouteflika a préféré décréter une grâce en faveur des prisonniers ayant participé à Forsane al Qur'an, un concours de récitation du Coran. Un fait inédit dans les annales de la justice algérienne.

Tarek Hafid - Alger (Le Soir) -Mohamed Gharbi ne bénéficiera pas de la grâce présidentielle. Le moudjahid, militaire de carrière et patriote, entamera bientôt sa dixième année de détention criminelle pour avoir tué un terroriste «repenti». En juillet dernier, la Cour suprême avait confirmé la peine capitale prononcée par la cour de Guelma. Gharbi n’a pas été exécuté mais il fait partie de ceux qui ont été sacrifiés sur l’autel de la «réconciliation nationale ». En fait, pour profiter de mesures de clémence, il est nécessaire de répondre à un tout autre profil. A l’avenir, les prisonniers ne seront plus tenus d’avoir un comportement exemplaire en milieu carcéral pour bénéficier de la grâce présidentielle. La «foi» et une bonne capacité de mémorisation seront juste nécessaires pour ouvrir droit à ce privilège. C’est en tout cas ce que l’on doit retenir de la décision prise par Abdelaziz Bouteflika à la veille de l’Aïd El-Fitr. En effet, le chef de l’Etat et premier magistrat du pays a accordé sa grâce aux prisonniers ayant participé aux Forsane el Qur’an (les Chevaliers du Coran), un concours de récitation du Livre Saint organisé dans les établissements pénitentiaires. «A l'occasion de l'Aïd El-Fitr, le président de la République a décidé des mesures de grâce en faveur des détenus condamnés définitivement, lauréats du concours les Chevaliers du Saint Coran, organisé dans des établissements pénitentiaires. S'inspirant des valeurs de cohésion et d'union de notre religion, ces mesures viennent consacrer les valeurs de clémence, de pardon et de solidarité entre les membres de la société algérienne. Ces mesures témoignent également de l'importance qu'accorde l'autorité suprême du pays à la politique de réinsertion sociale des détenus à travers l'éducation et l'enseignement de manière à renforcer la volonté et la fierté d'appartenir à cette patrie», a indiqué, jeudi, un communiqué de la présidence de la République. Mais tous les prisonniers ne sont pas éligibles à cette mesure exceptionnelle. Selon le communiqué du palais d’El- Mouradia, «sont exclus du bénéfice de ces mesures de grâce les personnes détenues concernées par l'ordonnance portant mise en œuvre de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale ainsi que les détenus condamnés pour avoir commis des faits de terrorisme et de subversion, de trahison, d'espionnage, de parricide, de trafic de stupéfiants, de détournement de deniers publics ou privés, de corruption, de trafic d'influence et de contrebande». Par contre, les pédophiles, les violeurs et les voleurs de tout acabit répondent parfaitement aux critères de sélection. A condition, bien sûr, de ne pas être analphabète et d’avoir assez de mémoire. Les réformes mises en œuvre par le ministère de la Justice dans la mise à niveau des programmes de «rééducation » de la population carcérale sont-elles aujourd’hui basées sur des référents d’ordre religieux ? La mémoration et la récitation du Coran sont-elles des garanties fiables pour permettre la réinsertion des détenus au sein de la société ? Face à cette situation, quel sera le rôle des responsables des administrations pénitentiaires et des juges d’application des peines ? Autant de questions qui restent sans réponse. Néanmoins, Abdelaziz Bouteflika n’est pas seul à s’inspirer «des valeurs de cohésion et d'union» de la religion. La veille, un groupe de terroristes «repentis» mené par Hassan Hattab (un terroriste sans statut ?) lançait un appel, sur les ondes de la radio, aux «ulémas du monde» afin d’inciter les terroristes d’Al Qaïda Maghreb à déposer les armes. Une bien étrange initiative au moment où les forces de sécurité multiplient les victoires sur le terrain des opérations.

T. H.

Nombre de lectures : 904

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Le soir d'Algérie 13sept2010

 

 

Mohamed Gharbi, le moudjahid de Souk Ahras, reste exclu de toute mesure de «clémence». A l’occasion de l’Aïd El-Fitr, Abdelaziz Bouteflika a préféré décréter une grâce en faveur des prisonniers ayant participé à Forsane al Qur'an, un concours de récitation du Coran. Un fait inédit dans les annales de la justice algérienne.

Tarek Hafid - Alger (Le Soir) -Mohamed Gharbi ne bénéficiera pas de la grâce présidentielle. Le moudjahid, militaire de carrière et patriote, entamera bientôt sa dixième année de détention criminelle pour avoir tué un terroriste «repenti». En juillet dernier, la Cour suprême avait confirmé la peine capitale prononcée par la cour de Guelma. Gharbi n’a pas été exécuté mais il fait partie de ceux qui ont été sacrifiés sur l’autel de la «réconciliation nationale ». En fait, pour profiter de mesures de clémence, il est nécessaire de répondre à un tout autre profil. A l’avenir, les prisonniers ne seront plus tenus d’avoir un comportement exemplaire en milieu carcéral pour bénéficier de la grâce présidentielle. La «foi» et une bonne capacité de mémorisation seront juste nécessaires pour ouvrir droit à ce privilège. C’est en tout cas ce que l’on doit retenir de la décision prise par Abdelaziz Bouteflika à la veille de l’Aïd El-Fitr. En effet, le chef de l’Etat et premier magistrat du pays a accordé sa grâce aux prisonniers ayant participé aux Forsane el Qur’an (les Chevaliers du Coran), un concours de récitation du Livre Saint organisé dans les établissements pénitentiaires. «A l'occasion de l'Aïd El-Fitr, le président de la République a décidé des mesures de grâce en faveur des détenus condamnés définitivement, lauréats du concours les Chevaliers du Saint Coran, organisé dans des établissements pénitentiaires. S'inspirant des valeurs de cohésion et d'union de notre religion, ces mesures viennent consacrer les valeurs de clémence, de pardon et de solidarité entre les membres de la société algérienne. Ces mesures témoignent également de l'importance qu'accorde l'autorité suprême du pays à la politique de réinsertion sociale des détenus à travers l'éducation et l'enseignement de manière à renforcer la volonté et la fierté d'appartenir à cette patrie», a indiqué, jeudi, un communiqué de la présidence de la République. Mais tous les prisonniers ne sont pas éligibles à cette mesure exceptionnelle. Selon le communiqué du palais d’El- Mouradia, «sont exclus du bénéfice de ces mesures de grâce les personnes détenues concernées par l'ordonnance portant mise en œuvre de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale ainsi que les détenus condamnés pour avoir commis des faits de terrorisme et de subversion, de trahison, d'espionnage, de parricide, de trafic de stupéfiants, de détournement de deniers publics ou privés, de corruption, de trafic d'influence et de contrebande». Par contre, les pédophiles, les violeurs et les voleurs de tout acabit répondent parfaitement aux critères de sélection. A condition, bien sûr, de ne pas être analphabète et d’avoir assez de mémoire. Les réformes mises en œuvre par le ministère de la Justice dans la mise à niveau des programmes de «rééducation » de la population carcérale sont-elles aujourd’hui basées sur des référents d’ordre religieux ? La mémoration et la récitation du Coran sont-elles des garanties fiables pour permettre la réinsertion des détenus au sein de la société ? Face à cette situation, quel sera le rôle des responsables des administrations pénitentiaires et des juges d’application des peines ? Autant de questions qui restent sans réponse. Néanmoins, Abdelaziz Bouteflika n’est pas seul à s’inspirer «des valeurs de cohésion et d'union» de la religion. La veille, un groupe de terroristes «repentis» mené par Hassan Hattab (un terroriste sans statut ?) lançait un appel, sur les ondes de la radio, aux «ulémas du monde» afin d’inciter les terroristes d’Al Qaïda Maghreb à déposer les armes. Une bien étrange initiative au moment où les forces de sécurité multiplient les victoires sur le terrain des opérations.

T. H.

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en majuscule -SINCEREMENT QU'ESPERES TU D'UN MEC QUI MODIFIE LA CONSTITUTION POUR RESTER AU POUVOIR ?

MODIFICATION AVEC L'AVAL DE CEUX QUI SONT SENCE REPRESENTER LE PEUPLE ( OH PARDON !) LE GHACHI

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A l’avenir, les prisonniers ne seront plus tenus d’avoir un comportement exemplaire en milieu carcéral pour bénéficier de la grâce présidentielle. La «foi» et une bonne capacité de mémorisation seront juste nécessaires pour ouvrir droit à ce privilège.

 

Je m'en suis tenu à ces quelques mots. C'est suffisant pour légitimer mon incompréhension ?

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Ils fabriquent des fanatiques islamistes en prison, pour ensuite les lâcher sur le peuple, un des moyens des plus efficaces pour terroriser le peuple, et l'obliger à fermer les yeux sur les magouilles mafieuses du pouvoir.

 

Que dire que taire !!! ........... L'islamisme est l'arme première de répression du pouvoir contre nous. Et malheureusement certains lâches et vêles continuent de propager cette idéologie abjecte qui nous a couté déjà tant de martyrs et qui continue à saigner profondément la nation soi en tuant ses enfants, ou en poussant à l'exil les meilleurs d’entre eux.

 

Nous avons beau parler, ça ne reste que des paroles, sans échos, noyés dans le tumulte des prêches islamistes, incendiaires.

 

Un peuple qui ne sait plus d’où il vient, et encore moins ou il va ……………………….

 

L’influence conjuguée du panarabisme Nasserien, puis de l’islamisation wahabite que nous avons subit de plein fouet a tétanisé les inspirations de liberté, d’émancipation. Nous avons courbé l’échine face à l’hypocrisie des uns et au fanatisme des autres.

 

Seuls les murmures déjà lointains de nos martyrs (du terrorisme) semblent vouloir encore s’insurger contre ce désastre humain.

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Le soir d'Algérie 13sept2010

 

 

Mohamed Gharbi, le moudjahid de Souk Ahras, reste exclu de toute mesure de «clémence». A l’occasion de l’Aïd El-Fitr, Abdelaziz Bouteflika a préféré décréter une grâce en faveur des prisonniers ayant participé à Forsane al Qur'an, un concours de récitation du Coran. Un fait inédit dans les annales de la justice algérienne.

Tarek Hafid - Alger (Le Soir) -Mohamed Gharbi ne bénéficiera pas de la grâce présidentielle. Le moudjahid, militaire de carrière et patriote, entamera bientôt sa dixième année de détention criminelle pour avoir tué un terroriste «repenti». En juillet dernier, la Cour suprême avait confirmé la peine capitale prononcée par la cour de Guelma. Gharbi n’a pas été exécuté mais il fait partie de ceux qui ont été sacrifiés sur l’autel de la «réconciliation nationale ». En fait, pour profiter de mesures de clémence, il est nécessaire de répondre à un tout autre profil. A l’avenir, les prisonniers ne seront plus tenus d’avoir un comportement exemplaire en milieu carcéral pour bénéficier de la grâce présidentielle. à cLa «foi» et une bonne capacité de mémorisation seront juste nécessaires pour ouvrir droit e privilège. C’est en tout cas ce que l’on doit retenir de la décision prise par Abdelaziz Bouteflika à la veille de l’Aïd El-Fitr. En effet, le chef de l’Etat et premier magistrat du pays a accordé sa grâce aux prisonniers ayant participé aux Forsane el Qur’an (les Chevaliers du Coran), un concours de récitation du Livre Saint organisé dans les établissements pénitentiaires. «A l'occasion de l'Aïd El-Fitr, le président de la République a décidé des mesures de grâce en faveur des détenus condamnés définitivement, lauréats du concours les Chevaliers du Saint Coran, organisé dans des établissements pénitentiaires. S'inspirant des valeurs de cohésion et d'union de notre religion, ces mesures viennent consacrer les valeurs de clémence, de pardon et de solidarité entre les membres de la société algérienne. Ces mesures témoignent également de l'importance qu'accorde l'autorité suprême du pays à la politique de réinsertion sociale des détenus à travers l'éducation et l'enseignement de manière à renforcer la volonté et la fierté d'appartenir à cette patrie», a indiqué, jeudi, un communiqué de la présidence de la République. Mais tous les prisonniers ne sont pas éligibles à cette mesure exceptionnelle. Selon le communiqué du palais d’El- Mouradia, «sont exclus du bénéfice de ces mesures de grâce les personnes détenues concernées par l'ordonnance portant mise en œuvre de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale ainsi que les détenus condamnés pour avoir commis des faits de terrorisme et de subversion, de trahison, d'espionnage, de parricide, de trafic de stupéfiants, de détournement de deniers publics ou privés, de corruption, de trafic d'influence et de contrebande». Par contre, les pédophiles, les violeurs et les voleurs de tout acabit répondent parfaitement aux critères de sélection. A condition, bien sûr, de ne pas être analphabète et d’avoir assez de mémoire. Les réformes mises en œuvre par le ministère de la Justice dans la mise à niveau des programmes de «rééducation » de la population carcérale sont-elles aujourd’hui basées sur des référents d’ordre religieux ? La mémoration et la récitation du Coran sont-elles des garanties fiables pour permettre la réinsertion des détenus au sein de la société ? Face à cette situation, quel sera le rôle des responsables des administrations pénitentiaires et des juges d’application des peines ? Autant de questions qui restent sans réponse. Néanmoins, Abdelaziz Bouteflika n’est pas seul à s’inspirer «des valeurs de cohésion et d'union» de la religion. La veille, un groupe de terroristes «repentis» mené par Hassan Hattab (un terroriste sans statut ?) lançait un appel, sur les ondes de la radio, aux «ulémas du monde» afin d’inciter les terroristes d’Al Qaïda Maghreb à déposer les armes. Une bien étrange initiative au moment où les forces de sécurité multiplient les victoires sur le terrain des opérations.

T. H.

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C'est exactement le même système qui est employé dans les pays du Golfe.

On m'a rapporté l'histoire d'un Algérien condamné à Dubai pour avoir fumé du shit, à 5 ou 6 ans de prison,il a été libéré au bout de quelques mois pour avoir appris le coran.

Le deal avait été proposé au début de sa détention.

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C'est exactement le même système qui est employé dans les pays du Golfe.

On m'a rapporté l'histoire d'un Algérien condamné à Dubai pour avoir fumé du shit, à 5 ou 6 ans de prison,il a été libéré au bout de quelques mois pour avoir appris le coran.

Le deal avait été proposé au début de sa détention.

 

Ils ne l'emporteront pas au paradis.

 

Dieu ne connait point de Deal.

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Que dire par exemple du cas de Meziane Ighil , condamné dans l'affaire Khalifa, sorti après une"grâce" et qui a pu "obtenir" au vu et au su de tout le monde un passeport (il est parti en stage avec sa nouvelle équipe) , ce qui est impossible pour tout citoyen ayant un tel casier judiciaire .

 

Wallah ghir hadhi bled Mickey !!!!!!!!

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Notre problème à nous, le peuple, c'est que nous sommes tous d'accord sur les conséquences du problème, à savoir l'injustice, l'oppression .... etc.

 

La ou nous sommes très profondément divisés c'est sur le fond du problème, à savoir les raisons.

 

Une nation divisée a très peu de chance d'aboutir ......... nos mafieux en ont parfaitement conscience.

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Il a fait bien pire et c'est passé comme une lettre à la poste. Nous avons les digeants que nous méritons.

 

N'existe-t-il aucun moyen applicable, aucune riposte envisageable pour endiguer puis éradiquer cela ? Pour l'heure, l'important ne serait pas le but mais l'intention.

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Notre problème à nous, le peuple, c'est que nous sommes tous d'accord sur les conséquences du problème, à savoir l'injustice, l'oppression .... etc.

La ou nous sommes très profondément divisés c'est sur le fond du problème, à savoir les raisons.

Une nation divisée a très peu de chance d'aboutir ......... nos mafieux en ont parfaitement conscience.

 

Oui et c'est eux qui nourrissent cette division. tandis que le ghachi s'amuse cornardement à exhiber son chauvinisme exacerbé: qui de je suis fière d'habiter les hauteurs de Béjaia, et moi donc je suis le descendent direct des ziyanides de Tlemcen "11ème génération"...:mdr::mdr:

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J'ai vraiment du mal pour Mohamed Gharbi. un moujahid, un homme qui sa faute n'etait que de se proteger et proteger sa famille, se retrouve derriere les barreuax et condamner à mort alors que les egorgeurs, et les violeurs se baladent librement au pays et sement le mal partout. y'a plus rien à comprendre.

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