La révolte des étudiants algériens

[talulah 10]

UNIVERSITÉ D’ORAN

Des étudiantes bloquent la résidence

 

«Ce mouvement est le nôtre à travers lequel nous démontrerons notre force de frappe et de mobilisation»

 

«Aucun des responsables de la cité ne mettra les pieds dans l’enceinte de notre résidence tant que nos revendications ne sont pas entièrement satisfaites», a indiqué hier, une étudiante dressée, en compagnie de ses camarades, devant le portail principal du campus qui a été obstrué tôt le matin de la journée d’hier. Par ailleurs, l’accès des employés d’administration de la cité à leurs bureaux a été interdit par les étudiantes qui sont plus que décidées à radicaliser leur mouvement de protestation qu’elles ont déclenché, en douceur, durant la journée de samedi. Ce dernier, baptisé au premier jour de protestation «le deuil», a vite fait de se transformer en un mouvement radical.

 

Les étudiantes, en furie, sont passées à l’action en fermant, d’abord, l’administration de leur campus pendant que d’autres ont campé, sans flancher, devant le portail principal tout en scandant des slogans hostiles au directeur et aux agents de sécurité de la résidence universitaire. «Nous, étudiantes, avons été longuement abandonnées à notre triste sort et livrées aux provocations des énergumènes qui nous haranguent partout, c’est à eux (responsables de la cité, Ndlr) de revendiquer le droit d’accès au campus», a martelé une étudiante déchaînée qui s’est mise à égrener les nombreuses carences qui caractérisent leur lieu de résidence.

 

Dans leur plate-forme de revendications, les contestataires ont dénoncé ce qu’elles qualifient de «dégradation des conditions de vie dans l’enceinte de leur campus». Repas de mauvaise facture, coupures récurrentes d’électricité, et pendant plusieurs jours d’eau, ordures jonchant le pourtour et l’intérieur du campus, constituent autant de problèmes qui ont été soulevés par les contestatrices. Mais ce qui semble irriter le plus ces dernières est ce qu’elles ont qualifié dans leur mouvement «l’absence d’interlocuteur en mesure de prendre en charge les problèmes, de plusieurs ordres, qui caractérisent leur lieu de résidence». De ce point de vue, la paralysie de la cité apparaît comme unique et seul moyen qui puisse attirer l’attention des responsables des oeuvres universitaires (...).

 

Wahib AÏT OUAKLI

L'Expression

[talulah 10]

Béjaïa: Marche des étudiants

 

Des milliers d’étudiants de l’université Abderahmane Mira ont investi la rue, dans la journée de lundi, 13 décembre, pour protester contre les insuffisances du système LMD et les restrictions imposées dans l’ancien système d’études.

 

Partis du campus d’Aboudaou, les protestataires ont parcouru presque une dizaine de kilomètres de marche pour atteindre le campus de Targa Ouzemmour où les attendait une autre foule d’étudiants. Là, ils ont observé un imposant rassemblement, grossi par les étudiants du campus devant le rectorat qu’ils ont trouvé portes fermées.

 

Des étudiants y ont pris la parole pour expliquer les raisons de ce mouvement de protestation qui est parti du campus d’Aboudaou où est concentrée la majorité des 40 000 étudiants de l’université de Béjaïa. La limitation de l’accès au Master 1 et 2 a été l’élément déclencheur de ce mouvement qui porte une plateforme de revendication de 14 points élaborée par le comité pédagogique que les étudiants du campus d’Aboudaou ont élaboré. On revendique donc que soit maintenu le système classique, d’augmenter le nombre de postes dans le passage au concours de Magister, l’accès sans condition au Master 1 et 2, l’amélioration de l’encadrement qualitativement et quantitativement, de réduire la surcharge des groupes.

 

Rédacteur de cette plateforme, le comité pédagogique d’Aboudaou attend de pouvoir fusionner avec celui en cours de constitution à Targa Ouzemmour et décider d’une action commune qui promet de paralyser toute l’université de Béjaïa.

 

Kamel Medjdoub

El Watan

[KABYLE100pour100 10]

SANS OUBLIER LES ÉTUDIANT DE ABDERAHMANE MIRA ET MOULOUD MAMERI,, POUR CES ÉTUDIANT C'EST TOUT LES JOURS

[talulah 10]

Ils s'organisent pour faire savoir leurs besoins et être visibles. Bravo

[talulah 10]

Les étudiants marchent contre l’insécurité à Tizi Ouzou

 

Une marche des étudiants de l’université Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou a été organisée, jeudi 20 janvier, dans la ville des Genêts. Les marcheurs venus de la cité universitaire de Boukhalfa et ont entamé leur manifestation à partir de la gare routière pour rallier le siège de la Wilaya. Les policiers ont été mobilisés pour veiller au grain.

Des banderoles ont été déployées à l’occasion pour rappeler à l’opinion les difficiles conditions de vie à l’université. Le comité de la cité a mobilisé ses troupes pour interpeller le wali de Tizi Ouzou sur l’insécurité qui prévaut à l’intérieur mais aussi à l’extérieur des cités universitaires. « Nous sommes menacés, sécurisez les étudiants », scandent les marcheurs en brandissant leurs cartes d’étudiant.

Les étudiants inscrits à la faculté de droit, dont la plupart résident dans la même cité, sont en grève depuis près de deux mois à présent. Ils revendiquent leur droit à s’inscrire au CAPA et à la post‑graduation, des formations dont les conditions d’inscription ont subi quelques changements depuis le passage au système LMD.

 

TSA

[LE LAITIER 10]

Une marche des étudiants de l’université Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou a été organisée, jeudi 20 janvier, dans la ville des Genêts. Les marcheurs venus de la cité universitaire de Boukhalfa et ont entamé leur manifestation à partir de la gare routière pour rallier le siège de la Wilaya. Les policiers ont été mobilisés pour veiller au grain.

Des banderoles ont été déployées à l’occasion pour rappeler à l’opinion les difficiles conditions de vie à l’université. Le comité de la cité a mobilisé ses troupes pour interpeller le wali de Tizi Ouzou sur l’insécurité qui prévaut à l’intérieur mais aussi à l’extérieur des cités universitaires. « Nous sommes menacés, sécurisez les étudiants », scandent les marcheurs en brandissant leurs cartes d’étudiant.

Les étudiants inscrits à la faculté de droit, dont la plupart résident dans la même cité, sont en grève depuis près de deux mois à présent. Ils revendiquent leur droit à s’inscrire au CAPA et à la post‑graduation, des formations dont les conditions d’inscription ont subi quelques changements depuis le passage au système LMD.

 

TSA

 

Ont-ils réclamé le changement du Système ou juste une réforme d'une des conséquence du Système ?

[talulah 10]

Ont-ils réclamé le changement du Système ou juste une réforme d'une des conséquence du Système ?

 

pour l'instant se sont des revendications pour de meilleures conditions et plus de sécurité

[LE LAITIER 10]

pour l'instant se sont des revendications pour de meilleures conditions et plus de sécurité

 

Encore une fois , on tente de réformer le Système et les conséquences de sa politique au lieu de vouloir le changement DU Système qui en est la cause .

 

Salutations fraternelles

[warseniss02 10]

Le laitier troll...

 

Encore une fois , on tente de réformer le Système et les conséquences de sa politique au lieu de vouloir le changement DU Système qui en est la cause .

 

Salutations fraternelles

 

L'interêt de l'algérie est l'affaire des enfants de l'algérie..... :pokey:

Moi je dis les trolls dégagez.

[LE LAITIER 10]

L'interêt de l'algérie est l'affaire des enfants de l'algérie..... :pokey:

Moi je dis les trolls dégagez.

 

L'intérêt de l'Algérie est l'affaire des Algériens(nes) et JE SUIS ALGERIEN

 

Encore une fois , on tente de réformer le Système et les conséquences de sa politique au lieu de vouloir le changement DU Système qui en est la cause .

 

Salutations fraternelles