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L'homme le plus puissant du monde


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Hu Jintao sacré homme le plus puissant du monde

 

Pour Forbes, le président chinois, qui occupait la deuxième place de son podium l’année dernière, est désormais l’homme le plus puissant du monde.

Il "exerce un contrôle quasi-dictatorial sur 1,3 milliard de personnes, un cinquième de la population mondiale", explique le magazine.

La Chine vient de ravir au Japon la place de deuxième économie du monde et Pékin refuse de se soumettre aux pressions américaines pour modifier son taux de change", poursuit Forbes qui rappelle que, selon certaines estimations, la Chine aura dépassé l’économie américaine dans 25 ans.

 

"Contrairement à ses homologues occidentaux, Hu peut détourner des rivières, construire des villes, mettre en prison des dissidents et censurer Internet sans ingérence des bureaucrates agaçants ou des tribunaux", note le magazine. AP

 

Le Figaro - International : Hu Jintao sacré homme le plus puissant du monde

 

Gallery: #1 Hu Jintao Powerful People - Forbes.com

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Sauf que Hu Jintao travaille pour l'essor et le bien de son pays.

La préoccupation première des nôtres est de se remplir les fouilles.:)

 

Alors le respect....

 

Mr Ladoz ne te le fait pas dire ;);)

 

Nul n'est respectable s'il ne se respecte pas d'abord lui-même .

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et les américains s'en foutent vu qu'ils dévaluent leur monnaie dans le même temps...double discours... :music_whistling:

 

Ben oui ...........

 

Sauf que , contrairement aux "fakhamatouhou" , "mawlahoum" , "sa7ib el soumouw", "siyadatouhou" et autres ........... qui obéissent à toutes les injonctions de l'oncle Sam , les Chinois leur ont bien fait comprendre que le double langage ne marchait pas avec eux et qu'ils ne réévalueront jamais leur monnaie tant que les Américains ne renoncent pas à faire fonctionner la planche à billet (qui équivaut à une dévaluation déguisée du dollar)

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  • 2 months later...

Obama revient à la charge sur le yuan,Hu reste ferme..

 

WASHINGTON (Reuters) -

Barack Obama a dit clairement à Hu Jintao ce qu'il pensait de la sous-évaluation du yuan et de la situation des droits de l'homme en Chine mais le président chinois n'a annoncé aucune concession mercredi à ces sujets.

 

Les présidents américain et chinois sont convenus de rechercher des terrains d'entente après une année 2010 marquée par des tensions sur les déséquilibres commerciaux, la Corée du Nord et une série d'autres questions.

 

Hu Jintao a été accueilli avec tout le faste d'une visite d'Etat: salve de 21 coups de canon, hymnes nationaux, garde d'honneur et dîner d'Etat à la Maison blanche. Mais au-delà du tapis rouge, des poignées de main et des sourires persistaient des divergences qui ne disparaîtront pas du jour au lendemain.

 

L'administration Obama a cependant pu s'enorgueillir de la signature de contrats entre Pékin et des entreprises américaines pour un montant total de 45 milliards de dollars, dont la vente de 200 avions Boeing, qui constitue la plus grosse commande de l'histoire de l'aviation civile.

 

"Nous avons montré que les Etats-Unis et la Chine, quand nous coopérons, peuvent en tirer des bénéfices substantiels", a dit Obama. "Nous voulons vous vendre tout un tas de trucs", a-t-il ajouté dans un sourire, insistant sur les 235.000 créations d'emploi que permettront ces contrats selon lui.

 

"J'AI ÉTÉ TRÈS FRANC"

 

À l'occasion d'une conférence de presse étrange par moments, Hu a attendu la deuxième question sur les droits de l'homme pour aborder le sujet, après, selon lui, un problème de traduction sur la première.

 

Le président chinois a souligné que son pays avait réalisé "d'énormes progrès" dans le domaine des droits de l'homme, même si "beaucoup reste à faire".

 

"J'ai été très franc avec le président Hu sur ces questions", a dit Obama, critiqué pour sa timidité sur les droits de l'homme lors de sa visite en Chine en 2009.

 

"J'ai redit au président Hu qu'en tant qu'Américains nous avions des idées solidement ancrées sur l'universalité de certains droits - la liberté d'expression, la liberté de religion, la liberté de réunion -, droits que nous pensons très importants et qui transcendent les cultures", a-t-il dit.

 

Obama a pressé Hu d'améliorer le dialogue avec les représentants du Dalaï Lama, le chef spirituel des Tibétains, ce qui a satisfait les partisans de la cause tibétaine. Le nom de Liu Xiaobo, dissident chinois emprisonné et prix Nobel de la Paix 2010, n'a en revanche pas été cité publiquement.

 

Hu devrait subir de nouveaux assauts sur la question des droits de l'homme jeudi lors de sa rencontre avec des parlementaires républicains et démocrates.

 

HU RESTE SILENCIEUX SUR LE YUAN

 

Le président chinois a été mutique sur la question du yuan, l'un des points sensibles entre les deux grandes puissances.

 

Washington accuse Pékin de volontairement laisser sa monnaie sous-évaluée afin de favoriser les exportations chinoises et, de ce fait, de porter atteinte à certains pans de l'activité économique américaine. Moins d'une semaine avant le début du sommet sino-américain, la banque centrale chinoise a relevé le cours pivot du yuan.

 

"J'ai dit au président Hu que nous avons apprécié les efforts faits par la Chine pour accroître la flexibilité de la devise du pays. Mais je lui ai également dit que le renminbi (l'autre nom de la monnaie chinoise) restait sous-évalué et qu'il fallait encore ajuster davantage le taux de change", a déclaré le président américain.

 

Une réévaluation du yuan entraînerait une hausse mécanique des prix des produits chinois et pourrait aider à réduire le déficit commercial américain de 270 milliards de dollars à l'égard de la Chine.

 

Hu Jintao n'apprécie pas les critiques étrangères sur sa politique monétaire, souligne Doug Smith, analyste de la banque Standard Chartered. "Je ne crois pas que cela serve à grand chose en pratique", dit-il, affirmant que le message d'Obama visait surtout le public américain.

 

Sur la question du nucléaire nord-coréen, les deux dirigeants sont convenus que Pyongyang devrait éviter à l'avenir de "nouvelles provocations" et Hu s'est, pour la première fois en public, inquiété du programme d'enrichissement d'uranium que poursuivrait la Corée du Nord.

 

Hu rechigne à exercer, comme le souhaitent les Etats-Unis, des pressions plus importantes sur son alliée pour qu'elle renonce à ses ambitions nucléaires militaires.

 

Le président chinois, arrivé mardi, doit se rendre à Chicago jeudi en fin de journée avant de repartir en Chine vendredi.

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Guest chebmourad

les chinois détiennent plus de 1000 milliards de dollar d'obligation us, on comprend pourquoi l'oncle sam n'est pas aussi autoritaire avec chang qu'avec le reste du monde..

 

les chinois ont pris ses c....en otage :D

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