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A vos textes....


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Guest asteroideB612

Les Echelles du Levant de Amin Maalouf

 

 

Et la soupe arrive, fumante. Je la hume. Je prends la première cuillerée. Des lentilles, en effet, mais pas n'importe lesquelles, des lentilles au cumin! Saupoudrées de cumin, en abondance, comme chez nous. Etrange, je me dis. Se pourrait-il que cela fasse partie des recettes lyonnaises? Non, ce goût ne trompe pas, je sais parfaitement d'où il vient. J'ai envie d'interroger le patron. Je m'apprête à l'appeler, puis je me ravise. Que pourrais-je lui dire? Que j'ai retrouvé dans sa soupe les saveurs de mon pays?

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Guest asteroideB612

Léon l'Africain de Amin Maalouf

 

 

"Moi Hassan fil de Mohammed le Peseur, moi Jean-Léon de Médicis, circoncis de la main d'un barbier et baptisé de la main d'un pape, on m'appelle aujourd'hui l'Africain....On m'appelle aussi le Grenadin, le Fassi, le Zayyati, mais je ne viens d'aucun pays, d'aucune cité, d'aucune tribu. Je suis fils de la route, ma patrie est caravane et ma vie est la plus inattendue des traversées...De ma bouche tu entendras l'arabe, le turc, le castillan, le berbère, l'hébreu, la latin et l'italien vulgaire, car toutes les langues, toutes les prières m'appartiennent...Mais je n'appartiens à aucune. Je ne suis qu'à Dieu et à la terre et c'est à eux qu'un jour je reviendrai..."

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Guest asteroideB612

Les Identités meurtrières de Amin Maalouf

 

 

Chacun d'entre nous devrait être encouragé à assumer sa propre diversité, à concevoir son identité comme la somme de ses diverses appartenances, au lieu de la confondre avec une seule, érigée en appartenance suprême, et en instrument d'exclusion, parfois en instrument de guerre

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« J'ai pardonné des erreurs presque impardonnables, j'ai essayé de remplacer des personnes irremplaçables et oublier des personnes inoubliables. J'ai agi par impulsion, j'ai été déçu par des gens que j'en croyais incapables, mais j'ai déçu des gens aussi. J'ai tenu quelqu'un dans mes bras pour le protéger. J'ai ri quand il ne fallait pas. Je me suis fait des amis éternels. J'ai aimé et l'ai été en retour, mais j'ai aussi été repoussé. J'ai été aimé et je n'ai pas su aimer. J'ai crié et sauté de tant de joies, j'ai vécu d'amour et fait des promesses éternelles, mais je me suis brisé le coeur, tant de fois ! J'ai pleuré en écoutant de la musique ou en regardant des photos. J'ai téléphoné juste pour entendre une voix, je suis déjà tombé amoureux d'un sourire. J'ai déjà cru mourir par tant de nostalgie et j'ai eu peur de perdre quelqu'un de très spécial (que j'ai fini par perdre)... Mais j'ai survécu ! Et je vis encore !

 

Et la vie, je ne m'en passe pas...

Et toi non plus tu ne devrais pas t'en passer. Vis !

 

Ce qui est vraiment bon, c'est de se battre avec persuasion, embrasser la vie et vivre avec passion, perdre avec classe et vaincre en osant, parce que le monde appartient à celui qui ose et que LA VIE C'EST BEAUCOUP TROP pour être insignifiante ! »

 

Charlie Chaplin

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Les hommes ne regardent plus les femmes .. Les femmes ne regardent plus les hommes ..

Ils exigent, elles réclament .. Ils s'enfuient, elles menacent ..

Ils vont chacun de leur côté, de plus en plus tristes et solitaires. De plus en plus amers ..

 

 

[ J'étais là avant - Katherine Pancol ]

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« Même si je me plains un peu, disait son cœur, c’est seulement que je suis un cœur d’homme, et les cœurs des hommes sont ainsi. Ils ont peur de réaliser leurs plus grands rêves, parce qu’ils croient ne pas mériter d’y arriver, ou ne pas pouvoir y parvenir.

Nous, les cœurs, mourons de peur à la seule pensée d’amours enfuis à jamais, d’instants qui auraient pu être merveilleux et qui ne l’ont pas été, de trésors qui auraient pu être découvert et qui sont restés pour toujours enfouis dans le sable. Car quand cela se produit, nous souffrons terriblement pour finir.

"L’Alchimiste" de Paulo Coelho

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Guest Felin
« Même si je me plains un peu, disait son cœur, c’est seulement que je suis un cœur d’homme, et les cœurs des hommes sont ainsi. Ils ont peur de réaliser leurs plus grands rêves, parce qu’ils croient ne pas mériter d’y arriver, ou ne pas pouvoir y parvenir.

Nous, les cœurs, mourons de peur à la seule pensée d’amours enfuis à jamais, d’instants qui auraient pu être merveilleux et qui ne l’ont pas été, de trésors qui auraient pu être découvert et qui sont restés pour toujours enfouis dans le sable. Car quand cela se produit, nous souffrons terriblement pour finir.

"L’Alchimiste" de Paulo Coelho

 

Paulo Coelho ... T'as pas un truc de lui à lire ? (version Ebook)

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Que chacun fasse son poème avant de mourir

Beau comme un matin vert

Calme comme un soir bleu

L'amour pour le seul amour de l'amour

L'amant, l'aimée, l'amour ne faisant qu'un

L'amour au soleil

L'amour à la mort

Et la fin de l'angoisse...

 

(extrait de Soleil de la Saint-Martin, Roland Doucet)

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Le temps n'est plus le temps

Mon amour

Septembre frissonne au dehors

Le vent porte une odeur de feuille morte

Les nuages courent au rendez-vous de l'hiver

Je voudrais être à Tombouctou

Suffoquer au vent pur du désert

Je voudrais être à Lhassa

Tellement au-delà de ce moi

Et trouver le secret de cet automne d'or

Qui nous étreint le coeur

Comme un amour jamais atteint...

 

(extrait de Soleil de la Saint-Martin, Roland Doucet)

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Esclaves nous dormons sur nos chaînes

Pour être libre , il ne suffit pas de le vouloir

C'est reconnaître en soi

L'autre, l'ombre du moi

C'est connaître la mort

Et l'accepter

Au plus profond de ses fibres

Les yeux de la mort sont beaux

Comme ceux d'un amour

Je voudrais vivre toujours

Et je mourrai demain

Les arbres de l'allée

Pleurent leurs feuilles d'or

Sur un oiseau mort...

 

(extrait de Soleil de la Saint-Martin, Roland Doucet)

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Guest asteroideB612

Extrait de " Risibles amours " de Milan KUNDERA

 

Je crois qu'un homme et une femme s'aiment davantage quand ils ne vivent pas ensemble et quand ils ne savent l'un de l'autre qu'une seule chose, qu'ils existent, et quand ils sont reconnaissants l'un envers l'autre parce qu'ils existent et parce qu'ils savent qu'ils existent. Et ça leur suffit pour être heureux.

 

Je te remercie (...), je te remercie d'exister

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Guest asteroideB612

Roman commencé aujourd'hui....et déjà les premières pages nous invitent à la méditation :

 

 

Il n'existe aucun moyen de vérifier quelle décision est la bonne car il n'existe aucune comparaison. Tout est vécu tout de suite pour la première fois et sans préparation. Comme si un acteur entrait en scène sans avoir jamais répété. Mais que peut valoir la vie, si la première répétition de la vie est la vie même? C'est ce qui fait que la vie ressemble toujours à une esquisse. Mais même "esquisse" n'est pas le mot juste, car une esquisse est toujours l'ébauche de quelque chose, la préparation d'un tableau, tandis que l'esquisse qu'est notre vie est une esquisse de rien, une ébauche sans tableau.

 

L'insoutenable légèreté de l'être de Milan Kundéra

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Guest asteroideB612

[...] coucher avec une femme et dormir avec elle, voilà deux passions non seulement différentes mais presque contradictoires. L'amour ne se manifeste pas par le désir de faire l'amour (ce désir s'applique à une innombrable multitude de femmes) mais par le désir du sommeil partagé (ce désir-là ne concerne qu'une seule femme).

 

Kundéra toujours.....

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Guest asteroideB612

"J'ai déjà dit que les métaphores sont dangereuses. L'amour commence par une métaphore. Autrement dit : l'amour commence à l'instant où une femme s'inscrit par une parole dans notre mémoire poétique."

 

Oui....encore lui !

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Guest asteroideB612

Je disais à ma soeur, ou elle me disait, tu viens, on joue à rire? On s'allongeait côte à côte sur un lit et on commençait. Pour faire semblant, bien sûr. Rires forcés. Rires ridicules. Rires si ridicules qu'ils nous faisaient rire. Alors il venait, le vrai rire, le rire entier, nous emporter dans son déferlement immense. Rires éclatés, repris, bousculés, déchainés,rires magnifiques, somptueux et fous...Et nous riions à l'infini du rire de nos rires....

 

Extrait de "Le Livre du rire et de l'oubli " de Kundéra

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Je n'ai jamais su comment ils s'étaient connus, car on ne

parlait pas de ces choses-là à la maison. D'autre part, je ne leur

ai jamais rien demandé à ce sujet, car je n'imaginais ni leur

jeunesse ni leur enfance.

Ils étaient mon père et ma mère, de toute éternité, et pour

toujours. L'âge de mon père, c'était vingt-cinq ans de plus que

moi, et ça n'a jamais changé. L'âge d'Augustine, c'était le

mien, parce que ma mère, c'était moi, et je pensais, dans mon

enfance, que nous étions nés le même jour. De sa vie précédente, je sais seulement qu'elle fut éblouie par la rencontre de ce

jeune homme à l'air sérieux, qui tirait si bien aux boules, et qui

gagnait infailliblement cinquante-quatre francs par mois.

 

Extrait de "La gloire de mon Père" Marcel Pagnol

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— Je le reconnais, j'ai eu tort, dit mon père. Pourtant, j'ai

vu voler des plumes...

— Moi aussi, ricana l'oncle Jules, j'ai vu voler de belles

plumes, qui emportaient les bartavelles à soixante à l'heure,

jusqu'en haut de la barre, où elles doivent se foutre de nous ! »

Je m'étais approché, et je voyais le pauvre Joseph. Sous sa

casquette de travers, il mâchonnait nerveusement une tige de

romarin, et hochait une triste figure. Alors, je bondis sur la

pointe d'un cap de roches, qui s'avançait au-dessus du vallon

et, le corps tendu comme un arc, je criai de toutes mes forces :

« Il les a tuées ! Toutes les deux ! Il les a tuées ! »

Et dans mes petits poings sanglants d'où pendaient quatre

ailes dorées, je haussais vers le ciel la gloire de mon père en face

du soleil couchant.

 

Extrait de "La gloire de mon Père" Marcel Pagnol

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Enfin, en me caressant les cheveux, il déclara :

« Puisque nous avons deux épreuves, j'ai bien envie d'en

envoyer une à mon père, pour lui montrer comme Marcel a

grandi... »

Le petit Paul battit des mains, et moi j'éclatai de rire. Oui,

il était tout fier de son exploit ; oui, il enverrait une épreuve à

son père, et il montrerait l'autre à toute l'école, comme avait

fait M. Arnaud.

J'avais surpris mon cher surhomme en flagrant délit d'humanité : je sentis que je l'en aimais davantage.

 

Extrait de "La gloire de mon Père" Marcel Pagnol

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"Le fait qu'une femme qu'on aime cesse de vous aimer sans vous amener à la mépriser ou à la haïr par ses mensonges, n'est pas ce qui peut arriver de mieux à l'abandonné. N'y aurait-il pas chez elle quelque bonté, à rendre au contraire ces adieux vindicatifs et détestables, et à empêcher ainsi sa victime de bercer des souvenirs estimables et nostalgiques qui gâcheraient par des comparaisons outrées son avenir amoureux ?"

 

Françoise Sagan.

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Arrivés au soir de notre vie, le soupçon nous vient que nous avons parfois mal agi. Nous n'avons pas eu les mots justes pour l'ami qui en avait besoin, pour l'enfant qui nous était confié, nous avons abandonné des êtres en détresse, heurté ceux qui nous étaient chers. Nous avons été tour à tour lâches et mesquins mais aussi, quelquefois nobles et généreux. Telle est l'abondance du coeur qu'au milieu de tant de petitesse, il soit capable de nous rendre meilleurs, de nous élever au-dessus de nous -même.

A tous ceux que tenaille la peur de la déception ou des moqueries, il faut répéter : n'ayez pas honte de vos contradictions ou d'être qui vous êtes, naïf, fleur bleue, fidèle ou volage. Ne vous laissez pas intimider! Il n'y a pas qu'une seule route vers la joie.

Nous aimons autant que les hommes peuvent aimer, c'est-à-dire imparfaitement...

 

( extrait de "Le paradoxe amoureux" de Pascal Bruckner)

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Guest asteroideB612

C'est dur, mais y a pas d'os dedans. Ça bouge tout seul, mais ça n'a pas de muscles. C'est doux et touchant quand ça a fini de jouer, arrogant et obstiné quand ça veux jouer. C'est fragile et capricieux, ça n'obéit pas à son maître, c'est d'une susceptibilité maladive, ça fait la grève sans qu'on sache pourquoi, ça refuse tout service ou ça impose les travaux forcés, ça tombe en panne quand le terrain est délicat et ça repart quand on n'en a plus besoin ; ça veut toujours jouer les durs alors que ça pend vers le sol pendant la majeure partie de son existence...

Il parait que nous aurions adoré avoir un truc comme ça. Il paraît que quand on n'en a pas, c'est bien simple, on n'a RIEN.

Et puis ce n'est pas fini : à côté du machin, il y a les machines. Et là c'est nettement pire............ Où elles sont placées, pauvres minouchettes, on dirait deux crapauds malades tapis sous une branche trop frêle. C'est mou, c'est froid, ni vide ni plein ; ça n'a aucune tenue, peu de forme, une couleur malsaine, le contact sépulcral d'un animal cavernicole ; enfin c'est parsemé de poils rares et anémiques qui ressemblent aux derniers cheveux d'un chauve. Et il y en a deux !

 

.........Disons le tout net : votre panoplie, mes chéris, même si vous ennoblissez la pièce maîtresse de phallus ne forme pas un ensemble extraordinaire........... Et pourtant nous l'aimons, cette trinité, avec humour parce qu'elle est objectivement laide, avec amour parce qu'elle est subjectivement émouvante.

 

Mais qu'on ne nous empoisonne plus avec cette prétendue envie de pénis, qu'on ne nous définisse plus, au physique et au moral, par rapport au pénis et qu'on nous soulage de tous ces psychanalystes et sexanalystes qui s'acharnent à réanimer nos vieux conflits au lieu de nous apprendre à nous aimer nous mêmes, ce qui est une condition essentielle pour aimer l'autre. Sinon, nous allons le prendre en grippe, l'objet, comme certaines ont commencé à le faire. Ce serait dommage pour tout le monde.

Extrait de " Ainsi soit elle" de Benoîte Groult.....8 mars oblige ;)

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«Le temps se gâta brusquement vers midi. La salle

du café devint sombre au point que nous arrêtâmes

notre partie de cartes (...) De même que le ciel, et

presque aussitôt, l'atmosphère du café changea (…)

Ce n'était pas la mélancolie qui baignait la salle

mais une mauvaise humeur impuissante qui

s'engouffrait dans le vent, une colère sans objet qui

pénétrait avec le froid et se glissait sous les

habits»

 

Extrait " Les chemins qui montent" (Mouloud Feraoun)

Un 8 Mars 1913 le vit naître :)

 

Source de l'extrait, une thèse de magister sur son oeuvre

http://bu.umc.edu.dz/theses/francais/BOU1190.pdf

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Guest asteroideB612
«Le temps se gâta brusquement vers midi. La salle

du café devint sombre au point que nous arrêtâmes

notre partie de cartes (...) De même que le ciel, et

presque aussitôt, l'atmosphère du café changea (…)

Ce n'était pas la mélancolie qui baignait la salle

mais une mauvaise humeur impuissante qui

s'engouffrait dans le vent, une colère sans objet qui

pénétrait avec le froid et se glissait sous les

habits»

 

Extrait " Les chemins qui montent" (Mouloud Feraoun)

Un 8 Mars 1913 le vit naître :)

 

Source de l'extrait, une thèse de magister sur son oeuvre

http://bu.umc.edu.dz/theses/francais/BOU1190.pdf

 

Et qui fût assassiné apparemment ( j'ai commencé à lire le début cette thése ... )

 

Merci.

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