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Evénement du 5 octobre, processus électoral et question amazigh Les révélations choc de Chadli Bendjedid


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Chadli est unique, c'est un phénomène rare a mettre dans un musé d'urgence, pour le peu d'informations qui sont connues par l'opinion publique sur les événements du 5 Octobre, c'est la première fois que la question de l'amazighité est mêlé a ces événements.

 

Mais c'est surement pas innocent de la part du vieux !

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Chadli est unique, c'est un phénomène rare a mettre dans un musé d'urgence, pour le peu d'informations qui sont connues par l'opinion publique sur les événements du 5 Octobre, c'est la première fois que la question de l'amazighité est mêlé a ces événements.

 

Mais c'est surement pas innocent de la part du vieux !

 

Il n'a pas mêlé l'amazighité au 5 Octobre , ce sont les médias Algériens (Francophones) qui ont fait croire à ça , pour on ne sait quel objectif !

 

Il a répondu à plusieurs questions dont une sur les évènements de 1980 en Kabylie .

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Il n'a pas mêlé l'amazighité au 5 Octobre , ce sont les médias Algériens (Francophones) qui ont fait croire à ça , pour on ne sait quel objectif !

 

Il a répondu à plusieurs questions dont une sur les évènements de 1980 en Kabylie .

Chadli qui ne sait meme pas differencier entre "elladhi"et ''ellatti" dans sa langue arabe et a qui. garde champetre est plus que suffisant au vu des capacites intellectuelles tres. tres limite , se voit parachute president de la republique bananiere d'algerie, c'est la blague du siecle, cet energumene se permet donc de nier la dimension berbere, et la toz croit que c'est mama franca qui paye le jourmaliste, pouah, je suis en train de vomir
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Chadli qui ne sait meme pas differencier entre "elladhi"et ''ellatti" dans sa langue arabe et a qui. garde champetre est plus que suffisant au vu des capacites intellectuelles tres. tres limite , se voit parachute president de la republique bananiere d'algerie, c'est la blague du siecle, cet energumene se permet donc de nier la dimension berbere, et la toz croit que c'est mama franca qui paye le jourmaliste, pouah, je suis en train de vomir

 

Mama França n'a pas à payer ce journaliste qui est ..........Français bigmdr

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Guest jazairia
deux chercheurs japonais, Kisaichi Masatoshi et Watanabe Shoko. Ces deux derniers travaillent sur l’Algérie depuis plusieurs années et ont déjà publié le premier livre en japonais sur l’Algérie.

 

 

Des Japonais qui s'intéressent et consacrent des années de leurs vie pour comprendre ce qui s'est passé en Algérie ,ça prouve que "nassaouaou bezeèfe" ,ils cherchent a comprendre alors que nous on ne comprend plus rien ;ni ce qui s'est passé ni ce qui se passe .

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Des Japonais qui s'intéressent et consacrent des années de leurs vie pour comprendre ce qui s'est passé en Algérie ,ça prouve que "nassaouaou bezeèfe" ,ils cherchent a comprendre alors que nous on ne comprend plus rien ;ni ce qui s'est passé ni ce qui se passe .

 

:crazy: salut toi !!!

 

Ce sont des chercheurs et en tant que tels ils doivent , sûrement, s’intéresser à la décennie noire en cherchant d'abord les causes !

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Guest jazairia
Et l'Arabie Saoudite et l'Iran n'ont pas à te payer, toi qui es arabo-iranien.

 

toz latoze :rocket: :mdr:

 

Arabo-iranien? ça existe ça??? tu les associe ensemble? ça se voit que maraque fahame walou et tu viens faire le malin yakhi hala.

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Arabo-iranien? ça existe ça??? tu les associe ensemble? ça se voit que maraque fahame walou et tu viens faire le malin yakhi hala.
Demande a ton Belkhadma. yefhmek, en tous cas les iraniens ne sonmt pas arabes et ils sont ashiites, quelle poisse.leur ennemi n'est pas israel mais les arabes sunnites avec comme chef de file vos roitelets du golf PERSIQUE. non ARABE
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Demande a ton Belkhadma. yefhmek, en tous cas les iraniens ne sonmt pas arabes et ils sont ashiites, quelle poisse.leur ennemi n'est pas israel mais les arabes sunnites avec comme chef de file vos roitelets du golf PERSIQUE. non ARABE

 

ashiites ??

 

C'est quoi ça? :mdr: :mdr:

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Oui,ça existe!!!

 

Arabo-iranien? ça existe ça??? tu les associe ensemble? ça se voit que maraque fahame walou et tu viens faire le malin yakhi hala.
Ettabiiya.Ces des irako-iraniens(tiens,tiens!!!:D)Qui ont eté chassés par saddamm avant la guerre irano-irakienne.Maitenenant,ils sont aux commandes de l'irak.Les usa leur rendent bien leur role de 5iemme colonne.Et en toumanns!!!:mdr:
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«L’amazighité n’est pas une composante de l’identité algérienne»

 

par Madjid Makedhi : Journaliste à El Watan

 

"..En particulier sur la question identitaire qui a toujours suscité un débat houleux depuis l’indépendance et bien avant. Fidèle à ses positions anti-amazighs, Chadli Bendjedid s’improvise anthropologue et linguiste à la fois pour nier, sans aucun argument, l’identité amazigh de l’Algérie et même de l’Afrique du Nord. Il piétine même la Constitution qui confirme l’amazighité comme une des composantes de l’identité nationale. «La langue amazigh est une sorte de tradition et de langue de quelques tribus qui appartiennent à des civilisations et cultures ayant existé avant l’islam.

, interrogent les deux chercheurs japonais. «Oui !», rétorque Chadli, comme pour dire qu’il ne reconnaît pas la Constitution algérienne qui stipule que «la langue amazigh est une langue nationale» et que «l’identité algérienne est constituée de trois composantes : l’amazighité, l’arabité et l’islamité».

.../...

 

Concernant son attachement viscéral à l'arabité, il ne fait que reprendre le fameux discours de Ben Bella alors à la tête du Groupe de Tlemcen été 1962 qui répétait tel un biquet à l'attention du groupe de Tizi Ouzzou:

"Ahna 3rab !

Ahna 3rab !

Ahna 3rab " :mdr::mdr::mdr:

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Concernant son attachement viscéral à l'arabité, il ne fait que reprendre le fameux discours de Ben Bella alors à la tête du Groupe de Tlemcen été 1962 qui répétait tel un biquet à l'attention du groupe de Tizi Ouzzou:

"Ahna 3rab !

Ahna 3rab !

Ahna 3rab " :mdr::mdr::mdr:

 

..Vous savez de qui Chadli a tenu la fameuse formulation :" nahnou 'amazigh 3arrabana el 'Islam ",....de Mohammed El Ghazali, l'Egyptien d'el Azhar,..à qui il a "offert" l'Université Islamique de Constantine, pour former les futurs cadres du FIS ( une fois au POuvoir ) !!!!

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..Belhouchet, qui est Directeur d'El Watan est payé.............par ta "Mama França" aussi ???:51:

 

Le journaliste qui a écrit cet article est un binational (Franco-Algérien) .

C'est ce que Mr Ladoz avait dit !

Maintenant si tu ne comprends pas , ce n'est nullement de sa (Mr Ladoz) responsabilité !

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Le journaliste qui a écrit cet article est un binational (Franco-Algérien) .

C'est ce que Mr Ladoz avait dit !

!

 

..ce n'est pas ce que tu avais dit,...et puis tu dois être, secretaire personnel de Ould Kablia pour savoir qui a la double nationalité et qui ne l'a pas,...:eek:

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Arabo-iranien? ça existe ça??? tu les associe ensemble? ça se voit que maraque fahame walou et tu viens faire le malin yakhi hala.

 

hehe, la solidarité entre les arabo-bathistes se manifeste. N-Ti li ma fhamti walou. Puisque des journaliste d'El Watan (le journal le plus objectif et le plus integre de la presse nationale) qui condamne le pet de ce H'mar de Chadli se font traiter de Ouled frança, pourquoi j'hésiterai à nommer un chat par son nom. Je savais pas qu'il y avait beaucoup de Ouled Belkhadem l'iranien ici. c'est vrai c'est pas mon problème: néanmoins assumez-vous: Kherjou taytay.

 

RE TOZ

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N’eut été leur extrême gravité, les propos de Chadli Bendjedid tenus à une publication japonaise et rapportés hier par le quotidien Liberté n’auraient pas mérité qu’on s’y attarde. Mais ils émanent d’un ex-président de la République qui, au lieu de contribuer à écrire l’histoire contemporaine du pays, s’est fourvoyé dans des contrevérités, développant, par endroits, un discours de haine. Ces propos ouvrent des plaies non cicatrisées et jettent de l’huile sur le feu sur des questions d’une extrême sensibilité. Chadli Bendjedid fait preuve d’une grave ignorance de l’histoire de l’Afrique du Nord en ne sachant pas que les Berbères en sont les premiers habitants, se dotant d’une langue vivace et d’une grande culture.

 

Mais, depuis l’Antiquité, ils ont été confrontés à d’incessantes politiques de déculturation, dont celles qui se prévalent à partir de l’indépendance d’un certain nationalisme arabe. Chadli Bendjedid y a contribué lorsque, nouveau président de la République, il ordonna la répression du Printemps berbère (avril 1980). Il récidive aujourd’hui en réduisant les Amazighs avec mépris à de vagues tribus, un combat d’arrière-garde car même le régime actuel a fini par se résoudre à mettre fin à l’ostracisme frappant la langue amazigh en la constitutionnalisant comme langue nationale, bien qu’il reste encore du chemin à faire, principalement son officialisation par la Loi fondamentale.

 

Sur la question de l’islamisme, l’ex-chef de l’Etat regrette l’interruption du processus électoral au motif qu’il fallait laisser une chance au FIS «au nom de la démocratie». Mais il omet de rappeler la vérité fondamentale que les intégristes religieux avaient déclarée, en son temps, que la démocratie était kofr (impie). Leur slogan était clair et net : ni constitution ni charte, seule devait prévaloir la parole de Dieu… Cadeaux inespérés de Chadli Bendjedid, la reconnaissance officielle du FIS et le scrutin du 26 décembre 1991 étaient les deux tremplins utilisés par les fondamentalistes pour la conquête du pouvoir et la mise en œuvre de leur idéologie mortifère.

 

La décennie 1990 a vu une centaine de milliers d’Algériens perdre la vie mais le pays a échappé au sort programmé par eux : devenir le plus grand cimetière du monde à ciel ouvert. S’agissant du 5 octobre 1988, Chadli Bendjedid se dédouane totalement de la tragédie, l’imputant à des responsables du FLN «hostiles à la démocratie». Or, il est établi aujourd’hui, avec le recul de 22 années, que le soulèvement des jeunes a été une réponse à son règne de dix années marqué par une corruption généralisée, la montée de la paupérisation et du désespoir au sein de la population.

 

L’appareil du FLN avait une seule fonction : distiller la pensée unique tandis que la sécurité militaire devait tenir le pays d’une main de fer. La démocratie, elle, ne fut la revendication que des seuls jeunes. Des centaines d’entre eux le payèrent d’ailleurs de leur vie par des rafales tirées d’armes de soldats de leur propre pays. Le mot démocratie, aujourd’hui, dans la bouche de Chadli Bendjedid a une étrange consonance. Il aurait dû se taire avec le désastreux bilan qu’il traîne.

 

Ali Bahmane El WATAN ALGERIE

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