aynazppr75 29 Posted October 6, 2010 Partager Posted October 6, 2010 "La Cité du mâle", un documentaire de 45 minutes qui évoque les rapports entre les filles et les garçons de la cité Balzac de Vitry-sur-Seine, dans le Val-de-Marne, avait été déprogrammée, une première fois, le 31 août, par la chaîne Arte. Motif de cette déprogrammation, selon Arte: certains protagonistes du documentaire se sentaient en danger et étaient victimes de menaces. Daniel Leconte, le producteur de Doc en Stock, s'est exprimé mercredi dernier sur Canal+: (Images Canal+, source LePost) Des faits démentis par la journaliste qui a travaillé pour ce reportage, Nabila Laïb, d'après laquelle "il y a eu zéro menace mais un désaccord éditorial". Selon elle, le reportage est "bidonné et instrumentalisé". Nabila Laïb s'est elle aussi expliquée sur Canal+ mercredi dernier: (Images Canal+, source LePost) Finalement, le documentaire a été diffusé mercredi 29 septembre. Et, lors de cette diffusion, certains personnages ont été floutés et des commentaires bipés. C'était sans compter sur un énième rebondissement...Vendredi dernier, deux jours après la diffusion du reportage, vers 18h30, une dizaine de jeunes se sont présentés devant l’entrée de la société de production Doc en Stock, dans le 3ème arrondissement de Paris, qui a produit le documentaire, selon Le Parisien. Les jeunes gens voulaient rencontrer la réalisatrice et le responsable de la société. Selon une source proche de l’enquête, et Le Parisien, comme les jeunes gens n’ont pas pu entrer en contact avec ces personnes, plusieurs d’entre eux auraient alors lancé: "On va vous brûler. On reviendra et on vous brûlera tous !". Après ces menaces, quatre jeunes âgés de 15, 16, 17 et 22 ans originaires de la cité Barbusse à Vitry-sur-Seine ont été interpellés, précise encore Le Parisien. Les jeunes garçons arrêtés auraient revendiqué "leur droit à l’image" avant de réclamer "de l’argent" à la société de production, indique aussi une source proche de l’enquête. Qui ajoute, au Parisien toujours: "Il n’y a pas eu de violence physique ni de dégradation. Plusieurs jeunes se sont plaints de l’image donnée d’eux à travers ce documentaire. Ils voulaient obtenir une compensation. Le ton a fini par monter." Dimanche, les quatre jeunes ont été mis en examen pour les menaces de morts proférées contre les employés de la société de production. Ils ont été remis en liberté sous contrôle judiciaire, avec interdiction de se rendre à Paris et d’entrer en contact avec les victimes. Trois des quatre jeunes en question apparaissent dans le documentaire. Note de la rédaction Contacté par Le Post, le parquet de Paris dit que les quatre personnes -dont deux mineurs- mises en examen dimanche l'ont été pour "menaces de mort et menaces sous condition". Il nous précise aussi que "deux d'entre eux, les deux majeurs, ont été placés sous contrôle judiciaire, les deux autres sous liberté surveillée préjudicielle." Egalement contacté ce mardi par Le Post, le producteur Daniel Leconte ne souhaite pas s'exprimer sur ce sujet. Mis à jour par la rédaction du Post Citer Link to post Share on other sites
aynazppr75 29 Posted October 6, 2010 Author Partager Posted October 6, 2010 « La Cité du mâle » : Arte aussi racole sur le dos des banlieues En ce triste soir du 29 septembre, la chaîne franco-allemande Arte vient de rejoindre la farandole infernale des médias qui ne connaissent pas les banlieues, ne s'y rendent qu'exceptionnellement, n'en parlent que de manière outrancière, et ignorent tout travail, tout dialogue avec des journalistes et acteurs compétents sur ces questions. Arte, dont la programmation bénéficiait d'une relativement bonne image dans les quartiers populaires, malgré quelques sujets douteux précédemment produits et malgré la quasi-absence de sujets réalisés sur ce segment de la population représentant au bas mot huit millions de citoyens. D'une certaine manière, cette absence lui conférait une forme de virginité, si l'on ose dire en l'espèce, virginité qui a justement permis à ses réalisateurs de tourner des reportages dans des cités qui auraient bien plus mal accueilli d'autres chaînes. Mais le bénéfice du doute dont elle bénéficiait jusqu'alors s'est effondré d'un seul coup avec fracas : Arte vient de prouver avec un reportage manipulateur sur une réalité complexe (les rapports hommes-femmes dans les quartiers populaires, ou plutôt une vision de ces rapports dans une cité, in « La Cité du mâle »), qu'elle pouvait faire autant de dégâts que ses grandes sœurs coutumières du fait. Pas de contre-pouvoir contre le quatrième, celui des médias Croyant offrir le droit de savoir, elle ne se donne que le droit de mentir. Mentir par omission ou par caricature, mu par l'instinct du procureur comme par l'intérêt du producteur d'images choc et de prêt-à-penser chic pour faire frémir d'effroi dans les beaux quartiers. Avec la superbe du donneur de leçon chevauchant son cheval blanc, elle regarde du point de vue de Sirius le peuple des quartiers populaires se débattre dans ses mille et unes difficultés, parmi lesquelles une ghettoïsation médiatique qui n'a rien à envier aux autres ghettoïsation : économique, sociale, culturelle, politique. Droit que le quatrième pouvoir journalistique s'arroge aux dépens de la société, sans contre-pouvoir, sans dialogue, choisissant ses ennemis au gré de ses peurs et de ses fantasmes. Ni objectivité, ni honnêteté Le producteur en question, Daniel Leconte, n'en est pas à sa première caricature. Il a encore décidé de ne donner à voir de la réalité que la face qu'il croit immergée de l'iceberg des banlieues. Alors qu'elle n'en est que la face émergée. Erreur de point de vue, « d'angle » comme on dit dans le métier ? Faute professionnelle si commune chez le journaliste qui cherche à dénoncer une partie de la vie des caves plutôt que de tenter de comprendre le tout de la réalité complexe d'une cité ? Manipulation de l'idéologue qui se veut journaliste d'investigation et ne cherche la vérité que là où il a décidé de pointer le projecteur de sa caméra ? Quoi qu'il en soit, une fois de plus, un média a décidé de nuire plutôt que de faire son métier, c'est-à-dire « relier », comme sa vocation et l'étymologie du mot « média » devrait l'y inviter. Le rôle social de Daniel Leconte consiste-t-il à dénoncer un des versants de cette réalité, ou à donner une intelligibilité, si ce n'est une intelligence, de la société, de son fonctionnement, ou de ses disfonctionnements ? Hubert Beuve-Méry, fondateur du Monde, disait : « L'objectivité n'existe pas, seule l'honnêteté compte. » En l'espèce, de la part de Daniel Leconte comme d'Arte (chaîne qui en général contrôle étroitement ce qu'elle diffuse), il ne semble y avoir ni objectivité, ni honnêteté. Ni acteur local, ni contextualisation On concèdera que la réalité du sexisme et de la violence, verbale ou physique, existe bien dans la société française, et notamment dans ses quartiers populaires. Mais on devra aussi voir que cette réalité ne domine pas l'ensemble des gens qui y vivent. On s'interrogera donc : sur le choix des personnes interviewées (essentiellement quelques jeunes hommes), sur le choix de ne rencontrer presque aucun adulte, sur le choix de ne donner la parole à aucun acteur local capable de parler de l'ensemble de la réalité et non de quelques cas pathétiques, sur le choix de ne pas rencontrer des chercheurs ou des acteurs nationaux compétents sur ces questions et capables de mettre en perspective et d'expliquer, sur le choix de ne pas évoquer le contexte français global et l'image de la femme dans notre société… Citer Link to post Share on other sites
aynazppr75 29 Posted October 6, 2010 Author Partager Posted October 6, 2010 On se s'interrogera aussi sur les partis pris de l'autre reportage diffusé lors de la même soirée sur un groupe de rappeurs (noirs, de préférence), avec les mêmes termes, objectifs, choix éditoriaux et angles de vue. Les médias forgent des ghettos, imaginaires excluants On se demandera enfin pourquoi Daniel Leconte semble découvrir, effaré, une situation sur laquelle travaillent depuis plus de dix ans un grand nombre d'acteurs de ces quartiers, qui, eux, en connaissent la complexité. Nous avons une réponse : bon nombre de médias restent hermétiques aux questions et à la parole que ces acteurs leur demandent avec insistance, en vain, de traiter. Et qui permettraient de regarder la situation des banlieues avec un œil plus juste (mais correspondant certes moins aux clichés de ceux qui y filment mais n'y vivent pas ou n'y travaillent pas habituellement). Car les médias, comme l'ensemble des élites de la société française, partis politiques, syndicats, entreprises, monde de la culture, ont une part de responsabilité dans le plafond de verre qui ghettoïse les banlieues et les empêche de trouver des issues à cette tragédie. Ils forgent des ghettos médiatiques qui, non contents d'exclure certaines populations de leurs rédactions, fabriquent des imaginaires excluants. Ils sont aujourd'hui les premiers à façonner l'imaginaire dominant, imaginaire dont ils sont aussi le témoignage. Les médias ne font pas que renvoyer une certaine image de la société, ils en sont aussi le reflet, y compris parfois dans ses pires travers. Le service public, le plus déconnecté et le plus lent à évoluer Oui, les médias sont une partie du problème des banlieues. Mais ils sont aussi une partie de la solution ; c'est pourquoi ils doivent s'interroger sur la neutralité, sur l'objectivité, et sur le rôle de chacun dans cette ghettoïsation d'une partie de la société française. C'est pourquoi, enfin, nous, acteurs médiatiques et sociaux des quartiers populaires, proposons instamment à tous les journalistes de bonne foi de poser la caméra, la plume, le micro, autant d'armes de désinformation massive qui peuvent contribuer à détruire la société française, et leur demandons d'accepter de discuter des pratiques journalistiques, du recrutement, des sources d'information, des méthodes de travail, des angles de vue. Nous espérons a fortiori que ce message sera entendu par les acteurs médiatiques du service public, qui devraient représenter et parler au nom de l'ensemble des citoyens du pays, mais qui est sans doute aujourd'hui le plus déconnecté et le plus lent à évoluer sur ces thématiques liées à la diversité de la société française et aux quartiers populaires. Halte au feu ! Halte aux faiseurs de haine. Place au dialogue. Cette tribune a été rédigée à l'initiative de l'association Presse & Cité avec Charly Carré, coordinatrice du Marseille Bondy Blog ; Marc Cheb Sun, directeur de la rédaction de Respect Mag ; Rokhaya Diallo, présidente des Indivisibles ; Moïse Gomis, directeur de Radio HDR ; Bruno Laforestrie, directeur de Radio Générations 88.2 FM ; Farid Mebarki, président de Presse & Cité ; Erwan Ruty, directeur de Ressources Urbaines, l'agence de presse des quartiers ; Raphaël Yem, rédacteur en chef de Fumigène magazine. Citer Link to post Share on other sites
Jasmine77 10 Posted October 6, 2010 Partager Posted October 6, 2010 Pourquoi dire que le reportage est "bidonné" ? Les intervenants étaient acteurs ? Citer Link to post Share on other sites
aynazppr75 29 Posted October 6, 2010 Author Partager Posted October 6, 2010 Pourquoi dire que le reportage est "bidonné" ? Les intervenants étaient acteurs ? Bah lis l'article Citer Link to post Share on other sites
zazouu 10 Posted October 6, 2010 Partager Posted October 6, 2010 En même temps, sans avoir vu ce reportage, il est impossible de s'en faire une opinion. Citer Link to post Share on other sites
Jasmine77 10 Posted October 6, 2010 Partager Posted October 6, 2010 Bah lis l'article Je l'ai lu. Je trouve juste que le titre est inapproprié, c'est tout. Tout simplement, parce qu'on ne peut pas demander à l'auteur d'un reportage d'être objectif. D'ailleurs, pourquoi quand il s'agit de traiter de la banlieue, on demande à ces réalisateurs d'adopter une démarche scientifique ? Sinon, je pense que tu connais l'émission Strip-teese, sur Fr3 qui jouit d'une bonne image de marque, parce que c'est prétendument de l'image "brute", sans commentaires. C'est du pipeau, à partir du moment où un montage est effectué, le film cesse d'être objectif. Pour Strip-teese, ils se foutent de la g.gueule des Belges et des Nordistes, mais ça fait bien facilement que ça dure lol Citer Link to post Share on other sites
aynazppr75 29 Posted October 6, 2010 Author Partager Posted October 6, 2010 Je l'ai lu. Je trouve juste que le titre est inapproprié, c'est tout. Tout simplement, parce qu'on ne peut pas demander à l'auteur d'un reportage d'être objectif. D'ailleurs, pourquoi quand il s'agit de traiter de la banlieue, on demande à ces réalisateurs d'adopter une démarche scientifique ? Sinon, je pense que tu connais l'émission Strip-teese, sur Fr3 qui jouit d'une bonne image de marque, parce que c'est prétendument de l'image "brute", sans commentaires. C'est du pipeau, à partir du moment où un montage est effectué, le film cesse d'être objectif. Pour Strip-teese, ils se foutent de la g.gueule des Belges et des Nordistes, mais ça fait bien facilement que ça dure lol Arff ce n'est pas comparable, je suis un grand fan de Strip tease et c'est beaucoup plus une émission qui filme des gens dans l'intimité sans chichis et sans jugement de valeur qu'une étude de société. Sur ce reportage c'est bidonné dans le sens ou la production a choisi 3 ou 4 marioles en pleine puberté bien débiles pour en faire une généralité sur la Cité. Ce n'est pas du tout crédible et leur petit jeu d'acteur macho devant la caméra m'a fait mourir de rire tellement c'était surjoué. Citer Link to post Share on other sites
Jasmine77 10 Posted October 6, 2010 Partager Posted October 6, 2010 Arff ce n'est pas comparable, je suis un grand fan de Strip tease et c'est beaucoup plus une émission qui filme des gens dans l'intimité sans chichis et sans jugement de valeur qu'une étude de société. Sur ce reportage c'est bidonné dans le sens ou la production a choisi 3 ou 4 marioles en pleine puberté bien débiles pour en faire une généralité sur la Cité. Ce n'est pas du tout crédible et leur petit jeu d'acteur macho devant la caméra m'a fait mourir de rire tellement c'était surjoué. Lol Strip-teese filme des cas-sociaux et tu apprécies, mais quand c'est dans les cités, c'est différent... faut faire un travail de mise en perspective, pour pas que les gens fassent d'amalgames, c'est ça ? Mais dans l'absolu, on sait tous que la pédophilie, l'inceste et l'alcoolisme sont bien ancrés dans le Nord... Tout comme le machisme dans les cités... alors.. Citer Link to post Share on other sites
aynazppr75 29 Posted October 6, 2010 Author Partager Posted October 6, 2010 Lol Strip-teese filme des cas-sociaux et tu apprécies, mais quand c'est dans les cités, c'est différent... faut faire un travail de mise en perspective, pour pas que les gens fassent d'amalgames, c'est ça ? Mais dans l'absolu, on sait tous que la pédophilie, l'inceste et l'alcoolisme sont bien ancrés dans le Nord... Tout comme le machisme dans les cités... alors.. T'as pas du en voir souvent parce que y a loin de n'avoir que des cas socs dans strip tease surtout les anciens tu devrais regarder plus souvent. Lol oui oui et les Belges sont tous pédophiles parce que y eu Dutroux ... et ... tu caricatures toujours tout. Si tu veux te faire une idée regarde les Nils Tavernier ou les Depardon sur les quartiers là c'est pas le même niveau crois moi Citer Link to post Share on other sites
Jasmine77 10 Posted October 6, 2010 Partager Posted October 6, 2010 T'as pas du en voir souvent parce que y a loin de n'avoir que des cas socs dans strip tease surtout les anciens tu devrais regarder plus souvent. Lol oui oui et les Belges sont tous pédophiles parce que y eu Dutroux ... et ... tu caricatures toujours tout. Si tu veux te faire une idée regarde les Nils Tavernier ou les Depardon sur les quartiers là c'est pas le même niveau crois moi Leur point de vue n'est pas objectif non plus :eek: Quand tu tournes un film, que tu veux qu'il soit diffusé, et si possible vivre de ton art (parce que concernant Depardon et Tavernier , il y a une démarche artistique je trouve), alors il faut rendre le film intéressant à regarder (faut du fric pour vivre !). Et puis surtout, il faut savoir faire des coupes (sur un film de 20 heures, c'est même obligatoire !), et forcément, selon le point de vue adopté, le film sera orienté. Et au final, on peut avoir un chef-d'œuvre, comme on peut avoir quelque chose de complètement ennuyeux, ou de merdique... Citer Link to post Share on other sites
aynazppr75 29 Posted October 6, 2010 Author Partager Posted October 6, 2010 Leur point de vue n'est pas objectif non plus :eek: Quand tu tournes un film, que tu veux qu'il soit diffusé, et si possible vivre de ton art (parce que concernant Depardon et Tavernier , il y a une démarche artistique je trouve), alors il faut rendre le film intéressant à regarder (faut du fric pour vivre !). Et puis surtout, il faut savoir faire des coupes (sur un film de 20 heures, c'est même obligatoire !), et forcément, selon le point de vue adopté, le film sera orienté. Et au final, on peut avoir un chef-d'œuvre, comme on peut avoir quelque chose de complètement ennuyeux, ou de merdique... arfff je te parle pas sur la forme mais sur le fond. Dans les Tavernier et Depardon la démarche n'a ren à voir, ils ne sont pas dans le sensationnel ni le graveleux et il y a une vraie démarche intellectuelle d'essayer de comprendre une réalité sociale. Ils ne filment pas 1 h et se cassent, ils passent du temps avec les habitants. Je te conseille vivement le Tavernier à Montreuil d'il y a quelques années qui est très touchant d'ailleurs. Citer Link to post Share on other sites
Guest alm Posted October 6, 2010 Partager Posted October 6, 2010 tu me l'as dédicacé ? :o J'avais pas vu... c'est gentil ! Ou pas... Sinon j'ai continué à me renseigner sur ce docu, il y avait un très bon article sur rue89 qui expliquait les quelques failles du documentaire. Mais ça ne change pas du tout mon avis sur le sujet. ces comportements et mentalité existe... Ce documentaire est orienté sur ceux-là. Citer Link to post Share on other sites
aynazppr75 29 Posted October 6, 2010 Author Partager Posted October 6, 2010 tu me l'as dédicacé ? :o J'avais pas vu... c'est gentil ! Ou pas... Sinon j'ai continué à me renseigner sur ce docu, il y avait un très bon article sur rue89 qui expliquait les quelques failles du documentaire. Mais ça ne change pas du tout mon avis sur le sujet. ces comportements et mentalité existe... Ce documentaire est orienté sur ceux-là. mouaarf je l'ai posté l'article:confused: Citer Link to post Share on other sites
Guest alm Posted October 6, 2010 Partager Posted October 6, 2010 mouaarf je l'ai posté l'article:confused: Ah bon ? autant pour moi (réponse civilisée) Mais la prochaine fois mets tes sources en gros... j'ai cru que l'article était de ton cru alors je me suis économisée la peine de le lire. (réponse tartinée de mauvaise foi) :D :angel: Citer Link to post Share on other sites
aynazppr75 29 Posted October 6, 2010 Author Partager Posted October 6, 2010 Ah bon ? autant pour moi (réponse civilisée) Mais la prochaine fois mets tes sources en gros... j'ai cru que l'article était de ton cru alors je me suis économisée la peine de le lire. (réponse tartinée de mauvaise foi) :D :angel: mdrrrr je comprends ton erreur c'est vrai que l'article est écrit par une belle plume d'ou ta confusion sans doute ... :D Citer Link to post Share on other sites
Jasmine77 10 Posted October 6, 2010 Partager Posted October 6, 2010 Ah bon ? autant pour moi (réponse civilisée) Mais la prochaine fois mets tes sources en gros... j'ai cru que l'article était de ton cru alors je me suis économisée la peine de le lire. (réponse tartinée de mauvaise foi) :D :angel: Au temps pour moi mouaarf :mdr: Citer Link to post Share on other sites
Guest alm Posted October 6, 2010 Partager Posted October 6, 2010 mdrrrr je comprends ton erreur c'est vrai que l'article est écrit par une belle plume d'ou ta confusion sans doute ... :D ahhh je me suis excusée pour rien...:gun_guns: oui oui juste avant la mauvaise foi... :angel: Ce n'était pas le même article ; le mien c'est : "la vérité selon Daniel Leconte"... alors que le tien c'est "arte racole en banlieue" Bref qu'importe... en définitive je ne change pas d'avis :cool: Citer Link to post Share on other sites
carica 10 Posted October 6, 2010 Partager Posted October 6, 2010 Vitry Iivry / seine, les cités chaud:( Citer Link to post Share on other sites
aynazppr75 29 Posted October 6, 2010 Author Partager Posted October 6, 2010 ahhh je me suis excusée pour rien...:gun_guns: oui oui juste avant la mauvaise foi... :angel: Ce n'était pas le même article ; le mien c'est : "la vérité selon Daniel Leconte"... alors que le tien c'est "arte racole en banlieue" Bref qu'importe... en définitive je ne change pas d'avis :cool: sur les sauvageons machos batteurs de femmes des banlieues c'est ça :D Citer Link to post Share on other sites
moa1974 10 Posted October 6, 2010 Partager Posted October 6, 2010 Au temps pour moi mouaarf :mdr: Y a eu tellement d'erreurs que maintenant les deux sont tolérés :D Citer Link to post Share on other sites
Guest alm Posted October 6, 2010 Partager Posted October 6, 2010 sur les sauvageons machos batteurs de femmes des banlieues c'est ça :D exaaaa... Pourquoi sont-ils si méchants ? :mad: ;) Citer Link to post Share on other sites
Guest alm Posted October 6, 2010 Partager Posted October 6, 2010 Y a eu tellement d'erreurs que maintenant les deux sont tolérés :D attendez, j'ai fait une erreur je comprend pas... Citer Link to post Share on other sites
aynazppr75 29 Posted October 6, 2010 Author Partager Posted October 6, 2010 exaaaa... Pourquoi sont-ils si méchants ? :mad: ;) Parce queeeeee Y a tout un ensemble de facteurs qui font que : l'image des femmes dans les clips de rap, l'éducation, le milieu social, l'environnement .... et .... Citer Link to post Share on other sites
moa1974 10 Posted October 6, 2010 Partager Posted October 6, 2010 attendez, j'ai fait une erreur je comprend pas... En fait, on écrit au temps pour moi. Mais je crois qu'aujourd'hui, autant pour moi est aussi toléré. ;) Citer Link to post Share on other sites
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