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les livres qui contiennent des mensonges et des innovations, doivent etre annihilés et détruits


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1. Ibn ul-Qayyîm a dit (rahimahoullah) :

 

« Ainsi il n'y a pas de prix à payer en retour pour le fait de brûler et détruire les livres déviants. Al-Marwazî a dit : « j'ai dit à Ahmad : j'ai emprunté un livre qui contient du mal et des choses détestables en lui. Penses-tu que je dois le déchirer et le brûler ?" Il répondit : « Oui ». Alors je le brûla ».

 

Le Prophète (sallallahou 'alayhi wa sallam) vit un jour un livre dans la main de 'Omar que ce dernier avait transcrit de la Torah et dont il s'étonnait de voir comment il était en conformité avec le Qor'ân. Alors la colère se refléta sur le visage du Messager d'Allâh (sallallahou 'alayhi wa sallam) jusqu'à ce que 'Omar aille vers un feu et l'y jette dedans.

 

Ainsi, qu'en serait-il si le Messager d'Allâh (sallallahou 'alayhi wa sallam) voyait ce qui a été écrit après lui au niveau des livres qui s'opposent et contredisent ce qui est dans le Qor'ân et la Sounnah ? ! Et Allâh est Celui en qui nous recherchons secours ! Le Prophète (sallallahou 'alayhi wa sallam) a ordonné à tous ceux qui avaient conservé ses (sallallahou 'alayhi wa sallam) paroles d'effacer tout ce qu'ils avaient conservé de lui (sallallahou 'alayhi wa sallam), excepté le Qor'ân, puis il permis ensuite que sa Sounnah soit conservée, mais n'a pas donné permission pour quoi que ce soit en dehors de cela.

 

Dès-lors, tous ces livres qui consistent en l'opposition avec la Sounnah ne sont pas permis d'être écrits. Plutôt, ils ont pour seule permission d'être effacés et détruits car il n'y a rien de plus néfaste auprès de le Ummah que ces livres. Les Sahâba (radhi Allahou 'anhoum) avaient brûlé toutes les copies du Moushaf qui s'opposaient au moushaf de 'Outhmân (radhi Allahou 'anhou) de peur que la divergence se propage dans la Ummah (s'ils ne l'avaient pas fait). Ainsi qu'en serait-il s'ils voyaient les livres de nos jours qui entraînent la désunion et la division parmi la Ummah ! ».

Kitâb At-Tourouq ul-Houkmiyyah - (p. 282)

 

Puis Ibn ul-Qayyîm dit (rahimahoullah) :

 

« L'enjeu est que ces livres qui contiennent des mensonges et des innovations, soient annihilés et détruits. Détruire ces livres prend plus préséance que la destruction des instruments de musique et les récipients d'alcool, car leur mal est bien plus immense que celui causé par ces (dernières) choses. Et il n'y a pas de prix en retour à payer (assurance) pour leur perte, de même qu'il n'y a pas de prix à payer en retour (assurance) pour le fait de briser les récipients dans lesquels on boit de l'alcool ».

 

Kitâb At-Tourouq ul-Houkmiyyah - (p. 282)

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L'Imâm Adh-Dhahabî (rahimahoullah) a dit :

 

« Sa'îd Ibn 'Amr al Barda'î a dit : « J'ai vu Abû Zour'a lorsqu'il fut interrogé à propos de Al-Harith Al-Mouhassibî et ses livres. Et il a répondu au questionneur par la parole : « Prend garde de ces livres car ce sont des livres d'innovation et d'égarement ! Accroche-toi fermement aux ahadîth car certes tu y trouveras ce qui est suffisant pour toi ». Puis il lui fut dit : « Il y a des exhortations pour nous dans ces livres ». Alors il répondit : « Quiconque ne reçoit pas d'exhortation du Qor'ân, alors il ne recevra aucune exhortation de ces livres ! Vous est-il parvenu que Soufyan ou Mâlik ou Al-Awzâ'î ont déjà écrit leurs genres de livres basés sur l'erreur et le doute ? Combien rapides sont les gens à tomber dans les innovations ! ».

 

Al-Harîthi mourut en 243 après la Hijrah. Donc où en sont les semblables de Al-Harîth maintenant ? Et qu'en serait-il si Abû Zour'a voyait les livres qui ont été écrit après, tels que « Qouwat al-Qouloub » (la force des coeurs) de Abû Tâlib ? ! Et ou en sont les livres du genre de « Qouwat al-Qouloub » maintenant ? Qu'en est-il s'il lisait « Bahjat ul-Asrar » (la splendeur des dimensions cachées) de Ibn Jouhdam, ou bien « Haqa iqout-tafsîr » (la véritable signification du Qoran) de As-Soulami ? Il deviendrait totalement fou ! ! Qu'en serait-il s'il voyait les livres de Abû Hamid at Toussi (c-a-d Al-Ghazalî), d'ailleurs, à cause du grand nombre de ahadîth fabriqués trouvés dans « Ihya 'Ouloum ad-dîn » (la revivification des sciences de la religion) ? Qu'en serait-il s'il voyait Al-Ghouniya ou SHeikh 'Abd ul-Qadir (al-Djilânî) ? Qu'en serait-il s'il voyait le livre « Foussous al-Hikam » (les segments de la sagesse) et « Al-Foutouhât al-Makkiyyah » ? ! . (1)

 

 

As-Soubkî (rahimahou llah) a dit après les propos dépréciateurs de Al-Maziri sur Al-Ghazalî :

 

« Ceux qui l'ont précédé dans le fait de mentionner des remarques similaires à cela, parmi les savants Malikîtes, fut Abul Walid at Tartoushi. Ainsi il mentionna dans sa lettre à Ibn Moudhfar :

 

« Quant à ce que vous avez dit concernant Al-Ghazalî, et bien j'avais personnellement vu l'homme, et je lui avais parlé. Je l'avais trouvé être une personne qui faisait partie des savants. Ses vertus avaient atteint un haut niveau, et les qualités d'intelligence, de compréhension et d'application pratique des branches de la science furent réunies en lui pendant une longue période de son existence. Puis il commença à montrer en lui qu'il avait abandonné la méthodologie (manhâj) des savants et s'étaient embarqué sur la voie des gens vains. Puis il accepta le soufisme, alors il abandonna les sciences de la connaissance et leurs suiveurs. Au lieu de cela, il s'embarqua sur la science des visions spirituelles, des convictions que les coeurs possèdent et des illusions du Shaytân. Puis il se mélangea aux vues philosophiques et aux symbolismes allégoriques. Cela le mena à attaquer les savants et les dâ'î (prêcheurs). Et il continua son auto-retrait de la Religion. Ainsi, lorsqu'il travailla le livre « Al-Ihya' », il voulait parler à propos des sciences des différents états de l'esprit et du corps et des allégories secrètes des Soufis. Malgré cela, il était ignorant de ces choses, et ne comprenait ni ne possédait de connaissances d'elles. Ainsi, il se vautra sur lui-même et emplit son livre de ahadîth fabriqués ».

Tabaqat ush-Shâfi'îyyah de As-Soubkî (6/243).

Al-Wansharishi dit :

 

« Ibn Al-Qattân a dit : « Lorsque le livre « Ihya 'ouloum ud-dîn » parvint à Qourtouba (Cordoue), les gens parlèrent en mal à son propos. Beaucoup de gens rejetèrent les choses écrites dedans, tout précisément leur Juge Ibn Ahmadayn, car certes, il était précurseur en cela. Ceci au point qu'il déclara son auteur être un mécréant. Et il exhorta le Sultan d'agir contre lui. Il (le Sultan) appela ses savants et ils furent tous d'accord pour le brûler. Alors 'Alî Ibn Youssouf ordonna que cela soit fait ainsi selon leurs jugements légaux.

 

Alors son autodafé pris place à Qourtouba par la Porte Ouest dans le square public de la mosquée. Ses pages furent mises à feu après avoir été imbibé d'huile et une assemblée de gens de la masse de la ville assista à cette évènement. Puis il ('Alî Ibn Youssouf) tourna son attention vers son pays en entier, et leur ordonna de le brûler. Ainsi, le Maroc devint connu pour sa persévérance à le brûler en ce temps là. Puis le fait de le brûler fut une cause d'arrêt de leurs richesses, de propagation de la division et le fait qu'ils fassent constamment face à la défaite ».

 

Al-Hâfidh Adh-Dhahabî (rahimahoullah) a dit dans son recensement des paroles de ceux qui moururent en 537H :

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« 'Alî Ibn Youssouf Ibn Tashafin fut commandeur des croyants et un gouverneur du Maroc (à son époque). Il inclinait en faveur de la justice, de la pratique de la Religion, de l'adoration d'Allâh, du fait de garder une bonne conscience, en ayant une forte affection pour les savants et une haine farouche envers la rhétorique (al-kalam) et ceux qui s'y plongent. Lorsque les livres de Abû Hamid (Al-Ghazalî) lui parvinrent, il ordonna qu'ils soient brûlés et fut très ferme sur ce point. Cependant, il était oppressé et faible comparé aux gouverneurs chefs. A cause de cela, le mal des boissons alcoolisées se répandit dans sa région et on ne lui prêta point attention. Et il diminua d'adorer et Ibn Toumirat le pris d'assaut (s'abattit sur lui) et il fut suivit par son compagnon 'Abdul -Mou-min. »

 

 

 

Ibn Al-Djawzî (rahimahoullâh) a dit :

 

« 'Abul Wafa 'Alî Ibn 'Aqîl a dit : « Notre SHeikh 'Abul Fadl Al-Hamdhanî a dit : Les innovateurs en Islâm et les fabricateurs de ahadîth sont pires que les mécréants. Ceci car les mécréants essaient de corrompre la Religion de l'extérieur, tandis que ces individus essaient de la corrompre de l'intérieur. Ils sont tels les habitants d'un pays qui s'efforcent d'en corrompre l'état (de l'intérieur), alors que les mécréants sont tels un escadron faisant le siège du pays de l'extérieur. Ainsi ce sont ceux de l'intérieur qui ouvrent les portes des forteresses entourant le pays. Ce genre de personnes sont pires envers l'Islam que ceux qui ne s'y attribuent pas. » [4].

 

Je dis (Cheikh Rabi Ibn Hadi Al-Madkhali) :"que ce genre de paroles concernant les divers groupes (déviants) est un des attributs fondamentaux de l'Islâm. Et il n'y a pas de doute que ces innovateurs possèdent de bonnes caractéristiques. Cependant, ces grands savants n'en ont mentionné aucune d'entre elles, car les mentionner n'est pas une obligation.

Ainsi, il faisait partie de la méthodologie des pieux prédécesseurs de mettre en garde contre les livres qui détenaient en eux des innovations, en sauvegardant ainsi le manhaj (méthodologie) des musulmans de leurs effets nocifs et dangereux. Cela ne représente pas une forme d'injustice de la part d'un musulman, qui met en garde contre un livre, de mentionner les défauts qui y sont présents, car il met en garde les musulmans contre son mal. Ceci, même s'il ne cite aucune de ses bonnes qualités. Plutôt, c'est une injustice de sa part que de le dénigrer par des défauts qui ne sont pas présents dedans, même si l'auteur du livre est mécréant.

..............................Puis vint Abû Hamid al-Ghazalî et il écrivit un livre pour eux intitulé « Ihiya 'ouloum ud-dîn », basé sur les manières de ces gens. Et il le remplit de ahadîth inventés tout en étant bien au courant de leur fausseté. Il parla sur la science de l'invisible et se détacha des principes du fiqh. Et il dit des choses telles que : « Certes, les étoiles, le soleil et la lune, qu'Ibrâhîm avait vu, étaient en fait des lumières qui cachaient Allâh ». De telles choses ne sont nulle part mentionnée dans les sources de la science. Plutôt, cela fait partie du genre de discours basés sur des présomptions à propos de l'inconnu.

Et il dit dans son livre « Al-Moufsih bil-ahwal » : « Certes, dans leur état d'insomnie (état de veille), les Soufîs sont en présence des anges et des âmes des prophètes. Ils entendent leurs voix et ils tirent des bénéfices d'eux. Puis cette condition s'accroît jusqu'à être témoins d'images à des niveaux dont les limites atteignent les domaines (de l'écoute) de la Parole d'Allâh et de Son Décret. »

Les facteurs qui ont entraînés ces individus à écrire de tels livres étaient leur peu de connaissance de la Sounnah, de l'Islam et des ahadîth, ainsi que leur acceptation avide de ce qui leur plaisait des habitudes des gens (Soufîs). Et certes, ils n'étaient satisfaits par cela et ne l'approuvait que parce que l'adoration pour le zuhd (abstinence) soit encré dans leurs âmes. Ils ne voyaient pas de condition meilleure que la condition de ces gens (les Soufis) en ce qui concerne l'apparence, ni aucun discours plus pur que le leur tandis que dans le comportement des Salafs ils trouvaient un genre de rudesse et de dureté. Ainsi le détournement des gens et leur inclination vers ces individus (les Soufîs) étaient très importants."

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(1) : Note de l'éditeur : ces deux derniers livres sont les oeuvres du déviant Ibn 'Arabî, dont les savants l'ont déclaré être mécréants. Il ne doit pas être confondu avec Ibn al-'Arabî, qui fut l'un des grands savants de l'Islâm, se particularisant par le fîqh malikîte. Parmi les divers savants qui ont déclaré que Ibn 'Arabî était mécréant, était Sheikh ul-Islâm Ibn Taymiyyah. Ainsi, il n'est pas permis de se référer à ses travaux pour la science, ni d'y jeter un coup d'il pour soutenir ses propres vues. Et certes, nous avons vu beaucoup d'orateurs et de prêcheurs à Islâm contemporains référer leurs discours à ses travaux et le citer, ainsi que cela a été fait par Imrân Housseyn de Trinidad, donc prenez garde !

 

Cas longs passages ainsi que toutes les paroles des savants cites ci dessus sont tires du livre :

Kitâb Manhâj Ahl us-Sounnah fî naqdir-rijal wal-koutoub wat-tawâ'îf - De Sheikh Rabî' Ibn Hâdî al-Madkhalî

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Mouhydine ibn arabi, algérien ou tunisien

 

C'est Lui qui se révèle dans chaque visage, recherchée dans tous les signes, regardé par tous les yeux, adoré dans tous les objets de culte, et poursuivie dans l'invisible et le visible. Pas un seul de ses créatures ne peut manquer de le trouver dans sa nature primordiale et originale

 

lui aussi un philosophe qui est soufi je crois, mais lui aussi c'est un geni de l'andalousie , il ne m'ont jamais influencer coter religion, ma religion c'est le coran d'allah, mais il faut dire la verité, iils ont fait des travaux fascinant de philosophie

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dentdesagesse t trop dans extreme

 

car bruler les albuqari muslim ou autres qui sont des livre venu apres le prophete mohamed sws et sont donc des innovation baser sur des ont dit risque de faire du bruit

 

je pense quil faut cultiver les difference de point de vue dans le respct dieu tranchera entre les different suiveur de hadith que sont les sunnite chiite soufiste et kharajiste

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