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La france coloniale frappe encore...


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À plusieurs reprises la France a empêché la Minurso de s'occuper du volet des droits de l'Homme au Sahara Occidental et dernièrement , elle a empêché une enquête onusienne sur les évènements d'Al Ayoun et quand je dis ça , je dis la vérité , je ne parle que de faits vérifiés et vérifiables sans aucune haine !

 

 

La source ?

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Mission d’enquête au Sahara occidental : La France use de son veto au Conseil de sécurité

 

Le Conseil de sécurité a déploré mardi la violence qui a caractérisé les derniers évènements qui se sont produits la semaine dernière dans les camps sahraouis, mais la demande d’une mission d’enquête de l’ONU sur place a été refusée par la France, a déclaré mardi soir le représentant du Front Polisario à l’ONU, Ahmed Boukhari, à l’issue de la réunion.

 

Jeudi 18 Novembre 2010

 

Le Conseil de sécurité de l’ONU a tenu mardi après-midi une réunion, qui a duré plus de trois heures, consacrée aux derniers événements tragiques au Sahara occidental suite à l’assaut militaire marocain contre des camps sahraouis, durant laquelle deux rapports ont été présentés respectivement par l’envoyé personnel du secrétaire général des Nations unies pour le Sahara occidental, Christopher Ross, qui a fait une présentation sur les dernières étapes du processus des négociations entre le Front Polisario et le Maroc, et par le Département des opérations de maintien de la paix de l’ONU.

 

 

Dans sa présentation du rapport, le Département des opérations de maintien de la paix « a clairement indiqué aux membres du Conseil de sécurité que la Mission des Nations unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (Minurso) a été empêchée par le Maroc de s’enquérir et de connaître les détails sur l’assaut militaire lancé par les forces marocaines contre les camps sahraouis et n’a pu, en conséquence, faire une présentation complète sur ces événements tragiques », a indiqué le responsable sahraoui. Ce qui a justifié la demande de plusieurs membres du Conseil de sécurité de soutenir la proposition d’envoyer une mission d’enquête sur place.

 

Malheureusement, « cette proposition n’a pu aboutir en raison du refus de la France qui a été le seul membre du Conseil de sécurité à s’opposer, lors de cette réunion, à l’envoi de cette mission d’enquête », a souligné M. Boukhari qui considère que « la France a peur de la vérité. Sinon comment justifier autrement son attitude ».

 

 

Par ailleurs, le Conseil de sécurité a autorisé son président, Sir Mark Grant Lyall, à souligner à la presse, à l’issue de la réunion, que le Conseil de sécurité « déplorait la violence qui a eu lieu lors des événements de la semaine passée dans les camps sahraouis », a souligné le représentant sahraoui. Pour M. Boukhari, les résultats de la réunion du Conseil de sécurité s’assimilent au « verre à moitié plein et à moitié vide ». Néanmoins, avance le responsable sahraoui, « nous allons continuer, sans relâche, à demander la nécessité de l’envoi d’une mission d’enquête comme nous allons également continuer à demander l’introduction d’un mécanisme de protection des droits de l’homme au sein de la Minurso, dont la mise en place s’avère de plus en plus impérieuse étant donné les développements des évènements qui ont eu lieu au Sahara occidental ».

 

El-Watan

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Loool El Watan oui bien sûr, bref laisse tomber pourquoi pas echourouk aussi

Je ne suis pas ici pour loler avec ceux qui méprisent tout ce qui est algérien , j'ai répondu au post qui m'accuse de faire du "1 poids 2 mesures" !

Tout comme l'Algérie finance le Polisario pour empêcher le Maroc d'avoir accès à la façade atlantique s'il jamais il prend le contrôle de tout le Sahara occidental, je n'aime pas beaucoup ce 1 poids 2 mesures dès qu'il s'agit de critiquer la France ou l'Occident et de ne pas balayer devant sa porte ...

El Watan est une source qui vaut bien le Figaro ou TF1 , pourquoi dois-je faire plus confiance à des médias autres que algériens !

Dans l'article , le représentant du Front Polisario à l’ONU, Ahmed Boukhari, accuse nommément la France sans que celle ci ni ses médias ne réagissent , je ne crois pas que les autorités françaises seraient restées muettes devant des accusations mensongères !

Qui ne dit mot consent!

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C'est faux et surtout malhonnête de comparer l'aide algérienne au Polisario avec l'aide française au makhzen marocain !

L'Algérie s'inscrit dans le droit international dans son soutien à la cause sahrawie ; il faut rappeler que le Sahara Occidental est inscrit à la IVème Commission de l'ONU qui s'occupe des territoires à décoloniser et qu'on accueille à Tindouf , des refugiés qui ont fui leur pays occupé !

Si l'Algérie soutenait les indépendantistes sahrawis en dehors du droit , certains pays membres parmanents du C.S. de l'ONU ne se seraient pas privés de nous coller des résolutions qui nous mettraient au ban des Nations !

Vrai

.... le beylek Algerien

.... ne dispose pas

.... des memes moyens

.... que l'Etat Francais

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Le Conseil de sécurité s’est limité à déplorer la violence des événements d’El-Ayoune

 

Paris a réaffirmé mardi son soutien inconditionnel à Rabat, dans le conflit du Sahara occidental, en usant de son droit de veto pour empêcher la condamnation par le Conseil de sécurité de l’ONU de l’agression par les forces marocaines des civils sahraouis du camp de Gdem-Izik, le 8 novembre dernier, et l’envoi d’une mission d’enquête sur les lieux.

 

Sans surprise, le Conseil de sécurité des Nations unies n’a pu aller au bout de sa mission mardi en traitant la violence qui a caractérisé les derniers événements qui s'étaient produits le 8 novembre 2010 dans le camp de Gdem-Izik, où s’étaient réfugiés plus de 25 000 Sahraouis pour protester contre l’occupation marocaine.

 

La France est passée par-là. L’organe exécutif de l’ONU a tout juste déploré la violence dont ont usé les forces marocaines sans toutefois les condamner.

 

Pis, la demande de l'envoi d'une mission d'enquête de l'ONU sur place a été refusée par la France, qui a usé de son droit de veto pour ce faire.

 

Au cours de cette réunion, qui a duré plus de trois heures, deux rapports ont été présentés respectivement par l'envoyé personnel du secrétaire général des Nations unies pour le Sahara occidental, Christopher Ross, qui a fait une présentation sur les dernières étapes du processus des négociations entre le Front Polisario et le Maroc, et par le Département des opérations de maintien de la paix de l'ONU. Selon Ahmed Boukhari, le représentant du Front Polisario à l’ONU le Département des opérations de maintien de la paix a clairement indiqué dans son rapport “aux membres du Conseil de sécurité que la mission des Nations unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental (Minurso) a été empêchée par le Maroc de s'enquérir et de connaître les détails sur l'assaut militaire lancé par les forces marocaines contre les camps sahraouis et n'a pu, en conséquence, faire une présentation complète sur ces événements tragiques”.

 

Suite à cette révélation, plusieurs membres du Conseil de sécurité ont soutenu la proposition d’envoyer une mission d’enquête sur place. “Cette proposition n’a pu aboutir en raison du refus de la France qui a été le seul membre du Conseil de sécurité à s’opposer, lors de cette réunion, à l’envoi de cette mission d’enquête”, a indiqué Boukhari, qui estime que “la France a peur de la vérité. Sinon comment justifier autrement son attitude”. S’exprimant lors de la réunion, le président de l’organe exécutif de l’ONU, Sir Mark Grant Lyall, a exprimé “le soutien du Conseil de sécurité à la Minurso et à la mission qui lui est dévolue, et a demandé aux deux parties au conflit (Front Polisario et Maroc) de rester engagés dans le processus des négociations sous l'égide de l'ONU”. Il a également déclaré à la presse, à l'issue de la réunion, que le Conseil de sécurité “déplorait la violence qui a eu lieu lors des événements de la semaine passée dans les camps sahraouis”.

 

Le Front Polisario prend donc note des regrets exprimés par le Conseil de sécurité et considère que la tenue de cette réunion du Conseil signifiait que ce dernier avait “décidé d'étudier la situation vu la gravité de ces événements”, mais, “regrette que la proposition d'envoi d'une mission d'enquête n'eut pas été retenue pour le moment en raison de l'opposition de la France”, a déclaré Ahmed Boukhari.

 

Il ajoutera que “nous allons continuer, sans relâche, à demander la nécessité de l'envoi d'une mission d'enquête comme nous allons également continuer à demander l'introduction d'un mécanisme de protection des droits de l'Homme au sein de la Minurso, dont la mise en place s'avère de plus en plus impérieuse étant donné les développements des événements qui ont eu lieu au Sahara occidental”. Il insistera sur le fait que “le soulèvement populaire historique du peuple sahraoui dans les territoires occupés contenait un message fort adressé à la communauté internationale pour accélérer le processus de décolonisation à travers l’organisation d'un référendum d’autodétermination pour que le peuple sahraoui choisisse librement son destin”.

 

Liberte

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La France accusée de s'être opposée à une enquête de l'ONU

 

17/11/2010 à 16h:15 Par La rédaction web de Jeune Afrique

 

Le Conseil de sécurité de l'ONU a "déploré" les violences lors du démantèlement du camp de Gdeim Izik, près de Laayoune, mais n'a pas ouvert d'enquête comme le réclamait le Front Polisario. Selon l’organisation sahraouie et des sources diplomatiques, Paris s'y serait opposé.

 

Il n'y aura pas d'enquête de l'ONU sur l'assaut par les forces de l'ordre marocaines du camp de protestataires Sahraouis de Gdeim Izik, près de Laayoune, le 8 novembre. Douze personnes avaient été tuées dont dix membres des services de sécurité selon Rabat, alors que le Front Polisario fait état de « dizaines de morts » civils.

 

Après une réunion à huis clos mardi 16 novembre, le Conseil de sécurité a simplement « déploré » les violences survenues lors de cet épisode, et n'a donc pas souhaité ouvrir une enquête sur le sujet, comme le réclamait le Front Polisario. Le Maroc avait déjà fait savoir qu'il s'opposait à cette éventualité.

 

Paris appuie Rabat

 

D'après le Front Polisario, la position de Rabat a été défendue fermement par la France à New York. L'organisation « regrette profondément que la France, membre permanent du Conseil de sécurité et ayant droit au veto, se soit opposée vigoureusement à la volonté manifeste exprimée par les autres membres du Conseil en vue de l’envoi rapide d’une commission internationale d’enquête », écrit-elle dans un communiqué publié à Alger mercredi.

 

Cette version est confirmée à demi-mots par une source diplomatique anonyme citée par le quotidien français Le Monde, dans son édition datée de jeudi 18 novembre. « Sous la pression de certains membres permanents, traditionnellement favorables au Maroc, il a été décidé que la moindre déclaration forte serait contre-productive car elle risquerait de pousser l'une des deux parties à adopter des mesures drastiques, voir à exiger le départ de l'ONU du territoire », confie-t-elle.

 

L'idée d'élargir le mandat de la Mission des Nations unies au Sahara occidental (Minurso) à la vérification du respect des droits de l'homme, soutenue par certains pays, n'a pas non plus été retenue par le Conseil de sécurité.

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Sahara occidental : la France soutient le Maroc à l’Onu

 

Paris s’est opposée à l’élargissement du mandat de la Minurso aux questions de droits de l’homme

 

lundi 4 mai 2009 / par Stéphane Ballong

 

Le Conseil de sécurité des Nations unies a adopté, jeudi, à New York, la résolution 1871, prolongeant d’un an le mandat de la Mission de l’Onu pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (Minurso).

 

Cette réunion devait également décider de l’extension du mandat de cette force aux questions des Droits de l’homme comme l’ont demandé plusieurs organisations, mais la France s’y est opposée.

 

« S’il n’y a pas aujourd’hui de solution politique ou de référendum au Sahara [occidental], c’est principalement à cause de la France ». Ahmed Boukhari, le représentant du Front Polisario à l’Organisation des Nations unies, n’a pas mâché ces mots, jeudi, à New York, après une réunion du Conseil de sécurité portant sur le Sahara occidental, vis-à-vis de l’Hexagone. Celle-ci s’est opposée à l’élargissement du mandat de la force des Nations unies au Sahara occidentale (Minurso) aux questions de droits de l’homme.

 

Le mandat de la Minurso prolongé d’un an

 

Le Front Polisario, le mouvement indépendantiste du Sahara occidental, ancienne colonie espagnole, souhaitait que la surveillance du respect des droits de l’homme soit incluse dans les missions de la Mission de l’Onu pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (Minurso). Mais le Conseil de sécurité des Nations Unies s’est contenté, dans la résolution 1871 qu’elle a adoptée, de prolonger d’un an le mandat de la Minurso, qui arrivait à expiration le 30 avril. Elle a aussi demandé au Maroc et au Front Polisario, qui se disputent depuis une trentaine d’années le Sahara occidental, aujourd’hui occupé par le Royaume chérifien, de « négocier sans conditions préalables et de bonne foi ». Le mois dernier, Christopher Ross, l’envoyé spécial de Ban Ki-moon, avait préconisé « des discussions informelles » et des « préparatifs minutieux », avant l’ouverture de négociations officielles. Le Conseil de sécurité soutient cette recommandation. Mais au sujet du respect des droits de l’homme, en raison de l’opposition de la France, il a juste adopté un texte mentionnant la nécessité de « réaliser des progrès concernant la dimension humaine du conflit ».

 

La France favorable au plan d’autonomie marocain

 

Pourtant, en mars dernier, un rapport de la délégation ad hoc pour le Sahara Occidental du Parlement européen s’est inquiété de la situation des droits de l’homme qui prévaut dans ce territoire et a suggéré que la Minurso s’occupe de ce problème dans la région. Plusieurs autres organisations, parmi lesquelles l’Ong Human Right Watch, avaient déjà fait des recommandations similaires après avoir dénoncé la situation déplorable des droits de l’homme au Sahara occidental.

 

Pour justifier la position de son pays, l’ambassadeur de la France aux Nations-Unies, Jean-Maurice Ripert, interrogé par Le Monde, a déclaré qu’il a privilégié « un texte consensuel qui évite les sujets controversés entre les parties. » La France, pro-marocaine, est favorable au plan d’autonomie proposé par le Royaume chérifien en 2007. Cette proposition qui écarte toute idée d’indépendance est catégoriquement refusée par le Front Polisario.

 

© afrik.com

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MINURSO

Mission des Nations Unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental / United Nations Mission for the Referendum in Western Sahara

 

début: 29 avril 1991

 

Chronologie

 

17 novembre 2010

 

Le Front Polisario exige une commission d’enquête - Le Front Polisario salue dans un communiqué la tenue d’une session spéciale du Conseil de sécurité sur les évènements de Laâyoune, mais « regrette profondément que la France, membre permanent du Conseil de sécurité et ayant droit au veto, se soit opposée vigoureusement à la volonté manifeste exprimée par les autres membres du Conseil en vue de l’envoi rapide d’une commission internationale d’enquête ».

Le démantèlement du camp de Gdim Izik aurait entraîné la mort de 12 personnes selon le Maroc, mais en aurait tué « des dizaines » selon le Front Polisario.

 

17 novembre 2010

 

Le Conseil de sécurité déplore l’usage de la violence par les forces marocaines - Le Conseil de sécurité a déploré hier « la violence » lors de l’assaut du 8 novembre des forces marocaines contre un camp sahraoui au sud de Lâayoune. Le Conseil a notamment appelé le Maroc et le Front Polisario à « faire preuve de davantage de volonté politique pour trouver une solution ». Par ailleurs, un expert du groupe Human Rights Watch, Philippe Bolopion, a précisé que la MINURSO était « la seule mission de maintien de la paix de l’ONU dépourvue d’une composante sur les droits humains ». M. Bolopion a également souligné que « malgré les tentatives de plusieurs membres du Conseil de sécurité d’élargir le mandat de la MINURSO, l’opposition constante du Maroc, soutenue par la France, a jusqu’ici fait échouer cette idée ».

 

 

MINURSO - Mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental / United Nations Mission for the Referendum in Western Sahara

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Sahara occidental: le Conseil de sécurité "déplore la violence"

 

NEW YORK (Nations unies) - Le Conseil de sécurité des Nations unies a "déploré la violence" lors de l'assaut le 8 novembre des forces de l'ordre marocaines contre un camp sahraoui au Sahara occidental, un territoire annexé par le Maroc.

 

Le Conseil de sécurité, dans une déclaration adoptée mardi, "a déploré la violence" et appelé le Maroc et le Front Polisario à "faire preuve de davantage de volonté politique pour trouver une solution". Il a également exprimé son soutien à la mission des Nations unies au Sahara occidental, la Minurso, et à l'envoyé spécial de l'ONU, Christopher Ross.

 

Le 8 novembre, les forces marocaines ont démantelé le camp de toile de Gdim Izik, au sud de Lâayoune, chef-lieu du Sahara occidental, où des dizaines de milliers de Sahraouis s'étaient installés depuis la mi-octobre pour protester contre leurs conditions de vie.

 

Selon le Maroc, douze personnes ont été tuées dont dix parmi les forces de l'ordre lors du démantèlement du camp.

 

Le Front Polisario qui réclame l'indépendance du Sahara occidental et milite pour la tenue d'un referendum d'autodétermination, a fait état pour sa part de "dizaines de morts" et de plus de 4.500 blessés au cours de violences qui ont suivi le démantèlement.

 

Alors que certains réclament un engagement plus fort de l'ONU sur la question de cette ancienne colonie espagnole annexée par le Maroc en 1975, le Conseil de sécurité n'a pas mentionné dans sa déclaration les appels d'Etats ou d'ONG en faveur de l'extension du mandat de la Minurso pour veiller au respect des droits de l'homme dans le territoire.

 

"La Minurso est la seule mission de maintien de la paix actuelle de l'ONU dépourvue d'une composante sur les droits de l'homme", observe Philippe Bolopion, de Human Rights Watch.

 

"Malgré les tentatives au cours des deux dernières années de plusieurs membres du Conseil de sécurité pour élargir le mandat de la Minurso, l'opposition constante du Maroc, soutenue tout spécialement par la France, a jusqu'ici fait échouer cette idée" , dit-il.

 

L'ambassadeur d'Ouganda auprès des Nations unies Ruhukana Ruganda a décrit mardi "une situation grave" au Sahara occidental et a soutenu la demande du Polisario pour qu'une mission d'enquête indépendante ou émanant des Nations unies soit désignée sur les violences à Gdim Izk.

 

"Il y a eu un incident ou des incidents. On nous dit que plusieurs personnes ont été tuées, que plusieurs ont été blessées et que d'autres sont portées disparues mais nous n'avons pas de sources fiables" sur ces événements, a déclaré M. Ruganda, dont le pays est l'un des trois pays africains membres du Conseil de sécurité.

 

L'attaque contre le camp "démontre la nécessité de suivre la situation des droits de l'homme au Sahara occidental car des incidents nous ont été rapportés mais nous ne disposons pas de moyens de vérification appropriés", a-t-il ajouté.

 

L'ambassadeur du Maroc auprès des Nations unies Mohammed Loulichki a déclaré que "le Maroc (n'avait) absolument rien à cacher" et "avait donné toutes les informations" en sa possession.

 

Le représentant du Polisario à l'ONU Ahmed Boukari a de nouveau demandé une enquête sur les événements de Gdim Izk "pour connaître la vérité". "Car (cela) aura un impact direct sur la poursuite du processus de paix en cours", a-t-il déclaré.

 

M. Boukari avait annoncé lundi avoir remis une lettre au Conseil de sécurité demandant une enquête, menaçant de ne pas poursuivre les négociations en cours avec le Maroc.

 

Le 8 et 9 novembre, la Maroc et le Polisario ont tenu une troisième série de discussions informelles dans la banlieue de New York sous l'égide de l'ONU. Les deux parties ont convenu de se revoir en décembre puis au début de l'année prochaine.

 

©AFP / 17 novembre 2010

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Les choses sont claires.Il n'y a que les politiques français pour cavaler pour secourir le félon m6 et sa cohorte de colons.Les autres ne sont pas assey bêtes pour prendre autant de risques. ;)

 

La france d'aujourd'hui est perçu comme un régime néo-colonialiste.Elle inspire la méfiance partout .Dommage pour la patrie hébergeuse de la déclaration des droits de l'homme.Sa réputation a pris un gros coup et son image est ternie durablement. :(

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la position pro marocaine des français (vrais décisionnaires sur la question) n’obéit qu’a leur intérêts géostratégiques elle n’est guère motivée par un souci de justice encore moins pour les baux yeux de MOUH6

donc attention, "le vent français" peut tourner a tout moment en faveur de l’indépendance du SO

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la position pro marocaine des français (vrais décisionnaires sur la question) n’obéit qu’a leur intérêts géostratégiques elle n’est guère motivée par un souci de justice encore moins pour les baux yeux de MOUH6

donc attention, "le vent français" peut tourner a tout moment en faveur de l’indépendance du SO

Je n'ai jamais pensé le contraire ; la France soutient la colonisation du Sahara Occidental pour les richesses minières et halieutiques et pour contenir la prétendue hégémonie algérienne dans la région !

On ne peut pas non plus mettre sur le même plan la position algérienne avec celle de la France car cette dernière a vraiment besoin des richesses de la Françafrique pour maintenir son train de vie alors que l'Algérie n'a pas exploré le dixième de son territoire , c'est un pays continent qui n'a nullement besoin d'expansion quant à l'accés sur l'Atlantique , l'Algérie n'a pas besoin du SO , elle peut y accéder par la Mauritanie!

Avant , les soutiens de la colonisation du S.O. brandissaient le spectre des ports soviètiques sur l'Atlantique , aujourd'hui on assimile l'AQMI au Polisario , je constate une chose , malgré les boulversements géo-stratégiques et les changements de positions des uns et des autres , la position algérienne n'a pas changé d'un iota !

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Je n'ai jamais pensé le contraire ; la France soutient la colonisation du Sahara Occidental pour les richesses minières et halieutiques et pour contenir la prétendue hégémonie algérienne dans la région !

On ne peut pas non plus mettre sur le même plan la position algérienne avec celle de la France car cette dernière a vraiment besoin des richesses de la Françafrique pour maintenir son train de vie alors que l'Algérie n'a pas exploré le dixième de son territoire , c'est un pays continent qui n'a nullement besoin d'expansion quant à l'accés sur l'Atlantique , l'Algérie n'a pas besoin du SO , elle peut y accéder par la Mauritanie!

Avant , les soutiens de la colonisation du S.O. brandissaient le spectre des ports soviètiques sur l'Atlantique , aujourd'hui on assimile l'AQMI au Polisario , je constate une chose , malgré les boulversements géo-stratégiques et les changements de positions des uns et des autres , la position algérienne n'a pas changé d'un iota !

 

 

 

Faudrait remettre tes fiches à jour la Franceafrique c'est fini depuis bien longtemps, tous les échanges se font avec la zone euro l'Afrique reste anecdotique pour les exportations françaises et ça fait biiiiien longtemps qu'elle n'importe plus rien d'Afrique

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Faudrait remettre tes fiches à jour la Franceafrique c'est fini depuis bien longtemps, tous les échanges se font avec la zone euro l'Afrique reste anecdotique pour les exportations françaises et ça fait biiiiien longtemps qu'elle n'importe plus rien d'Afrique

aynazppr75, pourquoi alors cette concurrence entre chinois et français pour l'Afrique ?

et que fait Areva au Niger ? et que font les autres compagnies pétrolières en Afrique ?

et l'accord de pêche entre l’UE et le maroc ?

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aynazppr75, pourquoi alors cette concurrence entre chinois et français pour l'Afrique ?

et que fait Areva au Niger ? et que font les autres compagnies pétrolières en Afrique ?

et l'accord de pêche entre l’UE et le maroc ?

 

 

Je parle de macroéconomie pas de ressources énergétiques, la France et les autres pays diversifient leurs approvisionnements mais au niveau global tous les échanges économiques qui constituent la richesse nationale se font dans la zone UE

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Les USA condamnent le régime alaouite repressif.

 

Les américains ne pratiquent pas la politique de l'autruche comme la france coloniale.

 

 

 

Sahara occidental

 

Les Etats-Unis désavouent le Maroc sur les évènements d’Al Ayoune

 

Contrairement aux thèses non fondées du régime marocain, qui tente de faire accréditer la thèse que le Sahara occidental tend à devenir une base arrière d’Al Qaïda, et ce, pour justifier ses actes génocidaires contre le peuple sahraoui, Daniel Benjamin, ambassadeur américain à l’ONU

 

et coordonnateur du département d’Etat pour la lutte contre le terrorisme, a déclaré ce vendredi «n’avoir aucune preuve des raisons stratégiques pour soutenir les sous-entendus de Rabat pour justifier la violence et la répression à Al Ayoune, capitale occupée du Sahara occidental».

 

C’est ce que rapporte le journal espagnol ABC dans son édition de mercredi. L’ambassadeur spécial est revenu sur les derniers événements qui ont secoué la ville d’Al Ayoune occupée en déclarant que

 

«les événements de la semaine dernière se sont déroulés dans la violence politique traditionnelle, que nous avons vue depuis longtemps». Le représentant des Etats-Unis a fait référence à la violence et à la répression exercée par le Maroc au Sahara occidental depuis plus de 35 ans.

 

S’agissant des accusations marocaines contre le Sahara occidental par rapport à l’implication d’une partie de sa population dans le terrorisme, Benjamin Daniel explique : «Nous sommes toujours préoccupés par la possibilité d’extension des opérations d’Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), mais franchement je ne vois pas d’évolution dans ce domaine. Nous n’avons pas la preuve que cela puisse se passer», a-t-il constaté.

 

Les déclarations de M. Daniel sont un coup dur pour le régime marocain qui perd chaque jour du terrain, et qui se trouve dans une situation des plus critiques sur le plan continental, mais aussi international. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle l’envoyé permanent du Maroc à l’ONU n’a pas lésiné en utilisant des propos et des thèses fallacieuses et déversé son venin sur l’Etat sahraoui, mais aussi et surtout sur l’Algérie que son régime continue d’accuser.

 

L’employé du Makhzen ne s’est pas arrêté en si bon chemin : il a poussé les limites du ridicule diplomatique jusqu’à dire que «la réunion du Conseil de sécurité n’est qu’un briefing !». L’autre bourde du diplomate réside dans le mensonge grotesque avoué sans rougir qu’il n’y a pas eu de proposition de commission d’enquête ! Le ridicule va jusqu’à défendre la France qui a pourtant brandi son veto pour s’opposer à la mise sur pied d’une commission d’enquête onusienne sur les événements d’Al Ayoune.

 

Le représentant marocain à l’ONU a, à travers cette série de mensonges et de divagations, avoué l’impuissance et les manœuvres malsaines de son régime en s’attaquant à l’Algérie, laquelle ne fait que respecter les lois internationales en soutenant le droit des Sahraouis à l’autodétermination. Noyer le poisson dans l’eau est une façon de lui donner vie, et un signe du degré de stérilité intellectuelle et de ridicule de la part du pion du roi.

 

Mohammed VI, le roi et son fou ont fait faux bond pour la énième fois et deviennent une fois de plus la risée du monde occidental. Il faut rappeler en effet que des manifestations gagnent chaque jour les capitales des pays occidentaux pour exiger du Maroc le respect des lois et conventions internationales.

 

Baraka:La face cachée du makhzen marocain!***المخزن يعاقب خدامه في الحياة والم

 

makhzénistes cardiaques s'abstenir....:mdr: :w00t2:

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Pas compliqué pourtant, les ricains pensent que le Sahara est peuplé de terros voilà pourquoi il renvoie dos à dos les marocos et les algériens et laisse agir l'ONU pour régler la question du Sahra occidental

 

Tu sous-estime les amerloques. ;)

 

Ils savent tout sur le maghreb ou l'afrique.Ils laissent l'ONU agir car ils "respectent" la légalité internationale (t'as lu les déclarations de leur représentant officiel) et poussent la france à l'erreur. :cool:

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Tu sous-estime les amerloques. ;)

 

Ils savent tout sur le maghreb ou l'afrique.Ils laissent l'ONU agir car ils "respectent" la légalité internationale (t'as lu les déclarations de leur représentant officiel) et poussent la france à l'erreur. :cool:

 

 

Au contraire, le Maroc c'est chasse gardée de la France pourquoi ils interviendraient dans le dossier. Et ils ont les pieds au Sahara algérien pour exploiter le pétrole donc c'est tout bénèf pour eux

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