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UN RAKI (DERWICHE) VIOLE SA "PATIENTE" A MOSTAGANEM


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normal mon ami c'est les enseignements de l'ISLAM qui sont ainsi, si leur prophete (leur exemple supreme) dans ses 53 ans avait violé la petite Aicha qui joue encore avec ses copine qui n'a que 7 ou 8 ans, que dire alors de ses adeptes (musulmans) , ils ne font que suivre leur modele mohamed.

 

« Jamais homme ne se proposa volontairement où involontairement un but plus sublime puisque ce but était surhumain : saper les superstitions interposées entre la créature et le Créateur, rendre Dieu à l’homme et l’homme à Dieu, restaurer l’idée rationnelle et sainte de la divinité dans ce chaos de dieux matériels et défigurés de l’idolâtrie.

Jamais homme n’accomplit en moins de temps une si immense et durable révolution dans le monde, puisque moins de deux siècles après sa prédication, l’Islamisme, prêché et armé, régnait sur les trois Arabies, conquérait à l’unité de Dieu, la Perse, le Korassan, la Transoxiane, l’Inde Occidentale, la Syrie, l’Egypte, l’Ethiopie, tout le continent connu de l’Afrique septentrionale, plusieurs îles de la Méditerranée, l’Espagne et une partie de la Gaule.

Si la grandeur du dessein, la petitesse des moyens, l’immensité du résultat sont les trois mesures du génie de l’homme, qui osera comparer humainement un grand homme de l’histoire moderne à Mahomet (1) ?

Les plus fameux n’ont remué que des armes, des lois, des empires ; ils n’ont fondé, quand ils ont fondé quelque chose, que des puissances matérielles, écroulées souvent avant eux. Celui-là a remué des armées, des législations, des empires, des peuples, des dynasties, des millions d’hommes sur un tiers du globe habité ; mais il a remué, de plus, des idées, des croyances, des âmes.

Il a fondé sur un livre dont chaque lettre est devenue loi, une nationalité spirituelle qui englobe des peuples de toutes les langues et de toutes les races, et il a imprimé pour caractère indélébile de cette nationalité musulmane la haine des faux dieux et la passion du Dieu un et immatériel (…).

Philosophe, orateur, apôtre, législateur, guerrier, conquérant d’idées, restaurateur de dogmes rationnels d’un culte sans images, fondateur de vingt empires terrestres et d’un empire spirituel, voilà Mahomet. A toutes les échelles où l’on mesure la grandeur humaine, quel homme fut plus grand (…) ? »

 

Alphonse de LAMARTINE

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les conards dans ton genre on dit beaucoup plus que ça sur notre prophète :saws: et tu voix après 14 siècles, l'Islam est toujours la et il sera toujours la quand toi tu ne le sera plus.

 

Tu sait mon frère, laisse parler ce qui veule mordre,ils finiront par se casser les dent tout seul.

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personnelement je trouve tout cela comme de la magie. rokiya hijama,,etc rien de vrai rien de bon, celui qui veut se guérir il n a qu a voir un medecin,, tout ces imams des soit disant saint connaissent ils vraiment dieu ??? ils connaissent rien, tout ce qu ils connaissent c leurs interts , l argent ,

 

y a pas mieux d etre laique, de croire a Dieu mais de ne pas appartenir a aucun systeme religieux,, Islam = catholicisme = judaisme,, tous a la poubelle

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personnelement je trouve tout cela comme de la magie. rokiya hijama,,etc rien de vrai rien de bon, celui qui veut se guérir il n a qu a voir un medecin,, tout ces imams des soit disant saint connaissent ils vraiment dieu ??? ils connaissent rien, tout ce qu ils connaissent c leurs interts , l argent ,

 

y a pas mieux d etre laique, de croire a Dieu mais de ne pas appartenir a aucun systeme religieux,, Islam = catholicisme = judaisme,, tous a la poubelle

 

PITOYABLE !!!

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un charlatan

 

Je trouves que la peine prononcée par nos magistrats est beaucoup minime pour un baudet qui a profité de la faiblesse d'une femme.Il faut tous les brulés ces charlatans communique avec les jins pour ensorceller leurs victimes,le buchet pour qu'ils sentent le mal commis par eux.:::gun_rifle:

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le cri de douleur d'un père dont le fils de 6 ans

 

le cri de douleur d'un père dont le fils de 6 ans a été enlevé par un mineur de 17 ans. Malgré le diagnostic du médecin qui a constaté une tentative d'abus sexuel sur l'enfant, en dépit de la demande du procureur de placer sous mandat de dépôt l'agresseur présumé, le juge a décidé de remettre ce dernier en liberté. Pour préserver l'anonymat de sa famille et protéger l'enfant, le père de la victime a décidé de témoigner sous pseudonyme. Son témoignage est autant un cri de révolte qu'une lettre adressée au ministre de la Justice

 

Mardi 21 septembre 2010, mon enfant de 6 ans, est enlevé à proximité du domicile familial à Maghnia, aux environs de 16 h, par un voisin âgé de 17 ans, puis séquestré dans l’appartement en l’absence de ses parents. Impuissant, l’enfant a du se débattre, crier comme il pouvait, pour s’extirper des griffes du vautour, après avoir subi des attouchements, comme le décrira le médecin spécialiste dans son rapport médical, le jour même. Une heure plus tard, l’enfant traumatisé et craignant des représailles, parce que menacé par son agresseur, regagnera la maison pour s’isoler dans un coin. Inquiet de l’état piteux et inhabituel de mon fils, je le soumets à un interrogatoire. A ce moment, il éclate en sanglots avant de raconter sa mésaventure.

 

Le lendemain, mon fils a été contraint de raconter sa même mésaventure devant le procureur et affronter, une fois de plus, son bourreau. Le magistrat ordonne un mandat de dépôt. L’affaire est alors confiée au juge d’instruction le jour même. En attendant l’audition de mon fils et de son bourreau dans le bureau du magistrat instructeur, on nous met, mon fils et moi, dans un hall avec des condamnés menottés, des gendarmes et des policiers. A trois mètres plus loin, le bourreau qui n'arrêtait pas de crier et de hurler. Les heures s’écoulent. Mon fils, qui n’avait pas dormi de toute la nuit, affamé et effrayé dans l’enceinte du tribunal, suppliait qu'on l'éloigne des lieux. Je demande à voir le président du tribunal. On me signifie que les magistrats étant partis déjeuner, je n'ai pas le droit de quitter l’enceinte

 

«Je suis le plaignant et non pas le coupable, en plus, mon enfant n’est pas détenu, il est victime d’une tentative de pédophilie» supplies-je les policiers. A 13 h 40, le juge nous appelle pour soumettre à nouveau mon fils à un interrogatoire en ma présence. Ne tenant plus, une fois de plus, je quitte le bureau. Mon fils sera encore soumis à une confrontation avec son bourreau. J'abandonne la partie laissant l’enfant face au juge et à son tortionnaire. Malgré son âge, mon enfant signe le procès verbal d'audition. Aux environs de 15 h, et devant la stupéfaction de tout le monde, le juge procèdera d’une manière expéditive à la libération de l’auteur de l’enlèvement, séquestration et tentative d’abus sexuel . Anéanti, j’interpelle le magistrat en ces termes «M. Le juge, vous venez de libérer un criminel et je ne serai plus responsable des conséquences de votre décision incompréhensible.» Gêné, le magistrat me rétorque : «Je demanderai au procureur de la république de faire appel de ma décision!» Hallucinant! .

 

Un détail me torture davantage l’esprit : le matin de la présentation au tribunal, l’oncle de l'agresseur, un ancien commissaire de police à Maghnia, a stationné sa voiture de marque Mercedes en face de l’institution judiciaire et y est resté à l'intérieur pendant plusieurs heures. Mon inquiétude augmentera lorsque des amis, qui m’accompagnaient dans ma douleur, m’informent que ce monsieur avait ses entrées au tribunal. D’ailleurs, je ne manquerai pas d’exprimer ma colère devant le juge d’instruction qui avait libéré le criminel. Le juge s’est gardé de reconnaître qu’il avait été approché par ce commissaire. Je m’interroge, malgré tout : la présence de cet ex-officier de la police avait-elle pesé dans la libération de son neveu ?

 

Aujourd’hui, le bourreau de mon fils s’affiche librement et en toute impunité dans notre cité et mon fils est reclus chez moi. Psychologiquement, il est fortement atteint. Toute ma famille est traumatisée, détruite. Ma vie et celle de mes quatre enfants a basculé en ce mois de septembre par la faute d’un jeune peu scrupuleux et d’un juge insouciant. J’ai cru en l’état de droit en me confiant à la justice de mon pays, mais je n’ai fait que torturer davantage ma petite famille… Je suis mort, M. le ministre de l Justice, garde des Sceaux !

 

 

Bavure judiciaire à Maghnia: Un enfant enlevé, séquestré et abusé, le juge libère l'agresseur

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