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Les imprimés 12 S manquent ......


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Plusieurs communes du pays manquent cruellement des formulaires des extraits de naissance n°12, notamment celles de la capitale. Les désagréments de cette situation se répercutent sur les délais de dépôt des dossiers au niveau des daïras et wilayas pour l'obtention de passeports qui ne sont pourtant pas encore biométriques.

 

La carence en la matière a donné lieu à des pratiques de népotisme de la part de certains employés communaux. «La quantité d'imprimés 12 S mise à la disposition de la commune est minime par rapport aux demandes, affirme hier un employé de la commune d'Alger-centre qui souligne sous le couvert de l’anonymat que «cela engendre des désagréments aux citoyens dont une bonne partie ratent le rendez-vous de dépôt de dossiers de passeports imposés par les daïras». Selon notre source, «l'approvisionnement est défaillant.

 

Seuls 100 à 200 imprimés importés d'Italie, sont concédés par semaine à nos services qui enregistre des centaines de demandes par jour». Une situation que les citoyens ne comprennent pas, encore moins les raisons qui les obligent «à fournir un dossier en vue de l'obtention d'un passeport biométrique, mais qui, dans les faits, ne sera effectif que dans un temps lointain».

 

La même situation est constatée dans d'autres communes de la capitale, à l'image de Sidi M'hamed où les extraits de naissance 12 S qui étaient délivrés dans un délai raisonnable, il y a quelques temps, sont sujets aujourd’hui à des retards considérables du fait de la déficience dans l'approvisionnement de ces documents.

 

Certains témoins affirment même que «le phénomène fait son apparition dans d'autres grandes villes comme Constantine et Annaba». Ces manques ont eu pour effet de modifier le comportement de certains employés indélicats qui, «profitant de la situation, fructifient leurs prestations moyennant des services et autres».

 

En d'autres termes, l'indisponibilité de ces documents, au même titre que d'autres, va contribuer, selon certains agents et employés, “à l'émergence de comportements ou à de la fraude”. D'où l'urgence, ajoutent-ils, de remédier à cela par une action rapide à même de restreindre le champ d'action des spéculateurs.

 

Par Djamel Mentouri

 

In : letempsdz.com

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Ou comment l'état nourrit la bureaucratie et la corruption dans sa propre administration .

 

Le cabinet noir doit considérer ça comme une façon ou autre de redistribuer la rente aux pauvres fonctionnaires de mairies :mdr::mdr::mdr:

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Ou comment l'état nourrit la bureaucratie et la corruption dans sa propre administration .

 

Le cabinet noir doit considérer ça comme une façon ou autre de redistribuer la rente aux pauvres fonctionnaires de mairies :mdr::mdr::mdr:

 

 

Distribuer sans que ça lui coûte!(ingénieux comme système)

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NON !

jamais payer pour avoir son droit ! jamais au grand jamais

c'est la politique de facilitation qui nous mène là ou est aujourd'hui!

 

Tout à fait d'accord.D'ailleurs je me me suis toujours posé la question...c'est le demandeur qui propose ou l'employé qui exige...:eek:

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Guest dounia25
NON !

jamais payer pour avoir son droit ! jamais au grand jamais

c'est la politique de facilitation qui nous mène là ou est aujourd'hui!

 

je suis contre moi aussi mais j'avoue que j'ai eu beaucoup plus affaire

à la "ma3rifa"qu'à la corruption.

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