Jump to content

Hollande travaille sa stature internationale en Algérie


Recommended Posts

Le candidat potentiel aux primaires socialistes rencontrera notamment Ahmed Ben Bella.

 

Par Michel Revol

 

Il sera reçu presque comme un chef d'État. Mardi soir, François Hollande doit être accueilli à l'aéroport d'Alger par Abdelaziz Belkhadem, ancien Premier ministre algérien et représentant du chef de l'État Abdelaziz Bouteflika.

 

Hollande, candidat potentiel à la primaire qui désignera le candidat socialiste à l'élection présidentielle, rencontrera ensuite Ahmed Ben Bella, âgé de 94 ans. L'entrevue, proposée par l'ancien président algérien (1962-1965), aura lieu mercredi, à son domicile algérois. C'est la première fois depuis le coup d'État qui l'a renversé, en 1965, que l'ex-dirigeant du FLN rencontre un homme politique français.

 

 

Le voyage de François Hollande en Algérie, destiné à étoffer sa stature internationale, s'achèvera jeudi soir. L'ex-premier secrétaire du Parti socialiste est accompagné de deux fidèles d'origine algérienne : Faouzi Lamdaoui, élu PS local à Argenteuil, et Kader Arif, député européen socialiste.

 

© Le Point.fr

Link to post
Share on other sites

Hollande: la France "grandie" si elle porte un "regard lucide" sur son passé

 

ALGER — L'ancien secrétaire général du Parti socialiste français François Hollande estime que la France "sortira grandie" si elle porte "un regard lucide et authentique" sur son passé en Algérie, dans des entretiens à la presse algérienne.

 

"J'ai toujours condamné, de manière claire et ferme, le passé colonial de la France et des puissances européennes", déclare-t-il au quotidien El-Watan, en réponse à une question sur la nécessité ou non pour la France de présenter des excuses pour ses 132 ans de colonialisme jusqu'en 1962 et ses conséquences.

 

"Notre pays n'a rien à redouter de porter un regard lucide et authentique sur son histoire. La patrie des droits de l'homme en sortira grandie", ajoute M. Hollande, attendu mardi pour une visite de trois jours à Alger à l'invitation du Front de libération nationale (FLN, parti au pouvoir).

 

Evoquant le cinquantenaire de l'indépendance de l'Algérie en 2012, M. Hollande estime que, compte tenu du patrimoine culturel "d'une richesse exceptionnelle", les deux pays devraient "l'investir pour les générations futures", malgré des blessures restées "vives".

 

L'éventuel candidat à la présidentielle de 2012 se prononce pour des relations bilatérales fondées "sur un socle solide d'échanges économiques et commerciaux".

 

"Ce qui unit nos deux pays est plus fort que ce qui les sépare", confie-t-il par ailleurs au quotidien Le Soir, ajoutant que "la France et l?Algérie sont appelées à devenir les moteurs du partenariat euro-méditerranéen".

 

Interrogé sur l'intégration des Français issus de l'immigration, M. Hollande répond, tout en le regrettant, que la représentativité "réelle" en France repose "sur la tradition élitiste".

 

M. Hollande sera accompagné durant son séjour de deux Français d'origine algérienne, le député européen Kader Arif et le responsable socialiste Faouzi Lamdaoui, "deux hommes politiques français de dimension nationale", observe-t-il, affirmant que la France "n'a jamais été un pays communautariste".

 

Copyright © 2010 AFP.

Link to post
Share on other sites

«Il est temps d’investir pour les générations futures»

 

Quatre ans après sa visite en Algérie alors qu’il était premier secrétaire du Parti socialiste, François Hollande réaffirme dans la présente interview les propos qu’il nous avait tenus en juillet 2006 (El Watan du 8 juillet 2006, ndlr), à savoir que l’Algérie est un pays qui lui est très proche et, de ce fait, son souhait d’une construction entre l’Algérie et la France d’une relation durable, au-delà de la conjoncture politique et du pragmatisme.

«Nos relations doivent dépasser le pragmatisme pour se donner des objectifs au long cours», nous affirme François Hollande.

 

- Après la visite que vous avez effectuée en Algérie en juillet 2006, vous revenez en 2010. Dans quel but réalisez-vous ce retour ? Est-il lié à une conjoncture politique ? A un calendrier électoral (la présidentielle de 2012) ? A un attachement à l’Algérie ?

 

L’Algérie est un pays qui m’est proche. J’y compte beaucoup d’amis. Ma visite est d’abord fondée sur l’amitié, mais c’est aussi un témoignage de fidélité, une préparation de l’avenir. Ce voyage est l’occasion de dessiner les perspectives d’avenir dans lesquelles la coopération entre nos deux nations peut être utile à nos deux peuples. Au-delà de la conjoncture politique, je m’intéresse à l’amélioration durable de la relation entre la France et l’Algérie.

 

 

- Comment envisagez-vous l’avenir entre l’Algérie et la France ? Quel partenariat algéro-français préconisez-vous ? Quels en seraient les axes et les modalités ? Le pragmatisme vers lequel s’est orienté le président Sarkozy en privilégiant le développement des relations économiques vous apparaît-il comme étant la bonne démarche ? Vous-même avez prévu de rencontrer des chefs d’entreprises françaises ayant investi en Algérie et des entrepreneurs algériens…

 

Ces relations doivent se fonder sur un socle solide d’échanges économiques et commerciaux. Les positions internationales de nos deux pays, attachés à des rapports mondiaux justes et égalitaires, se rejoignent souvent.

La coopération en matière de lutte contre le terrorisme montre chaque jour son efficience. Il reste un immense champ à élargir : le territoire de la culture. Nos relations doivent dépasser le pragmatisme pour se donner des objectifs au long cours.

 

- Dans votre livre Devoirs de vérité (Entretiens avec Edwy Plénel, éditions Stock, 2006) vous avez pris position pour que la France présente ses excuses pour son passé colonial et ses conséquences. Comment voulez-vous concrétiser et officialiser d’une certaine façon cette forte prise de position ? Si la gauche remportait l’élection présidentielle de 2012 le ferait-elle, sachant qu’elle a sa part de responsabilité ?

 

J’ai toujours condamné de manière claire et ferme le passé colonial de la France et des puissances européennes. Notre pays n’a rien à redouter de porter un regard lucide et authentique sur son histoire. La patrie des droits de l’homme en sortira grandie. Beaucoup de temps a passé depuis la fin de la guerre d’Algérie. Nous allons célébrer, en 2012, le 50e anniversaire de l’Indépendance. Certaines blessures de la mémoire sont cicatrisées ; d’autres restent vives. Nos deux pays partagent un patrimoine culturel commun d’une richesse exceptionnelle. Il est temps de l’investir pour les générations futures.

Quelle réaction vous inspire la publication du livre de l’historien Benjamin Stora – qui, semble-t-il, vous accompagnera à Alger – co-écrit avec le journaliste François Malye sur François Mitterand et la guerre d’Algérie (éditions Calmann Lévy) ? François Mitterand en 1956 (ministre de l’Intérieur) et en 1957 (garde des Sceaux) qui, bien que n’étant pas encore de gauche, appartenait à un gouvernement socialiste.

Il n’appartient pas aux politiques d’écrire et encore moins de réécrire l’histoire. Ce sont les chercheurs, les historiens comme Benjamin Stora qui ont pour mission d’établir la vérité et de fournir les critères objectifs à partir desquels les jugements peuvent se former. François Mitterrand compte parmi les plus grands hommes d’Etat de son époque. Son premier acte de président de la République fut d’abolir la peine de mort.

Pour autant, il n’est pas niable que, comme garde des Sceaux dans le gouvernement de Guy Mollet, il a participé à des décisions tragiques, notamment quand il a eu à examiner la grâce de 45 Algériens. Benjamin Stora nous rappelle cet épisode douloureux, qui reste pour moi une épreuve.

Link to post
Share on other sites

suite

 

- Nicolas Sarkozy, avec les récents changements dans le gouvernement Fillon, met la droite en ordre de marche pour préparer sa candidature pour 2012 en pointant la sécurité et l’immigration, en liant celle-ci à la délinquance et en éludant les problèmes du chômage, de la crise économique et sociale, de la montée des intolérances et du racisme. Quelles réponses le Parti socialiste et vous-même en particulier préconisez-vous pour régler ces problèmes auxquels est confrontée la société française ?

 

L’invention d’un ministère de l’Immigration et de l’Identité nationale comme le refoulement des Roms, pourtant ressortissants européens bénéficiant du droit de libre circulation dans l’espace communautaire, méritent d’être fermement condamnés. Je n’accepte pas la stigmatisation de la population immigrée comme bouc émissaire de l’échec cuisant des politiques économiques, sociales, sécuritaires du président actuel. Je regrette que l’image de la France soit ainsi ternie à l’étranger, mais je rappelle l’attachement massif de nos concitoyens aux principes et aux valeurs de la République.

 

- La disparition du ministère liant les questions de l’identité nationale et de l’immigration vous satisfait-elle ? Est-ce suffisant ?

 

Le mauvais débat sur l’identité nationale a provoqué de tels dégâts dans l’opinion publique française que le gouvernement a été contraint de battre en retraite. Le ministère de l’Immigration et de l’Identité nationale a été supprimé. Pour ma part, je considère que la France a aujourd’hui besoin d’un grand ministère de l’Egalité, qui travaille efficacement à la résorption de toutes les formes de discrimination.

 

- Pour votre visite, vous êtes accompagné d’un député européen, Kader Arif, et de Faouzi Lamdaoui, vice-président de la communauté d’agglomération d’Argenteuil-Bezons, tous deux d’origine algérienne. Qu’apportent les militants issus de la diversité au PS et à la France ? Force est de constater toutefois que la représentation des Français issus de l’immigration dans les institutions ne correspond pas à l’image réelle de la France d’aujourd’hui. Le Parti socialiste fera-t-il preuve de plus d’audace en corrigeant ce déséquilibre flagrant ?

A quand des députés socialistes issus de l’immigration à l’Assemblée nationale ?

 

Kader Arif et Faouzi Lamdaoui m’accompagnent parce qu’ils sont, avant tout, deux hommes politiques français de dimension nationale. La France n’a jamais été un pays communautariste. La Constitution établit l’égalité absolue de tous les citoyens. Le problème de la représentation réelle de la population française dans les institutions politiques révèle le poids de la tradition élitiste en France qui réserve les meilleures formations aux enfants issus des classes les plus aisées. Il faut y remédier en permettant l’accès de tous les enfants à une éducation d’excellence.

Mais il y a aussi dans les partis politiques une forme de favoritisme qui les conduit à puiser leurs cadres dans leurs propres réseaux au lieu de chercher à élargir et à diversifier le recrutement de nouveaux talents. Beaucoup de compétences, dans tous les milieux sociaux, peuvent être utiles au service de l’intérêt général et je suis convaincu qu’il faut aller les chercher dans les couches nouvelles issues de l’immigration et de la diversité.

 

- Au sein du PS, plusieurs personnalités sont candidates – déclarées ou pas encore – à la candidature à la présidentielle de 2012, dont vous-même. Est-ce la manifestation d’ambitions personnelles ou le signe de clivages dans votre parti ? N’est-ce pas préjudiciable à l’unité du PS ?

 

Le PS est un parti démocratique. La confrontation des propositions l’enrichit. L’émulation des personnalités le stimule. Des primaires sont programmées pour désigner son candidat ou sa candidate à la prochaine élection présidentielle. Le calendrier prévu pour ces primaires arrange les uns, disconvient aux autres. Il est encore susceptible de modifications selon l’évolution de la situation et l’exigence d’efficacité. Un fois le candidat désigné, chacun se mobilisera pour assurer la victoire de la gauche à cette échéance décisive pour l’avenir de la France.

 

El Watan

Link to post
Share on other sites

Les Français dans leur immense majorité ne veulent pas de lien particulier avec l'Algérie, bien au contraire. Comme toujours, le PS drague les électeurs franco-algériens. L'Algérie passe son temps à ressasser le passé plutôt que d'avancer. La France n'a pas besoin d'un tel boulet...

Link to post
Share on other sites
Les Français dans leur immense majorité ne veulent pas de lien particulier avec l'Algérie, bien au contraire. Comme toujours, le PS drague les électeurs franco-algériens. L'Algérie passe son temps à ressasser le passé plutôt que d'avancer. La France n'a pas besoin d'un tel boulet...

Je n'ai posté ces articles que pour montrer l'hypocrisie de la classe dirigeante française en général et celle de Hollande et des socialistes en particulier !

Pour le passé , vous avez commis des crimes contre le peuple et la terre d'Algérie que vous devez reconnaitre tôt ou tard !

Link to post
Share on other sites
Les Français dans leur immense majorité ne veulent pas de lien particulier avec l'Algérie, bien au contraire. Comme toujours, le PS drague les électeurs franco-algériens. L'Algérie passe son temps à ressasser le passé plutôt que d'avancer. La France n'a pas besoin d'un tel boulet...

 

 

Il est vrai que le genocide du peuple juif servi à toutes les sauces depuis des lustres est plus savoreux, n'est ce pas ?

Link to post
Share on other sites

Les français en général (sauf une minorité) regardent positivement vers l'algérie.J'en ai la certitude. :rolleyes:

Les dénégations des aigris et hypocrites sonnent faux. :wavetowel:

Les 5 à 7 millions d'algériens et de franco-algériens ont en ras le bol de la politique du nabot magyar et de sa clique de tubes digestifs qui s'en foutent des interêts de la france. :33:

 

Si hollande prépare sa campagne à alger pourquoi pas.En tant que vrai français (par rapport aux ténors sionistes, hongrois ou autres pièces rapportées) il cherche à défendre l'interêt de la france.Simplement.

Il sait que l'algérie est un pays trés important pour la france.A tous points de vue.Historiquement, présentement et probablement dans l'avenir.

Le pays doit être reconnu en tant que pays trés privilègié et surtout un pays et un peuple à respecter c'est à dire étudier et agir pour une justice historique. :crazy:

Link to post
Share on other sites
Les français en général (sauf une minorité) regardent positivement vers l'algérie.J'en ai la certitude. :rolleyes:

Les dénégations des aigris et hypocrites sonnent faux. :wavetowel:

Les 5 à 7 millions d'algériens et de franco-algériens ont en ras le bol de la politique du nabot magyar et de sa clique de tubes digestifs qui s'en foutent des interêts de la france. :33:

 

Si hollande prépare sa campagne à alger pourquoi pas.En tant que vrai français (par rapport aux ténors sionistes, hongrois ou autres pièces rapportées) il cherche à défendre l'interêt de la france.Simplement.

Il sait que l'algérie est un pays trés important pour la france.A tous points de vue.Historiquement, présentement et probablement dans l'avenir.

Le pays doit être reconnu en tant que pays trés privilègié et surtout un pays et un peuple à respecter c'est à dire étudier et agir pour une justice historique. :crazy:

Les beurettes

.... les plus jolies

.... voteront Le Pen

Link to post
Share on other sites
Ah bon !!!!!

Tu bois trop de zombretto. :D

 

A part weld bladek un certain farid y a pas d'autres beurs avec lepen. :o

Le Gros Jeanj

.... a compris des

.... les annees 70

.... ou voulait arriver

.... le sordide en favorisant

.... l'emigration des gens

.... de l'Est de l'Algerie vers la France

.... et en delivrant au compte-gouttes

.... les autorisations de sorties aux autres

Link to post
Share on other sites
Le Gros Jeanj

.... a compris des

.... les annees 70

.... ou voulait arriver

.... le sordide en favorisant

.... l'emigration des gens

.... de l'Est de l'Algerie vers la France

.... et en delivrant au compte-gouttes

.... les autorisations de sorties aux autres

 

Ca donne quoi en langage clair...:cool:

Link to post
Share on other sites

L'ex-numéro un du PS François Hollande reçu par Ben Bella

 

ALGER - L'ancien président algérien Ahmed Ben Bella a reçu mercredi à son domicile algérois l'ex-numéro un du Parti socialiste François Hollande, "une première pour un homme politique français", a souligné le député de Corrèze en visite à Alger.

 

"Je souhaite de bonnes relations avec la France", a déclaré M. Ben Bella, qui aura ce mois-ci 94 ans, aux journalistes présents durant une partie de l'entretien d'une durée d'une heure. "L'amitié est un geste gratuit".

 

Pour François Hollande "la relation entre la France et l'Algérie se construit, elle ne s'improvise pas et donc il faut avoir de la patience et en même temps de l'engagement pour la nourrir autant qu'il est possible".

 

Dans un entretien avec l'AFP, il a évoqué une "amélioration" des relations des deux pays liés par 132 ans de colonialisme français et une guerre de libération sanglante.

 

"Je ne me plains pas qu'il y ait aujourd'hui une amélioration de cette relation et elle doit dépasser la question de la gauche et de la droite en France. Il faut savoir où aller avec l'Algérie", a-t-il martelé.

 

A propos du cinquantenaire de l'indépendance algérienne en 2012 en pleine campagne présidentielle en France, le député de Corrèze a jugé qu'il fallait chacun faire le bilan. "Il y a des mots qu'il faut prononcer qui peuvent d'ailleurs rassembler", a-t-il insisté.

 

"Un regard sur l'Histoire (...) n'est pas un regard de stigmatisation, de vexations, d'accusations. Cela doit être un regard de réconciliation et en même temps de responsabilité", a souligné M. Hollande qui se refuse à parler d'"excuses" comme le demande une partie des Algériens.

 

"Nous avons à prononcer, nous, des paroles qui sont d'ailleurs de l'ordre de l'évidence historique: la colonisation doit être condamnée", a-t-il dit.

 

Après l'avoir rencontré dans la matinée, son hôte, le secrétaire général du Front de libération nationale (FLN, au pouvoir) Abdelaziz Belkhadem a estimé, cité par l'agence APS, que les Français devraient "reconnaître les crimes coloniaux comme un acte condamnable nonobstant les retombées aux plans juridique et politique".

 

Concernant la coopération bilatérale, M. Belkhadem, un ancien Premier ministre, a souligné que "beaucoup de choses ne sont pas encore réalisées", comme le prouve le volume des investissements qui n'a pas "atteint le niveau requis" et la question de la circulation des personnes qui "n'a pas atteint les objectifs escomptés".

 

L'ex-patron du PS a fait état pour sa part de progrès dans la délivrance des visas tout en reconnaissant que pour les obtenir il fallait encore "un parcours du combattant".

 

"Nous avons au-delà du regard sur le passé à faire en sorte que le présent s'améliore aussi bien dans les relations économiques, commerciales et politiques. On a beaucoup à faire", a-t-il également reconnu.

 

M. Hollande, qui a passé huit mois comme stagiaire de la prestigieuse Ecole nationale d'administration (ENA) à l'ambassade de France à Alger en 1978, se trouve à Alger depuis mardi soir et jusqu'à jeudi à l'invitation de M. Belkhadem.

 

©AFP / 08 décembre 2010 19h47

Link to post
Share on other sites
  • 3 years later...

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Guest
Répondre

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.

×
×
  • Create New...