Guest asteroideB612 Posted November 28, 2010 Partager Posted November 28, 2010 "C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante". " On ne connaît que les choses que l'on apprivoise " disait le renard...et une lettre est un peu de soi qu'on offre à l'autre....d'où mon intérêt pour les lettres d'amours ! Essayer de lire à travers les lignes ce qui lie 2 être parfois si différents et complices à la fois ! Citer Link to post Share on other sites
Odessa 10 Posted November 28, 2010 Partager Posted November 28, 2010 je dirais plutôt nostalgique ! Mon Dieu !. T'est de l'époque de clo-clo et des clodettes? :eek: :mdr: Citer Link to post Share on other sites
Guest asteroideB612 Posted November 28, 2010 Partager Posted November 28, 2010 Mon Dieu !. T'est de l'époque de clo-clo et des clodettes? :eek: :mdr: Plutôt Dire Straits et Bob Dylan ! Citer Link to post Share on other sites
Guest asteroideB612 Posted November 28, 2010 Partager Posted November 28, 2010 poème de Fernando Pessoa... Toutes les lettres d'amour sont ridicules Toutes les lettres d'amour sont Ridicules. Ce ne seraient pas des lettres d'amour Si elles n'étaient pas Ridicules. . Moi aussi, dans le temps, j'en ai écrit; Elles étaient, comme les autres, Ridicules. . Les lettres d'amour, si l'amour existe, Doivent être Ridicules. . Mais, au bout du compte, Ce sont les gens qui n'écrivent jamais De lettres d'amour Qui sont Ridicules. . Comme je voudrais revenir au temps Où j'écrivais, Sans m'en rendre compte, Des lettres d'amour Ridicules. . La vérité est qu'aujourd'hui Ce sont mes souvenirs De ces lettres d'amour Qui sont Ridicules. . [Tous les mots excessifs, Tous les sentiments excessifs, Sont, bien sûr, Ridicules.] Citer Link to post Share on other sites
Guest asteroideB612 Posted November 28, 2010 Partager Posted November 28, 2010 échanges épistolaires entre Balzac et Madame Hanska « Nous nous désirions sans nous voir, continuons à nous aimer sans nous parler ». Citer Link to post Share on other sites
Guest asteroideB612 Posted November 28, 2010 Partager Posted November 28, 2010 Lettres d'Edith Piaf à Louis Gérardin ( surnommé Toto. Coureur cycliste lui aussi, il fut de nombreuses fois champion de France de vitesse. Cette relation houleuse et passionnée prend fin le 29 juillet 1952, date du mariage de Piaf avec Jacques Pills à New York. ) Séparée pour la première fois de son amant, elle écrit de Boulogne-sur-Mer le 15 janvier 1952 : «[...] Mon chéri je pense te dire aussi que jamais aucun homme ne m'as prise autant que toi et je crois bien que je fais l'amour pour la première fois. [...] Tu dois dormir mon doux chéri, comme ton corp va me manquer tes belles cuisses et la douceur de ta peau, tes jolies fesses chéries... eh oui j'en arrive a devenir sensuelle! [...]» Quelques semaines plus tard, elle lui demande de l'aider à s'améliorer : «[...] Tu seras mon petit professeur chéri que j'écouterai aveuglément comme un maître que je vénère. Tu verras ce que je sais faire; des miracles tu ne peux soupçonner ce dont je suis capable, il y a bien eu Jeanne Darc, qui aurait pu croire qu'une simple femme ferait de si grande choses, elle c'était pour l'amour de la guerre moi c'est pour l'amour de toi [...] j'ai toujours envier les femmes organisées [...] mais je ne trouvais jamais le joint, maintenant je crois que je commence a comprendre par quel bout il faut commencer, avec ton aide j'arriverai rapidement a ce que tu veux, et je ne changerai plus, le jour ou de la môme Piaf je suis passé a Edith Piaf je n'ai pas rétrogradé [...] ». Pour Edith Piaf une nouvelle vie se profile. Le 6 février, elle déclare tirer «un rideau sur le passé» : «[...] Tu vas voir comme je vais être docile, je serai vraiment ta femme et tu auras tous les droits sur moi [...] tu m'as repéché à temps [...] j'ai fait le serment a l'Eglise que si tu venais je ne toucherai plus jamais un verre d'alcool de ma vie [...]» Après Lyon, c'est de Marseille que la chanteuse lui écrit. Dans une lettre de 2 pages, elle évoque deux de ses chansons. «Ce soir j'ai chanté "Plus bleu que tes yeux", ton hymne, il me semblai te voir là devant moi [...] j'ai chanté aussi "C'est d'la faute a tes yeux" j'ai presque fais un répertoire pour mon amour!» Citer Link to post Share on other sites
Odessa 10 Posted November 28, 2010 Partager Posted November 28, 2010 Tu ne change pas chère amie. Les mots pour panser les maux. Bien le bonjour A... Dit moi,la ville lumiere s'est elle parée de sa plus belle parure qui justifie ainsi sa réputation ? Citer Link to post Share on other sites
Guest asteroideB612 Posted November 28, 2010 Partager Posted November 28, 2010 Tu ne change pas chère amie. Les mots pour panser les maux. Bien le bonjour A... Même si je le voulais ...je ne pourrais plus à mon âge ! ;) sourire ! Citer Link to post Share on other sites
Odessa 10 Posted November 28, 2010 Partager Posted November 28, 2010 Même si je le voulais ...je ne pourrais plus à mon âge ! ;) sourire ! Tes yeux..eux ne changent pas. Je te souhaite une agréable nuit. Un ami. Citer Link to post Share on other sites
Guest asteroideB612 Posted November 28, 2010 Partager Posted November 28, 2010 Tes yeux..eux ne changent pas. Je te souhaite une agréable nuit. Un ami. Bonne nuit l'ami ! :present: "Que n'êtes-vous ici pour donner des ailes à ma voix et changer mes murmures en chansons. Mais je continuerai de lire, sachant que parmi les "étrangers" qui m'entourent, une amie invisible est à l'écoute avec son sourire plein de douceur et de tendresse." Ainsi écrivait Khalil Gibran à May Ziadah, celle qui aimait au-delà des mers. Eloignés par le sort, lui aux Etats-Unis, elle en Egypte, telles deux âmes soeurs dans la quête de la réalité ultime, ils ne se rencontrèrent jamais, sauf en imagination et en rêve. Leur correspondance entre 1912 et 1931 - jusqu'à la mort de Gibran - témoigne de l'admiration, du respect, puis de l'amitié profonde qui devint bientôt de l'amour, qu'ils se portèrent. Pour Khalil Gibran, May Ziadah incarne toute la féminité orientale et la secrète grandeur de l'âme. Ces lettres éclairent d'une lumière nouvelle les sentiments, la pensée et la philosophie de l'auteur d'un des plus célèbres ouvrages du XXème siècle. Citer Link to post Share on other sites
Guest asteroideB612 Posted November 28, 2010 Partager Posted November 28, 2010 Tu ne change pas chère amie. Les mots pour panser les maux. Bien le bonjour A... Dit moi,la ville lumiere s'est elle parée de sa plus belle parure qui justifie ainsi sa réputation ? ................................ Citer Link to post Share on other sites
Guest asteroideB612 Posted November 28, 2010 Partager Posted November 28, 2010 Tu ne change pas chère amie. Les mots pour panser les maux. Bien le bonjour A... Dit moi,la ville lumiere s'est elle parée de sa plus belle parure qui justifie ainsi sa réputation ? OUI...et nous aurons même cette année des statuts de glace ! qui s'éléveront dans la nuit et se laisseront mourir sous le soleil parisien ! Citer Link to post Share on other sites
Guest Lady Dada Posted November 28, 2010 Partager Posted November 28, 2010 Je ne sais pas ce que je donnerai pour pouvoir un jour, t’oublier. Impossible fatalité… Je ne sais pas ce que je donnerai aussi, juste pour savoir pourquoi nous nous sommes rencontrés ; tout simplement, puis pourquoi je t’ai rencontré maintenant, pourquoi, je t’ai connu, pourquoi toi, pourquoi moi ? Pourquoi toi et moi ? Lorsque je le saurai, c'est-à-dire jamais, je donnerai encore plus pour savoir comment finira cette histoire, et comment puisse-t-elle finir surtout, car je ne crois pas qu’un jour, mon amour pour toi puisse finir. De tout cela, je ne sais en fait qu’une seule chose ; cet amour pour toi, il est né avec moi et mourra…avec moi. Je me suis fais le serment que, si tu venais à disparaître avant moi, je me recueillerai sur ta tombe même si elle serait au bout du monde et j’implorerai Dieu de m’accorder cette dame dans l’autre monde, puisqu’il ne me l’a pas offerte dans celui-là. Mais si au contraire, je venais à mourir avant toi, je souhaiterais qu’un jour, même très lointain, même si tu devais te servir d’une canne à cause de ton âge, même si tu devais t’appuyer sur autrui, tes petits enfants par exemple, je voudrai que tu viennes au pied de ma tombe, un seul instant et là, je demanderai au seigneur une dernière faveur, de me permettre, par le biais de la télépathie ou du songe, de te dire une seule et unique phrase que voici : « Qu’est ce que j’ai pu t’aimer…». Sache que chaque mot écrit n'est pas écrit par ma plume et son encre, mais par mon cœur et son sang. Chaque mot reflète un véritable état d’âme d’un homme qui aime pour la première fois alors qu’il est au crépuscule de sa vie, un homme qui a emmagasiné un océan d’amour et de tendresse sans en laisser échapper la moindre goutte avant de t’avoir connue ; un homme qui t’aime sans répit, sans retenue, un homme qui t’aime sans compter, sans ménagement. Un homme qui t’aime comme aucun autre homme ne t’a jamais aimée. Anonyme elle sera là ta lettre ma vraiment toucher :o Citer Link to post Share on other sites
Guest asteroideB612 Posted December 9, 2010 Partager Posted December 9, 2010 Même lorsqu'il s'envolait au bout du monde pour la fuir, Saint Exupéry ne cessait de penser passionnément à sa femme, Consuelo : "Je ne te dirai pas les raisons que tu as de m'aimer, car tu n'en as point. La raison d'aimer, c'est l'amour." Citer Link to post Share on other sites
Guest asteroideB612 Posted December 9, 2010 Partager Posted December 9, 2010 Liszt à Marie d'Agoult. Leur passion fit scandale. De leur liaison naquirent deux filles dont l'une épousa Wagner. "Ton souffle était encore sur mes lèvres. Là, il n'y avait plus ni espaces, ni temps, ni paroles... mais infini, amour, oubli, volupté, charité. Dieu enfin !" Citer Link to post Share on other sites
Guest asteroideB612 Posted December 9, 2010 Partager Posted December 9, 2010 Je suis perdu, vois-tu, je suis noyé, inondé d'amour ; je ne sais plus si je vis, si je mange, si je respire, si je parle ; je sais que je t'aime. Alfred de Musset Citer Link to post Share on other sites
Guest asteroideB612 Posted December 9, 2010 Partager Posted December 9, 2010 Tu me plais tellement que, quand il t'arrive de n'être pas jolie, je te trouve belle. Sacha Guitry Citer Link to post Share on other sites
Guest asteroideB612 Posted December 9, 2010 Partager Posted December 9, 2010 Je t'aime, tu t'aimes, on sème. Maurice Chapelan Citer Link to post Share on other sites
Guest asteroideB612 Posted December 9, 2010 Partager Posted December 9, 2010 Athée pieds. Voilà ma religion. - Elie Semoun - Extrait de Plaisantristes Citer Link to post Share on other sites
Guest asteroideB612 Posted December 9, 2010 Partager Posted December 9, 2010 Longtemps cachées au grand public, les lettres de Simone de Beauvoir à Nelson Algren constituent un chef d’œuvre épistolaire et depuis leur publication, en 1997, par sa fille d’adoption Sylvie le Bon de beauvoir, elles n’ont cessé de susciter la curiosité et l’intérêt du grand public et de la critique littéraire. Toutefois, cette correspondance, bien qu’elle soit riche et d’une importance littéraire plus qu’évidente, n’est que très peu exploitée et plusieurs articles consacrés à cette correspondance ont essayé de voir et de démontrer à travers lettres à nelson algren, une histoire d’amour qui allait à l’encontre de ses principes féministes prônés notamment dans son livre Le Deuxième Sexe, ces articles consacrés à cette œuvre épistolaire après sa publication ont ,en effet, repris pour la plupart les mêmes extraits, dont le fameux extrait où elle promet de passer le balai chez son amant: «Oh nelson ! Je serai gentille, je serai sage, vous verrez, je laverai le plancher, cuisinerai tous les repas, j’écrirai votre livre en même temps que le mien, je ferai l’amour avec vous dix fois par nuit et autant dans la journée même si ça doit légèrement me fatiguer». Il apparaît clairement après la lecture de cet extrait qu’on a choisit des propos isolés de leur contexte qui la placent dans une position qui va à l’encontre de son combat, de ses principes, de ce qui a fait d’elle la simone de beauvoir que nous admirons tous et que nous citons comme exemple pour faire taire ces quelques personnages qui essayent de faire de notre différence de sexe un rapport de force et de pression. Or, les lettres ne parlent pas que d’amour et la féministe transparaît tout autant que l’amoureuse, un extrait de la lettre du 22 décembre 1947 le démontre parfaitement : «Je pense sincèrement que le mariage est une institution pourrie et que lorsqu’on aime un homme il ne faut pas tout gâcher en l’épousant». Citer Link to post Share on other sites
Guest asteroideB612 Posted December 9, 2010 Partager Posted December 9, 2010 C'est avec la simplicité des anges que vous êtes venue à moi – c'est en souriant et sans hésiter que vous m'avez fait un aveu que les femmes vendent au prix de mille tortures, de milles comédies et de mille épreuves. Je ne sais si j'ai pour vous plus d'estime ou plus d'amour. Votre caractère n'a pas son pareil. Lettre d'Alfred de Musset à Aimée d'Alton Citer Link to post Share on other sites
Guest asteroideB612 Posted December 9, 2010 Partager Posted December 9, 2010 Ainsi, un mot, dis-moi ton heure. Sera-ce ce soir ? demain ? Quand tu voudras, quand tu auras une heure, un instant à perdre. Réponds-moi une ligne. Si c'est ce soir, tant mieux. Si c'est dans un mois, j'y serai. Ce sera quand tu n'auras rien à faire, moi, je n'ai à faire que de t'aimer. La fin d'un amour, ici avec George Sand...des extraits que Musset adressés à la romancière Citer Link to post Share on other sites
Guest asteroideB612 Posted December 9, 2010 Partager Posted December 9, 2010 Je veux embrasser la terre et pleurer. Je ne t'aime plus, mais je t'adore toujours. Je ne veux plus de toi, mais je ne peux m'en passer. Il n'y aurait qu'un coup de foudre d'en haut qui pourrait me guérir en m'anéantissant. Adieu ; reste, pars, seulement ne dis pas que je ne souffre pas. Il n'y a que cela qui puisse me faire souffrir davantage, mon seul amour, ma vie, mes entrailles, mon frère, mon sang, allez-vous-en, mais tuez-moi en partant. Musset : ses adieux à George Sand Citer Link to post Share on other sites
Guest asteroideB612 Posted December 9, 2010 Partager Posted December 9, 2010 Depuis le début de l'année 2008, une enseignante de 39 ans, résidant dans le Nord, a adressé au président de la République Nicolas Sarkozy, deux lettres d'amour enflammées et un colis contenant certains objets à caractère plutôt érotique, autrement dit des sex toys. Allant jusqu'à réclamer le corps du chef de l'État : "Mon corps te réclame" :eek: Citer Link to post Share on other sites
Guest asteroideB612 Posted December 9, 2010 Partager Posted December 9, 2010 Claude Debussy et Rosalie Texier « Tu m’as fait t’aimer plus qu’il n’est peut-être permis à un homme, le besoin de me détruire au profit de ta joie, devient tellement violent que cela ressemble parfois au désir de la Mort… » Citer Link to post Share on other sites
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