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Esclavagisme arabe imputé à l'Islam !!!


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Le mythe de l’innocence raciale de l’islam est une création de l’Occident pour servir des intérêts occidentaux. Ce n’était pas la première fois qu’une perception idéalistes et mythologique de l’islam allait fournir une verge pour fustiger l’Occident. -- Arabes contre arabes: Une des raisons fondamentales aux révoltes périodiques qui ont émaillé l’histoire musulmane a été ce que Goldziher appelle « l’arrogance croissante et la fatuité raciale » des arabes. Mahomet lui-même (pour pérenniser sa religion) s’évertuait à expliquer aux tribus arabes que désormais l’islam, et non plus l’appartenance à la tribu elle-même, devait être le principe unificateur de la société. Néanmoins, les rivalités intertribales ne s’apaisaient pas, même sous les abbassides. Les querelles étaient monnaie courante. Les tribus étaient incapables de résoudre par elles-mêmes leurs différends et elles devaient être isolées dans des quartiers et des mosquées séparés même en temps de guerre. La rivalité entre arabes du nord et du sud fut des plus meurtrières. Après la conquête de l’Andalousie, « pour éviter une guerre civile, ces tribus durent être consignées en divers endroits de la région, mais sans succès ». Mustafa b. Kamal al-din al-siddiqi écrivait en 1137 : « la haine fanatique entre les Qaysites (arabes du nord) et les yéménites (arabes du sud) ne s’est pas éteinte et même aujourd’hui ces arabes ignares continuent à se faire la guerre. « à l’intérieur d’une même ethnie, certains groupes s’estimaient de loin supérieurs aux autres, allant même jusqu’à refuser les mariages intertribaux. Pour justifier ces rivalités, on fabrique des traditions que l’on fit remonter à Mahomet. Les nominations aux postes officiels importants furent la cause de guerres fratricides. C’est avec justesse que Goldziher remarque que les rivalités intertribales au cours des deux premiers siècles de l’islam révèlent l’échec de l’enseignement du principe d’égalité entre musulmans. --Arabes contre non-arabes: Nous en venons à une autre sphère de l’enseignement de l’islam où l’égalité de tous les musulmans est restée lettre morte. Elle ne s’est jamais imposée dans la conscience des arabes et elle est niée dans leurs comportements quotidiens.

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Forts de leurs conquêtes spectaculaires, les arabes rechignaient à accorder l’égalité aux non-arabes convertis à l’islam. Les arabes étaient les conquérants et il n’était pas question d’abandonner leurs privilèges. « les musulmans non arabes étaient donc jugés inférieurs et ils étaient frappés par toute sortes d’incapacités, tout autant que sociales, politiques, militaires et autres. » les arabes gouvernaient comme une sorte d’aristocratie tribale de conquistadors à laquelle seuls les vrais arabes pouvaient appartenir, c’est-à-dire les arabes dont les pères et mères étaient eux-mêmes des arabes libres. Les arabes se choisissaient des concubines parmi les peuples vaincus et leurs enfants bâtards faisaient aussi l’objet d’une discrimination raciale stricte. Les arabes pratiquaient une sorte d’apartheid envers leurs frères musulmans non arabes : « ils considéraient leurs coreligionnaires non arabes comme des étrangers et, sans tenir compte de leur rang social, les traitaient avec mépris. Ils les faisaient combattre dans l’infanterie. Ils les privaient de leurs parts de butin. Ils ne s’asseyaient pas à la même table. Dans chaque ville, des quartiers et des mosquées séparées leur étaient réservés. Les mariages mixtes étaient considérés comme un crime contre la société. Esclavage. Pour les musulmans le monde civilisé se résumait à eux-mêmes. Eux seuls possédaient l’illumination de la vraie foi. Le monde extérieur était habité par des infidèles et des barbares. Parmi ces derniers, certains possédaient des rudiments de religiosité et un soupçon de civilité. Les autres, les polythéistes et les idolâtres, étaient essentiellement considérés comme des réservoirs d’esclaves. Le coran autorise l’esclavage, reconnaît la suprématie du maître sur l’esclave (sourates XVI.77, XXX.28) et permet le concubinage (sourates IV.3, XXIII.6, XXXIII. 50-52, LXX.30). le coran recommande aussi la bienveillance envers les esclaves et l’affranchissement d’un esclave est considéré comme un acte pieux. Mahomet lui-même fit plusieurs prisonniers au cours de ses guerres contre les tribus arabes, ceux qu’il n’échangea pas contre une rançon furent réduits en esclavage. Pour l’islam, les esclaves n’ont aucun droit. Ils sont simplement considérés comme des objets, comme la propriété de leur maître qui peut en disposer comme bien lui semble. Il peut les vendre, les donner, etc. les esclaves ne peuvent exercer de tutelle, ni être exécuteurs testamentaires. Leur salaire appartient à leur maître. Un esclave ne peut pas porter témoignage devant un tribunal. La conversion d’un esclave à l’islam ne garantit pas son affranchissement : son maître n’est pas tenu de le libérer. Dans les premiers temps de la conquête arabe, les esclaves étaient essentiellement des prisonniers de guerre. « l’utilisation de cette force de travail permit aux arabes de vivre en rentiers sur les terres conquises et d’exploiter le potentiel économique du croissant fertile. » mais au fur et à mesure qu’ils accordaient leur protection aux peuples conquis, cette source d’esclaves commença à se tarir et les arabes cherchèrent à s’approvisionner ailleurs. Certains pays vassaux durent fournir annuellement des milliers d’esclaves des deux sexes en guise de tribut. Les arabes étaient massivement impliqués dans un vaste commerce d’esclaves. Ils écumaient les marchés d’esclaves de Chine, de l’Inde et du Sud-Est de l’Asie. Ils avaient des esclaves blancs d’Europe centrale, des esclaves noirs d’Afrique. Chaque cité du monde musulman avait son marché aux esclaves. Entre le moment de leur capture et celui de leur vente, les esclaves étaient soumis à des traitements inhumains et dégradants. C’était par milliers qu’ils mouraient d’épuisements et de maladie. Les plus chanceux étaient employés comme domestiques ou comme serviteurs. Les plus malchanceux étaient exploités dans les mines de sel, dans l’assèchement des marais, dans les plantations de sucre et de coton. Les femmes étaient louées comme prostituées. Autrement, elles étaient, bien entendu, entièrement soumises aux désirs sexuels de leur maître très portés sur les rapports homosexuels. D’après Stanly Lan-Pool, la condition de la femme esclave en orient est bien sûr déplorable. Elle est entièrement à la merci de son maître qui peut en faire ce que bon lui semble, d’elle et ses compagnes, car le musulman n’est pas limité dans le nombre de ses concubines. Les esclaves blanches sont exclusivement réservées au plaisir sexuel du maître et il les vend dès qu’il est fatigué d’elles. Ainsi, elle passe de maître en maître, un véritable naufrage pour une femme. Sa condition s’améliora si elle porte un fils de son tyran ; mais là encore, il peut refuser de reconnaître l’enfant, bien que cela soit rarement le cas.

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..Quand on pense que des milliers de femmes, de mères et de filles ont enduré la honte et le déshonneur par cette licence, on ne peut pas trouver de mot pour exprimer son horreur, et cette cruelle complaisance a marqué le caractère des musulmans, et même toute la vie en orient.

Lorsqu’on discute du sort des femmes dans l’islam, on a tendance à oublier, presque entièrement, les traitements, les conditions de vie et les droits extrêmement limités des femmes esclaves. Préjugés raciaux contre les noirs. Je me demande ce que les Russes diraient du fait (s’ils le connaissent) que leur plus grand écrivain, Pouchkine, avait des ancêtres noirs éthiopiens. De la même façon, que font les arabes de leurs poètes noirs, qui viennent pour la plupart d’Éthiopie et que l’on qualifie de couronnes des arabes ? plusieurs poètes arabes des périodes préislamiques et islamiques primitives étaient soit de purs africains ou des métis dont le père était arabe. Leur poésies montrent clairement qu’ils souffraient d’une discrimination raciale et, dans certains cas, qu’ils éprouvaient une sorte de mépris de soi qui se traduisait par des lamentations comme : « je suis noir mais mon âme est blanche, les femmes m’aimeraient si j’étais blanc. » nous pourrions citer les noms de Suhaym (mort en 660), de Nusayb ibn Rabah (mort en 726), d’un contemporain de Nusayb, al-Hayqutan et d’Abu Dulam (mort vers 776), la plus éminente de ces couronnes. Le statut des esclaves noirs était pire dans les sociétés musulmanes primitives. Selon Lewis, « dans l’ancienne arabie, comme partout ailleurs dans l’antiquité, le racisme (au sens moderne du mot) était inconnu. Les textes littéraires montrent clairement qu’il se développe dans le monde musulman une nouvelle tendance à l’hostilité raciale et à la discrimination, souvent de façon très violente. Abolition. Dans le monde musulman, l’esclavage s’est perpétué jusqu’au XX siècle. D’après Brunschvig, « les esclaves noirs des deux sexes continuent à être importé au maroc au XX siècle, avec un semblant de camouflage depuis que le trafic par Tombouctou et les ventes publiques sont devenus impossible ». Il existe assez de preuves pour montrer que l’esclavage continuait en arabie saoudite et au Yémen jusqu’aux années 1950. L’esclavage était si profondément enraciné dans ces contrées que l’abolition se fit très lentement et seulement grâce à la pression internationale. L’islam, comme le fait remarquer Brunschvig, n’a jamais prêché pour l’abolition de l’esclavage et le « fait que l’esclavage est en principe légal d’après le coran, satisfait d’éventuels scrupules religieux. L’abolition totale peut même être considérée comme une dangereuse innovation, contraire à la lettre du livre saint et à, l’exemple donné par les premiers musulmans » Plus récemment, des employés de maison originaires d’Asie du Sud-Est ont été traités comme des esclaves. On leur a confisqué leurs passeports, interdit de quitter la maison et parfois même ils ont été enfermés dans leurs chambres. Selon une enquête de La Vie ( N 2562 du 6 octobre 1994), quarante cinq mille jeunes africains sont kidnappés par an et réduits en esclavage, comme serviteurs dans les Emirates du golfe et au moyen –orient.

 

....Takfarinas Azwaw. Ibn Warraq pourquoi je ne suis pas musulman Les professionnels du victimisme. Le musulman moderne. Source: [http://www.afrique-du-nord.com/article.php3?id_article=2160]

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je connais le site auquel tu fais référence ... mais ce que je n'ai pas compris est si toi tu adhères à cette théorie ...????

..ce n'est pas une théorie, c'est une étude ! quant à mon adhésion ou non,..j'attends de lire une étude qui la contredirait ! si t'en as une, fais nous le plaisir de nous la poster :27:

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