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Un "erreur" envoie des têtes nucléaires dans le ciel américain


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permet moi qq copier collé, merci.

 

Entre la Chine et les Etats-Unis la guerre électronique est monté d’un cran. Selon le Financial Times, à la suite d'un piratage de ses ordinateurs en juin, le Pentagone a éteint pendant une semaine une partie du réseau informatique qui alimente les bureaux du chef de la défense américaine, Robert Gates. Pour l'instant, les autorités américaines ne désignent pas officiellement Pékin, mais une enquête interne révélerait que l’intrusion informatique est le fait de l’armée chinoise. D’après le quotidien économique le Pentagone est encore en train de comptabiliser le nombre de données subtilisées lors de l’attaque. Seul réconfort pour la sécurité américaine, tous les fichiers piratés étaient «déclassifiés».

 

Habitude chinoise

 

A Pékin, le ministère de la Défense refuse de commenter. Jiang Yu, un porte-parole de la Défense, avance que «le piratage est un grand problème dont la Chine est aussi victime».

 

En matière de cyber-attaque, la Chine n’en est pas à sa première affaire. Les autorités chinoises ont déjà été pointées du doigt par l’Allemagne. Lors de sa dernière visite officielle à Berlin, Wen Jibao, le chef du gouvernement chinois a été interpellé par la chancelière Angela Merkel. La chancelière a soulevé le cas de plusieurs infiltrations des ordinateurs de l’administration allemande par des pirates chinois.

 

Les cas américains et allemands montrent que le piratage est devenu un nouveau mode d'affrontement. Fin mai, après une crise diplomatique, la Russie et l’Estonie s'étaient affrontées par serveurs interposés.

 

AFP/US Air Force/Arch. ¦ Vue aérienne du Pentagone à Washington

 

 

 

M.N

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Vols stratégiques: la Russie en informe à l'avance les autres pays (Forces aériennes russes)

15:49 | 22/ 08/ 2007

 

MOSCOU, 22 août - RIA Novosti. La Russie informe à l'avance les autres pays des vols de ses avions militaires long-courriers, a indiqué mardi à RIA Novosti le colonel Alexandre Drobychevski, assistant du commandant en chef de l'Armée de l'air russe.

 

Le responsable commentait ainsi la récente déclaration du ministre britannique de la Défense au sujet d'un incident survenu au cours du vol d'un bombardier russe Tu-95 (Bear-H d'après la classification OTAN) à proximité de l'espace aérien britannique au-dessus de l'Atlantique Nord.

 

"Nos avions ne pénètrent pas dans l'espace aérien étranger et leurs actions ne sont nullement agressives à l'égard des autres pays", a souligné Alexandre Drobychevski.

 

Les avions militaires russes long-courriers effectuent une patrouille permanente, a-t-il expliqué, ajoutant qu'il n'y avait là rien d'exceptionnel ni d'alarmant.

 

Les pilotes russes effectuent régulièrement des vols au-dessus des océans Pacifique, Atlantique et Indien ainsi qu'en mer Noire et en direction du pôle Nord.

 

"Nous informons à l'avance de tous les vols. Depuis juillet 2007, les vols des avions long-courriers sont devenus plus nombreux. Ces vols sont effectués aussi bien pour l'entraînement des équipages compétents que pour la formation de jeunes équipages", a précisé le représentant des forces aériennes.

 

Le ministère britannique de la Défense affirme que des chasseurs Typhoon de la Royal Air Force ont la semaine dernière décollé en urgence alors qu'un bombardier russe s'approchait de l'espace aérien britannique. A l'approche des chasseurs, le Tu-95 a immédiatement fait demi-tour en direction de la Russie.

 

Le 17 août, le président russe Vladimir Poutine a déclaré que la Russie reprenait les vols permanents de l'aviation stratégique dans les régions lointaines, interrompus en 1992. Ces patrouilles à caractère stratégique seront effectuées dans les zones de navigation active et d'activité économique de la Russie.

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Le clivage É.-U.-Russie s’élargit

Écrit par Noé Chartier, La Grande Époque – Montréal

22-08-2007

Page 1 sur 2

 

 

Les présidents Vladimir Poutine et George W. Bush

Si proches mais si loin… Les présidents Vladimir Poutine (gauche) et George W. Bush lors de leur rencontre à la résidence familiale des Bush dans l’État du Maine le 2 juillet 2007. La réunion devait rapprocher les deux hommes mais, depuis, la Russie pose des gestes qui la rapproche militairement du temps de la guerre froide. (Saul Loeb/AFP/Getty Images)

Dîners de homards et coquettes promenades en bateau le long de la côte du Maine, plus tôt cet été, n’ont pu briser la glace entre messieurs George W. Bush et Vladimir Poutine. Sans être alarmante, l’escalade de la tension entre les faux amis et vieux rivaux nous réserve de nouvelles surprises chaque semaine. Dans le dernier épisode de la saga, le président russe a annoncé, le 17 août dernier, la reprise des vols permanents de bombardiers stratégiques, une pratique qui avait été délaissée suite à l’effondrement de l’Union soviétique et du Pacte de Varsovie. La plupart des analystes s’abstiennent de parler de nouvelle guerre froide, mais peu nient le caractère de plus en plus frisquet des relations Washington-Moscou.

 

«J'ai décidé de relancer les vols opérationnels de l'aviation stratégique russe. Quatorze avions porte-missiles stratégiques, avions d'appui et ravitailleurs ont décollé de sept aérodromes russes vendredi à minuit. Vingt avions assurent un service opérationnel en permanence», a déclaré M. Poutine, rapporte l’agence russe Ria Novosti.

 

La Russie a maintenant les reins assez solides pour reprendre ces opérations et M. Poutine se justifie en faisant remarquer que les vols stratégiques d’autres pays – pour ne pas nommer les États-Unis – n’ont, eux, jamais cessé.

 

Quelques jours plus tôt, avant l’annonce de la reprise des vols de la Russie, deux bombardiers russes Tu-95 s’étaient approchés de la base militaire américaine sur l’île de Guam, dans l’océan Pacifique. Selon le major-général russe Pavel Androsov cité par la BBC, les équipages des Tu-95 ont «échangé des sourires» avec les pilotes des chasseurs américains.

 

«Nous étions préparés à intercepter les bombardiers, mais ils ne se sont pas assez rapprochés d’un vaisseau de la US Navy ou de l’île de Guam pour devoir ordonner une interception en plein vol», a expliqué un porte-parole du Pentagone.

 

Ces nouvelles activités de l’aviation russe n’ont pas suscité de vives réactions de la part des États-Unis, bien que ces Tu-95, aussi appelés Bear dans le langage de l’OTAN, aient la capacité de transporter des missiles nucléaires.

 

Le porte-parole du Département d’État américain, Sean McCormack, lors d’un point de presse le 9 août dernier, était peu impressionné par ce déploiement russe, blaguant que «ces machins [de la guerre froide] peuvent encore voler?»

 

Arrogance d’une super-puissance ou simple bluff, peu importe. Le Pentagone devra à présent gérer un mouvement militaire de plus venant de son «ami hostile». Les avions de chasse de l’OTAN devront sortir plus souvent, «comme dans le bon vieux temps», pour escorter les gros Bear qui font du zèle, frôlant les frontières et espaces aériens proscrits.

 

Cette affirmation par les airs de Moscou vient peu de temps après son coup d’éclat dans les glaces du pôle Nord, où ses sous-marins ont planté un drapeau russe en titanium. L’expédition russe avait pour but d’amasser des preuves démontrant que cette région leur appartient. Ce petit drapeau va donc beaucoup plus loin que le symbole, alors que la fonte des glaces causée par le réchauffement climatique a créé un tout nouveau champ de bataille où des ressources immenses n’attendraient que d’être exploitées par quelconque multinationale ou superpuissance.

 

Donc, si en apparence les États-Unis se montrent peu concernés par l’avancée russe, ils ne font peut-être que masquer leurs inquiétudes. La question de l’installation d’éléments du système de bouclier antimissile américain en Pologne et en République tchèque, supposément pour pallier à une éventuelle frappe de l’Iran, est perçue comme un affront direct par Moscou. Il s’agit vraisemblablement de la pomme de discorde la plus acide entre les deux puissances, qui a déclenché cette vague d’actions significatives de la Russie, notamment le gèle de sa participation au traité sur les Forces conventionnelles en Europe le 14 juillet dernier.

 

L’ours russe se sent menacé. «Il est bien que nous ayons enfin renoncé au point de vue selon lequel personne ne nous menace. La réalité atteste juste le contraire», commente le général russe Deinekine à Ria Novosti, concernant la reprise des vols de bombardiers stratégiques.

 

Les États-Unis menacent-ils vraiment la Russie? Il semble difficile de le démontrer concrètement. La menace pour Moscou provient davantage du rapprochement à l’Occident et de l’adhésion à l’OTAN d’anciennes républiques soviétiques. La perte de cette zone d’influence nuit à l’expansion de la puissance russe, dernièrement décuplée par l’immense secteur gazier directement sous contrôle étatique.

 

Le processus de réarmement et de reconstruction des forces armées va aussi bon train. Depuis le début du mois d’août seulement, Vladimir Poutine a visité une nouvelle station radar ultramoderne dans la région de Leningrad faisant partie du système antimissile; le chef de l’État-major des forces armées russes, Iouri Balouïevski, a annoncé qu’une vingtaine de divisions seraient dotées de missiles sol-air S-400 avant 2015, renforçant ainsi le bouclier antimissile russe; et il a été annoncé que, d’ici 2009, les forces aériennes seront équipées de bombardiers tactiques Su-34 de la génération «4+».

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Pour le reste, j'ai un abonnement avec MISC, chaque numéro ils font un dossier sur la guerre electronique.

 

Et cela ne t'as pas sauté aux yeux?

Quand il dit que personne ne risquait rien alors qu'il refusaient d'admettre seulement avoir probablement été piraté!

 

Le rapprochement me semblait nécéssaire, meme si je ne sui pas informaticien, je sais que la guerre électronique est déja bien avancé..

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Comme ça, sans avoir des informations sur l'evenement, tu peux deduire des choses ? :eek:

 

Je suis habité par le doute :D

 

Ne doute plus:

Avec google on est tous des savants :D

 

c'est une étude Psyco-cognitive? :D

 

Oui, j'analyse, je probabilise, je deduis, je m'interroge, je maigri, j'integre.

Mais il se trouve que ça marche.

c'est un peu comme ça que les humain marchent aussi.

Defois avec des surprises.

Oh? une voiture!

c'est quoi la marque? Google?

Je m'en fou, tant que ça m'amene ou je veux...

Car c'est mon idée au fond.

 

Je pense que les americains flippent pour leur ressources et celle qui ne sont pas encore a eux, qu'ils flippent de la chine et de tout ce qui pourrai faire vaciller leur suprematie.

Les chinois ont envoyé leur hommes dans l'espace, et il ne pourraient pas pirater les informations d'une tour de controle ou d'un magazin d'armement?

Fut-ce celui du pentagone, d'ou partent aussi les ordres concernant leur strategie nucleaire.

Je suis peut etre un simple citoyen, mais je pense pas qu'on achete une bagnole juste pour la regarder.

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Je ne tiens pas à te convaincre,

je te donne les sources que j'ai utilisé pour faire ce rapprochement.

Je viens juste de subir une attaque virus sur mon pc.

J'ai du effacer quelques info, pas grand chose, juste les dernieres...

 

Mais ça n'arrivera jamais au pentagone...:D

Pas plus qu'une attaque terroriste un certain 11/09.

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ça y est!

je vois de quoi tu parles!:D

sidebar_photos.jpg

 

lien ici:

 

Secret Operation to Kill America's Horses - The Fund for Horses

 

 

nb:

quand on observe un cheval au galop, a un moment aucun sabot ne touche terre, mais comme il ne vole pas, il plane :D

re nb: ça me rappelle une chanson de bashung, "un âne plane"

re re nb: je n'ai pas de sources pour ce rapprochement :D

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Code Red est un ver informatique créé en 2001.

 

Il exploite un trou de sécurité présent dans les versions 4.0 et 5.0 du logiciel de serveur Web Internet Information Services ( communement appeler IIS ) de Microsoft. Son but original est de prendre le contrôle de ces serveurs pour lancer à partir d'eux une attaque par déni de service (DoS), visant à saturer les ressources d'un site Web précis, en l'espèce le serveur de la Maison Blanche. Le ver a connu une seconde version appelée Code Red II.

 

wikipedia

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