Apulee 10 Posted December 29, 2010 Author Partager Posted December 29, 2010 Maroc: La monarchie bananière :mdr: Vous atterrissez à l’aéroport Mohamed V. Vous empruntez le boulevard Mohamed VI pour vous rendre à la mosquée Hassan II. Vous demandez votre chemin au centre ville, on vous indique qu’il faut remonter le boulevard Moulay Ismaïl, puis Moulay Youssef, puis Mohamed V, tourner à gauche continuer sur le boulevard Hassan II, puis à droite longer le boulevard Mohamed VI .Vous arrivez sur la place SAR Moulay Rachid, ensuite emprunter le boulevard SAR Moulay Hicham et puis rue Lalla Meriem et enfin l’impasse Lalla Soukaïna. Bien sûr tout le long de votre chemin, des posters géants de Mohamed VI, Moulay Rachid et Hassan II dans toutes les postures vous accompagnent. Vous voulez vous désaltérer ,vous entrer dans une épicerie(hanout) ,une photo géante de Mohamed VI fait face à vous au fond de la boutique. Vous sortez votre billet pour payer, il est bien sûr à l’effigie de Mohamed VI ou bien de Hassan II. Vous entrez à la poste, vous achetez un timbre à l’effigie de Mohamed VI et sous son regard sévère sur la photo qui trône sur le mur. Vous voulez aller regarder un match de foot, vous devez vous rendre au Stade Mohamed V. Vous voulez vous rendre au théâtre ,vous devez vous rendre au théâtre nationale Mohamed V ou théâtre Mohamed VI. Vous voulez aller à un événement culturel ou sportif ou un festival, il est toujours placé sous le haut patronage de Mohamed VI ou un membre de la famille alouite. Vous allumez la télévision sur RTM, on retrace les activités royales de la semaine. Vous ouvrez votre journal le Matin, la moitié du journal est consacré à la famille royale. Pratiquement tous les monuments, grands ouvrages que vous visiterez, portent des noms de la dynastie régnante. Aucun grand intellectuel, chercheur, scientifique, architecte, médecin, journaliste marocain …etc n’est digne de donner son nom à une œuvre en Alouitie ? En Alaouitie il y a la famille Alouite et le vide sidéral. Le patrimoine et l’identité d’un peuple ont été confisqués et accaparés par la monarchie. Le rêve et la vocation du petit marocain de voir un jour sur un écriteau son nom est détruit à la naissance. Bienvenue en Alaouitie ou meme le coran n'echappe pas a la censure !!!!!!!!!!!!!!!! “En vérité, quand les rois entrent dans une cité ils la corrompent, et font de ses honorables citoyens des humiliés. Et c'est ainsi qu'ils agissent". (Coran, verset 34, sourate 27 (Annaml)) Citer Link to post Share on other sites
mohbet92 10 Posted December 29, 2010 Partager Posted December 29, 2010 Conditions de détention dégradantes/ Crainte pour l’intégrité physique et psychologique/ Absence d’enquête sur la base d Conditions de détention dégradantes/ Crainte pour l’intégrité physique et psychologique/ Absence d’enquête sur la base des allégations de torture et de mauvais traitements Le Secrétariat international de l’Organisation mondiale contre la torture (OMCT) a reçu de nouvelles informations concernant la situation suivante et sollicite votre intervention urgente en Algérie. Nouvelles informations Le Secrétariat international de l’OMCT a été informé par une source fiable et par Antenna International, une organisation membre du réseau SOS-Torture de l’OMCT, que M. Abderrahmane Mehalli, qui avait été torturé par des agents du Département pour la sécurité et le renseignement (DRS) à la suite de son arrestation, le 26 décembre 2006, est actuellement détenu à la prison de Chlef (à environ 200km d’Alger) dans des conditions dégradantes. Par ailleurs, il souffrirait d’une hernie discale nécessitant une opération chirurgicale. Selon les informations reçues, M. Abderrahmane Mehalli a été transféré d’Alger à la prison de Chlef peu après avoir été condamné en décembre 2009 à quatre ans de prison pour « appartenance à un groupe armé terroriste». La date de son procès en appel n’a pas encore été fixée. Depuis son arrestation, M. Abderrahmane Mehalli a été transféré dans plusieurs prisons[1] dont celle de Chlef qui est la plus éloignée de sa famille et dont les conditions de détention seraient mauvaises (notamment malnutrition). Le médecin de la prison aurait diagnostiqué une hernie discale chez M. Abderrahmane Mehalli et lui aurait recommandé une opération. Toutefois, à ce jour, aucune mesure n’a été prise dans ce sens. Par ailleurs, M. Abderrahmane Mehalli et sa famille ont demandé à la direction de la prison de Chlef et à la Direction des Prisons à Alger son transfert vers une prison près d’Alger mais aucune suite n’aurait été donnée à leurs démarches. Enfin, selon les mêmes informations reçues, aucune enquête n’a été diligentée sur la base des allégations de torture et de mauvais traitements dont M. Abderrahmane Mehalli a été victime lors de son arrestation et sa détention (voir Rappel des faits). L’OMCT prie les autorités algériennes de garantir, en toutes circonstances, l’intégrité physique et psychologique de M. Abderrahmane Mehalli, conformément au droit régional et international pertinent, et notamment aux dispositions de la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples, de la Convention des Nations Unies contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants et du Pacte international relatif aux droits civils et politiques qui prohibent la torture et les mauvais traitements. L’OMCT est particulièrement préoccupée quant à l’état de santé de M. Abderrahmane Mehalli et demande aux autorités algériennes compétentes de lui garantir immédiatement un traitement médical adéquat conformément entre autres, à l’Ensemble de règles minima pour le traitement des détenus des Nations Unies. L’OMCT demande également aux autorités algériennes de garantir une enquête immédiate, efficace, exhaustive, indépendante et impartiale sur les allégations de torture et autres mauvais traitements subis par M. Abderrahmane Mehalli durant sa détention, dont les conclusions seront rendues publiques, et ce afin d’identifier les responsables, de les traduire devant un tribunal civil indépendant, compétent et impartial et d’appliquer les sanctions pénales, civiles et/ou administratives prévues par la loi. L’OMCT rappelle enfin que, selon l’article 15 de la Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, « toute déclaration dont il est établi qu'elle a été obtenue par la torture ne (peut) être invoquée comme un élément de preuve dans une procédure.» Citer Link to post Share on other sites
tkm 10 Posted December 29, 2010 Partager Posted December 29, 2010 Il n'y a qu'au pays des hommes ou tu vois les emeutes. ;) Au pays des khab tel que le tiens, les esclaves se contentent de tres peu sans jamais ouvrir leurs sales gueules. :mdr: merci pour l info dans votre pays de saintes est ce que des journalistes étrangers ont déjà le droit d y entrer car on ne peut certainement pas parler de filmer. les derniers soulèvements en algerie parlent aussi des bidon villes mais on ne les voit pas car impossible de filmer dans un pays propriété des militaires Citer Link to post Share on other sites
mohbet92 10 Posted December 29, 2010 Partager Posted December 29, 2010 suite Rappel des faits L’OMCT avait été informée des actes de torture et de mauvais traitements dont M. Abderrahmane Mehalli a été victime durant sa détention au secret et lors de sa détention à la prison d’El Harrach, à Alger. Selon les informations reçues, M. Abderrahmane Mehalli a été arrêté le 26 décembre 2006 à 19h30 à son domicile de Bachdjerah par les services de la brigade mobile de la police judiciaire (BMPJ) de Oued Ouchayah, accompagné de membres des services du DRS sans motif apparent. Durant 12 jours, le lieu et les conditions de détention de M. Mehalli étaient inconnus. Le 6 janvier 2007, M. Mehalli a été présenté devant le juge d’instruction de la 2ème chambre du Tribunal d’Alger. Il a été placé sous mandat de dépôt et transféré à la prison de Serkadji où il se trouvait détenu en cellule d’isolement avec cinq autres détenus. Selon les mêmes informations, M. Mehalli a été torturé par les agents de la DRS. Il a été roué de coups de poings et de pied et a notamment subi l’épreuve du chiffon qui consiste à boucher le nez tout en mettant un chiffon dans la bouche, du liquide étant par la suite versé sur la tête. Il aurait également été menacé par les agents de la DRS sous les yeux de son avocat au moment où il devait être entendu par le juge d’instruction. M. Mehalli était accusé « d’appartenance à un groupe terroriste armé et non-dénonciation d’assassin ». Il aurait reconnu les faits qui lui étaient reprochés sous le coup de la menace et aurait été contraint de signer un procès verbal sans pouvoir le lire auparavant. Par ailleurs, M. Mehalli n’a pas reçu de soins médicaux suite aux actes subis mais il aurait été obligé de signer un document attestant du fait qu’il a été bien traité. Selon les mêmes informations reçues, le 14 juin 2008, lors d’une visite régulière à la prison d’El Harrach, dans laquelle M. Abderrahmane Mehalli avait été transféré en mai 2008, dans l’attente de la programmation de son procès, sa famille l’aurait trouvé dans un très mauvais état de santé. Il avait notamment une plaie à la tête et était totalement amorphe. M. Abderrahmane Mehalli aurait alors confié à sa sœur que des agents du DRS étaient venus à plusieurs reprises à la prison où ils auraient torturé un groupe de prisonniers dont M. Abderrahmane Mehalli faisait partie. Ils auraient d’abord été entièrement déshabillés avant d’être torturés, y compris abusés sexuellement. Selon les mêmes informations, M. Abderrahmane Mehalli a déjà été arrêté à plusieurs reprises depuis 1993 et a été victime de mauvais traitements par le passé. Citer Link to post Share on other sites
mohbet92 10 Posted December 29, 2010 Partager Posted December 29, 2010 suite et fin. Actions requises Merci d’écrire aux autorités de l’Algérie, afin de leur demander de: 1. Prendre toutes les mesures nécessaires afin de garantir la sécurité et l’intégrité physique et psychologique de M. Abderrahmane Mehalli, notamment en mettant à sa disposition des soins médicaux appropriés; 2. Garantir à M. Mehalli l’accès immédiat et inconditionnel à sa famille et à un avocat de son choix; notamment en permettant son transfert vers une prison d’Alger ; 3. Garantir une enquête immédiate, efficace, exhaustive, indépendante et impartiale sur les allégations de torture et autres mauvais traitements, dont les conclusions seront rendues publiques, et ce afin d’identifier les responsables, de les traduire devant un tribunal civil indépendant, compétent et impartial et d’appliquer les sanctions pénales, civiles et/ou administratives prévues par la loi; 4. Déclarer irrecevables les éléments de preuve ou les déclarations extorqués sous la torture ou les mauvais traitements; 5. Garantir que M. Abderrahmane Mehalli bénéficie d’un procès en appel équitable; 6. Garantir un recours effectif et une réparation adéquate, y compris l’indemnisation et la réhabilitation, à M. Abderrahmane Mehalli; 7. Garantir le respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales à travers le pays selon les lois nationales et les instruments internationaux des droits de l’homme. Adresses Prière d’écrire aux représentations diplomatiques de l’Algérie dans vos pays respectifs. Ø M. Abdelaziz Bouteflika, Président de la République algérienne, Présidence, El-Mouradia, Alger, Algérie. Tel : +213 (0)21 69 15 15 - Fax : +213 (0)21 69 15 95 - E-mail : President@el-mouradia.dz Ø M. Farouk Ksentini, Président de la Commission Nationale Consultative pour la Promotion et la Protection des droits de l’Homme (CNCPPDH), avenue Franklin Roosevelt, Allée du Peuple, 16000 Alger, Algérie. Tel : +213 (0)21 23 03 11 / 23 02 14 Ø M. Abdelaziz Ziari, Président de l’Assemblée Nationale Populaire, 18 boulevard Zirouf Youcef, 16000 Alger, Algérie. Tel : +213 021 73 86 00 / 10 Ø M. Dahou Ould Kablia, Ministre de l’intérieur, Ministère de l’intérieur et des collectivités locales, rue du Docteur Saâdane, Alger, Algérie. Fax : +213 (0)21 92 12 43 Ø M. Tayeb Belaiz, Ministre de la Justice, Ministère de la Justice, 8 Place de Bir-Hakem. El-Biar, Alger, Algérie. Fax : +213 (0)21 74 76 64 / + 213 (0)21 92 17 01 / 29 56 Ø H.E Idriss Jazaïry, Ambassadeur, représentant permanant de l’Algérie auprès de l’ONU à Genève, route de Lausanne 308, CH-1293, Bellevue, Suisse. Fax : +41 (0)22 / 774 30 49 - E-mail : mission.algerie@mission-algerie.ch Prière d’écrire également aux représentations diplomatiques de l’Algérie dans vos pays respectifs. *** Genève, le 15 octobre 2010 Veuillez nous informer de toute action entreprise en citant le code de cet appel dans votre réponse. [1] Les prisons d’El Harrach, de Serkadji, de Berouaghia et de Chlef. Citer Link to post Share on other sites
mohbet92 10 Posted December 29, 2010 Partager Posted December 29, 2010 Les rassemblements des mercredis empêchés es rassemblements des mercredis empêchés par Ghania Oukazi, Le Quotidien d'Oran, 21 août 2010 Les familles des disparus ont tenté, mercredi dernier, d'esquiver la répression policière en tenant leur rassemblement symbolique en début d'après-midi plutôt que durant l'habituelle matinée. « SOS Disparu(e)s et Collectif des familles de disparu(e)s» ont donné mercredi rendez-vous à leurs adhérents pour tenir leur sit-in hebdomadaire à partir de 13 h au lieu du matin. L'objectif était de détourner les regards des services de police qui se sont braqués sur eux, et ce, depuis plusieurs mercredis de suite, pour les empêcher férocement de tenir leur rassemblement symbolique «Contre l'oubli et pour la Vérité». Mais, en ce matin pluvieux du mercredi, les animateurs du rassemblement devaient compter sans la main de fer des nombreux agents de sécurité qui avaient pris position tôt le matin à proximité du siège de la Commission consultative nationale de la protection et de la promotion des droits de l'Homme (CCNPPDH) et tout autour de la place Addis Abeba, contrôlant tous les allers et venues des ruelles débouchant sur la place en question. Il pleuvait beaucoup quand la quarantaine de personnes représentant les familles des disparus voulaient s'approcher du siège de la CCNPPDH. Les agents de l'intervention policière foncent sur elles pour les en empêcher. «Je suis médecin, vous n'avez pas le droit de me malmener», dit un manifestant à la main de l'officier qui l'a pris par le cou et poussé. Surnommé «le rouquin», l'officier lui jette à la figure: «le médecin c'est à l'hôpital, non seulement je te malmène mais narhik (je te broie) !» Il s'acharnera aussi contre l'avocat de SOS Disparu(e)s, Maître Amine Sidhoum. «L'avocat, c'est au tribunal, pas ici !», lui dit-il. Résultat de cette autre démonstration de force policière, le transfert de Slimane Hamitouche (encore lui) et Moussa Bourfis (le médecin bousculé) vers le commissariat du 9è arrondissement. Pour rappel, Hamitouche a été déjà interpellé mercredi dernier et pris au commissariat «pour attroupement illégal.» Leur collègue Hassan Ferhati estime qu'il l'a été «parce que c'est un jeune qui a une force de caractère remarquable». Tout autant que son collègue, Hamitouche sera relâché durant les heures qui suivront comme il l'a été la semaine dernière après la signature d'un PV attestant qu'il participait à un attroupement illégal. «Ça fait 12 ans qu'on tient notre rassemblement, personne ne nous a rien dit et aujourd'hui, vous découvrez qu'il est illégal», a dit Hamitouche au commissaire, selon Hassan Ferhat. Les manifestants ont été poussés vers la porte du palais du peuple pour ensuite être mis dans un bus public et transportés loin des lieux de la discorde. «C'est le dernier avertissement !», leur a lancé l'officier. Ferhat relèvera cependant un fait marquant. «Le commissaire qui était présent sur les lieux, celui qui nous a violemment malmenés la semaine dernière, a été très indulgent cette fois avec nous, il a ordonné à ses agents de ne pas nous frapper», nous affirme-t-il. La présidente de SOS Disparu(e)s, Fatima Yous, promet de revenir mercredi prochain sur les lieux du rassemblement. «Nous continuerons de le tenir comme d'habitude», nous dit-elle. «J'ai dit au commissaire que nous serons toujours là», nous dit Ferhat. «Nous aussi, nous serons toujours là,» lui a répondu le commissaire. L'on s'interroge sur le pourquoi de cette subite levée de boucliers contre des manifestations qui ont toujours été pacifiques et qui ne gardent comme moyens d'expression que les photos de leurs proches disparus qu'ils brandissent chaque mercredi des douze années écoulées depuis qu'ils ont juré de s'interdire l'oubli et de rechercher la Vérité. L'on s'interroge si en recevant les responsables des services de sécurité, le président a été informé sur la répression qui s'était abattue, mercredi dernier, sur des vieilles personnes, des mères en général, venues implorer calmement les institutions de l'Etat. Le président de la CCNPPDH, Maître Ksentini, affirme n'être aucunement responsable de la soudaine décision d'interdiction du rassemblement des familles des disparus. Il n'en a d'ailleurs pas la prérogative. Reste à savoir qui a décidé de mettre de l'huile sur le feu en tenant à étouffer la revendication légitime d'un droit, puisque constitutionnellement reconnu, qui est celui d'exiger que la lumière soit faite sur le manquement de l'Etat à sa responsabilité de protéger les personnes et les biens. Un droit que le chef de l'Etat a (re)confirmé lors de son audition, mardi, du ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales. Citer Link to post Share on other sites
mohbet92 10 Posted December 29, 2010 Partager Posted December 29, 2010 suite et fin. Annoncé pour mercredi prochain: Les familles des disparus veulent manifester à Paris par M. M. Pour réclamer «la liberté de se rassembler», revendiquer la «vérité et justice en Algérie» et pour réagir «à la brutale interdiction du rassemblement hebdomadaire des familles de disparus à Alger», le Collectif des Familles de Disparus en Algérie (CFDA) appelle à un rassemblement de soutien à Paris, prévu pour le 25 août prochain, devant l'ambassade d'Algérie, annonce un communiqué du CFDA. Le communiqué revient sur l'interdiction des trois derniers rassemblements organisés, depuis 1998, chaque mercredi, devant le siège de la CNCPPDH à Alger, pour «demander Vérité, Justice et Réparation pour les disparus des années 1990». «Les rassemblements des 4, 11 et 18 août ont été dispersés, les deux premières fois dans une violence inouïe, et se sont soldés par des arrestations de proches de disparus et de militants des droits de l'Homme», ajoute le communiqué qui considère que cette interdiction «confirme que l'Algérie a encore un long chemin à parcourir pour parvenir à une solution juste et adéquate à la question des disparus». Le CFDA appelle à manifester une «solidarité massive et internationale» avec le soutien de plusieurs organisations dont Amnesty International France, la Fédération Euro-méditerranéenne contre les Disparitions Forcées (FEMED), la Fédération Internationale de l'Action des Chrétiens pour l'Abolition de la Torture (FIACAT), la Fédération Internationale des Ligues des Droits de l'Homme (FIDH), Human Rigths Watch (HRW), la Ligue des Droits de l'Homme (LDH), l'Organisation Mondiale Contre la torture (OMCT), le Réseau Euro-méditerranéen des Droits de l'Homme (REMDH), et le Réseau mondial de solidarité des mères, épouses, soeurs, filles, proches de personnes enlevées et disparues. Citer Link to post Share on other sites
mohbet92 10 Posted December 29, 2010 Partager Posted December 29, 2010 Dépassements de la police à El-Bayadh Dépassements de la police à El-Bayadh LADDH, 25 août 2010 Le Bureau de la LADDH de la Wilaya d’El-Bayadh a reçu la plainte de la famille Djelaili habitant le quartier de Ouled Yahia, dans la ville de l’El-Bayadh, au sujet de la torture subit par l’un de ses membres de fait des agents de la police. En effet, le vendredi 13 aout 2010 correspondant au troisième jour de Ramadhan, et au moment de la rupture du jeûne, huit policiers sans uniformes ont investi la maison familiale en fracassant la porte d’entrée à la recherche d’une drogue qui n’ont pu trouver sur les lieux.les policiers non pas présenté de mandat de perquisition, ni la nature de leur opération. Suite à ça, les policiers interpellent M. Djelaili Belaid Ouadi, un des membres de la famille pour l’emmener au poste de police pour être roué de coups par 6 policiers alors qu’il était menotté à la rampe des escaliers du poste. Ces coups lui ont causé des blessures importantes au visage, et la victime risque de perdre l’usage de son œil. Par la suite la victime a été emmener au commissariat central, et ce n’est qu’ au quatrième jour de son arrestation, le mardi 17 août, que M.Delaili sera présenté au procureur de la république contrairement ce que stipule la procédure judiciaire. Aussi, une fois examiné par le médecin légiste, la victime a été auditionnée par le juge d’instruction lui et ses deux frères à la suite du dépôt d’une plainte par deux policiers pour violence. Par ailleurs, et selon les déclarations de M.Djelaili, ce dernier était présenté chaque jour à un médecin de l’hôpital de la ville qui rédigeait un certificat médical qu’il remettait au policier sans ausculter le patient ni même lui adresser la parole, alors même que les traces des coups paressaient apparentes sur le visage du patient. Cette attitude peut s’apparenter à un comportement contraire aux règles de déontologie et à la loi. La LADDH dénonce l’intrusion brutale et non justifiée des agents de la police dans le domicile des Djelaili et leur comportement contraire à la loi. Elle condamne avec force la torture pratiquée dans le commissariat avec la participation de plusieurs policiers. La LADDH demande aux autorités judiciaires l’ouverture d’une enquête sérieuse concernant les circonstances de cette affaire, et de poursuivre tous ceux qui ont participé à ce comportement hors la loi. Elle demande aussi aux autorités judiciaires et celles de la santé, une enquête sur la pratique qu’auraient certains médecins, qui délivrent des certificats médicaux à la demande des policiers sans examiner les personnes ramenées. Alger le 25 août 2010 Le Comité Directeur ============================= Citer Link to post Share on other sites
mohbet92 10 Posted December 29, 2010 Partager Posted December 29, 2010 ok je sorts,mais je vais revenir très bientôt. Citer Link to post Share on other sites
Apulee 10 Posted December 29, 2010 Author Partager Posted December 29, 2010 Les marocains vendent leurs enfants pour survivre Au lieu de squatter les forums Algeriens, je conseille aux marocains de s'occuper du sort de leurs freres et soeurs qui sont vendus comme du betail. :o Plus d'un millions d'enfants marocains vendent leurs culs dans leur douar pour quelques dirhams. :o Leurs compatriotes marocains vendent leurs enfants aux plus offrant avec la benediction et l'encouragement de leur roitelet le narcotrafiquant/proxenete a qui il font la courbette. :o [V] [/V] [V] [/V] Voici quelques extraits de l'article qui en parle. « Payer la famille pour la ‘dédommager’ » « Certains journaux et associations ont fait un lien entre la hausse des cas de pédophilie et le tsunami, mais nous n’avons pas vraiment fait une étude complète sur ce sujet. Il faut reconnaître que d’autres facteurs jouent dans la perpétuation de ce phénomène. Il y a notamment la violation des droits socio-économiques de l’enfant (droit à un niveau de vie respectable, d’avoir une chaise à l’école, de ne pas travailler, d’avoir des loisirs...) et le fait que le gouvernement essaye de renforcer sa politique de tourisme : il compte atteindre 10 millions de touristes d’ici 2010 sans stratégie et il fait semblant de ne pas voir que le tourisme sexuel augmente. « Les victimes font les frais de tout ça et se retrouvent derrière les barreaux, au nom du code de la famille et de l’honneur, alors que les pédophiles échappent à la justice au Maroc et dans leur pays, comme le montre l’exemple du journal Le Soir belge (l’‘affaire Hervé’, ndlr). Tous les touristes ne sont pas des pédophiles, mais certains profitent des lieux de complaisance pour agir sans crainte. Ils se rendent dans des endroits où l’enfant est mal protégé et où règne la misère sociale et familiale pour contourner et échapper à la loi. Ils n’hésitent pas à payer la famille pour la ‘dédommager’ ». En Italie, on vient de recenser 3 000 enfants d’origine marocaine dans les milieux de la prostitution. En juillet dernier, on a découvert qu’une trentaine de jeunes filles, dont des mineures, étaient exploitées par des Saoudiens à la Palmeraie. Malheureusement, les autorités ont camouflé cette affaire et se sont contentées d’expulser les Saoudiens. Ce n’est pas la première fois : en octobre aussi, des Saoudiens ont été expulsés pour les mêmes motifs », déplore le militant. Qui conclut amèrement : « Des études montrent que le Maroc est le troisième pays dans le domaine de la pédophilie, derrière la Thaïlande et le Brésil. Si le gouvernement ne s’intéresse pas aux droits socio-économiques des enfants et qu’il ne fait pas de prévention, dans trois ans nous serons comme la Thaïlande ». Les marocains qui refusent de vendre leurs culs ou le *** de leurs enfants sont traites comme des animaux: Citer Link to post Share on other sites
Apulee 10 Posted December 29, 2010 Author Partager Posted December 29, 2010 Bienvenue chez Momo 6, ou meme le coran n'echappe pas a la censure. :mdr: “En vérité, quand les rois entrent dans une cité ils la corrompent, et font de ses honorables citoyens des humiliés. Et c'est ainsi qu'ils agissent". (Coran, verset 34, sourate 27 (Annaml)) Arka3ou liraboukoum M 6 le narcotrafiquant/proxenete et fermez la! Citer Link to post Share on other sites
Apulee 10 Posted December 29, 2010 Author Partager Posted December 29, 2010 Maroc: La monarchie bananière Vous atterrissez à l’aéroport Mohamed V. Vous empruntez le boulevard Mohamed VI pour vous rendre à la mosquée Hassan II. Vous demandez votre chemin au centre ville, on vous indique qu’il faut remonter le boulevard Moulay Ismaïl, puis Moulay Youssef, puis Mohamed V, tourner à gauche continuer sur le boulevard Hassan II, puis à droite longer le boulevard Mohamed VI .Vous arrivez sur la place SAR Moulay Rachid, ensuite emprunter le boulevard SAR Moulay Hicham et puis rue Lalla Meriem et enfin l’impasse Lalla Soukaïna. Bien sûr tout le long de votre chemin, des posters géants de Mohamed VI, Moulay Rachid et Hassan II dans toutes les postures vous accompagnent. Vous voulez vous désaltérer ,vous entrer dans une épicerie(hanout) ,une photo géante de Mohamed VI fait face à vous au fond de la boutique. Vous sortez votre billet pour payer, il est bien sûr à l’effigie de Mohamed VI ou bien de Hassan II. Vous entrez à la poste, vous achetez un timbre à l’effigie de Mohamed VI et sous son regard sévère sur la photo qui trône sur le mur. Vous voulez aller regarder un match de foot, vous devez vous rendre au Stade Mohamed V. Vous voulez vous rendre au théâtre ,vous devez vous rendre au théâtre nationale Mohamed V ou théâtre Mohamed VI. Vous voulez aller à un événement culturel ou sportif ou un festival, il est toujours placé sous le haut patronage de Mohamed VI ou un membre de la famille alouite. Vous allumez la télévision sur RTM, on retrace les activités royales de la semaine. Vous ouvrez votre journal le Matin, la moitié du journal est consacré à la famille royale. Pratiquement tous les monuments, grands ouvrages que vous visiterez, portent des noms de la dynastie régnante. Aucun grand intellectuel, chercheur, scientifique, architecte, médecin, journaliste marocain …etc n’est digne de donner son nom à une œuvre en Alouitie ? En Alaouitie il y a la famille Alouite et le vide sidéral. Le patrimoine et l’identité d’un peuple ont été confisqués et accaparés par la monarchie. Le rêve et la vocation du petit marocain de voir un jour sur un écriteau son nom est détruit à la naissance. Bienvenue en Alaouitie ou meme le coran n'echappe pas a la censure!!!!!!!!!!!!!!!! “En vérité, quand les rois entrent dans une cité ils la corrompent, et font de ses honorables citoyens des humiliés. Et c'est ainsi qu'ils agissent". (Coran, verset 34, sourate 27 (Annaml)) Citer Link to post Share on other sites
Apulee 10 Posted December 29, 2010 Author Partager Posted December 29, 2010 Maroc: To kiss or not to kiss :mdr: Le pauvre marocain n'a pas beaucoup de choix, ou il se prostitue au nom de son roitelet ou c'est la prison moyenageuse qui l'attend. Exemple de bons eleves marocains (ils baisent les pueds de leur dieu): :mdr: Exemple de mauvais eleves (ceux qui refusent de vendre leurs culs pour le roitelet): “En vérité, quand les rois entrent dans une cité ils la corrompent, et font de ses honorables citoyens des humiliés. Et c'est ainsi qu'ils agissent". (Coran, verset 34, sourate 27 (Annaml)) Citer Link to post Share on other sites
Apulee 10 Posted December 29, 2010 Author Partager Posted December 29, 2010 WikiLeaks : au Maroc, la corruption s'institutionnalise et n'épargne pas le Palais royal WikiLeaks : au Maroc, la corruption s'institutionnalise et n'épargne pas le Palais royal "Les pratiques de corruption existaient durant le règne de Hassan II. Elles se sont institutionnalisées avec le roi Mohammed VI." Le constat émane d'un homme d'affaires étranger, installé de longue date dans le royaume, en contrepoint d'une aventure dont il est le principal protagoniste et dont on peut lire les détails dans un télégramme diplomatique de novembre 2009 intitulé "Un conte aux proportions royales", obtenu par Wikileaks et révélé par Le Monde. La corruption occupe une part non négligeable des télégrammes américains émanant du Maroc. Ils donnent l'image d'une pratique répandue dans le royaume, qui concerne les civils comme les militaires, ignore les classes sociales et touche jusqu'au palais royal. L'homme d'affaires, d'origine étrangère, souhaitait investir dans un projet immobilier au Maroc. Il avait obtenu le permis de construire. Le financement (220 millions de dollars, soit 168 millions d'euros), en partie d'origine étrangère, était bouclé. Mais le projet allait être bloqué pour des raisons qui échappèrent à l'homme d'affaires jusqu'au jour où il fût approché par le responsable d'une société liée au palais royal. Ce dernier "l'encourage fortement" à faire une place à cette entreprise. "RAPACITÉ DES PROCHES DU ROI MOHAMMED VI" "Ayant refusé la proposition et après des mois de gel du projet", l'entrepreneur accepte une nouvelle offre : il n'est plus question d'une participation, mais l'homme d'affaires devra user de son réseau de relations pour faciliter les contacts entre la société marocaine et les investisseurs potentiels d'un pays du Golfe. Ce qu'il accepte. La mission revenue au Maroc, la firme marocaine "à la demande du palais, honore partiellement ses engagements, ne réclamant qu'une participation de 5 %". Cité dans le même télégramme, un financier, bien introduit dans le makhzen (un mot intraduisible pour signifier le monde politico-économique qui gravite autour du palais royal) est catégorique : "Les grandes décisions d'investissements, confie-t-il à son interlocuteur américain, doivent avoir le feu vert de trois personnes (…) Discuter avec quelqu'un d'autre serait une perte de temps." Suivent les noms des trois personnes. Elles occupent toutes une position privilégiée au cœur de la monarchie. L'affairisme du palais royal, à vrai dire, n'étonne pas vraiment le haut fonctionnaire, qui rappelle qu'un ancien ambassadeur américain, "resté proche du palais, est venu se plaindre auprès de nous de la rapacité des proches du roi Mohammed VI". Et l'auteur de conclure : "Ce phénomène fragilise sérieusement les efforts de bonne gouvernance que le gouvernement s'efforce de promouvoir." Un câble précédent, daté d'août 2008, avait, lui, mis l'accent sur la "corruption institutionnalisée" dans les hautes sphères des Forces armées royales (FAR), en particulier celles stationnées au Sahara occidental. "Des rapports crédibles indiquent que le général Benanni utilise sa position de commandant du secteur sud pour récupérer de l'argent des contrats militaires et peser sur les décisions dans le domaine des affaires." "Benanni, comme beaucoup d'autres officiers supérieurs, possède une somptueuse maison de famille probablement construite avec de l'argent provenant de pots-de-vin", assure le mémo, qui regrette qu'en dépit des promesses faites par les autorités d'éradiquer la corruption parmi les officiers, "peu de choses ont été faites" à ce jour. La corruption, l'économie parallèle, les passe-droits, on les retrouve dans une autre étude confidentielle du consulat de Casablanca, rédigée en mai 2008 et consacrée aux causes de l'opulence de la capitale économique du royaume. "Le trafic de drogue, le blanchiment d'argent et une corruption endémique jouent un rôle dans la croissance", indique le document. A l'appui de la démonstration, l'auteur cite le cas d'un officier devenu importateur de motos de marque allemande après avoir eu connaissance que la police allait passer une importante commande. Ou celui de terrains gelés par la municipalité mais "devenus constructibles après le versement de pots-de-vin par des promoteurs". Le consulat américain à Casablanca a touché du doigt l'importance de cette économie parallèle lorsqu'il a voulu s'agrandir : "Sur la trentaine de sites identifiés, plus de vingt ont du être exclus tout de suite car les propriétaires ne voulaient pas vendre dans le cadre d'une transaction officielle." Jean-Pierre Tuquoi WikiLeaks : au Maroc, la corruption s'institutionnalise et n'épargne pas le Palais royal - LeMonde.fr Citer Link to post Share on other sites
Apulee 10 Posted December 29, 2010 Author Partager Posted December 29, 2010 WikiLeaks : des journaux étrangers "interdits d'entrée" au Maroc WikiLeaks : des journaux étrangers "interdits d'entrée" au Maroc Le Maroc a bloqué la distribution de l'édition du 12 décembre du quotidien français Le Monde, en raison de ses articles fondés sur les télégrammes diplomatiques américains diffusés par le site WikiLeaks. Début décembre, des éditions du journal espagnol El Pais et du quotidien arabe Al-Quds Al-Arabi avaient déjà été saisies au Maroc pour les mêmes raisons. Ces journaux "ont été interdits d'entrée pour avoir publié des informations diffamatoires sur le Maroc", a expliqué mardi 14 décembre un responsable du ministère de la communication marocain. "Le Maroc n'a fait qu'appliquer un article du code de la presse qui stipule que le ministère de la communication a le droit d'interdire toute publication dont des articles portent atteinte à la religion, à l'intégrité territoriale et à la monarchie", a ajouté ce responsable. Les documents de WikiLeaks reproduits par ces journaux faisaient état d'un télégramme du consulat américain de Casablanca émis en décembre 2009 dénonçant les "pressions" exercées par l'entourage du roi du Maroc, Mohammed VI, pour solliciter des "pots-de-vin" dans le domaine de l'immobilier. WikiLeaks : des journaux étrangers "interdits d'entrée" au Maroc - LeMonde.fr Citer Link to post Share on other sites
mohbet92 10 Posted December 30, 2010 Partager Posted December 30, 2010 devenu un vrai marocain. faudel le chanteur trouve sa paix et son repos au maroc.Il y vient au moins 5 fois par an,et prend des photos juste devant le portrait de SM. Mohamed VI comme la fait déja khaled,bilal,et les autres. Citer Link to post Share on other sites
mohbet92 10 Posted December 30, 2010 Partager Posted December 30, 2010 voici une autre je sais ce que vous allez en penser. Citer Link to post Share on other sites
mohbet92 10 Posted December 30, 2010 Partager Posted December 30, 2010 Paris impose de nouvelles restrictions aux Algériens Après plusieurs mois de brouille, Alger et Paris ont décidé l’été dernier de réchauffer leurs relations bilatérales. Deux visites à Alger de Claude Guéant, secrétaire général de l’Elysée, ont suffit pour mettre fin à plus de deux ans de relations tendues. Mais tout comme les raisons de la brouille, les éléments qui ont poussé à la réconciliation restent méconnus. On sait seulement que les Français souhaitent voir aboutir deux sujets prioritaires en Algérie : l’accès de leurs entreprises aux contrats publics et la révision des accords de 1968 sur l’immigration, actuellement favorables aux Algériens vivant en France. Sur le premier point, les résultats sont déjà perceptibles. Le groupe parapétrolier Technip, qui fut pendant plusieurs années interdit de contrats en Algérie après un conflit avec l’Etat algérien qui s’était terminé devant un tribunal d’arbitrage international, a obtenu un contrat de 908 millions de dollars avec Sonatrach. La visite, fin novembre, de Jean-Pierre Raffarin, désigné par l’Elysée pour gérer le dossier économique avec l’Algérie, a également permis de débloquer plusieurs dossiers liés aux investissements français. Une autre visite de M. Raffarin pourrait intervenir en mai prochain pour faire aboutir d’autres dossiers. En face, les Algériens semblent se comporter comme si la période de froid entre Alger et Paris n’avait eu de conséquences que sur les intérêts des Français en Algérie. Or, ces tensions ont été mises à profit par Paris pour durcir ses lois à l’égard des Algériens en matière d’immigration et de délivrance de visas. Ainsi au moment où les groupes français revendiquent davantage de contrats en Algérie, les commerçants algériens souhaitant se rendre en France devront signer une déclaration sur l’honneur dans laquelle ils s’engageront à ne pas demander de titre de séjour en France ni à y bénéficier de prestations sociales ou médicales. Au-delà de son aspect humiliant, cette mesure du ministère français de l’Intérieur –dirigé par Brice Hortefeux, un ministre condamné le 4 juin pour injure raciale après des propos sur les Arabes– est en contradiction avec les objectifs français en Algérie. Au moment où on exige davantage de liberté pour les investisseurs français en Algérie, on empêche les commerçants algériens –qui sont aussi des investisseurs– de se rendre librement en France. L’autre catégorie concernée par les restrictions en matière de visas : les journalistes. Ces derniers devront désormais fournir une invitation pour pouvoir obtenir un visa. Or, parfois, les journalistes sont amenés à se rendre en France pour un motif professionnel, comme la réalisation d’un reportage. Comment obtenir une invitation dans ce cas ? En matière d’immigration, les préfectures françaises ont été instruites pour durcir les conditions de renouvellement ou d’attribution de titres de séjour des Algériens. De nombreux témoignages évoquent de nouvelles complications pour le renouvellement des cartes de résidence. L’objectif de Paris, via ces restrictions, est de forcer Alger à accepter la renégociation des accords de 1968 sur l’immigration. Or, les propositions formulées par les Français vont dans le sens d’un durcissement des conditions de séjour des Algériens en France (lire). Si Paris a pris en charge les problèmes et les dossiers économiques français en Algérie, le gouvernement algérien n’a pris aucune initiative pour tenter de régler les problèmes des Algériens en France. La désignation de Mohamed Benmeradi, ministre de l’Industrie, comme interlocuteur de M. Raffarin a réduit le contentieux algéro-français aux seuls problèmes économiques de la France en Algérie. 30/12/2010 à 13:03 | Citer Link to post Share on other sites
mohbet92 10 Posted December 30, 2010 Partager Posted December 30, 2010 Responsables algériens à l’étranger et Israël : Driss Djazaïri n’est pas un cas unique Une fois n’est pas coutume, le ministère des Affaires étrangères pourrait réagir aux dernières révélations de WikiLeaks sur les propos de l’ambassadeur d’Algérie en Suisse, Driss Djazaïri. «Nous faisons le point afin de préparer des explications», a affirmé le chargé de la communication au sein du ministère, cité mercredi 22 décembre par El Watan. Driss Djazaïri, au cours d’une réunion sur le désarmement, tenue en mai 2009 à Genève, a notamment dit qu’il serait heureux de se « rendre disponible pour les Israéliens » dans les discussions concernant le processus de paix au Proche-Orient et le désarmement de l’Iran. Le concerné conteste timidement. «Cette phrase ne peut en aucun cas être interprétée sortie de son contexte», explique-t-il dans les colonnes d’El Watan. «Je suis tenu à l’obligation de réserve, et je ne peux m’exprimer que sous approbation de mon ministère des Affaires étrangères, auquel je viens d’envoyer un rapport explicatif quant à cette déclaration», a-t-il ajouté. Il a rappelé avoir fait son intervention en tant que président de la Conférence sur le désarmement à l’ONU. «Je suis mandaté par mon ministère de tutelle, et je ne fais que reproduire ses instructions». En fait, malgré la gravité des faits, des sanctions à l’encontre de Driss Djazaïri apparaissent aujourd’hui peu probables. Avant lui, un autre représentant de l’Algérie à l’étranger était allé beaucoup plus loin. En mars 2009, Dalil Boubakeur, recteur de la Mosquée de Paris, une institution financée par l’Algérie, avait apporté son soutien à Israël et fait les éloges de ce pays. « Concernant les derniers événements à Gaza (NDLR : la guerre israélienne contre Gaza), je crois personnellement que lorsque des organisations comme le Hamas bombardent pendant des années le territoire d'Israël, elles suscitent forcément des réactions d'Israël et exposent les populations palestiniennes à des représailles. Ce qui est irresponsable et dangereux », avait-il notamment dit dans un entretien à un magazine israélien. « Concernant Israël, je le vois et l'admire comme un pays en pleine expansion et qui a d'énormes *possibilités grâce à l'intelligence de sa population, surtout quand on voit comment le pays a mis en valeur ses terres, en comparaison aux terres de ses pays voisins... Israël est l'expression même de l'homme livré à la nature. D'où l'importance à mes yeux, de la connaissance et de l'intelligence humaine », avait ajouté le recteur de la Mosquée de Paris. Près de deux ans après ces déclarations qui ont scandalisé la communauté musulmane en France, Dalil Boubakeur est toujours en poste. Comme Driss Djazaïri, il avait expliqué que ces propos ont été sortis de leur contexte. Et l’affaire a été oubliée. Dans ses rapports avec les dossiers liés à Israël, Alger semble pratiquer un double langage. Le premier, très dur, est destiné à la consommation interne. Le second, à l’étranger, est plus nuancé et modéré. Les Algériens ne veulent visiblement pas mécontenter Washington, principal allié d’Israël dans le monde. 22/12/2010 à 11:20 | Citer Link to post Share on other sites
mohbet92 10 Posted December 30, 2010 Partager Posted December 30, 2010 Les dessous de la lutte contre la corruption et les inquiétudes françaises Nouvelles révélations de WikiLeaks sur l’Algérie. Elles ont été publiées, jeudi 16 décembre dans la soirée, par le quotidien espagnol El Pais. Trois thèmes majeurs figurent dans les câbles de l’ambassade américaine à Alger : les dessous de la lutte contre la corruption, les tensions au sommet de l’Etat et les inquiétudes exprimées par l’ancien ambassadeur de France à Alger, Bernard Bajolet, aujourd’hui coordinateur des services de renseignements français à l’Elysée. Le câble le plus récent date du 8 février 2010. Il est consacré au scandale de corruption qui a secoué Sonatrach. Selon une source anonyme –son nom a été effacé sur le câble– rencontrée par l’ambassadeur américain à Alger, 1600 contrats passés par la société nationale des hydrocarbures seraient concernés par l’enquête du DRS. La même source a affirmé que personne ne croyait que Chakib Khelil, ministre de l’Energie au moment des faits, était étranger aux pratiques reprochées aux cadres de Sonatrach mis en cause. Son cousin Reda Hemche était le véritable décideur et le PDG Mohamed Meziane n’était là que pour la signature. Plusieurs sources ont expliqué à l’ambassadeur US à Alger que le scandale de Sonatrach était un message envoyé par le DRS au président Bouteflika. Mais il n’existe aucune preuve tangible permettant d’accréditer une telle thèse, soutient l’ambassadeur américain. Inquiétudes françaises et soutien de Paris à Bouteflika L’autre câble publié par El Pais date du 25 janvier 2008, soit 15 mois avant l’élection présidentielle algérienne d’avril 2009. Lors d’une rencontre avec son homologue américain, Bernard Bajolet, alors ambassadeur de France à Alger, avait expliqué que le gouvernement français et lui-même craignaient que l’Algérie ne se dirige vers davantage d’instabilité. Il a expliqué qu’il ne voyait aucune alternative à un troisième mandat du président Bouteflika. M. Bajolet a expliqué que, pour la France, la priorité en Algérie demeure la stabilité économique et la croissance. Bernard Bajolet, qui a brossé un tableau sombre de la situation en Algérie, a dit comprendre que les militaires aient donné leur accord pour la révision de la Constitution. Selon lui, l’état de santé du président Bouteflika s’est amélioré et il pourrait vivre encore plusieurs années. Mais il a estimé que le consensus au sein de l’armée pour une réélection du président Bouteflika est né de la conviction qu’il n’irait pas au terme de son mandat pour des raisons de santé. Selon Bajolet, aucun successeur crédible ne se dégage pour remplacer Bouteflika. Mouloud Hamrouche ? Il parle de réformes mais les Français ne savent pas s’il peut mettre en place un véritable programme de réformes. Ahmed Ouyahia ? Un autre apparatchik, peu populaire dans le pays. 16/12/2010 à 23:34 | Citer Link to post Share on other sites
Guest yasmi Posted December 30, 2010 Partager Posted December 30, 2010 Faudel un chanteur:mdr::mdr: Il fait pitié plus qu'autre chose, y'a que le Maroc pour l'inviter. Vous pouvez le garder ce n'est vraiment pas une perte. Les tensions politiques entre les deux pays, n'empêchent aucunement les artistes marocains de venir en Algérie et vice versa. De plus comme toujours la seule chose que tu saches faire c'est du copier coller. Fais au moins l'effort de commenter ce que tu publies. Citer Link to post Share on other sites
axil 10 Posted December 30, 2010 Partager Posted December 30, 2010 Pour faudel, il fait ce qu'il veut, en son âme et conscience. S'il aime le Maroc, on va lui mettre une balle dans la tête ? Citer Link to post Share on other sites
mohbet92 10 Posted December 30, 2010 Partager Posted December 30, 2010 La nuit de réveillon de moins en moins célébrée en Algérie à cause de la pression des fondamentalistes ALGER (AP) — La soirée de réveillon, une tradition remontant à l'époque coloniale que les Algériens célébraient il y a encore une dizaine d'années, notamment dans les grandes villes comme Alger et Oran, est en passe d'être abandonné progressivement à cause de la pression des fondamentalistes qui sont en train d'imposer une chape rigoriste sur la société algérienne. Les pâtisseries du centre-ville d'Alger, à part quelques exceptions, n'ont pas jugé utile de confectionner la fameuse bûche symbole des fêtes de fin d'année. Les magasins des rues commerçantes n'ont fourni aucun effort pour embellir leurs devantures. Cette année, même les jeunes qui proposaient des cartes de voeux, tout au long des arcades, ont disparu, note mercredi le "Quotidien d'Oran" qui constate que la tradition de la fête du réveillon, qui n'a aucune connotation religieuse, est bel et bien en voie de disparition à Oran. Du moins, elle perd chaque année davantage de terrain. "Je continue à faire les bûches, mais sur commande seulement, et je ne les expose pas en vitrine", confie Hakim Fars, patron d'une célèbre pâtisserie sur la rue Didouche (ex-Michelet) d'Alger, dans une attitude qui s'apparente à du défi par rapport aux islamistes. Nombre d'Algériens qui ne veulent visiblement pas se mettre à dos des islamistes avec qui ils résident ont préféré aller en Tunisie et au Maroc pour passer tranquillement les fêtes de fin d'année, surtout que les prix affichés sont alléchants. Il y a une grande demande pour la Tunisie, surtout que ça coïncide avec les vacances scolaires, indique Salah Megrani, gérant d'une agence de voyage à Annaba, ville distante de 80 km de Tunis. Face aux menaces des islamistes, surtout après les tracts distribués à proximité d'une mosquée de Constantine (450km à l'est d'Alger) invitant les Algériens à se détourner de la voie de la dissolution morale et ne pas célébrer la fin de l'année, le ministre algérien de l'Intérieur a dû monter au créneau mardi pour rassurer ceux qui ont des projets de réveillon dans les grands hôtels de la capitale. Le ministre tient à assurer qu'aucune mesure n'a été dictée en vue de restreindre une quelconque activité, lit-on dans un communiqué qui dément par ailleurs fermement et énergiquement l'information, rapportée mardi par un journal arabophone proche des islamistes, selon laquelle une instruction faisait obligation aux établissements servant des boissons alcoolisées et non alcoolisées de fermer à 20h, la veille de la nouvelle année, et interdisait aux citoyens fréquentant ces établissements de sortir au-delà de 20h. Dans le communiqué, il ajoute que les services de sécurité sont mobilisés en vue d'assurer la sécurité et la quiétude des citoyens, au quotidien et en toute occasion. La réaction du ministre de l'Intérieur se veut un message fort destiné aux islamistes qui cherchent à imposer leur diktat sur la société algérienne, se félicite mercredi le quotidien "Liberté" en souhaitant que cette réaction ne soit pas conjoncturelle. Paradoxalement, beaucoup d'Algériens, notamment dans les grandes villes, estiment aujourd'hui qu'il y avait plus de liberté dans les années quatre-vingt-dix en dépit du climat de terreur imposé par les GIA à l'époque. Les aspects de l'islamisation de la société algérienne post-terroriste ne se limitent pas la fermeture des cabarets et des barres, aux pressions sur les réveillonneurs , ils se manifeste également par une propagation du port du Hidjab, au point qu'il devient de plus en plus rare de croiser des femmes en jupe dans les rues d'Alger. "Je me sens vraiment gênée de monter à Alger en jupe", avoue Aziza, professeur de langue française au lycée de Rouba, dans la banlieue est d'Alger, déplorant que beaucoup de ses collègues se sont mises au Hidjab, par convenance, par peur, mais rarement par conviction. AP xoao/pyr Citer Link to post Share on other sites
dodo 10 Posted December 30, 2010 Partager Posted December 30, 2010 il faut dire ça à l'algerie qui a gaspillé des milliards pour une cause perdante les terroristes de polizbale profitent de vouuuus:mdr: si je peux me permettre l algérie n a rien perdu dans l histoire et surtout pas en argent par contre le maroc a dépensé plus de 5 milliards d euros en lobbying et armement militaire au détriment de son développement et de son éducation et bien évidemment en se vendant sans cesse au plus offrant , la france et les pays du golfe notamment à quel prix avez vous monnayé votre sécurité ? votre pays ne vous appartient plus depuis belle lurette mohamed 6 n est qu une marionnette fantoche et les marocains sont des figurants dans leur propre pays notamment à marrakech pauvre de vous tout ça pour voler un territoire aux seuls sahrouis qui ont combattu contre les espagnols ou étiez vous à l époque espèce de laches ? toujours à monnayer la chèvre et le chou et à lécher les pieds des occidentaux et tout ça non pas dans l intéret du peuple marocain mais pour engraisser momo6 la mafia alaouite et le mahzen bientot la monarchie en carton pate tombera sinon le maroc restera ce qu il a toujours été une colonie française ( après tout c est eux qui ont mis mohamed 5 sur le trone et qui vous ont imposé le titre de " roi" votre hymne national votre drapeau et tutti quantti ) allez vas honorer ton vrai maitre le sultan sarkozy :D Citer Link to post Share on other sites
mohbet92 10 Posted December 30, 2010 Partager Posted December 30, 2010 Pour faudel, il fait ce qu'il veut, en son âme et conscience. S'il aime le Maroc, on va lui mettre une balle dans la tête ? quelle mentalité de khoroto.mettez lui une balle dans la tête,çà fera un de moins chez vous,après tout le monde y passera,restera bouteftef tout seul. Citer Link to post Share on other sites
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