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Finance islamique : quel avenir en Algérie ?


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Depuis un certain nombre d’années, la finance islamique suscite un grand intérêt à travers le monde et particulièrement dans les économies occidentales, où des institutions spécialisées dans ce type d’intervention sont installées.

 

L’Angleterre, la France et le Luxembourg sont les pionniers de la finance islamique en Europe. Au Maghreb, notamment en Algérie, ce type de financement connaît un développement timide malgré toutes les potentialités qui existent. Dans ce contexte, un forum consacrée à ce segment économique a été organisé, hier à l’hôtel Sheraton à Alger, ou les différents intervenants ont mis en exergue le rôle que pourrait jouer la finance islamique dans le développement et la croissance de l’économie algérienne, mais aussi les potentialités du marché algérien.

 

Ce qu’il faut savoir

 

Qu’est ce que la finance islamique, comment fonctionne ce mode de financement, quels sont les différents produits proposés ?

 

La finance islamique, en accord avec le droit musulman, est basée sur deux principes : l’interdiction de l’intérêt, appelé également usure, et la responsabilité sociale de l’investissement. Elle lie plus étroitement la rentabilité financière d’un investissement avec les résultats du projet concret associé. L’islam interdit les transactions faisant recours à l’intérêt (ribâ), à la spéculation (gharar) ou au hasard (maysir).

 

La différence entre la finance islamique et la finance traditionnelle c’est que la première répond strictement aux cinq critères, à savoir l’interdiction de l’intérêt, pas d’incertitude, pas de financement de certains secteurs jugés illicites, comme l’alcool, le principe qui stipule que toute transaction doit être sous-tendue par un actif tangible et, enfin, celui du partage des profits et des pertes entre les participants à une transaction financière. Pour rester dans la légalité islamique, les banques islamiques et les filiales islamiques des banques conventionnelles ont développé des mécanismes juridico-financiers. Ces derniers se fondent sur des concepts nommés « moudaraba », « mousharaka », « mourabaha », « ijara ».

 

Avec la « moudaraba », un promoteur peut mener un projet grâce à des fonds avancés par des apporteurs de capitaux dont la clé de répartition des gains et des pertes est fixée dans le contrat. Les apporteurs de capitaux supportent entièrement les pertes, les promoteurs ne perdant que le fruit de leur travail. Pour la banque islamique de développement, ceci est une forme de « partenariat où une partie apporte les fonds et l’autre (moudarib) l’expérience et la gestion. Le bénéfice réalisé est partagé entre les deux partenaires sur une base convenue d’avance, mais les pertes en capital sont assumées par le seul bailleur de fonds ».

Les partenaires (entrepreneurs, banquiers, etc.) contribuent aussi bien au capital qu’à la gestion des projets. Concernant la « mousharaka », les partenaires apportent les fonds, mais seulement l’un d’eux dispose de la charge de la gestion du projet.

 

La « mousharaka mutanaquissa » a été également développée par certains banquiers. Elle consiste à participer au financement de l’acquisition notamment d’un bien immeuble (d’habitation). Une grande partie des fonds (90%) est apportée par la banque et le reste (10%) par le particulier. La « mourabaha » est un « contrat de vente, entre un vendeur et un acheteur, par lequel ce dernier achète les biens requis par un acheteur et les lui revend à un prix majoré. Les bénéfices et la période de remboursement sont précisés dans un contrat initial. _ Un autre concept de la finance islamique qui est « l’ijara », est un mode de financement à moyen terme par lequel la banque achète des machines et des équipements puis en transfère l’usufruit au bénéficiaire pour une période durant laquelle elle conserve le titre de propriété de ces biens.

 

Le « sukuk » est l’équivalent islamique d’une obligation où l’intérêt devient un profit prévu à l’avance à risque quasi nul. Cette forme d’obligation est particulièrement utilisée pour les financements immobiliers.

 

« Takaful », un produit d’assurance islamique

 

« Takaful » est un concept islamique d’assurance qui est basé sur les « mou’amalat » (transactions bancaires islamiques) et qui respecte les normes et les règles de la charia (loi islamique). « Le takaful est basé sur la coopération, la responsabilité, la protection et l’assistance au sein d’un groupe de sociétaires. C’est une forme d’assurance mutuelle », a expliqué un responsable de la compagnie d’assurance Salama, dans une intervention lors du forum algérien de la finance islamique tenu hier à l’hôtel Sheraton.

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suite

 

Ce produit a été mis en place grâce à un partenariat entre la compagnie d’assurance Salama et la banque islamique Al Baraka qui a permis la création de la Banca Takaful. Ce produit a été conçu pour répondre aux exigences des consommateurs recherchant des produits « sharia compliant », compléter la chaîne de financement islamique par des couvertures en assurance conformes à la charia, mais aussi permettre des synergies de développement entre les banques islamiques et les opérateurs « takaful ».

 

Le crédit immobilier

 

Le financement du crédit immobilier par les banques islamiques demeure faible. Selon Abdelkader Beltas, P-DG de la Société de refinancement hypothécaire (SRH), environ 99% des crédits immobiliers octroyés par les banques sont à base d’un taux d’intérêt. « Même si tout le monde sait qu’emprunter de l’argent pour financer son logement est prohibé en Islam, les gens continuent à le faire faute de disponibilité de l’alternative, et ce en vertu du principe la nécessité lève l’interdit’’ », a-t-il expliqué, hier, dans son intervention lors du forum algérien de la finance islamique.

 

Selon l’intervenant, il existe une demande à rythme croissant pour le financement de l’immobilier selon les règles de la chari’a. M. Beltas a expliqué qu’il existe trois formules pour aider les ménages à acquérir leur logement à travers le système bancaire islamique, à savoir la « murabaha », « l’ijara » et « l’iqtina » et la « musharaka ».

 

Bourse d’Alger :vers l’émission des « sukuk »

 

L’introduction de nouveaux produits financiers comme les « sukuk », titres conformes à la charia (loi islamique) et dont la rémunération dépend des profits ou des pertes réalisés par l’émetteur, est « en cours d’étude », a affirmé, hier, le président de la Commission de supervision des opérations en Bourse (COSOB), Ismaïl Noureddine. « La Cosob a déjà examiné l’émission des sukuk, mais c’est un domaine qui mérite d’être détaillé », a-t-il précisé dans une déclaration à l’APS, en marge du forum algérien de la finance islamique.

 

Ce responsable a expliqué que ce volet s’inscrivait dans le cadre de la réforme du marché financier. Il a annoncé qu’« un débat national sera lancé dès 2011 » sur la réforme financière. « La place financière se penche sur les moyens d’arriver à l’émission de nouveaux produits de titres d’action pas des emprunts obligataires seulement, mais des sukuk aussi », a-t-il affirmé, tout en assurant que « la demande sur ce dernier type de titres en Algérie est énorme ». Les produits sous-jacents des « sukuk » peuvent être représentés par des contrats prévus par la finance islamique comme « l’ijara », « la musharaka » ou la « mudharaba ».

 

Un début timide

 

Part n La finance islamique en Algérie représente environ 1,5% du marché bancaire national, soit 15% du secteur privé, a indiqué Nacer Haïdar, secrétaire général d’Al Baraka Bank.

 

Ces dernières années, la finance islamique suscite un intérêt à travers le monde et particulièrement dans les économies occidentales, où s’installent des institutions spécialisées dans ce créneau. Selon Zoubeir Ben Terdeyet, directeur d’Isla Invest, un cabinet français de conseil en investissements financiers et immobiliers conformes aux principes de la charia, l’Algérie n’est pas en retard par rapport aux autres pays maghrébins. Au Maghreb, l’Algérie et la Tunisie sont en avance, tandis que le Maroc accuse un certain retard, la Libye en est à ses débuts et la Mauritanie à deux petites banques.

 

Toutefois, selon le secrétaire général d’Al Baraka Bank, qui intervenait lors d’une conférence de presse organisée par le centre de presse d’El Moudjahid, le marché de la finance islamique en Algérie « est faible comparativement à la valeur du marché bancaire ». Mais il y a une « volonté d’aller de l’avant », estime, pour sa part, M. Ben Terdeyet. Actuellement, il existe trois banques et une compagnie d’assurances qui appliquent la finance islamique en Algérie. Il s’agit d’El Baraka Bank (la première banque islamique installée en Algérie en 1991. Ses actionnaires sont la Banque de l’Agriculture et du Développement rural et le Groupe Dallah Al Baraka d’Arabie saoudite.

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suite et fin

 

Elle est membre de l’association des banques et établissements financiers), Essalem Banque, AGB, et la compagnie Salama Assurance. « Il y a aussi des banques publiques et même étrangères qui ont introduit dans leur système financier les pratiques et des produits répondant aux principes de la finance islamique. Ce n’est peut-être pas suffisant pour le marché algérien, dont l’expérience est relativement jeune en la matière, mais je suis rassuré car ce type de banque a une capacité de développement et de croissance très importante, ce qui va permettre à ce secteur de réaliser de bons résultats », a souligné M. Haïdar, en marge de cette conférence. Il faut noter que d’autres banques, à savoir Abou Dhabai Islamique (ADIB) et KFH Banque islamiques, attendent encore leur agrément pour investir en Algérie. Par ailleurs, il faut souligner que plus de 700 milliards de dollars d’actifs sont gérés dans le monde selon les principes de la charia et enregistrent une croissance de plus de 15% sur les dix dernières années. Aujourd’hui, il existe quelque 37 institutions financières qui opèrent en Afrique pour une population musulmane de 412 millions d’habitants.

 

Selon une étude réalisée par Moody’s, une agence de notation financière, le marché de la finance islamique en Afrique est aujourd’hui estimé à 235 milliards de dollars pour un volume actuel de 18 milliards, un potentiel de croissance important. Les pays de l’Asie tels que la Malaisie, sont au cœur de la croissance de la finance islamique dans le monde. Ils sont suivis de près par les pays européens tels que la Grande-Bretagne et l’Allemagne. La France, quant à elle, essaye « de prendre le train en marche pour développer la finance islamique en incitant des banques issues notamment des pays du Golfe, à venir s’y installer ».

 

Zobeir Ben Terdeyet [1] à InfoSoir : « L’Algérie pourrait devenir le hub de la finance islamique »

 

Propos recueillis par Brahim Mahdid

 

InfoSoir : Ce créneau reste peu exploité en Algérie…

 

M. Ben Terdeyet : C’est encore un terrain à exploiter, et c’est pour cela que nous organisons cette troisième édition de ce forum. Les acteurs sur place ont déjà fait un travail sur le terrain, mais ils ne peuvent toucher toute la population et ne peuvent aller dans toutes les régions du pays. Et on sait que dans certaines régions notamment dans le Sud, il y a beaucoup de gens qui sont intéressés par les produits islamiques, mais il y a aussi ceux qui ne les connaissent pas donc il y a une demande qu’il faut satisfaire. Il faut qu’il y ait de nouveaux acteurs et que les banques publiques et privées puissent développer des produits pour satisfaire cette demande. L’Algérie a aussi un rôle à jouer en tant que puissance économique dans la région du Maghreb mais aussi en Afrique. Avec ses excédents de liquidités, l’Algérie pourrait devenir le hub de la finance islamique, et on pourrait voir l’émission de sukuk et la cotation de sociétés privées qui aimerait trouver des financements respectueux de leurs valeurs pour leurs activités. La finance islamique pourrait dynamiser le marché financier algérien.

 

Quelles sont les perspectives de développement de ce segment en Algérie ?

 

Elles se font à deux niveaux. D’abord au niveau métier, il faut développer plus d’agences et d’acteurs sur le terrain, et le deuxième niveau c’est l’élaboration d’un programme de formation dans les universités et les écoles et pourquoi pas créer un mastère privé qui permettrait à l’Algérie d’attirer des étudiants étrangers mais surtout former ses cadres. On a besoin de formations pointues qui permettront à l’Algérie de rayonner. Actuellement il y a certains professeurs courageux qui proposent des cours de finance islamique au sein de leurs universités. En outre, il faut réfléchir à rendre la finance islamique vraiment proche des citoyens et réfléchir à des projets de microfinance pour le développement et ce, dans le but de lutter contre la précarité et la pauvreté.

 

Il faudrait également un cadre juridique adéquat…

 

Effectivement, il n’est pas adéquat en matière de reconnaissance des produits, mais on ne peut pas dire qu’il n’y a pas des aménagements. La Banque d’Algérie a tout de même fait des efforts, elle comprend un petit peu ce que c’est que la finance islamique. Maintenant on aimerait communiquer plus facilement sur le cadre réglementaire pour qu’il soit beaucoup plus accueillant surtout pour les futurs acteurs.

 

Récemment, le patron de Cevital a annoncé que son groupe pourrait recourir à la finance islamique...

 

Ce sera une belle expérience, ça prouve qu’il y a des compétences en Algérie et que ça peut marcher. Ça prouve aussi que c’est un financement viable, je salue le courage de M. Rebrab.

 

Notes

[1] Directeur général du groupe Isla-Invest

 

InfoSoir

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La finance Islamique : Une arnaque ?

 

Selon Timur Kuran, alors titulaire de la chaire « King Faisal Professor of Islamic Thought and Culture » de l’Université de Californie du Sud, l’économie islamique a échoué dans ses 3 objectifs : abolir l’intérêt, engendrer l’égalité économique et établir une éthique commerciale supérieure.

 

Sans que le monde extérieur en prenne vraiment conscience, une quantité d’argent importante et en croissance rapide est gérée aujourd’hui suivant la loi islamique, la charia. Selon une étude, «à la fin 2005, plus de 300 institutions de plus de 65 juridictions géraient des actifs d’une valeur globale de l’ordre de 700 milliards à un billion de dollars d’une manière compatible avec la charia».

 

L’idée a été forgée à l’origine par un intellectuel islamiste, Abul Ala Maududi (1903-79), pour qui l’économie islamique servait de moyen vers de nombreuses fins: minimiser les relations avec les non-Musulmans, renforcer le sentiment collectif d’identité musulmane, étendre l’Islam dans un nouveau domaine d’activité humaine et moderniser sans occidentaliser.

 

Les sciences économiques islamiques ont pris leur essor en tant que discipline universitaire vers la moitié des années 1960. Elles ont bénéficié d’un élan institutionnel pendant le boom pétrolier des années 1970, lorsque les Saoudiens et d’autres Musulmans exportateurs de pétrole, qui entraient alors pour la première fois en possession de fortes sommes d’argent, ont apporté un «vaste soutien» au projet.

 

Les partisans de l’économie islamique avancent deux propositions fondamentales: que le système capitaliste a échoué et que l’Islam fournit la solution. Pour évaluer cette dernière assertion, Kuran se penche avec beaucoup d’attention sur le fonctionnement concret de l’économie islamique et sur ses trois principales affirmations, à savoir qu’elle abolit l’intérêt sur l’argent, qu’elle engendre l’égalité économique et qu’elle établit une éthique commerciale supérieure. Sa conclusion est qu’elle échoue totalement à ces trois niveaux.

 

«Nulle part l’intérêt n’a disparu des transactions économiques et l’islamisation économique ne bénéficie nulle part d’un soutien massif». Les opérations exotiques et complexes de participation aux pertes et profits comme ijara, mudaraba, murabaha et musharaka font toutes intervenir des paiements d’intérêts déguisés. En fait, les banques qui se prétendent islamiques «ressemblent davantage aux autres instituts financiers modernes qu’à un quelconque héritage de l’Islam». Bref, il n’y a pratiquement rien d’islamique dans les pratiques bancaires islamiques – ce qui explique en grande partie pourquoi Citibank et d’autres grandes banques occidentales détiennent des dépôts conformes à l’Islam beaucoup plus considérables que les banques spécifiquement islamiques.

 

L’ambition de réduire les inégalités en imposant la zakat n’a réussi «nulle part». Kuran estime que cet impôt «ne génère pas nécessairement un transfert de ressources vers les pauvres et peut même en fait conduire à un transfert de ressources négatif pour eux». Pire encore, en Malaisie, l’imposition de la zakat, supposée aider les pauvres, semble plutôt servir de «prétexte fort commode pour promouvoir des objectifs islamiques et pour enrichir les responsables religieux».

 

«Le nouvel accent porté sur la morale économique n’a eu aucun impact sensible sur les comportements économiques». Ceci en raison du fait que, comme dans le socialisme, «certains éléments du programme économique islamique sont contraires à la nature humaine».

Kuran rejette la notion même de sciences économiques islamiques. «Il n’existe pas de manière spécifiquement islamique de construire un bateau, de défendre un territoire, de guérir une épidémie ou de faire des prévisions météorologiques», alors pourquoi l’argent ? Il conclut que l’importance de l’économie islamique réside non pas dans l’économie, mais dans l’identité et la religion. Ce projet «a promu la propagation de courants de pensées antimodernes (…) dans l’ensemble du monde islamique. Il a aussi favorisé la formation d’un milieu encourageant le militantisme islamiste».

 

En fait, l’économie islamique contribue à l’instabilité économique mondiale en «empêchant les réformes sociales et institutionnelles nécessaires à un développement économique sain». Ainsi, si les Musulmans avaient bel et bien l’interdiction de verser et de facturer des intérêts, ils seraient relégués «dans la marge de l’économie internationale.»

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«Le nouvel accent porté sur la morale économique n’a eu aucun impact sensible sur les comportements économiques». Ceci en raison du fait que, comme dans le socialisme, «certains éléments du programme économique islamique sont contraires à la nature humaine».

 

Je suis complétement d'accord. L'islam (et pas seulement l'économie islamique) et toutes les religions sont contraires a la nature humaine. D'ou leur échec a transformer les peuples.

 

Je comptais justement créer un topic de réflexion la dessus.

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Je suis complétement d'accord. L'islam (et pas seulement l'économie islamique) et toutes les religions sont contraires a la nature humaine. D'ou leur échec a transformer les peuples.

 

Je comptais justement créer un topic de réflexion la dessus.

 

les religions ne sont pas contraires à la nature humaines ... elles en sont différentes ... c'est pourquoi il y'a des personnes religieuses et d'autres non ... si elles étaient contraires personne ne serait religieux ...

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Je suis complétement d'accord. L'islam (et pas seulement l'économie islamique) et toutes les religions sont contraires a la nature humaine. D'ou leur échec a transformer les peuples.

 

Je comptais justement créer un topic de réflexion la dessus.

 

Qui décide de ce qu'est la nature humaine, si c'est les USA....? je suis d'accord l'Islam est contre la "nature Humaine". Le monde est dirigé par un modèle contraire à l'Islam mais il suffit de le changer. L' échec est du au faite qu' en face il y a des gens sans foi ni loi et au faite que l'Islam n'est plus appliqué par les musulman, c'est tout d'après moi

On ne peut faire un procès sans laisser l'accuser se défendre.

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Qui décide de ce qu'est la nature humaine, si c'est les USA....? je suis d'accord l'Islam est contre la "nature Humaine". Le monde est dirigé par un modèle contraire à l'Islam mais il suffit de le changer. L' échec est du au faite qu' en face il y a des gens sans foi ni loi et au faite que l'Islam n'est plus appliqué par les musulman, c'est tout d'après moi

On ne peut faire un procès sans laisser l'accuser se défendre.

 

feu Malek Bennabi en parlant de l'islam et des Musulmans ... a dit en décrivant l'état actuel de ceux-ci: çà fait longtemps que l'Islam fait cavalier seul ...

c.à.d. qu'Il n'est pas appliqué en tant que système global ...

je viens de terminer 49 épisodes de la série "Signs" ... je suis tout à fait optimiste pour l'avenir de l'Islam ... et les hommes seront toujours libres de choisir ... et accepter les conséquences de leur choix ... comme il est dit dans Le Saint Coran : point de contrainte en religion

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Qui décide de ce qu'est la nature humaine, si c'est les USA....? je suis d'accord l'Islam est contre la "nature Humaine"

C'est pas politique, c'est philosophique... c'est plus profond que cela.

 

.

L' échec est du au faite qu' en face il y a des gens sans foi ni loi et au faite que l'Islam n'est plus appliqué par les musulman,

 

Justement, d'où ma réflexion. L'Islam n'est pas appliqué parce qu'il n'est peut-etre pas applicable, il est au dessus de ce que peut supporter la nature humaine. J'ai ouvert un topic la dessus, je développerai mes idées apres.

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C'est pas politique, c'est philosophique... c'est plus profond que cela.

 

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Justement, d'où ma réflexion. L'Islam n'est pas appliqué parce qu'il n'est peut-etre pas applicable, il est au dessus de ce que peut supporter la nature humaine. J'ai ouvert un topic la dessus, je développerai mes idées apres.

juste une question: tu irais jusqu'à contredire Le Saint Coran qui justement dit tout à fait le contraire ...????

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feu Malek Bennabi en parlant de l'islam et des Musulmans ... a dit en décrivant l'état actuel de ceux-ci: çà fait longtemps que l'Islam fait cavalier seul ...

c.à.d. qu'Il n'est pas appliqué en tant que système global ...

je viens de terminer 49 épisodes de la série "Signs" ... je suis tout à fait optimiste pour l'avenir de l'Islam ... et les hommes seront toujours libres de choisir ... et accepter les conséquences de leur choix ... comme il est dit dans Le Saint Coran : point de contrainte en religion

 

Signs, je ne connais pas trop cette série mais je vais mis intéresser:

Dailymotion - The Signs (intro) - une vidéo Nachrichten & Politik

 

Sache que l'avenir de l'Islam est radieux (et il là toujours était pour moi) mon frère et pour le reste je place mon entière confiance en Dieu.

L'Islam c'est chacun pour "ca peau", les gens qui suivent l'Islam c'est pour eux même, l'Islam n'a besoin de personne. La liberté de choisir est à la base des religions. La foi ne peut être transmise par la force. Il n'a jamais été question d'imposer l'Islam au monde par la contrainte, et cela ne fera que des "hypocrite" en plus. Dans le sens que l'on peut se dire musulman sans croire en Dieu par exemple.

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Signs, je ne connais pas trop cette série mais je vais mis intéresser:

Dailymotion - The Signs (intro) - une vidéo Nachrichten & Politik

 

Sache que l'avenir de l'Islam est radieux (et il là toujours était pour moi) mon frère et pour le reste je place mon entière confiance en Dieu.

L'Islam c'est chacun pour "ca peau", les gens qui suivent l'Islam c'est pour eux même, l'Islam n'a besoin de personne. La liberté de choisir est à la base des religions. La foi ne peut être transmise par la force. Il n'a jamais été question d'imposer l'Islam au monde par la contrainte, et cela ne fera que des "hypocrite" en plus. Dans le sens que l'on peut se dire musulman sans croire en Dieu par exemple.

 

disons que c'est une série qu'il faut prendre comme base de données ... à analyser ... recouper ... etc,etc, ... mais sincèrement je tire chapeau à celui qui a fait le boulot ... baraka ALLAH fih ....!

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C'est pas politique, c'est philosophique... c'est plus profond que cela.

 

Je suis d'accord, quand je dit Usa il faut voir plus large....

 

Justement, d'où ma réflexion. L'Islam n'est pas appliqué parce qu'il n'est peut-etre pas applicable, il est au dessus de ce que peut supporter la nature humaine. J'ai ouvert un topic la dessus, je développerai mes idées apres.

 

Par contre là je ne peut être d'accord. J'ai lu le topic que tu ouvert, mais je ne comprend pas pourquoi tu compare des pays pauvres avec des pays riches.

 

Je reviendrai sur ton topic plus tard mais là je n'est pas trop compris.

 

Désolé pour le hors sujet:D

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Je suis d'accord, quand je dit Usa il faut voir plus large....

 

 

 

Par contre là je ne peut être d'accord. J'ai lu le topic que tu ouvert, mais je ne comprend pas pourquoi tu compare des pays pauvres avec des pays riches.

 

Je reviendrai sur ton topic plus tard mais là je n'est pas trop compris.

 

Désolé pour le hors sujet:D

 

Pays pauvre,pays riche, pour dire que c'est le matériel et non le spirituel qui mène l'Homme vers la prospérité.

 

Mazla ma kamelt. :D

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Je suis complétement d'accord. L'islam (et pas seulement l'économie islamique) et toutes les religions sont contraires a la nature humaine. D'ou leur échec a transformer les peuples.

 

Je comptais justement créer un topic de réflexion la dessus.

tiens.....et moi qui coyais que c'est l'islam qui a transformé les peu:confused:ples d'arabie pour ne plus enterrer leur filles vivantes...

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