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Joyeux noel

 

Reste comme tu es, tu nous distrais et tu ne manqueras pas d'inspirer les humoristes. Tant mieux pour toi si tu penses ce que tu penses de toi-même, on n'est jamais si bien servi que par soi-même.:p

 

Alors pour te distraire, comme c'est votre culture, la variété, te voilà comblé pour le coup.

Hein, vous voyez que c'est rentable d'être gentil au lieu de toujours aboyer. :angel_sadangel:

[V]http://www.youtube.com/watch?v=Ad_aoNPGhAs?fs=1&hl=fr_FR[/V]

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Alors pour te distraire, comme c'est votre culture, la variété, te voilà comblé pour le coup.

Hein, vous voyez que c'est rentable d'être gentil au lieu de toujours aboyer. :angel_sadangel:

[V]http://www.youtube.com/watch?v=Ad_aoNPGhAs?fs=1&hl=fr_FR[/V]

 

Excellent et très éclairant. Voilà qui résume bien le rapport entre Orient et Occident. ;)

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Excellent et très éclairant. Voilà qui résume bien le rapport entre Orient et Occident. ;)

 

Toi, qui es si fin, tu pourrais peut-être partager avec nous tes réalisations au lieu de les garder juste pour toi. On pourrait tâter un peu de ce que tu gardes derrière les parois de ce que l'on appelle le cerveau, en d'autre mots, ta boite crânière. :dots:

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Toi, qui es si fin, tu pourrais peut-être partager avec nous tes réalisations au lieu de les garder juste pour toi. On pourrait tâter un peu de ce que tu gardes derrière les parois de ce que l'on appelle le cerveau, en d'autre mots, ta boite crânière. :dots:

 

J'ai déjà essayé et n'ai récolté que des sarcasmes donc j'estime que ça ne sert à rien de me lancer dans une polémique avec toi qui sait tout étant donné que tu te positionnes au dessus de la plèbe dont tu t'exclus d'office.

 

Tu ne te rends peut-être pas compte que tes posts - même s'ils présentent de l'intérêt - sont décousus, traitent de plusieurs sujets fondamentaux sans lien apparent les uns avec les autres et comme on ne discerne pas bien où tu veux en venir, ils font peu d'émules. Et je suis fine, non fin.

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Un coup d'épée dans l'eau, quoi!

 

Avec vous, c'est clair. Quand vous arrivez à exprimer une idée songée en plus

de quatre lignes, tout le monde y trouve son compte. Restons lisses, Algériens! Pas de plis, svp. Surtout n'essayez pas de sortir de la mêlée, on n'y

comprendrait rien. Les classiques, les classiques, avec eux, il n'y a pas de

confusion et on peut en lire des pages et des pages jusqu'à être un bon

citoyen repu ! Ou citoyenne...

Bravo pour ton intervention, au moins tu as fait un effort. Et comme tu n'as pas d'avatar, tu restes neutre, sans vagues, sans secousses, sans implications. Grosse bise.:hug:

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  • 3 weeks later...

L’inde et les origines des cultures

 

Ce matin, alors que je relis des notes prises sur Les origines de la pensée grecque, livre

de Jean-Pierre Vernant, je suis encore frappé par l’utilisation du mot ‘‘indo-européen’’. En effet,

nos érudits usent de cette expression à profusion et dans un flou qui rend hommage à la culture

grecque comme étant la source de la civilisation. Or, il suffit de suivre le fil conducteur qui a

mené à telle ou telle découverte pour s’apercevoir que dans la grande majorité des cas, les

découvertes avaient leurs sources en Inde. Malgré le fait que les Grecs ont pratiquement

tout copié sur leurs voisins arabes, perses et asiatiques, le génie hindou en particulier

a toujours été éludé. On ne se demande pas pourquoi. Pourquoi?

 

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Voici la phrase qui m’a conduit à aller surfer sur le web et je suis tombé sur le travail

du tissage et l’exploitation du coton. Grâce à Google, j’apprends qu’il semble acquis que

l'usage du coton travaillé par l'homme se soit répandu à partir de l'Inde vers le Moyen

Orient, puis l'Égypte et le reste du monde. Dans un site je lis ceci : «L'industrie cotonnière

ne se développa en Europe qu'au XIVème siècle...

La Compagnie Française des Indes fut fondée en 1664 par le gouvernement. Elle

importait des " indiennes " très prisées pour la décoration intérieure puis pour les vêtements.

A la fin du XVIIIème siècle, les mousselines blanches et brodées étaient fort à la mode.

En Amérique, les premières cultures se firent en Virginie au début du XVIIème siècle,

puis cette culture s'étendit rapidement à d'autres états. Jusqu'au XVIIIème siècle,

toutes les opérations étaient faites à la main grâce à l'abondante main d'œuvre bon

marché fournie par l'esclavage des noirs. Gospel, blues et jazz sont nés dans les champs

de coton. Le coton est alors un produit de luxe, en Europe, environ 78 % des étoffes sont

alors en laine, 18 % en lin et 4% en coton. Les cotonnades furent les premiers tissus imprimés.

 

Pourquoi? Je pose ainsi la question.

 

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Danser dans la ronde alcoolémique des

épitaphes stroboscopiques. . .

mais je t’en conjure :

d’abord pour que je te crois

sans m’étourdir par ce carnaval de mots

danse quelques gestes

sur notes pour moi digestes

et je taperai du pied

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Je m’insurge souvent contre l’utilisation sans précision des mots en marge de leur signification. Quand je confronte mes interlocuteurs à leur explication réelle, le plus souvent ils n’en connaissent pas le sens premier. Prenez le mot «personne», quoi de plus commun? Tout le monde sait ce qu'il veut dire, n'est-ce pas? Pourtant, ils sont rares les gens intelligents qui peuvent donner l’étymologie de ce mot si banal, (à moins qu’ils soient dans le domaine du théâtre). Tout embarrassés, ils commencent à défaire péniblement les interprétations variées qui recouvrent l’expression, pour s’apercevoir qu’en retirant les couches de significations, on se retrouve devant un concept aussi volatile que le cœur d’un oignon. «Personne» ne veut rien dire d’utile ou d’éclairant. C’est ce que je pense.

Voici, pour illustrer mes propos, un exemple de cette falsification de la parole à l’insu du sens et dont l'écrivain et philosophe, Michel Onfray, colle à cette insidieuse tendance. Tendance justifiée par l'évolution des mœurs et de la langue, mais malhonnête si l’on ne tient pas compte de la fonction première des mots à l’usage pour décrire un phénomène ou une idée spécifique. À la page 27 de son livre, je tombe sur un sérieux détournement du langage dans l’utilisation du vocable ‘âme’. Il écrit : «La possibilité de devenir thérapeute, donc magicien, donc sorcier, donc gourou, me gelait : on nous demandait d’enseigner une matière éminemment combustible auprès d’âmes inflammables.» Voici donc un athée engagé qui, par définition ne croit pas en l’âme mais ne se prive pas d’abuser à l’envie de ce concept religieux.

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Chacun ses réflexions: Locke et l'entendement

 

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À propos de l’Essai sur l’entendement humain de John Locke, dont on s’accorde à dire que Schopenhauer

en fut influencé, Guillaume Morano écrit : «ce n’est pas le monde qui constitue l’objet de l’investigation

philosophique, mais l’entendement lui-même, en tant que faculté de connaître. La nécessité d’une enquête

sur l’entendement est méthodologique : avant que de chercher à connaître quoique ce soit, il convient d’abord,

selon Locke, de sonder la capacité de connaître notre esprit, afin de déterminer quels objets peuvent

être connus de lui, et lesquels échappent au contraire à jamais à son pouvoir. La première partie de

cette enquête consiste à déterminer « l’origine des idées dont l’homme note la présence consciente en son esprit. »

 

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Guest chebmourad

Il y en a souvent qui affirment que le destin précède nos actes. Par exemple, dans ma discussion sur le choix d’un livre, certains me diront que c’est le livre qui les choisit et non eux. Ils semblent de surcroît privilégier cette méthode.

Je dirais qu’il y a de nombreuses raisons et autant de voies qui nous conduisent à accomplir tels ou tels gestes. J’ajouterai que plus vous êtes influencés par des phénomènes indépendants de votre volonté et plus vous êtes grégaires, le contraire de l’individualiste, du matérialiste; de celui qui sait ce qu’il veut, lui, et pas le livre. Ils rejettent les influences métaphysiques dont il n’a pas l’explication.

 

 

 

peut être vas tu me répondre ou pas...

 

l'être humain ne lit pas par plaîsir, il lit par intérêt..si vous demandez à un enfant ou un adulte de lire un livre bien précis, il ne le lira pas de la même manière que s'il l'avait choisi de lui même...en lecture, l'être humain se définit seul, il n'aime pas être conseillé, encore moins être obligé (ce fût mon cas au lycée par exemple)...si l'on doit rendre obligatoire l'apprentissage d'une langue, l'apprentissage de certains auteurs qui en jouent les VRP, doit quant à lui, être facultatif...

 

il y a deux sortes de lecture, spécialistée et généraliste..l'une est dictée par nos choix existentiels, l'autre est commandée par notre curiosité..

 

mais comme tu le sous entend, l'être humain est influençable, je partage ton point de vue, il est influençable car c'est "un cerveau" qui doute.

 

il peut rejoindre un troupeau, sitôt que celui qui l'a constitué à une emprise suffisament puissante sur lui et son libre arbitre..c'est la cas de la religion..

après tout la foi est un pari sur dieu, la raison n'ayant donc pas sa place..

 

...

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Chacun ses réflexions: les mots tronqués de leur sens

 

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Un peu plus loin, dans le livre que je lis d'Onfray, Le crépuscule d'une idole, il note avec énervement cette fâcheuse tendance chez ses pairs à mésuser de la signification des mots, ce que je constate aussi régulièrement dans les discours actuels et que je corrige, toujours avec grande difficulté. Le plus souvent, ils emploient des termes imprécis pour appuyer une pensée cruciale. Ils diront alors: «c’est un ‘guerrier’, il est monté sur les planches et a descendu avec aplomb son pantalon devant l’assistance». Ou encore, dans un autre registre: «le Coran est un livre ‘scientifique’». Je me rappelle, une fois, à mon arrivée au Québec, lors d’une exposition de peinture où j’avais là une grande toile, splendide (elle n’était pas de moi), quelqu’un est arrivé accompagné d’une femme et s’est exclamé : ’’écœurant!’’, j’ai failli exiger de lui qu’il quitte la salle, mais on n’est pas en Algérie au Canada. Par la suite (je nouerai une chaleureuse relation avec cet individu), je lui ai demandé pourquoi ‘écœurant’? Il sourit de mon incrédulité et m’expliqua qu’au Québec, on exagérait ainsi pour exprimer son appréciation! Dans la réalité, ma peinture n’était pas écœurante, le Coran n’est pas un livre scientifique et un homme qui a le courage de s’exprimer devant un public hostile n’est pas un guerrier. On peut, évidemment, employer ces expressions au figuré quand l’intention et la distinction sont évidentes et que l’on puisse facilement replacer les idées en cas de confusion, pourtant, Onfray, qui, lui, ne se prive pas de faire usage de la langue à sa guise, de façon subjective, se trouve agacé lorsque d’autres pratiquent cette méthode à son insu.

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Guest chebmourad
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Un peu plus loin, dans le livre que je lis d'Onfray, Le crépuscule d'une idole, il note avec énervement cette fâcheuse tendance chez ses pairs à mésuser de la signification des mots, ce que je constate aussi régulièrement dans les discours actuels et que je corrige, toujours avec grande difficulté. Le plus souvent, ils emploient des termes imprécis pour appuyer une pensée cruciale. Ils diront alors: «c’est un ‘guerrier’, il est monté sur les planches et a descendu avec aplomb son pantalon devant l’assistance». Ou encore, dans un autre registre: «le Coran est un livre ‘scientifique’». Je me rappelle, une fois, à mon arrivée au Québec, lors d’une exposition de peinture où j’avais là une grande toile, splendide (elle n’était pas de moi), quelqu’un est arrivé accompagné d’une femme et s’est exclamé : ’’écœurant!’’, j’ai failli exiger de lui qu’il quitte la salle, mais on n’est pas en Algérie au Canada. Par la suite (je nouerai une chaleureuse relation avec cet individu), je lui ai demandé pourquoi ‘écœurant’? Il sourit de mon incrédulité et m’expliqua qu’au Québec, on exagérait ainsi pour exprimer son appréciation! Dans la réalité, ma peinture n’était pas écœurante, le Coran n’est pas un livre scientifique et un homme qui a le courage de s’exprimer devant un public hostile n’est pas un guerrier. On peut, évidemment, employer ces expressions au figuré quand l’intention et la distinction sont évidentes et que l’on puisse facilement replacer les idées en cas de confusion, pourtant, Onfray, qui, lui, ne se prive pas de faire usage de la langue à sa guise, de façon subjective, se trouve agacé lorsque d’autres pratiquent cette méthode à son insu.

 

 

Tu sais quoi je pensais que tu aurais eu la délicatesse et le respect de me répondre, tu fais cavalier seul dans ta masturbation intellectuelle, libre à toi, mais n'attend pas à ce que les forumistes te répondent (ce dont tu meurs d'envi)

 

reste tout seul dans ta merde

 

salut:)

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Tu sais quoi je pensais que tu aurais eu la délicatesse et le respect de me répondre, tu fais cavalier seul dans ta masturbation intellectuelle, libre à toi, mais n'attend pas à ce que les forumistes te répondent (ce dont tu meurs d'envi)

 

reste tout seul dans ta merde

 

salut:)

 

Des types comme toi, je ne les regarde même pas en face, que dire de les inviter à ma table!!!

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Guest cerisecerise

 

Je m’insurge souvent contre l’utilisation sans précision des mots en marge de leur signification. Quand je confronte mes interlocuteurs à leur explication réelle, le plus souvent ils n’en connaissent pas le sens premier. Prenez le mot «personne», quoi de plus commun? Tout le monde sait ce qu'il veut dire, n'est-ce pas? Pourtant, ils sont rares les gens intelligents qui peuvent donner l’étymologie de ce mot si banal, (à moins qu’ils soient dans le domaine du théâtre). Tout embarrassés, ils commencent à défaire péniblement les interprétations variées qui recouvrent l’expression, pour s’apercevoir qu’en retirant les couches de significations, on se retrouve devant un concept aussi volatile que le cœur d’un oignon. «Personne» ne veut rien dire d’utile ou d’éclairant. C’est ce que je pense.

Voici, pour illustrer mes propos, un exemple de cette falsification de la parole à l’insu du sens et dont l'écrivain et philosophe, Michel Onfray, colle à cette insidieuse tendance. Tendance justifiée par l'évolution des mœurs et de la langue, mais malhonnête si l’on ne tient pas compte de la fonction première des mots à l’usage pour décrire un phénomène ou une idée spécifique. À la page 27 de son livre, je tombe sur un sérieux détournement du langage dans l’utilisation du vocable ‘âme’. Il écrit : «La possibilité de devenir thérapeute, donc magicien, donc sorcier, donc gourou, me gelait : on nous demandait d’enseigner une matière éminemment combustible auprès d’âmes inflammables.» Voici donc un athée engagé qui, par définition ne croit pas en l’âme mais ne se prive pas d’abuser à l’envie de ce concept religieux.

 

Faut-il se priver d'un vocabulaire à partir du moment où l'on n'est pas d'accord avec son principe ? Exemple et argumentation assez étranges.....

Par ailleurs l'âme est un concept énoncé à partir de certains impératifs catégoriques de certains philosophes ....... Ne serait-ce que pour cette raison, le philosophe que tu cites est dans son "droit" à l'utilisation du vocable....si je suis ton raisonnement.....

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Guest chebmourad
Laziz et Googa...meme combat!:lol:

 

tu sais quoi je suis venu lui parler parcequ'il me faisait pitié..

ces écrits j'en ai lu qu'un (beaucoup de merde) je lui répond et il jacasse..

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Guest chebmourad
Laziz et Googa...meme combat!:lol:

 

tu sais quoi je suis venu lui parler parcequ'il me faisait pitié..

ces écrits j'en ai lu qu'un (beaucoup de merde) je lui répond et il jacasse..

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Guest mackiavelik
tu sais quoi je suis venu lui parler parcequ'il me faisait pitié..

ces écrits j'en ai lu qu'un (beaucoup de merde) je lui répond et il jacasse..

 

je sais ,Laziz nass mlah, il fait pas de discrimination,il est contre tout le monde:D

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Par ailleurs l'âme est un concept énoncé à partir de certains impératifs catégoriques de certains philosophes ....... Ne serait-ce que pour cette raison, le philosophe que tu cites est dans son "droit" à l'utilisation du vocable....si je suis ton raisonnement.....

 

Tu suis mal mon raisonnement. L'âme n'est pas un résultat de la pensée philosophique, sinon tu nous dis quel philosophe l'a inventée. Il faudra te lever de bonheur pour ça. On a le droit à l'utilisation d'une expression qui ne nous appartient pas si on reconnait qu'elle n,est pas de nous et que l'on donne le crédit à son auteur véritable.

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Chacun ses réflexions: l'âme

 

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En ce qui me concerne, à lire les premières pages du livre d’Onfray, le terme ‘révisionnisme’ m’était tout naturellement venu à l’esprit pour décrire sa critique sur Freud. Écoutez-le: «Mais alors, quel besoin d’user d’un mot qui, pour le moins, entretient l’ambigüité, ou, pour le pire, laisse entendre que s’opposer à Freud avec des arguments historiques vérifiables rangent les historiens critiques de la psychanalyse aux côtés des négateurs de la solution finale.» Mais alors, pour le paraphraser, quel besoin d’user d’un mot qui, pour le moins, entretient l’ambigüité, ou, pour le pire, laisse entendre qu’on peut parler de Dieu sans y croire et sans le distinguer de nos fantasmes? Il en va de même pour cette notion d’âme. Comment un individu qui proclame à qui veut l’entendre son athéisme, peut-il écrire sur des idées aussi sérieuses que sont les concepts philosophiques en utilisant des mots dont la connotation est ambigüe et, de surcroît, vidée de son étymologie?

 

* La couverture de ce livre est un montage cynique de mon cru.

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