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Révélations du hacker de Maghnia recherché par Interpol


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Il est connu sous le sobriquet de « Hacker de Maghnia » Le jeune de 28 ans, qui a quitté l’Algérie il y a quelques mois pour des raisons qu’il étalera ci-dessous, reconnaît que « j’ai fait péter plusieurs serveurs d’entreprises belges, françaises et des Etats-Unis d’Amérique. J’ai reçu beaucoup d’argent, mais l’une d’elles en Belgique, m’a proposé de faire éclater le serveur d’une institution étatique, je l’ai fait, mais j’avais demandé plus d’argent, ils ont refusé et c’est à partir de ce moment que cette entreprise a porté plainte pour escroquerie. Pourquoi ne l’a-t-elle pas fait avant de me payer ? » S’interroge-t-il.

 

A. N qui sait être pourchassé par toutes les polices du monde, ce qui explique les multiples identités derrière lesquelles il se cache, dit avoir été approché par les services du Mossad en Tunisie « Le 14 mars 2009, les services israéliens m’ont, en effet, approché pour me recruter (…) je me suis débrouillé pour leur fausser compagnie, je suis en vie et c’est l’essentiel».

 

Le hacker a ricané quand un site d’information algérien l’a situé à Boston « Je ne suis pas aux Etats-Unis »

 

Mais, s’il s’est extirpé des griffes du Mossad, A. N révèle que des services français lui ont demandé de pirater les sites de deux journaux algériens pour publier des informations compromettantes sur de hauts responsables algériens. Pour ce faire et pour brouiller les pistes de l’origine de l’expéditeur « ces services m’ont demandé de mettre un index du Maroc pour me faire passer pour un hacker marocain… »

 

Le hacker, qui nous a fait une démonstration pour le piratage d’un journal algérien, promet de tout déballer pour faire éclater toute la vérité sur lui…

 

Chahredine Berriah

El Watan

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A. N révèle que des services français lui ont demandé de pirater les sites de deux journaux algériens pour publier des informations compromettantes sur de hauts responsables algériens.

Bizarre quand même ; les services français ont l'habitude d'utiliser le Canard Enchainé pour faire passer des infos sur l'Algérie , comme par exemple une base américaine dans le sud , une arlésienne dont tout le monde parle mais que personne n'a vue , j'attends toujours le cable de WikiLeaks pour nous prouver son existence!!!

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Bizarre quand même ; les services français ont l'habitude d'utiliser le Canard Enchainé pour faire passer des infos sur l'Algérie , comme par exemple une base américaine dans le sud , une arlésienne dont tout le monde parle mais que personne n'a vue , j'attends toujours le cable de WikiLeaks pour nous prouver son existence!!!

 

????:rolleyes:

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Alors comme çà il a réussi à échapper aux plus grands services secrets !

 

C'est digne d'un scénario hollywoodien.

Rien ne nous empêche d'y croire si on se pose les bonnes questions , une demonstration par l'absurde en quelque sorte !

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Bizarre quand même ; les services français ont l'habitude d'utiliser le Canard Enchainé pour faire passer des infos sur l'Algérie , comme par exemple une base américaine dans le sud , une arlésienne dont tout le monde parle mais que personne n'a vue , j'attends toujours le cable de WikiLeaks pour nous prouver son existence!!!

 

C'est vrai que demander à ce "grand hacker" de pirater des journaux algériens çà parait bizarre. On sait tous qu'il est facile de le faire vu que le niveau de protection n'est pas très élevé.

 

Mais au moins çà permet de rire un peu.

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Il est connu sous le sobriquet de « Hacker de Maghnia » Le jeune de 28 ans, qui a quitté l’Algérie il y a quelques mois pour des raisons qu’il étalera ci-dessous, reconnaît que « j’ai fait péter plusieurs serveurs d’entreprises belges, françaises et des Etats-Unis d’Amérique. J’ai reçu beaucoup d’argent, mais l’une d’elles en Belgique, m’a proposé de faire éclater le serveur d’une institution étatique, je l’ai fait, mais j’avais demandé plus d’argent, ils ont refusé et c’est à partir de ce moment que cette entreprise a porté plainte pour escroquerie. Pourquoi ne l’a-t-elle pas fait avant de me payer ? » S’interroge-t-il.

 

A. N qui sait être pourchassé par toutes les polices du monde, ce qui explique les multiples identités derrière lesquelles il se cache, dit avoir été approché par les services du Mossad en Tunisie « Le 14 mars 2009, les services israéliens m’ont, en effet, approché pour me recruter (…) je me suis débrouillé pour leur fausser compagnie, je suis en vie et c’est l’essentiel».

 

Le hacker a ricané quand un site d’information algérien l’a situé à Boston « Je ne suis pas aux Etats-Unis »

 

Mais, s’il s’est extirpé des griffes du Mossad, A. N révèle que des services français lui ont demandé de pirater les sites de deux journaux algériens pour publier des informations compromettantes sur de hauts responsables algériens. Pour ce faire et pour brouiller les pistes de l’origine de l’expéditeur « ces services m’ont demandé de mettre un index du Maroc pour me faire passer pour un hacker marocain… »

 

Le hacker, qui nous a fait une démonstration pour le piratage d’un journal algérien, promet de tout déballer pour faire éclater toute la vérité sur lui…

 

Chahredine Berriah

El Watan

c'est à prouver...!!....et a beau mentir qui vient de loin!!

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