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Salut tout le monde. :wavetowel: Je viens de passer quelques mois sur le

forum marocain et je vais le laisser refroidir un peu. En général ils étaient

sympa, un brin timoré, mais moins fanatiques que les Algériens. Du moins, je

parle de l'expérience que j'ai déjà eu ici. Une fois même on m'a vidé parce

que j'avais laissé entendre que les musulmans n'étaient pas cools.

 

Je suis toujours le même. J'écris beaucoup sur les foutaises de la science. Je

me suis remis à mes études de jeunesse sur la spiritualité hindoue, plus

particulièrement le Mahabharata. Dans ce fil, je tiens à placer mes notes et

réflexions au sujet de mes lectures. Vous me dîtes, si le coeur vous en dit. La

haine ne m'intéresse nullement.

 

IL y a peut-être 15 ans de celapicture.php?albumid=8664&pictureid=34867

 

IL y a peut-être 15 ans de cela que je me suis mis vraiment à étudier la pensée

occidentale. Auparavant, et cela depuis ma sortie de l’adolescence, je suis d’abord

devenu beatnik, mais avec la malchance de ne pouvoir exhiber autre chose qu’un

passeport algérien. Plus tard, je réussirai à contourner ce maudit problème. Ce n’est

qu’à l’âge de 45 ans que je le réglerai définitivement, à ma grande liberté. Je devenais

enfin un homme honnête et respectable.

 

Une fois revenu de l’utopie "Peace & Love" au bout de quelques années, vers l’âge de

20 ans je me suis plongé dans le yoga et la méditation et lu tout ce qui me tombait

sous la main sur le sujet. Cette littérature étant de piètre disponibilité en français,

j’appris l’anglais. À partir d’un livre que je désirais avidement lire et d’un dictionnaire, j’ai

commencé à traduire mot pour mot jusqu’à ce que je puisse lire tout l’ouvrage en anglais.

 

 

Jusqu’il y a 15 ans, donc, je ne lisais que l’anglais. Mais le plus souvent, un

vieil anglais, écrit par des religieux hindous, des pandits. Rien à voir avec le

Time Magazine qui me donnait du fil à retordre. Finalement, je me débrouillais

bien lorsque j’écrivais cette nouvelle langue. Et puis j’aimais ça, le punch

que je pouvais retirer de l’écriture.

 

Quand je me suis remis au français, et abandonné l’anglais pour me

concentrer à bien écrire, je me suis forcé à lire beaucoup pour comprendre la

pensée occidentale. Je suis alors tombé sur Jean-François Revel. Sans le

savoir, il est devenu mon maître. Il m’a appris à écrire, à lire, à raisonner

strictement et m’a dirigé dans mes lectures.

 

Revel, c’est l’écrivain par excellence. C’était le père de Mathieu Ricard, dont

vous connaissez peut-être leur best-seller Le moine et le philosophe. C’est

grâce à sont père que le fils est devenu une personnalité mondiale. Lire

Revel, c’était enrichissant comme dix salles de cours dans une grande école.

Un vrai régal. En écrivant ces mots, je pense à son Proust dont j’ai raffolé.

 

Il disait de lui-même qu’il était agnostique. C’est la meilleure position qu’il ait

pu se trouver, elle lui allait comme un gant et a préservé son indépendance

morale dans un milieu qui vous marginalise si vous ne serrez pas les rangs. Or

ce n’était pas le cas de Revel. Malgré ses rudes critiques du système

politique, littéraire ou social, chacun de ses livres devenait immédiatement un

best-seller. Je vous donne un extrait de lui, une parenthèse sur les Aryens,

un des sujets sur lequel je travail en ce moment :

 

«À cet époque aussi, on voit se constituer la notion de race, et

l’antisémitisme se transporter sur le terrain racial et politique. Alors surgit

l’une des plus énormes et des plus durables mystifications scientifiques de

tous les temps : le mythe aryen. À la suite, notamment, de l’étude du

sanscrit et de l’unité ainsi découverte des langues indo-européennes,

plusieurs générations de savants fabriquent de toutes pièces les "Aryens’",

race asiatique, vaguement indo-persane, fondement de la supériorité,

paraît-il, des Germains. »

 

«À cet époque aussi, on voit se constituer la notion de race, et :plane:

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Max Weber

 

C’est à Max Weber que je voulais en venir. Aujourd’hui, je lis de lui Le savant

et le politique. Par exemple, voici ce qu’il écrit : «Mais on peut observer

chez nous (Allemagne) que les développements les plus récents de

l’université, dans de larges domaines de la science, vont dans le sens de

l‘université américaine. Les grands instituts de science ou de médecine sont

des entreprises relevant du "capitalisme d’État". Ils ne peuvent être gérés

sans des moyens de fonctionnement de grande ampleur. Et on assiste ici au

même phénomène que partout où se met en place l’entreprise capitaliste : la

"séparation du travail avec des moyens de production" (référence à Marx). Le

travailleur, l’assistant donc, doit utiliser les moyens de travail qui sont mis à

sa disposition par l’État. Par suite, il est tout aussi dépendant du directeur de

l’institut qu’un employé l’est dans une usine. […] Et l’existence de l’assistant

est fréquemment aussi précaire que n’importe quelle existence "prolétaroïde".

Je lis donc ainsi de suite, nourrissant de bons sentiments pour l’auteur,

jusque au moment où il entre dans mes cordes intellectuelles.

 

Là, je deviens plus curieux et reprend mon sens critique. Il s’arrête sur le mythe

de la caverne de Platon pour nous expliquer la méthode scientifique originelle.

Je ne vous raconte pas cette anecdote dans les détails car vous devez tous

la connaître, mais lisez l’analogie de l’homme qui revient dans la caverne éclairer

ses pairs ignorants : «Cet homme est le philosophe, et le soleil est la vérité et la

science, laquelle ne cherche pas à attraper des fantasmes et des ombres, mais

l’être véritable. Qui, aujourd’hui, continue-t-il, entretient un tel rapport avec la science? »

 

Vous comprenez maintenant, quand je vous disais que j’aimais ses idées.

 

---

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Weber et Socrate

 

Mais bon, c’est commun tout de même. Poursuivons un peu plus bas :

«L’enthousiasme passionné de Platon dans la République s’explique en

dernière instance par le fait qu’à l’époque, pour la première fois (‘est moi qui

souligne), l’on venait de prendre conscience du sens d’un des plus grands

moyens de toute connaissance scientifique, à savoir le concept.» Et voilà, il

nous la sort royalement! Les grands philosophes grecs ont tout inventé! La

démocratie, la logique, la philosophie, le rationalisme, la science, et que

sais-je encore? C’est une tradition. Mais je veux vous montrer la faiblesse du

raisonnement, c'est-à-dire le peu d’intérêt que Weber met à justifier ses

jugements, en l’occurrence lorsqu’il s’agit de l’Inde.

 

«Il revient à Socrate de l’avoir découvert dans toute son ampleur, écrit-il

encore.» parlant du concept. C’était un génie ce Socrate… Dans toute son

ampleur, ça me fait penser à un témoin de Jéhovah frappant à ma porte pour

trompéter qu’il veut m’entretenir de Dieu : «Avez-vous lu la Bible? C’est le

plus grand livre du monde parce que le Dieu véritable en est l’auteur.»

Logique, non? Aujourd’hui encore, des musulmans me faisaient une de leurs

démonstrations logiques en soutenant Tariq Ramadan au sujet de sa défense

du voile que portent, soi-disant, librement les femmes : «Le voile est une

prescription, donc obligatoire mais il ne peut être imposé.» J’ai eu beau leur

expliquer que le syllogisme clochait de la patte droite, que c’était du

sophisme taillé à la hache, rien à faire. Ils réagissaient ainsi parce que

j’affirmais que Tariq Ramadan faisaient l’autruche sur cette question. Je

donnais mon avis parmi d’autres. Quand quelqu’un m’a lancé le syllogisme

présenté plus haut, je savais que je quittais le domaine du raisonnement.

Alors, je lui ai demandé de m’en dire plus. Cela a suffit pour que la personne

en question s’évanouisse dans les limbes du forum de discussion. Puis, sont

apparus les zonards, agressifs, vicieux et bêtes pour crier haro sur le baudet.

Mais, bon, il en va de même chez les intellos, sinon pire. C’est la vie!

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Weber, Socrate est le plus grand génie de l'histoire antique

 

PS. Gardez à l'esprit que c'est un brouillon que je publie ici, un brouillon dont je m'efforce qu'il soit présentable.

 

Le suffrage établit les règles de la morale civile. Les témoins de Jéhovah

vivent dans une bulle, mais tant qu’ils ne sont pas nombreux nous n’avons

pas à craindre que la balance penche du mauvais côté. Le génie de Socrate,

c’est une bulle également, un paradigme aux origines barbares dont les

Européens ont fait des pieds et des mains pour porter l’œuvre sociale et

politique au pinacle et l’établir comme la plus civilisée au monde.

Dans toute son ampleur, disais-je, citant Max Weber. Mais connait-il les Upanishad,

la Bhagavat-gita, les Purana? Non. Ou il en a vaguement entendu parler.

Et puis, pourquoi lire des ouvrages étrangers à sa culture? Pour lui, dont

nous venons de constater qu’il ne connaissait que dans les grandes lignes, et

encore partiellement, l’histoire générale des idées, sa croyance est de loin et

de haut la plus juste (mais il y a encore pas longtemps, l’histoire générale du

monde signifiait celle de l’Occident). Il en va de même ici, avec l’expression

de Weber. Franchement, de quelle «ampleur» nous parle-t-il? D’après ce que

je comprends, il n’a pas étudié la littérature védique pour affirmer de telles

présomptions ? Quelle connaissance en a-t-il ? Il me fait penser encore à

cette petite histoire; c’est une grenouille qui tombe dans un puits. Là,

d’autres grenouilles y vivent et se pressent autour d’elle pour écouter ses

descriptions de l’ampleur du monde extérieur. Elles demandent, curieuses :

«L’océan est-il à tel point beaucoup plus grand que notre puits? –Beaucoup

plus grand! leur répond la nouvelle venue –Trois fois plus grand! –Bien plus

grand, mais très très grand! –Oh, là, là, dix fois comme notre puits!» Et ainsi

de suite. La seule référence qu’elles ont, c’est la dimension de leur puits et

ne peuvent imaginer l’immensité de l’océan. C’est en Inde que j’ai entendu

pour la première fois cette métaphore de la même famille que le mythe de la

caverne de Platon. D’ailleurs, je ne sais pas pourquoi on appelle ça un mythe,

c’est un conte.

 

A +, A +A +, A +A +, A +A +, A +:plane:

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Continuons notre lecture… Je reproduis la citation en entier. «Il revient à

Socrate de l’avoir découvert dans toute son ampleur. Il ne fut pas le seul à le

faire dans l’ensemble du monde.» À la bonne heure! Voyons encore : «Vous

pouvez trouvez en Inde les rudiments d’une logique tout à fait analogue à

Aristote. » Enfin un penseur qui, à cette époque, déclare, même si c’est du

bout des lèvres, qu’il existe au moins une autre civilisation qui en connaissait les

«rudiments». (Je me demande s’il avait, lui, quelques rudiments de la langue

sanscrite pour affirmer avec tant de conviction que la pensée hindoue n’était

pas si avancée. J’en doute fort.) D’ailleurs, il rectifie immédiatement le tir :

«Mais nulle part cette découverte ne fut accompagnée d’une telle conscience

de son importance.» Ah! On en apprend des choses. De générations en

générations, cette perception de la culture mondiale à été enseignée. L’image

qui s’impose alors que j’écris ces lignes, c’est celle du missionnaire blanc en

train d’expliquer à des Congolais que leurs ancêtres étaient gaulois.

 

noir-race-gaullois--maroudiji.jpg

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«Ici, pour la première fois, écrit-il, il apparut que l’on détenait quelqu’un dans

un étau logique de telle sorte qu’il n’en peut sortir sans avouer, soit qu’il ne sait

rien, soit que la vérité est telle et non pas autre… » Si monsieur Weber était

vivant, je lui rappellerais que ce n’est pas avec des arguments philosophiques

que vous avez fait taire le reste du monde, mais par le fer et le feu.

 

Je vous laisse sur cette dernière phrase de son cru : «Ce fut là l’évènement

immense qui est apparu aux disciples de Socrate.», une vérité qui ne se

dément pas mais qui, rétrospectivement, apparait comme un tic culturel

présomptueux; ce dicton résume bien le pattern : cordonnier pas plus haut que

la cheville.

 

F.i, ni, fini.

 

(Du moins avec Max Weber.)

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  • 2 years later...

Beaucoup de gens lisaient la musique autrefois, ils écoutaient la musique tout en la lisant sur des partitions, nous explique Bernard Stiegler. Soit! (Vers la 30ème minutes dans le vidéo.) Mais autrefois on lisait des poèmes et on se les rappelait avec un peu d'effort. De mon temps, dans ma jeunesse, les années 60-70, les gens faisaient appel à la mémoire. Or, vous n'abordez pas le problème de cette mémoire qui se délite sans que cela ne semble gêner les philosophes... Tapez la mémoire de Maroudiji sur la Toile et lisez ce que j'ai à dire sur le sujet. Vous allez pas me faire croire qu'un génie comme Marx ne l'avait pas vu venir celle-là, la perte de la mémoire? Vous croyez que les futurs étudiants feront mieux avec des disques durs ? Allons, soyons un peu sérieux!

 

[YOUTUBE]1OLu1qSmaHE[/YOUTUBE]

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  • 4 weeks later...

«Les non-scientifiques témoignent souvent d'un respect exagéré à l'égard de la science. C'est pourquoi elle leur paraît constituer un domaine "à part". Ils tendent à oublier que la science, après tout, est une création humaine au même titre que le Renseignement ou la littérature et qu'elle pâtit des mêmes travers inhérents à toutes autres production humaine. Même la science contient des présomptions, des non-dits, des semi-vérités, des opinions, des préjugés, etc.»

 

philosophie.jpg

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Ecrire pour soi, ne lire que soi, s'abreuver de soi, ça doit faire sortir de soi, bien malgré soi.... :fish2:

Oui, quand tu sauras lire des penseurs intelligents et l'ont te lise sur ce que tu en comprends, ça te changera

de tes errances. Tu retomberas sur terre. Là, tout ce que tu fais c'est faire l'étalage de ta médiocrité.

Tu n'as pas lu le nom de ce fil ?

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Oui, quand tu sauras lire des penseurs intelligents et l'ont te lise sur ce que tu en comprends, ça te changera

de tes errances. Tu retomberas sur terre. Là, tout ce que tu fais c'est faire l'étalage de ta médiocrité.

Tu n'as pas lu le nom de ce fil ?

:mdr: :mdr: C'est bien ce que je disais : ça doit faire sortir de soi, bien malgré soi... et j'ajouterai :hors de soi :mdr:
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C’est à Max Weber que je voulais en venir. Aujourd’hui, je lis de lui Le savant

et le politique. Par exemple, voici ce qu’il écrit : «Mais on peut observer

chez nous (Allemagne) que les développements les plus récents de

l’université, dans de larges domaines de la science, vont dans le sens de

l‘université américaine. Les grands instituts de science ou de médecine sont

des entreprises relevant du "capitalisme d’État". Ils ne peuvent être gérés

sans des moyens de fonctionnement de grande ampleur. Et on assiste ici au

même phénomène que partout où se met en place l’entreprise capitaliste : la

"séparation du travail avec des moyens de production" (référence à Marx). Le

travailleur, l’assistant donc, doit utiliser les moyens de travail qui sont mis à

sa disposition par l’État. Par suite, il est tout aussi dépendant du directeur de

l’institut qu’un employé l’est dans une usine. […] Et l’existence de l’assistant

est fréquemment aussi précaire que n’importe quelle existence "prolétaroïde".

Je lis donc ainsi de suite, nourrissant de bons sentiments pour l’auteur,

jusque au moment où il entre dans mes cordes intellectuelles.

 

ici max weber est dans le descriptif de la recherche actuelle qui prend de plus en plus les formes industrielle avec son mode de fontionnement sont organisation et sa structure sociale ..bref traitant la connaissance , la recherche comme un produit pareil aux autres .... laziz ici nourrit des bon sentiment ....car il percoit ici une critique du syteme alors que weber se contente de le decrire tout simplement .

cette industrialisation de la recherche scientifique ...étant un élément largement discuté ...rabâché a satiété ......et des tonnes et des tonnes d’écrits sont déversés par exemple a chaque fois qu'une reforme est tentée au niveau du système universitaire ...en France et meme en algerie

 

 

 

Là, je deviens plus curieux et reprend mon sens critique. Il s’arrête sur le mythe de la caverne de Platon pour nous expliquer la méthode scientifique originelle.

Je ne vous raconte pas cette anecdote dans les détails car vous devez tous

la connaître, mais lisez l’analogie de l’homme qui revient dans la caverne éclairer

ses pairs ignorants : «Cet homme est le philosophe, et le soleil est la vérité et la

science, laquelle ne cherche pas à attraper des fantasmes et des ombres, mais

l’être véritable. Qui, aujourd’hui, continue-t-il, entretient un tel rapport avec la science? »

 

Vous comprenez maintenant, quand je vous disais que j’aimais ses idées.

 

ici max weber rate un point important du mythe de la caverne en parlant d’être véritable ...... c'est les gens qui sont resté enchainés dans la caverne qui recherchent dans les ombres l’être véritable ...le scientifique lui cherche l’être réel .....et comme toujours on a ici une confusion que font "les chercheurs de spiritualité" entre la réalité et la vérité .....la science n'a que faire de la vérité ...elle se contente de traiter du réel .....

 

les chercheurs de vérités du monde ....aiment a se gargariser de mots tant il sont dans l'incapacité a comprendre sa réalité ...

 

une autre facette de l’allégorie de la caverne échappe a laziz ...c'est que le monsieur qui est sorti ..pour découvrir la réalité du monde ...en fin de compte revient a la caverne pour dire cette réalité a ses compagnons ...il y a la l'aspect du don et du partage .....personnellement ...et ayant lu pas mal de biographie d'hommes de science ....il y a toujours cette idée sous entendu dans leur engagement de don et de partage afin de soulager les souffrances humaine ...et de compréhension de son états..et de remèdes a ses probleme ...donc l'idée du bien que voulait transmettre Platon dans sa république idéale !

 

donc oui la science pour plus d'efficacité s'est détaché du boulet croyance et spiritualité tout en gardant cette éthique dubien pour l'homme ...la science s'est détaché de dieu ....aussi pour se mettre au service exclusif des hommes

 

remarque : beaucoup de penseurs se sont posé la question sur interopérabilité sociale de la science et son rôle dans le développement de la société islamique ..alors que sa richesse est infinie ....a mon avis ...c'est que cette science a tourné plus autour de la justification théologique que de ses implications pratique ....étant tout le temps sous pression des théologiens et des pouvoirs en place ....les même éléments ..repris en occident on servi de base a la révolution qui allait changé le monde

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Pourtant, je t'ai posé une question, ailleurs, alors que tu es intervenu sur une de mes fils, mais tu n'as pas

répondu. Tu me prends pour qui ?

 

je ne sais si ce cela s'adresse a moi ...mais c'est drole ..que se soit quelqun qui ne repond jamais a aucune question des autre membres du forum qui la pose.

 

ou quand il repond ...c'est pour les envoyer balader ou en les traitant d'idiot d'inculte et autre termes dont seul est capable un narcissique invétéré !

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je ne sais si ce cela s'adresse a moi ...mais c'est drole ..que se soit quelqun qui ne repond jamais a aucune question des autre membres du forum qui la pose.

 

ou quand il repond ...c'est pour les envoyer balader ou en les traitant d'idiot d'inculte et autre termes dont seul est capable un narcissique invétéré !

 

Désolé, je pensais que c'était toi qui m'écrivait qu'il y avait un bon livre à lire, je crois que c'était à propos de l'évolution

la personne disait que c'était rigolo qu'il fallait le lire. J'ai demandé de nous donner quelques informations

et il n'a pas répondu. Ce n'était pas toi ? Alors là, je m'excuse ! :D

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Désolé, je pensais que c'était toi qui m'écrivait qu'il y avait un bon livre à lire, je crois que c'était à propos de l'évolution

la personne disait que c'était rigolo qu'il fallait le lire. J'ai demandé de nous donner quelques informations

et il n'a pas répondu. Ce n'était pas toi ? Alors là, je m'excuse ! :D

 

pour le livre c'est un roman et non un essai ...d'ou l'inutilité de citations pour le saisir ...et je n'ai pas persisté quand j'ai vu ta réponse.

 

Quand tu auras fini de rire, tu nous diras. Même si tu n'écris pas de réflexions, tu réécris (l'effort...) des phrases qui t'ont touché.

Sinon, je ne te connais pas et des livres de ce genre, il s'en publie par milliers! Tu comprends?

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pour le livre c'est un roman et non un essai ...d'ou l'inutilité de citations pour le saisir ...et je n'ai pas persisté quand j'ai vu ta réponse.

Ah, c'était bien toi ?! :crazy: Tu voudrais discuter de philosophie avec moi ?

 

PS. Sérieux, c'est quoi qui t'a froissé exactement dans ma réponse ?

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un petit résumé du livre

 

Pourquoi j’ai mangé mon père est un roman extrêmement drôle et surprenant qui parle avec humour de l’évolution des hommes durant la préhistoire.

On se retrouve alors en plein pléistocène (voir V.), dans une famille de pithécanthrope erectus (Homo Erectus, évolution de l’Homo Habilis) très particulière. En effet, le père et chef de famille, Édouard, veut faire évoluer l’espèce. Ses inventions sont le fil conducteur du livre. On découvre ainsi comment successivement, il a découvert le feu, sa capacité à solidifier les armes de chasse, l’art, la cuisine… Tel un scientifique fou, il cherche continuellement de nouvelles créations qui feront avancer l’espèce entière. Le narrateur est interne à l’histoire, c’est le fils d’Édouard, Ernest. Moins intéressé par le progrès que son père, ce qui l’importe le plus, c’est juste de vivre tranquillement, en compagnie de sa charmante femme, Griselda. Un autre personnage joue un rôle important dans cette histoire, le frère d’Édouard, Vania, très conservateur, cet homme est toujours contre les inventions de son frère et n’hésite pas à le lui faire remarquer, sa devise, Back to the trees, montre son attachement à la vie de ces ancêtres arboricoles… Pourtant, tout en se disputant avec son frère, il profite de ses inventions sans aucune gêne… Bref, tandis que son père, donnait les clés de ses expériences à tous les membres de son espèce qu’il rencontrait, qu’il inventait tous les jours des ustensiles plus dangereux les uns que les autres, Ernest et ses frères commencent à se demander ce qui serait le mieux pour la sécurité de l’espèce, laisser leur père découvrir les secrets du monde et les divulguer aux autres pithécanthropes ou alors l’éliminer…

Ce roman montre comment l’homme veut toujours inventer de nouvelles choses, évoluer trop vite, souvent à son détriment. C’est un vrai miroir de la société que nous propose Roy Lewis, avec d’un côté ceux qui ne se soucient pas tellement de l’évolution de l’espèce et qui profite des inventions quand elles arrivent, mais ne sont pas gênés de leur absence. De l’autre côté, on voit, à travers le personnage de l’oncle Vania, ceux qui se plaignent tout le temps de la marche du monde mais qui sont les premiers à l’utiliser à leur avantage. Un livre qui fait rire au premier abord mais qui fait ensuite réfléchir sur les fondements de notre société moderne.

.

 

il faut ajouté a cela d'autre personnages ....un des enfant ...decouvre l'art ( dessins rupestres) ...un autre la poésie ....et un autre oncle a pour dada les voyages !

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Ah, c'était bien toi ?! :crazy: Tu voudrais discuter de philosophie avec moi ?

 

PS. Sérieux, c'est quoi qui t'a froissé exactement dans ma réponse ?

 

ce qui me froisse c'est ton ton en general qui me fait penser a ca

 

 

[YOUTUBE]4e9CkhBb18E[/YOUTUBE]

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ce qui me froisse c'est ton ton en general qui me fait penser a ca

Écoute, Belkarem, j'essaye d'être gentil avec toi, là. Je ne regarde pas ces vidéos que vous envoyez.

J'essaye de te comprendre pour que cesse toute cette comédie. Tu m'as cité une phrase de moi pour expliquer

le fait que tu ne m’aies pas répondu. Personnellement, je te le dis honnêtement, je ne sens rien dans le ton.

C'est trop subtil pour moi. J'ai écrit juste hier que j'étais un gars simple. Il y a des mots, des verbes, des expressions,

stp, tu me dis ce qui coince dans cette citation, que je comprenne.

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Écoute, Belkarem, j'essaye d'être gentil avec toi, là. Je ne regarde pas ces vidéos que vous envoyez.

J'essaye de te comprendre pour que cesse toute cette comédie. Tu m'as cité une phrase de moi pour expliquer

le fait que tu ne m’aies pas répondu. Personnellement, je te le dis honnêtement, je ne sens rien dans le ton.

C'est trop subtil pour moi. J'ai écrit juste hier que j'étais un gars simple. Il y a des mots, des verbes, des expressions,

stp, tu me dis ce qui coince dans cette citation, que je comprenne.

 

ok ...

je t'ai proposé la lecture d'un livre que j'avais et que j'etais en train de relire ...et cela tombé bien car le sujet etait la science . je trouve ce livre tres original et je te le propose a la lecture ....en disant que ce livre faisait et reflechir

 

ta premiere reaction ce fut

 

et tu as reflechis ?

 

le reste de l’échange a peu d'importance ...ce n'est qu'une suite banale de reparties se voulant aussi blessantes les une que les autre de ta part et de la mienne !

ce n’était pas la première fois et cela fait partie de ton personnage ...je n'y peut rien !

 

 

a chaque foi que j'essaye de répondre serieusement a un de tes posts tu prend la mouche du coche et dégages des ruades.....tu adores critiquer ( moi aussi ) mais tu as en horreur de la contradiction qu'on te porte .....

 

 

 

par exemple ...plus haut sur ce même sujet ....je critique ta lecture de Max weber

 

je ne l'ai pas fini tout a fait ...et que probablement je ne la finirais pas pas car aucune réponse de ta part

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ta premiere reaction ce fut : "As-tu réfléchi?"

 

Quand je lis un livre, je réfléchis à chaque page, j'ai souligné et pris des notes ou écrit des réflexions. Je ne sais pas d'oû vient cette question, si tu veux, place-moi le lien que j'aille lire le tout. Mais dans mon livre à moi, cette question signifie simplement ce qu'elle veut dire. Il faut que tu évites d'interpréter mon mood, ma psychologie ou mes états d'âme. Y a pas photo!

 

Ce que je voudrais savoir, belkarem -et cela doit être notre méthode si l'on veut discuter sérieuse, de répondre aux préoccupations de l'autre- c'est quoi ici qui te déplaisait au point que tu ne me répondes pas, pour après venir me ridiculiser gratuitement? Je trouve que cela n'est pas juste. Fais-moi cette faveur, c'est la troisième fois que je te pose la question, il est oû le problème ici ?

 

Envoyé par laziz

Quand tu auras fini de rire, tu nous diras. Même si tu n'écris pas de réflexions, tu réécris (l'effort...) des phrases qui t'ont touché.

Sinon, je ne te connais pas et des livres de ce genre, il s'en publie par milliers! Tu comprends?

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