Jump to content

MANIFESTATION REUSSI EN CE JOUR DU 23 SEPTEMBRE 2010


Recommended Posts

SALUT CAMARADE AMIS (IES)

 

DEPUIS 13H JUSQUA MAINTENANT UNE MANIFESTATION REUSSIT

TOUS ET TOUTES

SALARIES ETUDIANTS RETRAITES

 

COMME EN 68

 

ON DOIT AVOIR REUSSIT A FAIRE FLAICHIR

 

MAIS IL FAUDRA CONTINUER A MILITER POUR LA MEME CHOSE JUSQU'EN 2012

 

JE SORT DE REUNION

 

 

QUI DE VOUS A MANIFESTER?

Link to post
Share on other sites
SALUT CAMARADE AMIS (IES)

 

DEPUIS 13H JUSQUA MAINTENANT UNE MANIFESTATION REUSSIT

TOUS ET TOUTES

SALARIES ETUDIANTS RETRAITES

 

COMME EN 68

 

ON DOIT AVOIR REUSSIT A FAIRE FLAICHIR

 

MAIS IL FAUDRA CONTINUER A MILITER POUR LA MEME CHOSE JUSQU'EN 2012

 

JE SORT DE REUNION

 

 

QUI DE VOUS A MANIFESTER?

 

Il y avait aussi une manif sur les retraites en Algérie ?:mdr::mdr::mdr:

Link to post
Share on other sites

Retraites. 997 000 ou 3 millions de manifestants? La bataille des chiffres

 

100923174905109_24_000_apx_470_.jpg

Ouest-France - ‎Il y a 10 minutes ‎

22 000 selon la police, 220 000 selon les syndicats, comme toujours à Marseille, l'écart entre les chiffres est énorme. La bataille des chiffres a démarré entre le ministère de l'Intérieur et les syndicats. Le nombre de manifestants en France contre la ...

Vidéo : Retraites : Nouvelle journée d'action contre la réforme France 24

Retraites : et maintenant ? Europe1

Le Monde - France Info - Le Télégramme - Le Point

626 autres articles »Envoyer par e-mail

Link to post
Share on other sites
SALUT CAMARADE AMIS (IES)

 

DEPUIS 13H JUSQUA MAINTENANT UNE MANIFESTATION REUSSIT

TOUS ET TOUTES

SALARIES ETUDIANTS RETRAITES

 

COMME EN 68

 

ON DOIT AVOIR REUSSIT A FAIRE FLAICHIR

 

MAIS IL FAUDRA CONTINUER A MILITER POUR LA MEME CHOSE JUSQU'EN 2012

 

JE SORT DE REUNION

 

 

QUI DE VOUS A MANIFESTER?

C'est tres bien

.... continuez

.... les manifestants

.... ont achete chez nous

.... des milliers de chapeaux

Link to post
Share on other sites
SALUT CAMARADE AMIS (IES)

 

DEPUIS 13H JUSQUA MAINTENANT UNE MANIFESTATION REUSSIT

TOUS ET TOUTES

SALARIES ETUDIANTS RETRAITES

 

COMME EN 68

 

ON DOIT AVOIR REUSSIT A FAIRE FLAICHIRHihihihihi Trés mauvais choix de comparaison Pmat, les 68ard ont demandé tout ce dont tu ne veux pas :04: IVG, Liberté sexuelle, liberté de concubinage plus répandue, Moins de INTERDIT de la société et moins de paternisme....:p....etc

 

MAIS IL FAUDRA CONTINUER A MILITER POUR LA MEME CHOSE JUSQU'EN 2012

 

JE SORT DE REUNION

 

 

QUI DE VOUS A MANIFESTER?

 

Comme je n´ai a comenter de ce qui me concerne pas (La retraite en France)....je signale juste un virage :mdr:

Link to post
Share on other sites
Comme je n´ai a comenter de ce qui me concerne pas (La retraite en France)....je signale juste un virage :mdr:

 

Bonsoir mon ami Nimos

 

on vous ammener la bise

que se font tous les etudiants et cela se fait jusqu'a plua d'age aujourqhui

 

on vous a creer la BOUM

 

puis efectivement

quand tu dis;

 

Hihihihihi Trés mauvais choix de comparaison Pmat, les 68ard ont demandé tout ce dont tu ne veux pas IVG, Liberté sexuelle, liberté de concubinage plus répandue, Moins de INTERDIT de la société et moins de paternisme........etc

 

BRAVOS et toutes les imoralités

certain doivent dire merci madame veille

je me rapelle comme aujoirdhui de ce sujet

des amis devait aller soit en angleterre soit a geneve pour avorter

et l'idé fut simplement

puisque cela se fait ailleur et bien on va le faire chez nous

et rendons autorisé la pillule

et le reste

 

apres le jeans que brigite bardot a a mis

 

puis la folie du

LOVE IN PEACE

 

qui couter en vie aux meilleurs

oar la drogue

 

jimmy hindrix entre autre

ect......

 

bien vus

Link to post
Share on other sites

Le Parisien

 

Des manifestants plus nombreux qu'il y a deux semaines, pour les uns, une participation en baisse pour les autres. Syndicats et gouvernement ont chacun crié victoire au soir de la journée d'action contre la réforme des retraites. Cette traditionnelle guerre des chiffres entre les leaders syndicaux et le gouvernement a néanmoins révélé des écarts très étonnants, en particulier à Marseille : 220 000 personnes ont défilé selon les organisateurs, quand la police dit n'en avoir estimé que 22 000.

Sur la toile

 

Au total, la CGT assure que 3 millions de Français (2,7 millions le 7 septembre) ont bel et bien battu le pavé. Mais au ministère de l'Intérieur, les totaux passent largement en dessous du million, avec 997 000 manifestants. Une «baisse» par rapport aux chiffres du 7 septembre, où 1 120 000 personnes avaient été recensés dans les cortèges, souligne le ministère. A la mi-journée, l'Elysée évoquait déjà «une baisse relative» du taux de participation.

 

Jeudi soir, au 20 heures de France 2, Eric Woerth est resté inflexible : «On est vigilants, on entendra tout ce qui diront les syndicats, assure le ministre. Mais, la réforme se fera. Si ce n'est pas le cas, on ne paiera pas la retraite des Français. Nous devons réformer. Le PS ne l'a jamais fait.»

 

Nouvelle réunion des syndicats ce matin

 

Alors que l'intersyndicale se réunit ce vendredi matin pour décider des suites du mouvement, la CGT est montée d'un cran. Dans un communiqué, Bernard Thibault met en garde le gouvernement qui pourrait s'exposer à «une crise sociale de grande ampleur» s'il n'accepte pas «d’ouvrir une réelle négociation sur des propositions alternatives au financement des retraites et sur le maintien du droit au départ à 60 ans».

 

A gauche, on accuse le gouvernement de «minimiser le mouvement syndical» via la guerre des chiffres. Ségolène Royal, elle, va même jusqu'à évoquer une «manipulation» de la part de l'Elysée, soutenant que «partout en France, les cortèges étaient importants voire plus fournis que le 7 septembre». Au milieu des cortèges également, Jean-Luc Mélenchon, a lui aussi réagi à la polémique des chiffres. «Nicolas Sarkozy prend ses rêves pour des réalités. La vérité, c'est que le mouvement s'enracine», a-t-il lancé.

 

Pendant que les uns battaient le pavé, d'autres à Biarritz, guettaient les moindres petits signes d'affaiblissement du mouvement social. Aussitôt les défilés parisiens dispersés, le porte-parole du gouvernement, Luc Chatel, est intervenu au beau milieu des journées parlementaires de l'UMP pour évoquer une mobilisation «en régression». Le nombre de grévistes serait même passé «sous la barre des 20% dans l'ensemble des secteurs professionnels», a déclaré le ministre de l'Education nationale.

 

Il a ensuite invité les sénateurs, qui doivent s'exprimer sur le projet de loi dès le 5 octobre, à «respecter l'équilibre général» de la réforme. Le texte a été adopté le 15 septembre à l'Assemblée.

 

François Fillon doit prononcer ce matin un discours «très charpenté» en clôture des journées parlementaires de l'UMP.

Link to post
Share on other sites

pour mon ami Nimos

OUI L'ETE 68

JE ME RAPPELE DES ELU ALLEMANDS ETAIENTS VENU EN VACANCE A L'AUBERGE DE JEUNESSE DE CHAMBERY

 

ILS M'AVAIENT DIT QU'ILS ETAIENT VENU EN FRANCE POUR S'INFORMER JUSTEMENT DES EVENEMENTS DE MAI

QU'EUX N'ONT PAS COMPRIS COMMENT CELA A ETE POSSIBLE:

 

1968 : Grève générale et révolte étudiante en France

Première partie : la naissance d’une situation révolutionnaire

Par Peter Schwarz

28 mai 2008

Imprimez cet article | Ecrivez à l'auteur

 

Il n’y a guère d’autre événement historique qui ait autant attiré l’attention du public que le quarantième anniversaire du mouvement de 1968. Il y a eu ces dernières semaines, pour la seule Allemagne, des centaines d’articles, d’interviews, de documentations et de films télévisés sur la contestation étudiante et les luttes ouvrières, bien plus que lors des précédents anniversaires de cet événement.

 

D’où provient toute cette attention ?

 

La réponse a moins à voir avec le passé qu’avec le présent et l’avenir. 1968 ne fut pas seulement une révolte étudiante secouant, outre les Etats-Unis, l’Allemagne et la France, l’Italie, le Japon, le Mexique et bien d’autres pays encore. Ce fut le début de la plus grande offensive de la classe ouvrière depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale. Cette offensive dura sept ans et prit en partie des formes révolutionnaires, forçant des gouvernements à la démission, faisant tomber des dictatures et remettant en question le pouvoir de la bourgeoisie en général.

Link to post
Share on other sites

Retraites : Woerth inflexible...et maintenant?

 

a manifestation à Toulouse contre la réforme des retraites, le 23 septembre 2010 © AFP/F.Dufour

 

la-manifestation-a-toulouse-contre-la-reforme-des-retraites-10291142bzppt_1713.jpg?v=2

 

Woerth inflexible...et maintenant?

 

Dossier : Quel avenir pour les retraites ?

 

Les syndicats doivent décider vendredi matin des suites de l'action à donner contre la réforme des retraites au lendemain d'une mobilisation en hausse selon leurs chiffres. "La réforme sera votée et appliquée" a promis Eric Woerth sur France 2 jeudi soir.

(0)Article suivant dans Social : Retraites : Woerth inflexible, et maintenant ?La manifestation à Toulouse contre la réforme des retraites, le 23 septembre 2010 © AFP/F.Dufour

 

 

Retraites : la suite à donner au mouvement décidée aujourd'hui

TF1 - ‎Il y a 1 heure ‎

Les syndicats doivent décider vendredi matin des suites de l'action contre la réforme des retraites au lendemain d'une mobilisation en hausse selon leurs chiffres. Chiffres contradictoires des manifs : Quelle analyse ? - 02 min 10 s Au lendemain de la ...

Vidéo : Retraites : Nouvelle journée d'action contre la réforme France 24

Retraites: la bataille des chiffres très politique Le Progrès

La Voix du Nord - Le Post - Midi Libre - Le Parisien

650 autres articles »Envoyer par e-mail

Link to post
Share on other sites

Retraites

Syndicats et gouvernement ont engagé sur la réforme des retraites un bras de fer probablement plus long que prévu par chaque camp et où les marges de manoeuvre sont réduites de part et d'autre. Lire la suite l'article

Photos/Vidéos liées

1767441444-guerre-de-positions-entre-syndicats-et-gouvernement-sur-les-retraites.jpg?x=310&y=231&q=75&wc=389&hc=291&xc=25&yc=1&sig=YKFwfbHfYYe6zN4R2Zt4SQ--#310,231

GUERRE DE POSITIONS ENTRE SYNDICATS ET GOUVERNEMENT SUR LES RETRAITES

Agrandir la photo .Articles liés

Retraites : Chérèque fustige le 'mépris' du gouvernement

Frédéric Mitterrand, «excellent tenancier de bar»

Retraites: un "non ferme et tranquille" de Fillon

Plus d'articles sur : Retraites

Discussion: Retraites

Pour leur quatrième journée d'action jeudi, les syndicats disent avoir gagné leur pari en atteignant selon eux le cap des trois millions de manifestants, une performance similaire à la contestation contre le contrat première embauche (CPE) en 2006.

 

Mais l'exécutif crie lui aussi victoire en brandissant le comptage de la police, juste en dessous de la barre du million, à 997.000, qui montrerait selon un reflux du nombre d'opposants après l'adoption de la réforme par les députés.

 

Les sondages montrent toutefois que les Français continuent d'être majoritairement opposés aux modalités de la réforme gouvernementale qui reporte de 60 à 62 ans l'âge légal de départ à la retraite, même s'ils en acceptent le principe.

 

Dénonçant les "manipulations grossières" du gouvernement, les syndicats jouent leur va-tout en appelant à deux nouvelles journées de mobilisation, les 2 et 12 octobre, alors que le texte sera toujours en cours d'examen au Sénat.

 

"On est dans une situation un peu compliquée où chacun se cale sur sa position avec la certitude d'avoir la logique de son côté. Je pense qu'on pourrait voir s'installer un bras de fer un peu long", estime Philippe Waechter, directeur de la recherche économique chez Natixis Asset Management.

 

Selon lui, les syndicats "sont dans la logique CPE, quand le mouvement de la rue avait eu raison de la politique" et sont prêts "à aller jusqu'au bout".

 

Pour Jérôme Fourquet, de l'institut de sondages Ifop, l'ampleur des manifestations de jeudi "c'est la preuve que les syndicats ont l'oreille des Français".

 

CAPITAINE COURAGE DE LA DROITE ?

 

Mais l'analyste estime qu'il n'y aura pas de répétition de 1995 "parce que l'opinion publique pense désormais que la réforme est inéluctable, ce qui ne l'empêche pas de penser qu'elle est injuste et que le gouvernement ne l'écoute pas".

 

Des manifestations et des grèves, surtout dans les transports, de l'automne 1995 contre le plan d'Alain Juppé sur les retraites et la sécurité sociale avaient contraint le Premier ministre de l'époque à retirer sa réforme.

 

SUITE

Link to post
Share on other sites

SUITE ET FIN

 

Le caractère inéluctable de la réforme est illustré par le fait que le report de l'âge de la retraite permettra des recettes supplémentaires de 20 milliards d'euros à peine en 2018, moins de la moitié de ce qui serait nécessaire pour restaurer l'équilibre du régime des retraites.

 

Jérôme Fourquet estime que l'on est aujourd'hui "dans un bras de fer un peu théâtralisé où les marges de manoeuvre sont réduites de part et d'autre mais où chacun pousse ses pions".

 

"Une mobilisation significative comme celle de jeudi peut amener le gouvernement à lâcher un peu plus qu'il ne le voulait", dit-il.

 

"Mais dans l'électorat de droite, on perçoit la réforme des retraites comme une promesse de campagne présidentielle donc Nicolas Sarkozy, vu son niveau de popularité, a intérêt à la tenir pour ne pas glisser plus", ajoute-t-il.

 

Philippe Waechter note qu'on est "potentiellement au point de bascule" du quinquennat de Nicolas Sarkozy.

 

"Celui qui gagne aura un avantage sur la fin du mandat et potentiellement sur la prochaine présidentielle" de 2012, souligne-t-il.

 

Même analyse pour le socialiste Jean-Christophe Cambadélis.

 

Etant donné son niveau dans l'opinion, "Nicolas Sarkozy a besoin d'être le capitaine Courage de la droite", dit le député de Paris qui soupçonne le chef de l'Etat d'avoir, si ce n'est encouragé, du moins laissé monter la contestation à dessein.

 

"Le gouvernement a fait lui-même un appel un appel d'air en disant dès le vote à l'Assemblée qu'il y avait du mou au Sénat, qu'on pouvait faire un peu évoluer le texte", estime le secrétaire national du PS.

 

Cependant, le chef économiste d'une grande banque française estime qu'en faisant des mesures d'âge le coeur de la réforme, "le gouvernement ne s'est laissé aucune marge de manoeuvre" pour tenter de désamorcer le mouvement social.

 

"On ne peut rien toucher sans mettre en péril l'équilibre de la réforme", explique-t-il, invitant le gouvernement à résister à la tentation "d'instaurer des dizaines d'exceptions qui rendent la réforme illisible et au final inefficace."

 

Le président du Sénat, Gérard Larcher (UMP), a tenté une ouverture en défendant la proposition du leader de la CFDT François Chérèque de maintenir l'âge de départ à la retraite sans décote à 65 ans pour les femmes ayant plusieurs enfants.

 

Mais il s'est vu opposer jusqu'à présent une fin de non recevoir de l'exécutif, répétant qu'une telle concession ruinerait l'objectif financier de la réforme.

 

Edité par Yves Clarisse

 

 

Articles liés

Retraites : Chérèque fustige le 'mépris' du gouvernement

Frédéric Mitterrand, «excellent tenancier de bar»

Retraites: un "non ferme et tranquille" de Fillon

Plus d'articles sur : Retraites

Link to post
Share on other sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Guest
Répondre

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.

×
×
  • Create New...