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Maisons closes existent LÉGALEMENT en ALGÉRIE !!!!


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1/2

 

je viens de lire cet article sur El Watan-week-end qui m'a franchement plus que surpris

 

voici l'artice

 

C’est un secret bien gardé. En Algérie, il existe encore une vingtaine de maisons closes réglementées. Sous la vigilance de la police et l’autorité d’une mère maquerelle, les filles gagnent plutôt bien leur vie. El Watan Week-end a poussé la porte de la dernière maison de tolérance encore ouverte à Oran…

 

 

La démarche altière dans sa robe bustier parme, Malika, 50 ans, tourne en rond en écoutant cheb Hasni. Elle attend un client, et pour elle les journées sont devenues longues. Soudain, des pneus crissent. Une voiture emprunte le chemin caillouteux de la rue des Jasmins, ex-rue Lac Duc, dans le quartier de Derb, à Oran. La voiture s’arrête devant une bâtisse de trois étages qui a sûrement connu des jours meilleurs, dans un passé pas si lointain. Dans les années 90, tout le long de la ruelle, neuf maisons closes réglementées étaient, encore, ouvertes. Elles dataient toutes de la période coloniale.

 

A l’époque, c’étaient les seules à accepter des Algériens, alors que les autres maisons, plus huppées, situés dans le centre-ville d’Oran, étaient réservées aux Français. Rue des Jasmins, les maisons closes n’avaient pas de nom, juste un numéro qui permettait de les différencier et que les clients s’échangeaient entre eux. C’était l’époque où le sexe tarifé avait permis à toute une génération de connaître ses premiers émois sexuels. Cette époque, Khalti Fatma, qui travaillait dans l’une des maisons closes, l’a bien connue. Elle se rappelle cette folie joyeuse qui régnait dans le quartier. De ces habitués qu’on croisait si souvent, qu’on en venait à connaître leurs prénoms. Aujourd’hui, seule la «2» est encore ouverte, les autres ont dû fermer, laissées à l’abandon par des héritiers trop honteux de récupérer une activité que leur mère avait exercée et qui ont préféré se débarrasser, au plus vite, de la bâtisse en la revendant ou en l’abandonnant. Depuis, Khalti Fatma, 50 ans, s’est, elle aussi, reconvertie. Elle est devenue physionomiste.

 

Bas résille noirs

 

Visage émacié, un foulard autour de la tête et une longue tunique qui cache un corps qu’elle ne peut plus exposer au regard des hommes, elle reste assise sur un cageot, toute la journée. Elle filtre les entrées en faisant payer 50 DA à ceux qui sont admis à pénétrer à l’intérieur, et refuse les mineurs et ceux qui ne lui inspirent pas confiance. «C’est moi qui dis qui entre et qui reste dehors, affirme t-elle, ce n’est pas parce que c’est une maison close qu’on doit laisser entrer n’importe qui. Je dois rester vigilante parce que les filles ont parfois affaire à des hommes qui ont un comportement violent une fois à l’intérieur. Et puis, il y a ceux qui demandent aux filles de leur faire des choses contraires à la morale. Ceux-là, je leur interdis, pour toujours, l’accès à l’établissement.» A l’intérieur, une grande pièce à colonnades.

 

Au fond, un petit comptoir de bar où les hommes peuvent siroter une gazouz en attendant leur tour, tout en écoutant le raï que diffusent des haut-parleurs. Le long du mur, des chaises en plastique blanc. Deux femmes de 35 ans sont assises. Karima, cheveux peroxydés et rouge à lèvres intense, porte une nuisette rouge qui laisse deviner ses formes plantureuses et des bas résille noirs, tandis que sa copine Safia est juste vêtue d’un petit peignoir bleu clair, légèrement entrouvert sur la poitrine qui laisse apparaître un petit bout de sein. Toutes les deux sont chaussées de pantoufles, comme pour souligner le caractère familial de l’endroit. Elles papotent gaiement sans trop accorder d’attention aux deux hommes qui leur font face et qui les reluquent en silence. «Ce sont des habitués, confie Karima, ils attendent que les filles avec qui ils ont l’habitude d’aller, terminent avec un autre client.»

 

,,,,,,,,,,,, to be continued

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2/2

 

D’une prison à l’autre

 

Au «2», elles sont une quinzaine à travailler et à habiter sur place. Elles ont 35 ans de moyenne d’âge et ont toutes connu un passage par la prostitution clandestine avant de rejoindre une maison close réglementée. Elles en ont fait la demande auprès du commissariat de leur quartier de résidence qui, après enquête, n’autorise que les femmes divorcées et les mères célibataires à entrer dans une maison de tolérance. «Ici je suis bien, confie la brune et plantureuse Sabrina. Je suis en sécurité et je travaille avec préservatif, ce qui n’était pas le cas avant. Et puis, on mange bien ici. Il y a quelqu’un qui nous cuisine nos plats préférés ! L’ambiance est bonne, on s’entraide entre femmes.

 

Les seules fois où il y a eu des frictions, c’est à cause de l’argent. Certaines sont jalouses de celles qui ont plus de clients, donc qui gagnent plus.» Toutes les filles sont soumises à des règles drastiques. Elles ne peuvent quitter l’établissement sans une autorisation du commissariat. «On est soumises à un régime strict, révèle Hafida, la plus svelte des pensionnaires. On est fichées et on nous retire notre passeport dès qu’on entre dans une maison de tolérance. On n’a pas le droit de sortir de l’établissement sans être accompagnées par une personne et sans en informer le commissariat. De plus, on n’a pas le droit de fréquenter les endroits publics comme les discothèques ou les cabarets. Si une travailleuse du sexe est arrêtée, elle risque une lourde peine de prison.» Toutes affirment que leurs parents ne sont pas au courant de leur activité, mais la réalité n’est pas aussi simple. «Les familles sont au courant, révèle une femme proche des filles. Il y a même des parents ou des enfants qui viennent à la maison close pour se faire remettre de l’argent.»

 

Chinois radins

 

Chacune occupe une chambre qu’elle aménage selon sa convenance. D’énormes posters de Britney Spears tapissent les murs, de celle de Safia, mère célibataire de deux petites filles placées en nourrice à Annaba. Des produits de beauté sont alignés sur une étagère. Une corbeille pleine de préservatifs est posée sur la commode, un bidon est placé près du lavabo dans lequel sont jetés ceux qui ont été utilisés. Un petit peignoir à motifs chinois est accroché à une patère. «C’est un client chinois qui me l’a offert, confie Safia, je le porte quand ils viennent nous rendre visite. Ils arrivent escortés par la police. Ils sont très gentils, en revanche, ils sont radins ; ils ne laissent jamais de pourboire.»

 

Une télévision reste en permanence allumée sur Canal Algérie, même en présence d’un client. «Je baisse le son, précise Safia, mais pas question de l’éteindre.» Aucune photo ni objet personnel n’est visible dans la chambre. «Pas question que des clients voient la photo de mes enfants quand ils rentrent dans la chambre, affirme Safia. Ils payent pour mon corps. Tout le reste est secret.» A Oran, la maison de tolérance fonctionne selon le système du jeton. C’est une particularité des maisons closes oranaises, car ailleurs, la fille loue une chambre chez la propriétaire. Lorsqu’un client choisit l’une des filles, il achète un jeton pour 350 DA, qui lui garantit une prestation de cinq minutes. A partir de son bureau, la patronne surveille chaque prestation et actionne une sonnette qui retentit dans la chambre pour signaler que le temps est écoulé.

 

Pour pouvoir continuer, le client est tenu de payer un autre forfait. A la fin de la semaine, le nombre de jetons est comptabilisé et les gains partagés avec la propriétaire. Chaque travailleuse du sexe se fait entre 25 000 et 35 000 DA/mois, bien loin des sommes que gagnent les filles exerçant à Annaba ou Skikda dont les gains seraient de 150 000 DA/mois. Pour Malika, les temps sont durs. La doyenne des pensionnaires «ne rapporte plus», au grand désespoir de la patronne qui aimerait bien se débarrasser d’elle. Mais impossible de renvoyer une fille de la maison sans qu’elle ait commis une faute grave, seul argument valable aux yeux de la police. Un nouveau client fait son entrée. Après avoir déshabillé du regard la poignée de filles assises, il s’éloigne avec l’une d’elles. De la tristesse se lit dans le regard de Malika. On devine la jeune femme désirable qu’elle fut et qui souffre de ne plus l’être. Mais pour elle comme pour les autres, il y a rarement une vie après la maison close.

 

 

 

*Tous les prénoms ont été changés

 

 

 

Au service des autres

 

Kheira Batouche a décidé de consacrer sa vie au service des plus démunis. Dans le centre de salubrité publique, situé dans le quartier populaire de Derb, à Oran, elle soigne et aide les habitants du quartier, ainsi que les travailleuse du sexe, à qui elle a imposé l’utilisation du préservatif avec l’aide de l’association AIDS Algérie.

 

Salim Mesbah

 

Oran : Dans l?intimité d?une maison close - Contrechamps - El Watan

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Guest cerisecerise

@kabyle : tu croyais quoi???que la prostitution n'existait pas en Algérie? que les prostituées existent mais pas les maisons où elles peuvent exercer leur activité???? Venant de la part d'une femme dont la société s'est évertuée à lui faire croire tout et n'importe quoi, j'aurais compris l'étonnement suscité ...mais là venant d'un homme......c'est ridicule.....

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Dans tous les pays cela existe, plus ou moins,

à l'air libre, en maisons closes, en buildings avec enseignes, ou dans de petites vitrines.

Que cela ne doive pas être le cas en Algérie serait "très inhabituel" !!!

 

Comme diraient certains économistes, "c'est qu'il y a une demande".

- Personnes ou travailleurs déplacés (ici dans l'exemple - des chinois -).

- Concentration de "mâles" (ex des militaires) d' ou parfois prise en mains par la hiérarchie (ex BMC).

 

Maintenant, toute personne censée, est libre de conduire sa vie suivant ses propres règles.

 

Et, si d'aventure comme cela m'est déjà arrivé: (en France, ... je suis.... Français)

Entrant avec des amis dans un "bistrot" (mot Russe employé en 1814 par les cosaques pour signifier qu'ils voulaient boire) ....... chaudement recommandé par quelques connaissances, après un bref instant, une bienveillante personne te dit: "il y a des nouvelles au 1° - tu veux monter ?-".

Tu est libre, ou d'aller explorer ou de poliment décliner, mais toujours dans la plus parfaite courtoisie, que tu partage ou non cette façon de faire et de vivre.

 

Et de te dire:

Cela existe.

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Dans tous les pays cela existe, plus ou moins,

à l'air libre, en maisons closes, en buildings avec enseignes, ou dans de petites vitrines.

Que cela ne doive pas être le cas en Algérie serait "très inhabituel" !!!

 

Comme diraient certains économistes, "c'est qu'il y a une demande".

- Personnes ou travailleurs déplacés (ici dans l'exemple - des chinois -).

- Concentration de "mâles" (ex des militaires) d' ou parfois prise en mains par la hiérarchie (ex BMC).

 

Maintenant, toute personne censée, est libre de conduire sa vie suivant ses propres règles.

 

Et, si d'aventure comme cela m'est déjà arrivé: (en France, ... je suis.... Français)

Entrant avec des amis dans un "bistrot" (mot Russe employé en 1814 par les cosaques pour signifier qu'ils voulaient boire) ....... chaudement recommandé par quelques connaissances, après un bref instant, une bienveillante personne te dit: "il y a des nouvelles au 1° - tu veux monter ?-".

Tu est libre, ou d'aller explorer ou de poliment décliner, mais toujours dans la plus parfaite courtoisie, que tu partage ou non cette façon de faire et de vivre.

 

Et de te dire:

Cela existe.

 

 

 

Mdrrr à Pigalle ce ne sont pas des bistrots mec et tu n'y vas pas généralement pour y boire un verre :mdr:

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Mdrrr à Pigalle ce ne sont pas des bistrots mec et tu n'y vas pas généralement pour y boire un verre :mdr:

OK,

mais dans mon cas, (et cela m'a surpris !)

 

c'était entre 1980 & 1990 au fin fond de la campagne Française.

A la fin d'un repas de clôture de chantier de sous traitants, pour le dernier verre avant de se quitter en attente de notre prochaine collaboration.

 

Il faut croire, que la "demande était là" avec la proximité des grands chantiers.

Donc,

cela existe,

partout.

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@kabyle : tu croyais quoi???que la prostitution n'existait pas en Algérie? que les prostituées existent mais pas les maisons où elles peuvent exercer leur activité???? Venant de la part d'une femme dont la société s'est évertuée à lui faire croire tout et n'importe quoi, j'aurais compris l'étonnement suscité ...mais là venant d'un homme......c'est ridicule.....

 

En même temps, il a le droit de ne pas être au courant. Sa surprise est tout à son honneur... Je ne vois pas pourquoi étant un homme, il devrait avoir la prescience et l'omniscience sur tous les sujets.

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OK,

mais dans mon cas, (et cela m'a surpris !)

 

c'était entre 1980 & 1990 au fin fond de la campagne Française.

A la fin d'un repas de clôture de chantier de sous traitants, pour le dernier verre avant de se quitter en attente de notre prochaine collaboration.

 

Il faut croire, que la "demande était là" avec la proximité des grands chantiers.

Donc,

cela existe,

partout.

 

 

Oui sauf que dans certains pays c'est plus ou moins tabou c'est là la différence

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Pourquoi les maisons closes sont toujours orientées pour satisfaire les besoins de l'homme? Jamais entendu parler de maisons closes pour femmes.

Ben si,

cela existe,

en France & Navarre & autres Pays.

 

Un peu sous d'autres formes -- diners dansants -- clubs -- cercles --- .......

ou les femmes font leur choix parmi les hommes présents.

 

Pour une causette, ou une amourette.

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Pourquoi les maisons closes sont toujours orientées pour satisfaire les besoins de l'homme? Jamais entendu parler de maisons closes pour femmes.

 

Aujourd'hui, les maisons closes pour les hommes et les femmes, c'est internet. Beaucoup de "transactions" se passent par le biais de la toile. Les femmes clientes existent mais ne font pas parler d'elles.

 

Tiens, il y a un livre de Josiane Balasko sur ce thème : "Cliente" (pas de la grande littérature, mais ça se lit comme un roman de gare) qui parle de ce thème, une femme qui paye pour des services sexuels.

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En même temps, il a le droit de ne pas être au courant. Sa surprise est tout à son honneur... Je ne vois pas pourquoi étant un homme, il devrait avoir la prescience et l'omniscience sur tous les sujets.

 

- Je ne pense pas qu'il fut tant étonné de la présence de ce genre d'endroits en Algérie, ce qui l'a étonné et moi également (si on est sur la même longueurs d'onde), c'est le caractère légale et administratif de ces maisons, faut se rendre au commissariat et déposer une demande pour en faire partie :confused:

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Guest cerisecerise
Pourquoi les maisons closes sont toujours orientées pour satisfaire les besoins de l'homme? Jamais entendu parler de maisons closes pour femmes.

 

:mdr::mdr::mdr:

exact

car nous on n'a pas besoin de payer.... y a toujours un kéké prêt à offrir ses services gratos

 

plus sérieusement, en France il existe des sociétés "d'excort boys" ......

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Guest cerisecerise
En même temps, il a le droit de ne pas être au courant. Sa surprise est tout à son honneur... Je ne vois pas pourquoi étant un homme, il devrait avoir la prescience et l'omniscience sur tous les sujets.

 

LOL

bonsoir zazouu

j'ai jamais supposé qu'en tant qu'homme, il doit être omniscient....En revanche, pour avoir plus traîné avec des gars qu'avec des filles, je sais de quoi on , je veux dire les gars parlent ;)

maintenant si c'est un grand garçon célibataire vivant en algérie, je lui souhaite vivement de pouvoir serrer les dents jusqu'au mariage :D:D:D

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Guest cerisecerise
Est-ce qu'on parle bien de maison close dans le sens propre ou sale du terme , ou bien de banale allumeuse de bar qui tapine tout simplement entre deux verre de sirop grenadine à défaut d'alcool .

 

toi aussi t'aime bien le diabolo fraise?

amdoulla

sinon, je crois qu'il parle de "vraies maisons closes", au sens propre du terme....

olala les algériens et algériennes ne sont pas si moraux que certains dans le forum s'évertuent à l'écrire????? attention, ca commence par les maisons closes, ca finit par du triolisme, de l'échangisme.....

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Guest cerisecerise
C'est le plus vieux métier du monde.

Ceci dit je pensais que les maisons closes avaient été fermées depuis belle lurette.

 

impossible trop de business et de plus c'est vu comme de la salubrité publique.....

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LOL

bonsoir zazouu

j'ai jamais supposé qu'en tant qu'homme, il doit être omniscient....En revanche, pour avoir plus traîné avec des gars qu'avec des filles, je sais de quoi on , je veux dire les gars parlent ;)

maintenant si c'est un grand garçon célibataire vivant en algérie, je lui souhaite vivement de pouvoir serrer les dents jusqu'au mariage :D:D:D

 

Achhh so :D Petite coquineuh, enfin surtout tes copains... Je suis toujours surprise à quel point en France, les gens parlent facilement et ouvertement de... ***. Je suis pas bien typique en fait sur ce sujet. :04:

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- Je ne pense pas qu'il fut tant étonné de la présence de ce genre d'endroits en Algérie, ce qui l'a étonné et moi également (si on est sur la même longueurs d'onde), c'est le caractère légale et administratif de ces maisons, faut se rendre au commissariat et déposer une demande pour en faire partie :confused:

 

Aaah bon :confused:

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