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Ca me fait penser à L'étranger de Camus. Pourquoi Meursault flingue-t-il ce bougre sur la plage ? Camus soutient qu'il n'y a pas de raisons. Qu'il s'agit d'un pur acte gratuit et indeterminé. Bien joli tout ça mais un peu romanesque.

Bien vu!

 

Le tour de bateau? Mais d'Amir Khadir?

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Guest mackiavelik
Bien vu!

 

Le tour de bateau? Mais d'Amir Khadir?

 

Quel tour de bateau d'Amir Khadir...si c'était aussi grave, les médias de Québécor ne l'auraient pas raté et on en aurait entendu parler H24

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Guest mackiavelik
Je vois que tu n'es pas trop au parfum, moi qui te croyais à l'écoute des grands faits politiques...

 

un article, un lien, une source ne seraient pas de plus!!!

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  • 4 weeks later...

"Blasphème", biographie d’Asia Bibi

blaspheme-Asia-Bibi.jpg

 

Cette chrétienne, "fille de rien" comme on dit dans cette région du monde lorsqu’on parle du sexe faible, est en prison depuis deux ans pour une peccadille : avoir bu de l’eau dans un puits appartenant à des musulmans. Pour cela, elle risque la peine de mort par la justice pakistanaise. J’ai copié ce qui suit de l’avant-propos : « C‘est ce que m’a dit le tribunal, déclare-t-elle, qui m’a condamné à mort. J’ai peur. » Peur pour elle et sa famille qui a dû fuir et se cacher comme des vulgaires malfrats. « Je n’ai jamais tué, jamais volé… Mais pour la justice de mon pays, j’ai fait bien pire : je suis une blasphématrice. Le crime des crimes, l’outrage suprême. [---] Depuis deux ans, je suis enfermée, privée de parole. Je voudrais enfin m’expliquer. Crier la vérité. Salman Taseer, le gouverneur du Penjab, et Shahbaz Bhatti, le ministre des Minorités, sont morts parce qu’ils me soutenaient. Des fondamentalistes les ont tués. C’était terrible.

 

Shahbaz-Bhatti-assassinat-007-300x180.jpg

 

Même quand on tue des animaux, on n’est pas si cruel. [---] Comme Salman Taseer l’a dit : "Dans le Pakistan de nos fondateurs, cette loi du blasphème n’existait pas." Grâce à Ashiq, mon mari bien-aimé, grâce aux avocats de la Masihi Foundation qui s’occupe de moi au risque de leur vie, grâce à des personnes qui doivent pour leur sécurité demeurer inconnues, je peux vous écrire aujourd’hui, depuis la cellule où l’on m’a enterrée vivante. Pour vous demander de m’aider, de ne pas me laisser tomber. J’ai besoin de vous.»

 

asia-bibi-musulman.jpg

Si vous n'avez pas encore lu celui-ci, je vous repasse la couverture.

 

37266.jpg

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Merci pour le partage. Je me demande comment on peut être aussi con, aussi cruel, aussi inhumain. Comment peuvent-ils se regarder dans le miroir et se considérer comme pieux ?

 

Pauvre fille. :(

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Merci pour le partage. Je me demande comment on peut être aussi con, aussi cruel, aussi inhumain. Comment peuvent-ils se regarder dans le miroir et se considérer comme pieux ?

 

Pauvre fille. :(

 

On peut tous faire un petit quelque chose pour l'aider...

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Tu vas sur une page Facebook et tu y participes ou alors tu clics "J'aime"... Des pétitions, il y en a beaucoup qui circulent sur le web. T'en signes une. C'est comme cela que les choses bougent. A+

 

asia-bibi-006-11377.jpg

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Tu vas sur une page Facebook et tu y participes ou alors tu clics "J'aime"... Des pétitions, il y en a beaucoup qui circulent sur le web. T'en signes une. C'est comme cela que les choses bougent. A+

 

asia-bibi-006-11377.jpg

 

Ok. A+....................

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40405.jpg

 

« "L’éducation -pensait Tagore- n’est pas une plante qu’on puisse grandir comme une variété exotique dans une serre. Si elle ne prend pas ses racines dans le sol et ne s’adapte pas elle-même à l’environnement naturel, cela revêt peu de valeur." Il souffrait, écrit Sylvie Liné, et trouvait douloureux et humiliant que l’intelligentzia de sa génération ait jusqu’à un certain point emprunté à l’Occident, en particulier à l’Angleterre, ses modes de pensée et de conduite, même ses sentiments. » Extrait de "Tagore, pèlerin de la lumière".

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ah je te retrouve! Je vais même aller plus loin et là ce n'est pas de ma faute si tu n'assumes pas tes propos: tu considères les femmes comme des objets.

 

désolée d'intervenir ,mais juste une question , dites moi qui c'est qui considere la femme comme un objet:eek: dans ce forum?? Dites le moi svp je veux pas mourire bête!!!!!

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désolée d'intervenir ,mais juste une question , dites moi qui c'est qui considere la femme comme un objet:eek: dans ce forum?? Dites le moi svp je veux pas mourire bête!!!!!

 

Tu as écrit trop vite, sans t'appercevoir que l'individu n'est plus membre de FA, à moins qu'il ait repris un autre avatar, ce qui est une manie ici. A+

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  • 2 weeks later...

UnderAnAfghanSky.jpg

 

C'était le livre que nous lisions à deux, ma femme et moi sur notre balcon, le soir jusqu'à la tombée de la nuit. On vient de le finir. Elle a passé 28 jours avec ses kidnappeurs. Extraordinaire et original, sauf que j'ai la version anglaise, je ne sais pas s'il est en français. Bref, elle a été libérée sans rançon, saine et sauf...

PS. Il faudra que je demande à l'auteure, Mellissa Fung, une Canadienne d'origine de Hong Kong, si son gardien en chef lui a écrit comme prévu, il avait promis de lui envoyer des courriels.

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cest vres que nos reflexion peut etre diferente et parfois il faut que sa donne dons le meme sens car si en tien a etre diferant sa caracterise e cest totlemnt un espris marginilation psychique nos defenit tu sera cete regeur si vous croyer soit diferant oubien seul etre juste donc ; l humain doit avoir un reflexe corespand a sa societer.

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  • 3 weeks later...

Peine de mort, dostoievsky, Badinter

 

Parcourant un texte dans Connaissance des Art, Crime et châtiment, je tombe sur un super pléonasme : «Le criminel, au moment où il accomplit son crime, est toujours un malade.» Que ce soit Robert Badinter qui éructe une telle remarque ne m’étonnerait pas. Mais je ne sais pas qui la prononce. L’assassin est malade au moment de commettre son crime; avant non, après non. Juste au moment de commettre son crime… Discutant de ce genre de problématique, un sage hindou m’avait dit –mais cela il y a au moins 20 ans- que lorsqu’on fait venir un psychologue en cours pour déterminer si quelqu’un était conscient ou atteint mentalement durant son crime, il me lança : «Mais si on est dans ce monde matériel, c’est qu’on est malade! Nous sommes tous des malades. »

 

baudry_corday.jpg

 

La mort de Mara

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