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ATTENTION AUX ANTI-DEPRESSEURS ILS DONNENT DES ENVIES DE SUICIDE


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rofl incroyable ton aplomb, ta veste n'est pas trop usée à force de la retourner?

 

 

bon ca commence a bien faire

vous vivez de ces choses

néfaste et sans construction mais aimez a faire le mal

et tu fais partie de ceux qui tuerons la chamelle si on te la laisse pour témoigner la nouvelle tu est prêt a l'accélérer

 

ah encore un complexer qui joue sur la faute , le point et la virgule

 

Au nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.

1. Dis : "Je cherche protection auprès du Seigneur des hommes.

2. Le Souverain des hommes,

3. Dieu des hommes,

4. contre le mal du mauvais conseiller, furtif,

5. qui souffle le mal dans les poitrines des hommes,

6. qu'il (le conseiller) soit un djinn, ou un être humain".

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et hop, la religion sur le tapis...tu peux pas la laisser tranquille???

non je ne suis pas néfaste ni méchant ni faire le mal, je ne suis pas le diable incarné, juste pas du tout d'accord avec toi!

le point et la virgule c'est très important, ne t'en déplaise

je te laisse à ton délire de persécution

merci mon persecuteur

 

ca me fera des vacances

 

je t'aimais bien au debut

mais tu te fais ajusteur de chose qui te demande rien

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merci pour ton éclaircissement

J’avoue que Je me retrouve dans ce que j’ai mit en gras

 

Dans ce cas, je te conseillerais de consulter. Tu n'as pas à subir ces changements d'humeurs brusques continuellement. Il y a moyen de remédier à cela maintenant. Trouve-toi un bon spécialiste dans le domaine.La médecine et la pharmacologie peut maintenant aider des gens comme toi. Tu mérites d'être heureux.

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Dans ce cas, je te conseillerais de consulter. Tu n'as pas à subir ces changements d'humeurs brusques continuellement. Il y a moyen de remédier à cela maintenant. Trouve-toi un bon spécialiste dans le domaine.La médecine et la pharmacologie peut maintenant aider des gens comme toi. Tu mérites d'être heureux.

entreprendre cette démarche revient à entamer un travail sur soi impliquant forcement vue introspective à partir d’un regard rétrospectif poussé, option certes, peut donner résultats probants mais pour le moment j’en suis fortement retissant, je ne me sent pas apte à revenir (dans les détails) sur certains événements de mon passé

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entreprendre cette démarche revient à entamer un travail sur soi impliquant forcement vue introspective à partir d’un regard rétrospectif poussé, option certes, peut donner résultats probants mais pour le moment j’en suis fortement retissant, je ne me sent pas apte à revenir (dans les détails) sur certains événements de mon passé

 

C'est pourtant la meilleure manière de les afronter une fois pour toute et de t'en libérer. Tant qu'un passé négatif prend le controle sur nous, on reste négatif forcément.

 

Une thérapie, c'est vrai que c'est difficile. On doit creuser au fond de soi, sans faux-fuyant. Mais quand enfin on finit par se libérer de ses fantomes, on se sent revivre.On se sent en paix. On se sent énergisé.

 

Faut pas penser que les thérapies ce sont forcément pour des choses très graves. Ca dépend comment on les a interprété au moment ou on les vivait.

 

Par exemple, j'ai connu une jeune fille qui avait constamment des entorses cervicales. Aucune spécialité médicale n'avait trouvé de cause spécifique. Elle a dcidé de faire une thérapie. Elle a découvert qu'à chaque fois qu,elle parlait soit de maladie, soit de sa mère, la douleur revenait dans son cou. Or, la mère de la jeune fille avait failli mourrir quand la jeune fille avait 10 ans.Le mot maladie éveillait chez elle un réflexe nerveux, qui mal controlé, lui occasionnait des torticolis.

Depuis qu'elle a découvert la cause, elle n'en fait plus.

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entreprendre cette démarche revient à entamer un travail sur soi impliquant forcement vue introspective à partir d’un regard rétrospectif poussé, option certes, peut donner résultats probants mais pour le moment j’en suis fortement retissant, je ne me sent pas apte à revenir (dans les détails) sur certains événements de mon passé

 

Tu pourrais consulter pour vérifier si t'es réellement bipolaire. Et si tu l'es, recevoir une médicamentation qui te permettrait de mieux vivre parce que tout ceci doit t'épuiser.

La thérapie peut suivre plus tard, quand tu sera prêt.

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Si les antidépresseurs ont comme rôle ce qui suit :

 

Les antidépresseurs sont des substances chimiques qui corrigent et relèvent l'humeur dépressive. Ces thymo-analeptiques sont des stimulants psychiques ou psycho-analeptiques qui ont une action sur les fonctions thymiques[1],[2]. Tous les antidépresseurs ont une activité sur les neuro-transmetteurs monoaminergiques, mais ils n'interfèrent pas sur les mono-amines de la même manière[2].

 

Un antidépresseur est un médicament principalement prescrit dans le traitement de certaines dépressions et de certains troubles anxieux et dont les effets apparaissent après deux ou trois semaines. Il existe différentes classes d'antidépresseurs à l'efficacité équivalente. Toutefois cette efficacité n'est démontrée et affirmée que par des études commanditées par des laboratoires producteurs de ces drogues[3].

 

ce qui pour moi est du chinois

 

On a beaucoup qui grossissent par la prise de certains médicament

Et devenons nous dépendant ?

 

est ce qu'une dépression dur dans la vie d'un individu

En tout cas , dans le cas d'une personne dépressif

elle et sa famille y trouvent leur compte

çà calme

 

qui connais le mecanisme de ce calme

y a t il du retours?

 

et est ce que les societé ont un principe de dépistage

et que fait elle pour la famille ou au sein de la famille (problème dans la famille)

 

est un gène qui provoque pour dire c'est héréditaire la dépression

ou est ce provoquer par les problèmes

la dépression

 

merci

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On a beaucoup qui grossissent par la prise de certains médicament

Et devenons nous dépendant ?

 

est ce qu'une dépression dur dans la vie d'un individu

 

 

Oui, certains médicaments font grossir. C'est parce qu'ils ouvrent l'appétit artificiellement parce que les déprimés perdent souvent l'appétit. En tout cas, c'est ce que m'avait expliqué un médecin.

 

On ne devient pas dépendant des antidépresseurs. Il faut juste les arrêter progressivement parce que le sevrage peut causer des effets secondaires.

Par contre, on peut devenir dépendant des anxiolytiques qui sont prescrits contre l'anxiété. C'est pour ça qu'il ne faut pas faire n'importe quoi et être toujours suivi par un médecin.

 

Normalement quand elle est bien soignée et assez tôt, la dépression peut se guérir. Mais c'est quand même assez long. Ca peut très bien durer 6 mois, 1 an ou plus. Mais heureusement que les médicaments permettent d'avoir une vie à peu près normale assez vite.

 

Mais il existe aussi les dépressions chroniques. Elles sont moins profondes que les autres dépressions mais elles durent plus longtemps, parfois toute une vie. C'est souvent dû à une dépression mal soignée ou trop tardivement.

 

 

Voilà, je ne suis pas médecin mais je me suis beaucoup intéressée à la dépression. Alors j'espère ne pas avoir dit trop de bêtises. N'hésitez pas à me corriger.

 

En tout cas, pour ceux qui pensent souffrir de troubles, il ne faut pas se contenter de lire les forums. Il faut aller voir un spécialiste sans avoir peur. Aucun médecin ne vous obligera à prendre des médicaments si vous ne voulez pas ou à suivre une thérapie.

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et si c'est cela le mécanisme des antidépresseurs:

Mécanismes d'action [modifier]

 

Le mécanisme d'action des antidépresseurs est généralement lié à un effet sur les neurotransmetteurs (en particulier la sérotonine et la noradrénaline).

 

* Les ISRS (inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine) augmentent la concentration de sérotonine dans la synapse en empêchant sa recapture dans le neurone pré-synaptique (voir synapse). Cette classe d'anti-dépresseurs est récente. Le célèbre Prozac en fait partie.

* Les IMAO (Inhibiteurs des monoamine oxydases) augmentent la concentration en sérotonine en inhibant les enzymes (les monoamines oxydases ou MAO) chargées de sa dégradation. Leur usage requiert une surveillance très contraignante de l'alimentation et ils ne sont maintenant que très rarement utilisés.

* Les antidépresseurs tricycliques empêchent la recapture de divers neurotransmetteurs, y compris la sérotonine, la noradrénaline et la dopamine. Ces anti-dépresseurs sont les plus anciens et restent très efficaces malgré des effets secondaires parfois gênants.

* Les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine-noradrénaline (IRSNa) inhibent de façon sélective la recapture de la noradrénaline et de la sérotonine.

 

on ne peut que comprendre le titre du sujet

on endors mais des que ca se réveille!!!

que se passe t il?

une chose qui a ete freiner et d'un seule coup libérer

imaginons un tuyau d'arrosage

que se passe t il une foie libérer

que fait le corps comment réagit le cerveau?

 

comme les rénaux greffés

 

eut a vie on encore leur corps

pour pas qu'il sente qu'il y a un corps étranger

 

si non ils fera du rejet en s'attaquent a la partie greffé

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Je répondrais bien à tes questions mais tu vas t'en servir pour me traiter dédaigneusement d'intellectuelle et en déformer le contenu.

 

Quand on copie, il faut mettre la source.

 

Tu peux me répondre à moi, dire si tu es d'accord ou pas :p

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Je répondrais bien à tes questions mais tu vas t'en servir pour me traiter dédaigneusement d'intellectuelle et en déformer le contenu.

 

Quand on copie, il faut mettre la source.

tu n'a pas le droit de me priver de reponse si tu les connais

et c'est dans ce but que j'ai affiche ce topic

pour apprendre

 

et ne soit pas toujours de mauvaise foie

je ne me suis jamais permis a te manquer de respect le premier envers toi ni envers qui que ce soit

 

je ne suis pas ici pour manquer de respect a qui que ce soit

et si je dépasse ce n'est pas sans raison

 

mais souvent tu ne soignes pas pas tes messages envers moi

 

donc voila pourquoi je devien vulgaire a la limite de la dépression justement

 

sache que je m'interesse a tout

meme a l'incomprehenssible

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Guest chebmourad
Oui, certains médicaments font grossir. C'est parce qu'ils ouvrent l'appétit artificiellement parce que les déprimés perdent souvent l'appétit. En tout cas, c'est ce que m'avait expliqué un médecin.

 

On ne devient pas dépendant des antidépresseurs. Il faut juste les arrêter progressivement parce que le sevrage peut causer des effets secondaires.

Par contre, on peut devenir dépendant des anxiolytiques qui sont prescrits contre l'anxiété. C'est pour ça qu'il ne faut pas faire n'importe quoi et être toujours suivi par un médecin.

 

Normalement quand elle est bien soignée et assez tôt, la dépression peut se guérir. Mais c'est quand même assez long. Ca peut très bien durer 6 mois, 1 an ou plus. Mais heureusement que les médicaments permettent d'avoir une vie à peu près normale assez vite.

 

Mais il existe aussi les dépressions chroniques. Elles sont moins profondes que les autres dépressions mais elles durent plus longtemps, parfois toute une vie. C'est souvent dû à une dépression mal soignée ou trop tardivement.

 

 

Voilà, je ne suis pas médecin mais je me suis beaucoup intéressée à la dépression. Alors j'espère ne pas avoir dit trop de bêtises. N'hésitez pas à me corriger.

 

En tout cas, pour ceux qui pensent souffrir de troubles, il ne faut pas se contenter de lire les forums. Il faut aller voir un spécialiste sans avoir peur. Aucun médecin ne vous obligera à prendre des médicaments si vous ne voulez pas ou à suivre une thérapie.

 

excellente intervention

 

la chance de sortir de la dépendance dépend de la qualité du sevrage, et bien entendu de la volonté...il y a certains anti-dépresseurs qui agissent sur le Systeme Nerveux Central, et les dépendants ont enormément de mal à arrêter, le systeme nerveux s'il est déréglé subitement par l'arret brutale d'AD, peut représenter un réel danger (mon frère qui était soigné d'une depression avec des AD) avait oublié ses medocs en allant au bled, la premiere semaines, début de manque, pas méchant, il va voir un medecin qui lui donne un substitut, il décide de ne pas le prendre par peur d'une réaction inatendu, la deuxieme semaine sans traitement, il a commencé à avoir des attaques de paniques, il a accusé les coups de chaleur d'en etre les responsables, mais au fur a mesure des jours, elles se répeterent, et il a commencé à perdre du poid, plus d'appetit, et ces crise de panique, resultat l'hosto avec des piques de valium...ca a duré 1 mois comme ca jusqu'a son retour en France, son medecin traitant a halluciné quand il la vu, et lui a doublé les doses de ses medicaments d'origine, mesquine il avait perdu 15 kg, sa tension artérielle etait monté a 16...

 

tout ca pour dire qu'il faut ABSOLUMENT respecté le sevrage comme a dit moa, faut pas jouer son cowboy et se dire qu'on est fort, et qu'on peut jeter ses medicaments à la poubelle...jamais, c'est une déscente aux enfer sinon...

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LE PROBLÈME POURRAIT ÊTRE LA DANS LES ANTIDÉPRESSEURS

 

au vue de la corpulence et de capacité qui devrait être mesuré et analysé par le médecin traitant a mon avis

 

Classes d'antidépresseurs [modifier]

 

En fonction de leur structure et de leur mécanisme d'action, les antidépresseurs sont souvent classés en trois groupes. Les substances du premier groupe ont une structure tricyclique (ATC), celles du deuxième groupe pas toujours et celles du troisième groupe n'en ont pas. A quelques exceptions près, les substances du premier et du deuxième groupe inhibent de façon variable la recapture tant de la noradrénaline (norépinéphrine) que de la sérotonine. La réboxétine n'inhibe toutefois que la recapture de la noradrénaline. Les substances du troisième groupe sont les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS). Pour certains médicaments, l'effet pourrait être dû partiellement à d'autres mécanismes que l'inhibition de la recapture de ces amines.

 

On peut aussi les classer de la façon suivante[4] :

 

* inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO)

* antidépresseurs tricycliques (ATC)

* inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS)

* inhibiteurs de la recapture de la sérotonine-noradrénaline (IRSNa)

* les autres: inhibiteurs sélectifs de la recapture de la noradrénaline (NARI), antidépresseurs tétracycliques, Valdoxan[5].

 

Des données indiquent que le millepertuis (Hypericum perforatum) est efficace comme antidépresseur chez les patients atteints de dépression légère à modérée, mais pas dans la dépression sévère. Des questions subsistent toutefois concernant son innocuité à long terme et la dose optimale. Le mécanisme d'action qui a été suggéré est une inhibition de la recapture de la sérotonine.

 

En cas de surdosage, les ATC sont plus toxiques que les ISRS.

Les ATC et substances apparentées, et les ISRS ne peuvent être pris dans les 2 semaines qui suivent l'arrêt des IMAO.

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excellente intervention

 

la chance de sortir de la dépendance dépend de la qualité du sevrage, et bien entendu de la volonté...il y a certains anti-dépresseurs qui agissent sur le Systeme Nerveux Central, et les dépendants ont enormément de mal à arrêter, le systeme nerveux s'il est déréglé subitement par l'arret brutale d'AD, peut représenter un réel danger (mon frère qui était soigné d'une depression avec des AD) avait oublié ses medocs en allant au bled, la premiere semaines, début de manque, pas méchant, il va voir un medecin qui lui donne un substitut, il décide de ne pas le prendre par peur d'une réaction inatendu, la deuxieme semaine sans traitement, il a commencé à avoir des attaques de paniques, il a accusé les coups de chaleur d'en etre les responsables, mais au fur a mesure des jours, elles se répeterent, et il a commencé à perdre du poid, plus d'appetit, et ces crise de panique, resultat l'hosto avec des piques de valium...ca a duré 1 mois comme ca jusqu'a son retour en France, son medecin traitant a halluciné quand il la vu, et lui a doublé les doses de ses medicaments d'origine, mesquine il avait perdu 15 kg, sa tension artérielle etait monté a 16...

 

tout ca pour dire qu'il faut ABSOLUMENT respecté le sevrage comme a dit moa, faut pas jouer son cowboy et se dire qu'on est fort, et qu'on peut jeter ses medicaments à la poubelle...jamais, c'est une déscente aux enfer sinon...

 

Oui, et certainement qu'il n'étais pas encore guéri de sa dépression.

 

Certains arrêtent les AD parce qu'ils pensent être guéris. Mais c'est les médicaments qui leur donnent cette illusion.

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excellente intervention

 

la chance de sortir de la dépendance dépend de la qualité du sevrage, et bien entendu de la volonté...il y a certains anti-dépresseurs qui agissent sur le Systeme Nerveux Central, et les dépendants ont enormément de mal à arrêter, le systeme nerveux s'il est déréglé subitement par l'arret brutale d'AD, peut représenter un réel danger (mon frère qui était soigné d'une depression avec des AD) avait oublié ses medocs en allant au bled, la premiere semaines, début de manque, pas méchant, il va voir un medecin qui lui donne un substitut, il décide pas le prendre par peur d'une réaction inatendu, la deuxieme semaine de traitement, il a commencé à avoir des attaques de paniques, il a accusé les coups de chaleur d'en etre les responsables, mais au fur a mesure des jours, elles se répeterent, et il a commence à perdre du poid, plus d'appetit, et ces crise de panique, resultat l'hosto avec des piques de valium...ca a duré 1 mois comme ca jusqu'a son retour en France, son medecin traitant a halluciné quand il la vu, et lui a doublé les doses de ses medicaments d'origine, mesquine il avait perdu 15 kg, sa tension artérielle etait monté a 16...

 

tout ca pour dire qu'il faut ABSOLUMENT respecté le sevrage comme a dit moa, faut pas jouer son cowboy et se dire qu'on est fort, et qu'on peut jeter ses medicaments à la poubelle...jamais, c'est une déscente aux enfer sinon...

 

bonjour cheb

merci pour ces eclairssicement

 

mais alors c'est dangereux en meme temps

c'est de la valeur de la drogue elle meme quand tu dis:

tout ca pour dire qu'il faut ABSOLUMENT respecté le sevrage comme a dit moa, faut pas jouer son cowboy et se dire qu'on est fort, et qu'on peut jeter ses medicaments à la poubelle...jamais, c'est une déscente aux enfer sinon..

 

mais alors si la personne a subit d'autre mal causse pat l'antidepresseur comment le déceler et le percevoir

 

puisque on en décelé plusieurs cas dans mes proches a qui on a donner un traitement

 

puis il a fallut un certain temps après pour avoir compris qu'on s'est tromper on aura prescrit un autre traitement

 

et pour certain ca va mieux

 

oui il grossissait ne pouvait plus rien faire

 

il y a des femmes qui ne peuvent plus se lever

et ca je l'est vue de mes yeux

 

et il a fallut qu'on comprenne que ce fut le mauvais médicament

on en a prescrit un autre et cela va mieux

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Guest chebmourad
Oui, et certainement qu'il n'étais pas encore guéri de sa dépression.

 

Certains arrêtent les AD parce qu'ils pensent être guéris. Mais c'est les médicaments qui leur donnent cette illusion.

 

oui il n'etait pas guéri, ses AD lui redonnait le sourire, à tel point qu'il n'a pas vérifier s'il avait pris ses medocs pour le bled, son sevrage a duré 2 ans, dieu merci il s'en est sorti....:)

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quand on est malade et dépressif

 

est ce que de la dépression on guérit?

 

 

 

Indications et non-indications [modifier]

 

Les antidépresseurs ont une indication dans les troubles dépressifs majeurs unipolaires[6].

 

Mais, l'AFSSAPS [6] recommande de ne pas utiliser un antidépresseur :

 

* lorsque les symptômes dépressifs ne correspondant pas aux épisodes dépressifs majeurs, c’est-à-dire caractérisés, à savoir les symptômes isolés ou en nombre insuffisant pour remplir les critères DSM ou les durées des symptômes dépressifs inférieures à 15 jours ;

* dans les épisodes dépressifs caractérisés mais d’intensité légère, sauf en cas d’échec des autres stratégies (cf. 2.7.).

* dans le trouble dysthymique,

* dans le trouble cyclothymique,

* dans le trouble de l’adaptation avec humeur dépressive,

* dans les troubles anxieux (des symptômes anxieux isolés ou ne correspondant pas à un trouble anxieux caractérisé ne sont pas une indication à un traitement antidépresseur). Seuls les troubles anxieux caractérisés ayant un retentissement sur la vie du patient sont une indication à un traitement antidépresseur,

* dans les phobies simples et

* l’agoraphobie isolée..

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bonjour cheb

merci pour ces eclairssicement

 

mais alors c'est dangereux en meme temps

c'est de la valeur de la drogue elle meme quand tu dis:

tout ca pour dire qu'il faut ABSOLUMENT respecté le sevrage comme a dit moa, faut pas jouer son cowboy et se dire qu'on est fort, et qu'on peut jeter ses medicaments à la poubelle...jamais, c'est une déscente aux enfer sinon..

 

mais alors si la personne a subit d'autre mal causse pat l'antidepresseur comment le déceler et le percevoir

 

puisque on en décelé plusieurs cas dans mes proches a qui on a donner un traitement

 

puis il a fallut un certain temps après pour avoir compris qu'on s'est tromper on aura prescrit un autre traitement

 

et pour certain ca va mieux

 

oui il grossissait ne pouvait plus rien faire

 

il y a des femmes qui ne peuvent plus se lever

et ca je l'est vue de mes yeux

 

et il a fallut qu'on comprenne que ce fut le mauvais médicament

on en a prescrit un autre et cela va mieux

 

La psychiatrie, ce n'est pas une science exacte. Chaque patient ne réagit pas de la même manière aux médicaments. Alors il faut faire des essais. Essayer plusieurs marques d'AD et plusieurs posologies.

Si un patient se met à trop grossir, normalement, le médecin, s'il fait bien son travail, doit lui changer de médicaments. Bien sur pas pour 4 ou 5 kg.

 

Oui, les AD sont classés dans les drogues. Mais ils ont un but thérapeuthique.

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Durée du traitement antidépresseur recommandée par l'AFSSAPS [modifier]

Dans les troubles dépressifs majeurs unipolaires [6], l'AFSSAPS recommande une durée de traitement variant de 16 à 20 semaines après la rémission symptomatique.

 

La dépendance aux antidépresseurs [modifier]

 

Les antidépresseurs peuvent provoquer une accoutumance psychologique, cependant ils ne provoquent pas de dépendance physique[14].

Effets secondaires [modifier]

 

Les effets secondaires induits par les antidépresseurs varient selon les individus. Ces variations seraient plus importantes d'un individu à l'autre que d'une molécule à l'autre[7].

 

Les antidépresseurs peuvent avoir des effets secondaires[15] et c'est la principale cause d'interruption du traitement par le patient.[réf. nécessaire] De plus, il arrive que certains patients ne répondent pas aux antidépresseurs.

 

Les dysfonctionnements sexuels (anorgasmie, baisse de la libido, etc.) font partie des effets secondaires les plus souvent constatés. Cette question doit être prise en compte lors d'une indication dans la mesure où ce qui s'améliore d'un côté, l'humeur du patient, peut être contrebalancé par quelque chose qui empire, la vie sexuelle avec ses répercussions sur la vie de couple. Comme dans toute indication médicale, la balance "bénéfices attendus et inconvénients" doit être sérieusement envisagée et discutée avec le patient. Un dysfonctionnement sexuel peut être la conséquence de l'utilisation d'un ISRS chez plus de 80% des hommes[16] [17]. Ce dysfonctionnement peut être permanent[réf. nécessaire] (en anglais : Post SSRI Sexual Dysfunction (PSSD)) [18].

 

L'akathisie est un des effets secondaires des antidépresseurs, il est qualifié d'effet indésirable le plus meurtrier des antidépresseurs[réf. nécessaire]. Il peut en effet entrainer des pulsions meurtrières et/ou suicidaires.

 

Le syndrome sérotoninergique est une complication potentiellement mortelle liée à des médicaments antidépresseurs inhibiteurs de la recapture sélective de sérotonine, IMAO, tricycliques ... D'après certains auteurs, les cas de syndrome sérotoninergique sont largement sous estimés.

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La psychiatrie, ce n'est pas une science exacte. Chaque patient ne réagit pas de la même manière aux médicaments. Alors il faut faire des essais. Essayer plusieurs marques d'AD et plusieurs posologies.

Si un patient se met à trop grossir, normalement, le médecin, s'il fait bien son travail, doit lui changer de médicaments. Bien sur pas pour 4 ou 5 kg.

 

 

bonjour moa

 

merci j'en apprend

 

je suis d'accord quand tu dis

Oui, les AD sont classés dans les drogues. Mais ils ont un but thérapeuthique.

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bonjour moa

 

merci j'en apprend

 

je suis d'accord quand tu dis

Oui, les AD sont classés dans les drogues. Mais ils ont un but thérapeuthique.

 

Il ne faut pas avoir peur du mot drogue.

 

Evidemment, on pense tout de suite à l'héro ou la cocaine. Mais ce n'est pas que ça.

 

C'est tout simplement des substances qui jouent sur les fonctions neuronales. Mais il peut très bien ne même pas avoir de dépendance.

 

Quelqu'un qui prend des AD n'ira pas agresser une petite vieille pour avoir sa dose!

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