dentdesagesse 30 Posted October 11, 2010 Partager Posted October 11, 2010 Le barbier Un homme entra dans un salon de coiffure pour se faire couper les cheveux et tailler sa barbe comme il le faisait régulièrement. Il entama la conversation avec le barbier. Ils discutèrent de sujets nombreux et variés. Soudain, ils abordèrent le sujet d'ALLAH. Le barbier dit : " Écoute, je ne crois pas qu'ALLAH existe comme tu le dis. " - " Pourquoi dis-tu cela? " répondit le client.- " Bien, c'est facile, tu n'as qu'à sortir dans la rue pour comprendre qu'Allah n'existe pas. Dis-moi, si ALLAH existait, y aurait-il tant de gens malades? Y aurait-il tant d'enfants abandonnés? Si ALLAH existait, il n'y aurait pas de souffrance ni de peine. Je ne peux penser à un ALLAH qui permet toutes ces choses. " Le client s'arrêta un moment pour penser mais il ne voulut pas répondre pour éviter tout sortit du salon. Tout de suite après sa sortie, il vit un homme dans la rue avec de longs cheveux et une barbe (il semblait bien qu'il avait été longtemps sans s'être occupé de lui-même car il avait l'air vraiment négligé). Le client retourna donc dans le salon et dit au barbier : " Tu sais quoi? Les barbiers n'existent pas." Comment ça, les barbiers n'existent pas?" demanda le barbier. " Ne suis-je pas ici et ne suis-je pas un barbier moi-même? " - " Non! " s'écria le client. Ils n'existent pas parce que s'ils s'existaient, il n'y aurait pas de gens avec de longs cheveux et la barbe longue comme cet homme qui marche dans la rue. "-" Ah, les barbiers existent. Ce qui arrive, c'est que les gens ne viennent pas à moi. "- " Exactement! " affirma le client. " Tu l'as dit : ALLAH existe. Ce qui arrive c'est que les gens ne vont pas vers LUI et ne LE cherche pas, c'est pourquoi il y a tant de souffrance dans le monde. " comme il dit un église chretien "“Pour trouver Dieu inutile de le chercher, il suffit de lui faire la place” Citer Link to post Share on other sites
moonlight2010 10 Posted October 11, 2010 Partager Posted October 11, 2010 Trop beau et vrai............merci Citer Link to post Share on other sites
Guest Kadou Posted October 11, 2010 Partager Posted October 11, 2010 il était une fois un riche commerçant qui avait 4 femmes. La 4ème femme, C'est celle qu'il aimait le plus. Il l'ornait avec de luxueuses robes et la traitait avec délicatesse. Il prenait grand soin d'elle et ne lui offrait que le meilleur. La 3ème femme, Elle aussi il l'aimait beaucoup Il était très fier d'elle et voulait toujours la mettre en valeur auprès de ses amis. Cependant, le commerçant craignait toujours le fait qu'elle puisse partir avec un autre homme. Il aimait aussi sa 2e femme. C'était une personne très prévenante, toujours patiente et elle était la confidente du commerçant. Chaque fois qu'il rencontrait des problèmes, il se tournait vers elle et elle l'aidait toujours à s'en sortir. la 1ère femme était une partenaire très loyale, elle avait aussi bien contribuée à maintenir ses richesses qu'à prendre grand soin de sa maison. Pourtant, le commerçant ne l'aimait pas alors qu'elle l'aimait profondément, il lui prêtait à peine attention. Un jour, le commerçant tomba malade. Il avait le pressentiment qu'il allait mourir bientôt. Il pensa à sa luxueuse vie et se disait, "maintenant j'ai 4 femmes, mais quand je mourrais, je serai seul, quel solitaire je serai !" Donc, il demanda à sa 4e femme : "Je t'aime le plus, je t'ai doté des plus fins habits et pris grand soin de toi. Maintenant que je meurs, voudras-tu me suivre pour me tenir compagnie ?" - "Nulle part!" Répondit la 4e femme.Et elle s'en alla sans un autre mot. La réponse coupa le coeur du commerçant comme un couteau tranchant. Le triste commerçant demanda alors à sa 3e femme : "Je t'ai beaucoup aimé toute ma vie. Maintenant que je meurs, voudras-tu me suivre et me tenir compagnie?" - "Non ! " Répondit la 3e femme. "La vie est si belle ici! Je me remarierais quand tu mourras !" Le coeur du commerçant se brisa. Alors il demanda à sa 2e femme : "je me suis toujours tourné vers toi et tu m'as toujours aidé. Maintenant j'ai à nouveau besoin de ton aide. Quand je mourrais, est ce que tu me suivras et tu me tiendras compagnie?" "Je suis désolée, je ne peux pas t'aider!" Répondit la 2e femme. "Dans le meilleur des cas, je ne peux que t'accompagner vers la tombe." La réponse tomba comme du tonnerre et le commerçant fût dévasté. Alors appela une voix : " j'irai avec toi, Je te suivrai là où tu iras" Le commerçant leva les yeux, ce fut sa 1e femme. Elle était si maigre, comme si elle souffrait de malnutrition. Très touché, le commerçant disait : "j'aurais du prendre beaucoup mieux soin de toi pendant que je pouvais!" Réellement nous avons tous 4 femmes dans notre vie ! La 4e femme, c'est « notre corps », nous nous donnons tant de mal pour prendre soin de lui, il nous laissera tomber quand nous mourrons. Notre 3e femme c'est nos biens et nos richesses. Quand nous mourrons, Ils iront à d'autres. La 2e femme, c'est notre famille et nos amis. Très proche de nous comme ils l'avaient été durant notre vie, le mieux qu'ils puissent pour nous c'est de nous accompagner à la tombe. La 1e femme, quelque chose que je ne peux pas voir, c'est mon âme en fait. Souvent négligée dans notre quête de biens matériels et de plaisirs sensuels. C'est la seule chose qui nous suivra réellement là où nous irons. Citer Link to post Share on other sites
moonlight2010 10 Posted October 11, 2010 Partager Posted October 11, 2010 Merci kadou, jolie histoire.......ça donne à réfléchir.... Citer Link to post Share on other sites
moa1974 10 Posted October 11, 2010 Partager Posted October 11, 2010 Le barbier Un homme entra dans un salon de coiffure pour se faire couper les cheveux et tailler sa barbe comme il le faisait régulièrement. Il entama la conversation avec le barbier. Ils discutèrent de sujets nombreux et variés. Soudain, ils abordèrent le sujet d'ALLAH. Le barbier dit : " Écoute, je ne crois pas qu'ALLAH existe comme tu le dis. " - " Pourquoi dis-tu cela? " répondit le client.- " Bien, c'est facile, tu n'as qu'à sortir dans la rue pour comprendre qu'Allah n'existe pas. Dis-moi, si ALLAH existait, y aurait-il tant de gens malades? Y aurait-il tant d'enfants abandonnés? Si ALLAH existait, il n'y aurait pas de souffrance ni de peine. Je ne peux penser à un ALLAH qui permet toutes ces choses. " Le client s'arrêta un moment pour penser mais il ne voulut pas répondre pour éviter tout sortit du salon. Tout de suite après sa sortie, il vit un homme dans la rue avec de longs cheveux et une barbe (il semblait bien qu'il avait été longtemps sans s'être occupé de lui-même car il avait l'air vraiment négligé). Le client retourna donc dans le salon et dit au barbier : " Tu sais quoi? Les barbiers n'existent pas." Comment ça, les barbiers n'existent pas?" demanda le barbier. " Ne suis-je pas ici et ne suis-je pas un barbier moi-même? " - " Non! " s'écria le client. Ils n'existent pas parce que s'ils s'existaient, il n'y aurait pas de gens avec de longs cheveux et la barbe longue comme cet homme qui marche dans la rue. "-" Ah, les barbiers existent. Ce qui arrive, c'est que les gens ne viennent pas à moi. "- " Exactement! " affirma le client. " Tu l'as dit : ALLAH existe. Ce qui arrive c'est que les gens ne vont pas vers LUI et ne LE cherche pas, c'est pourquoi il y a tant de souffrance dans le monde. " comme il dit un église chretien "“Pour trouver Dieu inutile de le chercher, il suffit de lui faire la place” Oui mais alors, ça signifie que parce qu'il y a des non-croyants, alors tout le monde souffre, les non-croyants et les croyants. Il n'a qu'à faire souffrir que les non croyants. Ou alors ça signifie que quand t'es pas croyant, tu souffres. Mais bon ce n'est pas vrai, ça. Citer Link to post Share on other sites
moa1974 10 Posted October 11, 2010 Partager Posted October 11, 2010 J'aime bien ton histoire, kadou Citer Link to post Share on other sites
Guest Kadou Posted October 11, 2010 Partager Posted October 11, 2010 Merci, mais c'est pas moi qui l'ai ecrite Je connais encore beaucoup de "paraboles" sur l'islam ! C'est l'histoire d'un jeune homme qui étudia à l'étranger pour quelques années. De retour chez lui, il demanda à ses parents de lui trouver un savant religieux ou n'importe quel expert qui serait capable de répondre à 3 de ses questions. Finalement, ses parents ont pu trouver un savant Musulman. Jeune homme: Qui es-tu? Serais-tu capable de répondre à mes questions? Savant: Je suis un serviteur d'Allah (Subhana Wa Ta'ala) et insha-Allah( si Dieu le veut), je serais capable de répondre à tes questions. Jeune homme: Es-tu sûr? Beaucoup de professeurs et d'experts n'ont pas pu me répondre convenablement. Savant: Je ferais mon possible avec l'aide d'Allah (qu'il soit Exalté). Jeune homme: J'ai 3 questions: 1. Est-ce que Dieu existe? Si oui, montre moi sa forme. 2.Qu'est- ce que le takdir(destiné) ? 3. Si le shaitan(Satan) a été créé de feu, pourquoi au Jour Dernier il sera jeter en enfer qui est aussi créé de feu.Certainement il n'aura pas mal du tout, puisque Satan et l'enfer ont été tous les deux créés de feu. Est-ce que Dieu n'aurait pas pensé à ça à ce moment là ? Soudainement, le Savant donna une gifle sévère sur la face droite du jeune homme. Jeune homme(douloureusement): Pourquoi tu t'es fâché après moi !? Savant: Je ne suis pas fâché. Cette gifle est la réponse à tes trois questions. Jeune homme: Je ne comprends vraiment pas. Savant: Comment tu t'es senti après que je t'ai frappé ? Jeune homme: J'ai senti de la douleur bien sûr. Savant: Alors crois-tu que cette douleur existe? Jeune homme: Oui. Savant: Montre moi la forme de la douleur ! Jeune homme: Je ne peux pas. Savant: Ça répond à ta première question. Nous sentons tous l'existence de Dieu sans toutefois être capable de voir sa forme. Savant: La nuit dernière, as-tu rêvé que tu recevras une gifle de moi ? Jeune homme: Non. Savant: As-tu jamais pensé que tu recevras une gifle de moi, aujourd'hui ? Jeune homme: Non. Savant: C'est ce que le takdir(destiné). Savant: La main que j'ai utilisé pour te frapper, de quelle matière a-t-elle été créé? Jeune homme: Elle a été créé de peau. Savant: Et ta face, de quelle matière a-t-elle été créé? Jeune homme: De peau. Savant: Et comment tu t'es senti après que je t'ai frappé? Jeune homme: Douleureux. Savant: Même si Shaitan (Satan) et aussi l'enfer ont été créés de feu, si Allah le veut, insh-Allah, l'enfer deviendra un endroit extrêmement douloureux pour Satan Citer Link to post Share on other sites
moonlight2010 10 Posted October 11, 2010 Partager Posted October 11, 2010 Merci, mais c'est pas moi qui l'ai ecrite Je connais encore beaucoup de "paraboles" sur l'islam ! C'est l'histoire d'un jeune homme qui étudia à l'étranger pour quelques années. De retour chez lui, il demanda à ses parents de lui trouver un savant religieux ou n'importe quel expert qui serait capable de répondre à 3 de ses questions. Finalement, ses parents ont pu trouver un savant Musulman. Jeune homme: Qui es-tu? Serais-tu capable de répondre à mes questions? Savant: Je suis un serviteur d'Allah (Subhana Wa Ta'ala) et insha-Allah( si Dieu le veut), je serais capable de répondre à tes questions. Jeune homme: Es-tu sûr? Beaucoup de professeurs et d'experts n'ont pas pu me répondre convenablement. Savant: Je ferais mon possible avec l'aide d'Allah (qu'il soit Exalté). Jeune homme: J'ai 3 questions: 1. Est-ce que Dieu existe? Si oui, montre moi sa forme. 2.Qu'est- ce que le takdir(destiné) ? 3. Si le shaitan(Satan) a été créé de feu, pourquoi au Jour Dernier il sera jeter en enfer qui est aussi créé de feu.Certainement il n'aura pas mal du tout, puisque Satan et l'enfer ont été tous les deux créés de feu. Est-ce que Dieu n'aurait pas pensé à ça à ce moment là ? Soudainement, le Savant donna une gifle sévère sur la face droite du jeune homme. Jeune homme(douloureusement): Pourquoi tu t'es fâché après moi !? Savant: Je ne suis pas fâché. Cette gifle est la réponse à tes trois questions. Jeune homme: Je ne comprends vraiment pas. Savant: Comment tu t'es senti après que je t'ai frappé ? Jeune homme: J'ai senti de la douleur bien sûr. Savant: Alors crois-tu que cette douleur existe? Jeune homme: Oui. Savant: Montre moi la forme de la douleur ! Jeune homme: Je ne peux pas. Savant: Ça répond à ta première question. Nous sentons tous l'existence de Dieu sans toutefois être capable de voir sa forme. Savant: La nuit dernière, as-tu rêvé que tu recevras une gifle de moi ? Jeune homme: Non. Savant: As-tu jamais pensé que tu recevras une gifle de moi, aujourd'hui ? Jeune homme: Non. Savant: C'est ce que le takdir(destiné). Savant: La main que j'ai utilisé pour te frapper, de quelle matière a-t-elle été créé? Jeune homme: Elle a été créé de peau. Savant: Et ta face, de quelle matière a-t-elle été créé? Jeune homme: De peau. Savant: Et comment tu t'es senti après que je t'ai frappé? Jeune homme: Douleureux. Savant: Même si Shaitan (Satan) et aussi l'enfer ont été créés de feu, si Allah le veut, insh-Allah, l'enfer deviendra un endroit extrêmement douloureux pour Satan Quel raisonnement! chapeau... Citer Link to post Share on other sites
dentdesagesse 30 Posted October 11, 2010 Author Partager Posted October 11, 2010 Oui mais alors, ça signifie que parce qu'il y a des non-croyants, alors tout le monde souffre, les non-croyants et les croyants. Il n'a qu'à faire souffrir que les non croyants. Ou alors ça signifie que quand t'es pas croyant, tu souffres. Mais bon ce n'est pas vrai, ça. etre croyant ne signifie pas etre pratiquant il y'a une difference entre croyance suivé d'une pratique et une croyance seche sans pratique .croyance et pratique sont intimement liées. Citer Link to post Share on other sites
dentdesagesse 30 Posted October 11, 2010 Author Partager Posted October 11, 2010 Par un après-midi, un homme se promenait dans le marché, et alors que le muezzin commençait l'appel à la prière, son regard se posa sur le dos d’une femme. Bien que vêtue d’un noir excessif, elle était étrangement attirante, un voile recouvrait sa tête et son visage, et elle se tournait maintenant vers lui comme si d’une certaine façon elle était consciente de son regard intensément prolongé. Elle lui indiqua d’un signe léger mais significatif son assentiment avant de tourner dans la ruelle des vendeurs de soie. Comme foudroyé par un éclair, l'homme fut irrémédiablement attiré, son coeur désormais prisonnier de ce regard, pour toujours. En vain, il lutta, en offrant à son coeur de multiples raisons saines de passer son chemin—n’était-ce pas l’heure de la prière ?— mais c’était fini : il n’y avait rien d’autre à faire que de se laisser entraîner. Il pressait le pas dans sa direction, tournant vers le marché de la soie, tout haletant de l’effort qu’il devait fournir pour la rattrapper. Elle l’avait inopinément distancé et s’attardait maintenant pour un moment à l’extrémité du marché, à plusieurs magasins de distance. Elle se tourna vers lui, et il crut apercevoir la lueur d’un malicieux sourire transpercer la mousseline noire de son voile, comme si une fois de plus –était-ce son imagination ?– elle lui faisait un signe. Le pauvre homme ne savait plus quoi penser. Qui était-elle ? La fille d’une famille aisée ? Que voulait-elle ? Il pressait à nouveau le pas, tournant et s’engageant dans la ruelle où elle avait disparu. Ainsi elle le menait, toujours hors de portée, toujours cruellement en tête, à présent à travers le marché d’armes, puis les marchands d’huile, puis les vendeurs de cuirs ; s’éloignant toujours davantage du point où ils avaient commencé. Le sentiment qui l’animait, plutôt que de s’estomper, s’accentuait : était-elle folle ? Inlassablement elle menait, jusqu’aux frontières de la ville. Le soleil déclina et se coucha, et ainsi se présentait-elle, là, devant lui, comme toujours. Ils avaient à présent parcouru toutes les places de la ville pour se retrouver près de la Cité des Tombeaux. S’il avait eu toute sa raison, il aurait été effrayé, mais en fait, à ce moment précis, il réfléchissait, sur les endroits étranges aperçus au cours de son périple amoureux. Il n’y avait plus guère que vingt coudées entre eux, lorsqu’il aperçut le regard qu’elle jeta en arrière, et comme pour commencer, elle s’engagea dans des escaliers en s’engouffrant par la grande porte en bronze de ce qui semblait être un très vieux sépulcre. L’espace de quelques secondes aurait pu laisser transparaître une hésitation, mais en l’état présent des choses il n’y avait plus de point de retour, il descendit les escaliers, en se faufilant derrière elle. À l’intérieur, alors que ses yeux commençaient à distinguer les formes, il aperçut deux volées d’escaliers qui menaient à une seconde porte, d’où jaillissait une lumière, et qu’il traversa également. Il se retrouva dans une grande pièce, insoupçonnée du monde extérieur, éclairée par des chandelles accrochées aux murs. A l’opposé de la porte sur un lit de somptueuses étoffes, la femme toujours voilée pris place dans son vêtement entièrement noir, en s’adossant sur un oreiller contre le mur du fond. A droite du lit, l’homme remarqua un puits à même le sol. « Verrouille la porte derrière toi », dit-elle tout bas, d’une voix rauque qui semblait davantage être un murmure, « et prend la clé ». Il fit comme elle dit. Elle désigna négligemment le puits. « Jette-la à l’intérieur » Un éclair de lucidité sembla pénétrer l’espace d’un moment les nuages brumeux de sa compréhension, et un spectateur, s’il y en avait eu un, aurait décelé la plus légère des hésitations. « Vas-y », dit-elle en riant, « tu n’as pas hésité à manquer la prière tout occupé que tu étais à me suivre jusqu’ici, n’est-ce pas ? » Il ne dit mot. « Le temps pour la prière du coucher du soleil s’est presque achevé aussi », dit-elle d’un ton légèrement moqueur. « Pourquoi s’inquiéter ? Allons donc, jette-la. Tu veux me satisfaire, n’est-ce pas ? » Il étendit son bras au-dessus de l’ouverture du puits, et regarda la clé tomber. Un sentiment troublant remonta du creux de son ventre alors que le temps s’écoulait et qu’aucun bruit ne jaillissait du puits. Il sentit émerveillement, puis horreur, puis compréhension. Citer Link to post Share on other sites
dentdesagesse 30 Posted October 11, 2010 Author Partager Posted October 11, 2010 « Il est temps de me voir » dit-elle, et elle souleva son voile qui laissa apparaître non pas le visage d’une jeune et pétillante femme, mais celui d’une vieille femme hideuse, ne reflétant que noirceur et vice, pas la moindre particule de lumière ne se dégageant de ses traits vieillis. « Regarde-moi bien » dit-elle. « Mon nom est Dounya, ce bas-monde. Je suis ta bien-aimée. Tu as passé ton temps à courir après moi, et maintenant tu m’as rattrapée. Dans ta tombe. Bienvenu, bienvenu.» A ces mots elle rit et rit encore, jusqu'à ce que les secousses de son rire laissent place à un monticule de poussières fines aux ombres changeantes, les chandelles s’éclipsant les unes après les autres, laissant place à l’obscurité. Citer Link to post Share on other sites
dentdesagesse 30 Posted October 11, 2010 Author Partager Posted October 11, 2010 Merci, mais c'est pas moi qui l'ai ecrite on est pas la autant que des ecrivains ou des savants erudit l'important c'est de transmettre un méssage on a pas a inventé ni a innové quoi qu'il soit. Citer Link to post Share on other sites
Guest Kadou Posted October 12, 2010 Partager Posted October 12, 2010 La cage Il était une fois un Imam, nommé Haselhoef. Un matin il arriva a la mosquée avec une vielle cage d'oiseau rouillée et la posa sur une chaise. De nombreux sourcils furent froncés. L'imam Haselhoef commenca a raconter : "Hier, alors que je marchais dans la ville, je vis un petit garcon avec cette cage à la main. Au fond de la cage, trois petits oiseaux grelotaient de peur. Je me suis arrêté et je lui ai demandé : "Qu'as-tu là mon enfant?" Le petit garçon repondit : "Deux vieux oiseaux". Et que vas-tu en faire?" Il repondit : "Je vais les prendre à la maison et m'amuser avec. je vais leur retirer les plumes et les laisser se battre ensemble, c est tellement amusant!" "Et quand tu auras assez de ces oiseaux, que comptes-tu en faire?", demandais-je. "Oh, j'ai deux chats qui aiment beaucoup les oiseaux", dit le petit garçon. J'en étais bouche bée. Je lui demandai : "Combien veux-tu pour ces oiseaux?" Il demanda : "Pourquoi voulez-vous ces oiseaux monsieur?, ils sont laids, vieux et ne chantent plus". A nouveau, je lui demandai : "Combien en veux-tu?". Il me regarda en pensant, sans doute, "Il est fou!" et dit "Cinq Euros". Je lui remis 5 Euros et parti immediatement. Je suis allé jusqu'au jardin se trouvant au bout de la rue, j ai posé la cage sur le sol et j'ai libéré les oiseaux. Voila pourquoi cette cage est vide... L'imam continua : On peut comparer cette histoire à une éventuelle conversation entre un prophète et Satan! Satan rentre d'une visite sur terre et se vante : "Je viens juste d acheter la terre et tous ses habitants. J ai un piège auquel aucun d'eux ne résistera!" "Mais que vas-tu faire d eux?" demanda le prophète. Satan répond : "Oh, je vais m'amuser avec eux! Je vais m'amuser avec eux! Je vais leur apprendre comment se marier et ensuite divorcer, comment se haïr, comment abuser des autres, comment boire et fumer. Je vais leur apprendre comment faire des armes et des bombes et comment s'entretuer! Je vais vraiment m'amuser avec eux!!!" "Et que feras-tu d'eux quand tu en aurras assez?", demanda le prophète. "Oh, je vais les tuer!", dit satan fier. "Combien demandes-tu pour eux?", demanda le prophète. Que veux-tu en faire?", demande satan. ils sont mauvais. Ils te détestent et te crachent à la figure. Ils te maudissent et te tuent. Tu ne veux pas de ces gens!!!". "Combiens?" demanda à nouveau le prophète. Satan regarda le prophète en souriant. "Toutes tes larmes et ton sang", lui dit-il. Le prophète répondit : "Marché conclus" et paya le prix. Ensuite l'imam prit la cage et s'en alla. Citer Link to post Share on other sites
Recommended Posts
Join the conversation
You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.