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Alger: une famille dévalise une banque


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C'est une affaire peu coutumière qui vient d'être jugée par le tribunal d'Alger, pronononçant des condamantions allant jusqu'à la peine capitale. Le 22 avril 2000, les employés d'une agence BDL de la rue Ali Boumendjel à Alger découvraient, ahuris, le cadavre du gardien de nuit. Derrière lui, le mur donnant à la salle des coffres était démoli. L'impressionnante somme de 13 milliards de centimes avait été dérobée. Faute d'indices, l'enquête s'annonçait difficile pour les fins limiers de la police. Au bout de quelques temps pourtant, ils seront alertés par des témoins étonnés de la métamorphose que connaît une famille de modeste condition croyant prendre une revanche sur le sort. Somptueuse villa achetée à Cheraga, véhicules de luxe, bijoux clinquants: la famille ne s'est pas privée d'attirer l'attention sur elle. Et les enquêteurs n'auront alors pas de mal à comprendre que tous ces biens ont été acquis par les milliards volés à la BDL. Le gardien avait commis l'imprudence de parler de son métier à une de ses connaissances qui a compris l'intérêt à le fréquenter assidûment au point de lui rendre vistie sur son lieu de travail. Ancien gendarme, cet homme a mis dans la confidence sa belle famille alléchée par le pactole, selon le récit fait par Ech-Chourok. Le père, son épouse et ses trois filles vont unier leur génie maléfique pour effectuer le crime. Equipés d'une pioche et de cabas pour charger le butin, ils se rendent nuitamment auprès du gardien qui leur a ouvert la porte sans méfiance aucune. Assommé, il est pendu pour faire croire à un suicide. La pioche servira ensuite à creuser le mur pour accéder aux coffres. Le père et le gendre ont été condamnés à la peine capitale par le tribunal qui aprononcé d'autres peines entre 5 ans et 10 ans d'emprisonnement.

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C'est une affaire peu coutumière qui vient d'être jugée par le tribunal d'Alger, pronononçant des condamantions allant jusqu'à la peine capitale. Le 22 avril 2000, les employés d'une agence BDL de la rue Ali Boumendjel à Alger découvraient, ahuris, le cadavre du gardien de nuit. Derrière lui, le mur donnant à la salle des coffres était démoli. L'impressionnante somme de 13 milliards de centimes avait été dérobée. Faute d'indices, l'enquête s'annonçait difficile pour les fins limiers de la police. Au bout de quelques temps pourtant, ils seront alertés par des témoins étonnés de la métamorphose que connaît une famille de modeste condition croyant prendre une revanche sur le sort. Somptueuse villa achetée à Cheraga, véhicules de luxe, bijoux clinquants: la famille ne s'est pas privée d'attirer l'attention sur elle. Et les enquêteurs n'auront alors pas de mal à comprendre que tous ces biens ont été acquis par les milliards volés à la BDL. Le gardien avait commis l'imprudence de parler de son métier à une de ses connaissances qui a compris l'intérêt à le fréquenter assidûment au point de lui rendre vistie sur son lieu de travail. Ancien gendarme, cet homme a mis dans la confidence sa belle famille alléchée par le pactole, selon le récit fait par Ech-Chourok. Le père, son épouse et ses trois filles vont unier leur génie maléfique pour effectuer le crime. Equipés d'une pioche et de cabas pour charger le butin, ils se rendent nuitamment auprès du gardien qui leur a ouvert la porte sans méfiance aucune. Assommé, il est pendu pour faire croire à un suicide. La pioche servira ensuite à creuser le mur pour accéder aux coffres. Le père et le gendre ont été condamnés à la peine capitale par le tribunal qui aprononcé d'autres peines entre 5 ans et 10 ans d'emprisonnement.

 

 

 

 

BDL dis-tu!

C'est bien fait.A défaut de Développement du pays,

une famille s'est développée.

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Guest jazairia
C'est une affaire peu coutumière qui vient d'être jugée par le tribunal d'Alger, pronononçant des condamantions allant jusqu'à la peine capitale. Le 22 avril 2000, les employés d'une agence BDL de la rue Ali Boumendjel à Alger découvraient, ahuris, le cadavre du gardien de nuit. Derrière lui, le mur donnant à la salle des coffres était démoli. L'impressionnante somme de 13 milliards de centimes avait été dérobée. Faute d'indices, l'enquête s'annonçait difficile pour les fins limiers de la police. Au bout de quelques temps pourtant, ils seront alertés par des témoins étonnés de la métamorphose que connaît une famille de modeste condition croyant prendre une revanche sur le sort. Somptueuse villa achetée à Cheraga, véhicules de luxe, bijoux clinquants: la famille ne s'est pas privée d'attirer l'attention sur elle. Et les enquêteurs n'auront alors pas de mal à comprendre que tous ces biens ont été acquis par les milliards volés à la BDL. Le gardien avait commis l'imprudence de parler de son métier à une de ses connaissances qui a compris l'intérêt à le fréquenter assidûment au point de lui rendre vistie sur son lieu de travail. Ancien gendarme, cet homme a mis dans la confidence sa belle famille alléchée par le pactole, selon le récit fait par Ech-Chourok. Le père, son épouse et ses trois filles vont unier leur génie maléfique pour effectuer le crime. Equipés d'une pioche et de cabas pour charger le butin, ils se rendent nuitamment auprès du gardien qui leur a ouvert la porte sans méfiance aucune. Assommé, il est pendu pour faire croire à un suicide. La pioche servira ensuite à creuser le mur pour accéder aux coffres. Le père et le gendre ont été condamnés à la peine capitale par le tribunal qui aprononcé d'autres peines entre 5 ans et 10 ans d'emprisonnement.

 

Film d'action ya emhaynèke .:48:

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C'est une affaire peu coutumière qui vient d'être jugée par le tribunal d'Alger, pronononçant des condamantions allant jusqu'à la peine capitale. Le 22 avril 2000, les employés d'une agence BDL de la rue Ali Boumendjel à Alger découvraient, ahuris, le cadavre du gardien de nuit. Derrière lui, le mur donnant à la salle des coffres était démoli. L'impressionnante somme de 13 milliards de centimes avait été dérobée. Faute d'indices, l'enquête s'annonçait difficile pour les fins limiers de la police. Au bout de quelques temps pourtant, ils seront alertés par des témoins étonnés de la métamorphose que connaît une famille de modeste condition croyant prendre une revanche sur le sort. Somptueuse villa achetée à Cheraga, véhicules de luxe, bijoux clinquants: la famille ne s'est pas privée d'attirer l'attention sur elle. Et les enquêteurs n'auront alors pas de mal à comprendre que tous ces biens ont été acquis par les milliards volés à la BDL. Le gardien avait commis l'imprudence de parler de son métier à une de ses connaissances qui a compris l'intérêt à le fréquenter assidûment au point de lui rendre vistie sur son lieu de travail. Ancien gendarme, cet homme a mis dans la confidence sa belle famille alléchée par le pactole, selon le récit fait par Ech-Chourok. Le père, son épouse et ses trois filles vont unier leur génie maléfique pour effectuer le crime. Equipés d'une pioche et de cabas pour charger le butin, ils se rendent nuitamment auprès du gardien qui leur a ouvert la porte sans méfiance aucune. Assommé, il est pendu pour faire croire à un suicide. La pioche servira ensuite à creuser le mur pour accéder aux coffres. Le père et le gendre ont été condamnés à la peine capitale par le tribunal qui aprononcé d'autres peines entre 5 ans et 10 ans d'emprisonnement.

 

 

S'ils n'avaient pas tué le gardien ça aurait fait une belle et sympathique famille !

 

Malheureusement !!!!!!!!!!!!

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