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Comment le Maroc infiltre les événements


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Les marocains vendent leurs enfants pour survivre

 

Au lieu de squatter les forums Algeriens, je conseille aux marocains de s'occuper du sort de leurs freres et soeurs qui sont vendus comme du betail. :o

 

Plus d'un millions d'enfants marocains vendent leurs culs dans leur douar pour quelques dirhams. :o

 

Leurs compatriotes marocains vendent leurs enfants aux plus offrant avec la benediction et l'encouragement de leur roitelet le narcotrafiquant/proxenete a qui il font la courbette. :o

 

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Voici quelques extraits de l'article qui en parle.

 

« Payer la famille pour la ‘dédommager’ »

 

« Certains journaux et associations ont fait un lien entre la hausse des cas de pédophilie et le tsunami, mais nous n’avons pas vraiment fait une étude complète sur ce sujet. Il faut reconnaître que d’autres facteurs jouent dans la perpétuation de ce phénomène. Il y a notamment la violation des droits socio-économiques de l’enfant (droit à un niveau de vie respectable, d’avoir une chaise à l’école, de ne pas travailler, d’avoir des loisirs...) et le fait que le gouvernement essaye de renforcer sa politique de tourisme : il compte atteindre 10 millions de touristes d’ici 2010 sans stratégie et il fait semblant de ne pas voir que le tourisme sexuel augmente.

 

« Les victimes font les frais de tout ça et se retrouvent derrière les barreaux, au nom du code de la famille et de l’honneur, alors que les pédophiles échappent à la justice au Maroc et dans leur pays, comme le montre l’exemple du journal Le Soir belge (l’‘affaire Hervé’, ndlr). Tous les touristes ne sont pas des pédophiles, mais certains profitent des lieux de complaisance pour agir sans crainte. Ils se rendent dans des endroits où l’enfant est mal protégé et où règne la misère sociale et familiale pour contourner et échapper à la loi. Ils n’hésitent pas à payer la famille pour la ‘dédommager’ ».

 

En Italie, on vient de recenser 3 000 enfants d’origine marocaine dans les milieux de la prostitution.

 

En juillet dernier, on a découvert qu’une trentaine de jeunes filles, dont des mineures, étaient exploitées par des Saoudiens à la Palmeraie. Malheureusement, les autorités ont camouflé cette affaire et se sont contentées d’expulser les Saoudiens. Ce n’est pas la première fois : en octobre aussi, des Saoudiens ont été expulsés pour les mêmes motifs », déplore le militant. Qui conclut amèrement : « Des études montrent que le Maroc est le troisième pays dans le domaine de la pédophilie, derrière la Thaïlande et le Brésil. Si le gouvernement ne s’intéresse pas aux droits socio-économiques des enfants et qu’il ne fait pas de prévention, dans trois ans nous serons comme la Thaïlande ».

 

Les marocains qui refusent de vendre leurs culs ou le *** de leurs enfants sont traites comme des animaux:

 

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L’Algérie cherche un successeur à Mohammed Abdelaziz

 

Plusieurs agences de voyages et de tourisme n’ont pu envoyer des touristes algériens aux Emirats arabes unis pour passer les fêtes de fin d’année.

Pourtant, ce pays du Golfe de tous les excès, qualifié de «tigre économique», attire chaque année une clientèle algérienne à fort pouvoir d’achat qui a l’habitude de partager son temps entre des hôtels cinq étoiles, les malls (centres commerciaux) et les parcs de loisirs. Il y a presque un mois, une information parue dans le journal électronique TSA, datée du 28 novembre 2010, faisait état de «blocage des visas pour les ressortissants maghrébins par les Emirats».

Dans une note confidentielle remise aux représentants diplomatiques de ce pays, les citoyens originaires du Maroc, d’Algérie et de Tunisie n’ont pas accès aux visas pour des «considérations de sécurité». Plusieurs personnes qui étaient invitées aux Emirats, y compris par des organismes culturels publics, n’ont pas pu faire le déplacement vers Dubaï ou Abou Dhabi. Aucune explication n’a encore été donnée sur ce blocage. Détail important à souligner : cette information n’a pas été démentie ni par les Algériens ni par les Emiratis.

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Maroc: La monarchie bananière

 

Vous atterrissez à l’aéroport Mohamed V. Vous empruntez le boulevard Mohamed VI pour vous rendre à la mosquée Hassan II. Vous demandez votre chemin au centre ville, on vous indique qu’il faut remonter le boulevard Moulay Ismaïl, puis Moulay Youssef, puis Mohamed V, tourner à gauche continuer sur le boulevard Hassan II, puis à droite longer le boulevard Mohamed VI .Vous arrivez sur la place SAR Moulay Rachid, ensuite emprunter le boulevard SAR Moulay Hicham et puis rue Lalla Meriem et enfin l’impasse Lalla Soukaïna. Bien sûr tout le long de votre chemin, des posters géants de Mohamed VI, Moulay Rachid et Hassan II dans toutes les postures vous accompagnent. Vous voulez vous désaltérer ,vous entrer dans une épicerie(hanout) ,une photo géante de Mohamed VI fait face à vous au fond de la boutique. Vous sortez votre billet pour payer, il est bien sûr à l’effigie de Mohamed VI ou bien de Hassan II. Vous entrez à la poste, vous achetez un timbre à l’effigie de Mohamed VI et sous son regard sévère sur la photo qui trône sur le mur. Vous voulez aller regarder un match de foot, vous devez vous rendre au Stade Mohamed V. Vous voulez vous rendre au théâtre ,vous devez vous rendre au théâtre nationale Mohamed V ou théâtre Mohamed VI. Vous voulez aller à un événement culturel ou sportif ou un festival, il est toujours placé sous le haut patronage de Mohamed VI ou un membre de la famille alouite. Vous allumez la télévision sur RTM, on retrace les activités royales de la semaine. Vous ouvrez votre journal le Matin, la moitié du journal est consacré à la famille royale. Pratiquement tous les monuments, grands ouvrages que vous visiterez, portent des noms de la dynastie régnante. Aucun grand intellectuel, chercheur, scientifique, architecte, médecin, journaliste marocain …etc n’est digne de donner son nom à une œuvre en Alouitie ? En Alaouitie il y a la famille Alouite et le vide sidéral. Le patrimoine et l’identité d’un peuple ont été confisqués et accaparés par la monarchie. Le rêve et la vocation du petit marocain de voir un jour sur un écriteau son nom est détruit à la naissance.

 

Bienvenue en Alaouitie ou meme le coran n'echappe pas a la censure !!!!!!!!!!!!!!!!

 

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“En vérité, quand les rois entrent dans une cité ils la corrompent, et font de ses honorables citoyens des humiliés. Et c'est ainsi qu'ils agissent". (Coran, verset 34, sourate 27 (Annaml))

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Participation du Maroc au FMJE à prétoria.

 

La participation "très positive" du Maroc au FMJE a permis la défense de la première cause nationale (Président de la délégation)

 

 

Rabat- La participation de la délégation marocaine au 17ème Festival mondial de la jeunesse et des étudiants (FMJE) à Pretoria en Afrique du Sud, a été "très positive", a affirmé le président de la délégation marocaine au Festival, M. Lahcen Falah, soulignant que cette participation "a permis de défendre, comme il le faut, la première cause nationale".

 

 

"Notre présence à Pretoria, parmi plus de 137 délégations, nous a permis de faire entendre la voix du Maroc et de défendre, comme il le faut, la première cause nationale", a ajouté M. Falah dans un entretien publié, mardi, par +Aujourd'hui le Maroc+.

 

"Bien avant notre déplacement à Pretoria, nous étions convaincus que les parties hostiles au Maroc allaient mettre les mains et les pieds pour empêcher le Maroc de participer à ce grand événement. Nous avons constaté que les délégations des pays hostiles au Maroc ont fait l'impossible pour donner une fausse image du Royaume", a-t-il indiqué.

 

Face à ces agissements, a ajouté M. Falah, "la délégation marocaine a fait preuve de civilité et de grande maturité politique" au cours ce festival, tenu du 13 au 23 décembre à Pretoria.

 

"Nous avons affirmé dès le départ que nous optons pour le dialogue civilisé, loin du langage de la violence. Ceci-dit, les parties hostiles au Maroc ont bien voulu que la délégation marocaine réponde à l'usage de la violence par des actes de représailles", a-t-il rappelé.

 

M. Falah a, par ailleurs, fait savoir que la délégation du polisario présente au FMJE était composée d'une part de polisariens de Tindouf et d'autre part de plusieurs membres du polisario de l'intérieur.

 

"Parmi ces derniers, il y avait même des individus qui ont participé aux actes de vandalisme, des gens qui ont commis des crimes à Gdim Izik, ayant fui les poursuites judiciaires. Ces derniers menaçaient tout le temps les membres de la délégation marocaine d'agression et d'assassinat", a poursuivi M. Falah, ajoutant qu'"Hormis la violence verbale, nous avons enregistré l'usage de la violence physique" par les délégations hostiles au Royaume à plusieurs reprises.

 

Le président de la délégation marocaine au FMJE a en outre précisé que le comité d'organisation du Festival s'opposait à l'organisation d'un workshop sur le projet marocain d'autonomie mais les membres de la délégation ont tenu à son organisation pour "rompre, une fois pour toutes, avec les spéculations politiciennes à propos de ce sujet".

 

Evoquant la décision d'expulsion de la délégation marocaine du festival, M. Falah a qualifié d'"injuste" et de "préméditée" cette décision qui "émane d'un plan ourdi par l'Afrique du Sud" pour exclure la délégation marocaine.

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Maroc: La monarchie bananière :mdr:

 

Vous atterrissez à l’aéroport Mohamed V. Vous empruntez le boulevard Mohamed VI pour vous rendre à la mosquée Hassan II. Vous demandez votre chemin au centre ville, on vous indique qu’il faut remonter le boulevard Moulay Ismaïl, puis Moulay Youssef, puis Mohamed V, tourner à gauche continuer sur le boulevard Hassan II, puis à droite longer le boulevard Mohamed VI .Vous arrivez sur la place SAR Moulay Rachid, ensuite emprunter le boulevard SAR Moulay Hicham et puis rue Lalla Meriem et enfin l’impasse Lalla Soukaïna. Bien sûr tout le long de votre chemin, des posters géants de Mohamed VI, Moulay Rachid et Hassan II dans toutes les postures vous accompagnent. Vous voulez vous désaltérer ,vous entrer dans une épicerie(hanout) ,une photo géante de Mohamed VI fait face à vous au fond de la boutique. Vous sortez votre billet pour payer, il est bien sûr à l’effigie de Mohamed VI ou bien de Hassan II. Vous entrez à la poste, vous achetez un timbre à l’effigie de Mohamed VI et sous son regard sévère sur la photo qui trône sur le mur. Vous voulez aller regarder un match de foot, vous devez vous rendre au Stade Mohamed V. Vous voulez vous rendre au théâtre ,vous devez vous rendre au théâtre nationale Mohamed V ou théâtre Mohamed VI. Vous voulez aller à un événement culturel ou sportif ou un festival, il est toujours placé sous le haut patronage de Mohamed VI ou un membre de la famille alouite. Vous allumez la télévision sur RTM, on retrace les activités royales de la semaine. Vous ouvrez votre journal le Matin, la moitié du journal est consacré à la famille royale. Pratiquement tous les monuments, grands ouvrages que vous visiterez, portent des noms de la dynastie régnante. Aucun grand intellectuel, chercheur, scientifique, architecte, médecin, journaliste marocain …etc n’est digne de donner son nom à une œuvre en Alouitie ? En Alaouitie il y a la famille Alouite et le vide sidéral. Le patrimoine et l’identité d’un peuple ont été confisqués et accaparés par la monarchie. Le rêve et la vocation du petit marocain de voir un jour sur un écriteau son nom est détruit à la naissance.

 

Bienvenue en Alaouitie ou meme le coran n'echappe pas a la censure !!!!!!!!!!!!!!!! :o

 

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“En vérité, quand les rois entrent dans une cité ils la corrompent, et font de ses honorables citoyens des humiliés. Et c'est ainsi qu'ils agissent". (Coran, verset 34, sourate 27 (Annaml))

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L’Algérie cherche un successeur à Mohammed Abdelaziz

 

L’information s’est répandue à la vitesse de la lumière dans les allées du pouvoir algérien: depuis quelques semaines, Alger cherche un successeur à Mohammed Abdelaziz, leader du Front Polisario depuis près de 30 ans, dont le poste est menacé par des divergences au sein de la direction du mouvement. C’est suite à l’échec du congrès du Mans en Novembre dernier que la décision a semble-t-il été prise au plus haut niveau des hautes autorités militaires algériennes.

En effet, Mohammed Abdelaziz a eu du mal à mobiliser les soutiens traditionnels du Polisario au Mans malgré un « sponsoring » de près de deux millions d’euros de la part de l’Algérie, près de 200 personnes seulement ont fait le déplacement, dont près de la moitié ont reçu un « per diem » de 300 euros. Côté marocain, une manifestation géante de sujets du royaume Chérifien vivant dans la région a empêché la bonne tenue du congrès, et un concert du groupe mythique « Jil Jilala » à constitué le clou final du spectacle. De surcroit, une bonne partie de l’assistance l’ayant hué lors de son discours, Alger a estimé qu’il serait peut-être temps de changer de « leadership » pour le mouvement de guérilla.

 

Seulement, il semblerait que le vieux chef du Polisario fasse un peu de résistance, et refuse de se voir signifier la fin de son CDI à la tête du mouvement de guérilla sans qu’une confortable « rétribution » pour services rendus ne lui soit allouée, ainsi que le statut de Président de la RASD, qu’il souhaite conserver si le titre de Secrétaire général du Front Polisario venait à lui échapper. Selon des sources proches de la direction du front Polisario, Abdelaziz aurait même fait l’affront suprême d’annoncer lors d’une réunion privée qu’il caresserait le souhait de finir ses jours dans la ville qui l’a vu naître, Marrakech. Un message limpide aux autorités algériennes …

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Cette année, c'est un record : pour les fêtes, une dizaine de personnalités politiques ont choisi de s'envoler pour le Maroc. Dont quatre potentiels candidats à la prochaine élection présidentielle.

 

La presse locale s'en réjouit et, en France, cela fait (entre autres ! ) la une du Canard enchaîné (« Au Maroc, chez Mohammed VI, Sarkozy profite de la galette du roi ! »), l'objet de brèves dans Le Parisien (« Ségolène Royal à Ouarzazate »), d'un article dans le JDD, d'un sujet télé sur BFM TV…

 

Riverains, vous allez donc hurler : les vacances des politiques au Maroc, on s'en contrebalance. Nous, on trouve que cela peut faire un excitant sujet de conversation pour le dîner de 31 :

 

« T'as vu, ils sont tous au Maroc ?

 

— Tu crois que Sarko et Strauss vont se croiser ?

 

— Ségolène va-t-elle essayer de doubler Martine avec un pacte de Marrakech version Ouarzazate ? »

 

S'ils sont tous là-bas, c'est parce que la destination est idéale :

 

•elle promet un peu de douceur : autour de 23°C à Marrackech, selon l'iPhone ;

•elle n'a pas l'indécence des lieux de vacances lointains et chers, comme Les Maldives, La Guadeloupe ou le Brésil – destination présidentielle en 2008 ;

•les Français l'aiment, puisque l'année dernière, elle était leur première destination « en forfait », selon le Centre d'étude des tours opérateurs (Ceto). (Cliquer sur la carte du Maroc pour l'agrandir dans un nouvel onglet ou une nouvelle fenêtre)

 

Et vu ce qui se passe en Tunisie, mieux vaut farnienter de ce côté-ci de l'Algérie.

 

 

A l'origine, QG de la gauche-podium (Laurent-Bergé, Lévy-Dombasle…), le Maroc a visiblement tendance à attirer de plus en plus d'hommes de droite.

 

Strauss-Kahn et Chirac, les habitués

 

Rien d'étonnant à ce que les Strauss-Kahn, Dominique et Anne (Sinclair), passent leurs vacances dans leur superbe riad à Marrakech. Elevé en partie à Agadir, le directeur du FMI ne fait pratiquement pas d'infidélité touristique à son palais. Le couple a l'habitude d'y recevoir son staff, les enfants de l'un et de l'autre, des amis politiques.

 

Brégançon en hiver, plutôt mourir. Comme chaque année, Jacques et Bernadette Chirac ont donc fêté Noël à Taroudant, au sud du pays, dans la vallée du Souss. Ils adorent La Gazelle d'or et on les comprend. En général, grands-parents de choc, ils prennent dans leur bagage leur petit-fils Martin.

 

Sarkozy, Borloo et Royal, les convertis

 

C'est la deuxième fois, cela pourrait devenir une habitude. Nicolas Sarkozy et son épouse Carla Bruni prennent quelques jours de repos au Maroc. L'année dernière à la même époque, ils avaient séjourné à la résidence royale de Jnane Lekbir à trois kilomètres de Marrakech sur la route de Meknès. Cette fois, rien n'a filtré. Le couple présidentiel est parti trois jours, de lundi à jeudi. Le chef de l'Etat devait s'entretenir, lors de son séjour, avec Mohammed VI.

 

Jean-Louis Borloo, qui réfléchit à une candidature en 2012, et son épouse Béatrice Schönberg font également un petite coupure dans la cité royale. Il y a quelques semaines, après avoir quitté le gouvernement, l'ancien ministre de l'Ecologie était déjà allé se reposer un long week-end au Maroc.

 

En octobre, c'était l'amour à Venise. Cette fois, d'après Le Parisien, Ségolène Royal, la présidente du Poitou-Charentes, et son compagnon André Hadjez (né à Casablanca) sont partis passer quelques jours en amoureux au Maroc. Pas du tout là pour s'incruster chez DSK. Non, ils sont à Ouarzazate, dans un hôtel cinq étoiles, le Berbère Palace.

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message bien clair à qui veut l'entendre.

 

Seulement, il semblerait que le vieux chef du Polisario fasse un peu de résistance, et refuse de se voir signifier la fin de son CDI à la tête du mouvement de guérilla sans qu’une confortable « rétribution » pour services rendus ne lui soit allouée, ainsi que le statut de Président de la RASD, qu’il souhaite conserver si le titre de Secrétaire général du Front Polisario venait à lui échapper. Selon des sources proches de la direction du front Polisario, Abdelaziz aurait même fait l’affront suprême d’annoncer lors d’une réunion privée qu’il caresserait le souhait de finir ses jours dans la ville qui l’a vu naître, Marrakech. Un message limpide aux autorités algériennes …

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Les marocains vendent leurs enfants pour survivre

 

Au lieu de squatter les forums Algeriens, je conseille aux marocains de s'occuper du sort de leurs freres et soeurs qui sont vendus comme du betail. :o

 

Plus d'un millions d'enfants marocains vendent leurs culs dans leur douar pour quelques dirhams. :o

 

Leurs compatriotes marocains vendent leurs enfants aux plus offrant avec la benediction et l'encouragement de leur roitelet le narcotrafiquant/proxenete a qui il font la courbette. :o

 

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Voici quelques extraits de l'article qui en parle.

 

« Payer la famille pour la ‘dédommager’ »

 

« Certains journaux et associations ont fait un lien entre la hausse des cas de pédophilie et le tsunami, mais nous n’avons pas vraiment fait une étude complète sur ce sujet. Il faut reconnaître que d’autres facteurs jouent dans la perpétuation de ce phénomène. Il y a notamment la violation des droits socio-économiques de l’enfant (droit à un niveau de vie respectable, d’avoir une chaise à l’école, de ne pas travailler, d’avoir des loisirs...) et le fait que le gouvernement essaye de renforcer sa politique de tourisme : il compte atteindre 10 millions de touristes d’ici 2010 sans stratégie et il fait semblant de ne pas voir que le tourisme sexuel augmente.

 

« Les victimes font les frais de tout ça et se retrouvent derrière les barreaux, au nom du code de la famille et de l’honneur, alors que les pédophiles échappent à la justice au Maroc et dans leur pays, comme le montre l’exemple du journal Le Soir belge (l’‘affaire Hervé’, ndlr). Tous les touristes ne sont pas des pédophiles, mais certains profitent des lieux de complaisance pour agir sans crainte. Ils se rendent dans des endroits où l’enfant est mal protégé et où règne la misère sociale et familiale pour contourner et échapper à la loi. Ils n’hésitent pas à payer la famille pour la ‘dédommager’ ».

 

En Italie, on vient de recenser 3 000 enfants d’origine marocaine dans les milieux de la prostitution.

 

En juillet dernier, on a découvert qu’une trentaine de jeunes filles, dont des mineures, étaient exploitées par des Saoudiens à la Palmeraie. Malheureusement, les autorités ont camouflé cette affaire et se sont contentées d’expulser les Saoudiens. Ce n’est pas la première fois : en octobre aussi, des Saoudiens ont été expulsés pour les mêmes motifs », déplore le militant. Qui conclut amèrement : « Des études montrent que le Maroc est le troisième pays dans le domaine de la pédophilie, derrière la Thaïlande et le Brésil. Si le gouvernement ne s’intéresse pas aux droits socio-économiques des enfants et qu’il ne fait pas de prévention, dans trois ans nous serons comme la Thaïlande ».

 

Les marocains qui refusent de vendre leurs culs ou le *** de leurs enfants sont traites comme des animaux:

 

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Maroc: La monarchie bananière :mdr:

 

Vous atterrissez à l’aéroport Mohamed V. Vous empruntez le boulevard Mohamed VI pour vous rendre à la mosquée Hassan II. Vous demandez votre chemin au centre ville, on vous indique qu’il faut remonter le boulevard Moulay Ismaïl, puis Moulay Youssef, puis Mohamed V, tourner à gauche continuer sur le boulevard Hassan II, puis à droite longer le boulevard Mohamed VI .Vous arrivez sur la place SAR Moulay Rachid, ensuite emprunter le boulevard SAR Moulay Hicham et puis rue Lalla Meriem et enfin l’impasse Lalla Soukaïna. Bien sûr tout le long de votre chemin, des posters géants de Mohamed VI, Moulay Rachid et Hassan II dans toutes les postures vous accompagnent. Vous voulez vous désaltérer ,vous entrer dans une épicerie(hanout) ,une photo géante de Mohamed VI fait face à vous au fond de la boutique. Vous sortez votre billet pour payer, il est bien sûr à l’effigie de Mohamed VI ou bien de Hassan II. Vous entrez à la poste, vous achetez un timbre à l’effigie de Mohamed VI et sous son regard sévère sur la photo qui trône sur le mur. Vous voulez aller regarder un match de foot, vous devez vous rendre au Stade Mohamed V. Vous voulez vous rendre au théâtre ,vous devez vous rendre au théâtre nationale Mohamed V ou théâtre Mohamed VI. Vous voulez aller à un événement culturel ou sportif ou un festival, il est toujours placé sous le haut patronage de Mohamed VI ou un membre de la famille alouite. Vous allumez la télévision sur RTM, on retrace les activités royales de la semaine. Vous ouvrez votre journal le Matin, la moitié du journal est consacré à la famille royale. Pratiquement tous les monuments, grands ouvrages que vous visiterez, portent des noms de la dynastie régnante. Aucun grand intellectuel, chercheur, scientifique, architecte, médecin, journaliste marocain …etc n’est digne de donner son nom à une œuvre en Alouitie ? En Alaouitie il y a la famille Alouite et le vide sidéral. Le patrimoine et l’identité d’un peuple ont été confisqués et accaparés par la monarchie. Le rêve et la vocation du petit marocain de voir un jour sur un écriteau son nom est détruit à la naissance.

 

Bienvenue en Alaouitie ou meme le coran n'echappe pas a la censure !!!!!!!!!!!!!!!!

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“En vérité, quand les rois entrent dans une cité ils la corrompent, et font de ses honorables citoyens des humiliés. Et c'est ainsi qu'ils agissent". (Coran, verset 34, sourate 27 (Annaml))

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Sahara : après Laayoune...

 

En réponse au mouvement de protestation qui a secoué la région il y a un mois, Rabat procède à de nouvelles nominations et annonce une réforme en profondeur de la gouvernance et des institutions locales.

Un mois après le démantèlement du camp de Gdeim Izik, qui a coûté la vie à douze Marocains, dont dix membres des forces de l’ordre, un calme précaire règne dans les rues de Laayoune. « Les habitants de la ville veulent regarder vers l’avenir. Ils espèrent qu’on va enfin répondre à leurs exigences sociales et prendre en compte leurs besoins les plus urgents », explique un journaliste de Laayoune TV. Après la stupeur et la tristesse, l’heure est au bilan. « Tout cela ne serait pas arrivé si on n’avait pas laissé pourrir la situation sociale et si on avait été plus rigoureux sur la gouvernance, poursuit le journaliste. Il va falloir faire table rase du passé. Sinon, on n’est pas à l’abri de nouvelles émeutes. »

Mais comment cette région, choyée par le royaume, développée à coups de milliards de dirhams, a-t-elle pu devenir le terreau d’autant de frustrations et d’un tel malaise social ? Les réponses des autorités seront-elles à la hauteur des défis posés par les émeutes de Gdeim Izik ?

Aux racines du mal

« Des emplois, des logements et des terrains ! » Tel était le leitmotiv des habitants du campement qui s’est installé au début d’octobre dans les faubourgs de Laayoune, la ville la plus importante des provinces du Sud avec 190 000 habitants. « Le camp de la protestation et de la dignité » révèle alors aux Marocains et au reste du monde l’étendue du malaise économique et social dans les provinces sahariennes.

Pourtant, à l’instar des autres villes de la région, Laayoune est longtemps passé pour un véritable eldorado aux yeux des « Marocains du Nord ». « Dans le Sud, on peut gagner beaucoup d’argent. La vie est moins chère et il y a du travail », explique Fatima, une employée de maison à Casablanca dont les deux frères se sont installés à Laayoune il y a cinq ans. Dorlotées par les autorités, les provinces sahariennes ont un statut à part. Très présent, l’État y est à la fois le premier investisseur et le premier employeur. Pour rendre la région attrayante, les fonctionnaires venus du reste du pays bénéficient d’une prime annuelle de 25 % à 75 % de leurs salaires et ont accès à des logements à loyers modérés. Les produits de consommation courante comme l’huile, le sucre ou les hydrocarbures y sont très largement subventionnés. La région bénéficie également d’un régime fiscal très avantageux (pas d’impôts ni de taxes) afin de séduire les investisseurs. D’où un afflux important de Marocains venus du Nord : la population globale des provinces du Sud augmente chaque année de 3 %, et les natifs n’y sont plus majoritaires.

En quarante ans, Laayoune a connu un développement accéléré. Alors que les Espagnols avaient laissé derrière eux un bourg sous-développé en plein désert, le chef-lieu de la région est devenu une coquette ville de province, dotée d’infrastructures flambant neuves. En trente ans, près de 24 milliards de dirhams (2,1 milliards d’euros) ont été investis dans les seuls équipements de base.

Clientélisme et incompétence

« Le problème, c’est que tout cet argent n’a pas été utilisé de manière rationnelle pour développer la région et la rendre viable économiquement, estime l’économiste et spécialiste de la région Fouad Abdelmoumni. Cela a surtout servi à mettre en place un système de corruption où l’argent permet d’acheter la conviction des gens et la paix sociale. Les chefs de tribus, les ralliés et les notables ont tenté de monnayer au mieux leur pouvoir de nuisance. » « Les gens ne supportent plus ce système injuste où une minorité a tous les droits et une majorité tous les devoirs. Ça a créé beaucoup de frustrations », ajoute l’anthropologue Mustapha Naïmi.

Symbole de la corruption du système : la question du logement, au cœur des revendications de Gdeim Izik. « Les habitants du camp ont dénoncé les pratiques clientélistes dans la distribution des terrains et l’attribution des logements sociaux », rappelle le journaliste de Laayoune TV. Depuis dix ans, les autorités centrales mènent à l’échelle du royaume une véritable politique de lutte contre l’habitat insalubre et les bidonvilles. Mais à Laayoune, la distribution de logements sociaux aux familles les plus modestes a donné lieu à des magouilles et à des détournements de la part des autorités locales. Al Omrane, le holding public d’habitat social, s’est d’ailleurs retrouvée au cœur d’un scandale. Une enquête avait même été ouverte en mars. La nomination, le 21 novembre, de Badr Kannouni à la tête d’Al Omrane ne serait donc pas tout à fait étrangère aux récents événements de Laayoune.

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Sahara : après Laayoune...

 

Les effets pervers de l’assistanat

Car si l’argent coule à flots, la gouvernance, elle, laisse à désirer. Nommés à des postes clés, les responsables locaux, souvent venus du Nord, connaissent mal la région et peinent à s’adapter à ses spécificités, notamment la culture tribale. Accusée de clientélisme et d’incompétence, l’autorité publique à Laayoune a mauvaise réputation. Pas étonnant que, le 8 novembre, les manifestants se soient attaqués en premier lieu aux symboles de l’État : tribunal, mairie, échoppes tenues par des commerçants marocains, résidences de riches notables sahraouis connus pour leur proximité avec le pouvoir. En choisissant, le 26 novembre, Khalil Dkhil, un natif de la région, comme nouveau wali, le roi Mohammed VI a montré sa volonté de réconcilier les Sahraouis avec le pouvoir local.

Le nouveau wali va devoir s’attaquer au système et, en priorité, tenter d’enrayer le cercle vicieux de la politique d’assistanat menée par l’État depuis des décennies. Son symbole : la « cartiya », ou carte de promotion nationale, qui permet à certains Sahraouis de bénéficier d’un logement, d’un revenu mensuel de 1 500 dirhams (soit le smig) et de la gratuité dans les transports. « Il n’y a pas de critères scientifiques pour obtenir cette carte. Ce système ne peut donner lieu qu’à des excès et à de la corruption. Voir des gens ne rien faire et vivre grassement aux crochets de l’État est de nature à susciter la colère », accuse Hassan, 24 ans, un habitant de Laayoune qui a soutenu les émeutiers des camps. Comme beaucoup de jeunes de la région, Hassan est au chômage malgré un diplôme d’économie obtenu à la faculté d’Agadir. Selon le Haut-Commissariat au plan (HCP), le taux de chômage à Laayoune serait de 20 %, un chiffre largement supérieur à la moyenne nationale (9 %). Chaque année, il y aurait 1 200 demandeurs d’emploi de plus. « C’est la jeunesse qui souffre le plus. Elle n’a pas de perspectives, accumule de la colère et va donc écouter les discours les plus radicaux, et a fortiori les indépendantistes », ajoute notre journaliste.

À force de pratiquer l’assistanat, les autorités n’ont pas réussi à développer l’esprit d’initiative dans la région. Le secteur privé est embryonnaire et les créations d’emplois sont très modestes. La population compte sur la manne de l’État ou se rabat sur le secteur informel et la contrebande. « Les investissements ont été faits de manière sauvage, analyse Naïmi. Au lieu d’investir dans la formation ou dans l’exploitation rationnelle des ressources naturelles, on a distribué des licences d’exploitation à n’importe qui. Même l’Agence de développement des provinces du Sud, pourtant bien gouvernée et animée d’une véritable volonté d’agir, est prise en étau entre des rapports de force et des lobbies. »

Conscientes de toutes ces lacunes, les autorités ont annoncé une réforme en profondeur de la gouvernance dans la région. Deux jours avant que n’éclatent les violences, le roi avait, dans son discours de Midelt, appelé à une restructuration du Conseil royal consultatif pour les affaires sahariennes (Corcas). Créé le 25 mars 2006 dans sa forme actuelle, le Corcas n’a jamais brillé par son activisme, ni fait la preuve de son utilité sur le terrain.

Aurait-il pu permettre d’éviter la crise de Gdeim Izik ? Rien n’est moins sûr. Mais il a en tout cas failli à sa mission : jouer un rôle de relais et faire remonter les préoccupations de l’opinion vers le pouvoir central. C’est pourtant ce à quoi servent ses nombreuses commissions, comme celle des affaires sociales et du développement humain, ou celle des affaires économiques. Mais aucune ne s’est jamais réunie depuis leur constitution !

Par ailleurs, comment le Conseil pourrait-il jouer son rôle alors qu’il n’a aucun ancrage local ? Le Corcas siège à Rabat, et seule la moitié de ses membres réside à Laayoune. « Le Conseil pourrait ouvrir une antenne locale pour être plus proche de la population », estime Mohamed Taleb, membre du Corcas. « La priorité, c’est de démocratiser sa composition et de l’ouvrir à la jeunesse pour créer de nouvelles élites », ajoute un journaliste sur place.

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Encore un papier burlesque de la MAP (Makhnez Autorité Propagande)....:mdr:

 

Ils ont été expulsés, humiliés et même corrigés par les sahraouis ....:mdr:

Pour "sauver" la face ils ont voulu se venger sur la délégation espagnole....:cool:

Et hop...Dehors.

 

 

tu bouffe tout ce qu on te donne, pose des questions sur ce qui se passe aujourd'hui a tindouf et t aura les réponses

sois honnête avec toi même pour une foi , t a rien a perdre, les camps sont en ébullition

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Sahara : après Laayoune...

 

Priorité à la création d’emplois

Autre instance appelée à se restructurer, l’Agence du Sud, chargée du développement économique de la région. À l’avenir, son autorité se limitera à la zone Sakia el-Hamra et Oued Eddahab, et ses missions porteront en priorité sur les projets de développement humain et la mise en œuvre de programmes locaux, générateurs d’emplois pour les jeunes et propres à consolider la justice sociale.

Sur le plan sécuritaire, on a aussi tiré les conséquences de certaines erreurs. La mauvaise gestion du démantèlement du camp aurait coûté son poste au commandant de la gendarmerie royale à Laayoune, Abderrahim Nourelyakine, qui a été remplacé, à la fin de novembre, par le colonel Boukoubza. Nombre d’observateurs se demandent si l’État n’a pas eu tort de permettre les déplacements entre les camps de Tindouf et Laayoune, et de laisser des indépendantistes entrer et sortir du Maroc. « Au contraire, il faut aller vers encore plus de liberté d’expression », plaide Naïmi, par ailleurs membre du Corcas.

Pour Abdelmoumni, les réponses des autorités ne sont pas à la hauteur des défis. « Si on ne prend pas des mesures radicales, il faudra s’attendre à pire que Gdeim Izik. Les indépendantistes ont montré de quoi ils étaient capables, et ils continueront tant que sera maintenu ce statu quo. » Alors que 3 millions de Marocains ont défilé, le 28 novembre, dans les rues de Casablanca pour défendre avec ferveur la marocanité du Sahara, observateurs, intellectuels et simples citoyens savent que seule une politique à la fois juste et réaliste permettra de restaurer la confiance de la population.

Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualit sur l'Afrique

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Maroc: La monarchie bananière :mdr:

 

Vous atterrissez à l’aéroport Mohamed V. Vous empruntez le boulevard Mohamed VI pour vous rendre à la mosquée Hassan II. Vous demandez votre chemin au centre ville, on vous indique qu’il faut remonter le boulevard Moulay Ismaïl, puis Moulay Youssef, puis Mohamed V, tourner à gauche continuer sur le boulevard Hassan II, puis à droite longer le boulevard Mohamed VI .Vous arrivez sur la place SAR Moulay Rachid, ensuite emprunter le boulevard SAR Moulay Hicham et puis rue Lalla Meriem et enfin l’impasse Lalla Soukaïna. Bien sûr tout le long de votre chemin, des posters géants de Mohamed VI, Moulay Rachid et Hassan II dans toutes les postures vous accompagnent. Vous voulez vous désaltérer ,vous entrer dans une épicerie(hanout) ,une photo géante de Mohamed VI fait face à vous au fond de la boutique. Vous sortez votre billet pour payer, il est bien sûr à l’effigie de Mohamed VI ou bien de Hassan II. Vous entrez à la poste, vous achetez un timbre à l’effigie de Mohamed VI et sous son regard sévère sur la photo qui trône sur le mur. Vous voulez aller regarder un match de foot, vous devez vous rendre au Stade Mohamed V. Vous voulez vous rendre au théâtre ,vous devez vous rendre au théâtre nationale Mohamed V ou théâtre Mohamed VI. Vous voulez aller à un événement culturel ou sportif ou un festival, il est toujours placé sous le haut patronage de Mohamed VI ou un membre de la famille alouite. Vous allumez la télévision sur RTM, on retrace les activités royales de la semaine. Vous ouvrez votre journal le Matin, la moitié du journal est consacré à la famille royale. Pratiquement tous les monuments, grands ouvrages que vous visiterez, portent des noms de la dynastie régnante. Aucun grand intellectuel, chercheur, scientifique, architecte, médecin, journaliste marocain …etc n’est digne de donner son nom à une œuvre en Alouitie ? En Alaouitie il y a la famille Alouite et le vide sidéral. Le patrimoine et l’identité d’un peuple ont été confisqués et accaparés par la monarchie. Le rêve et la vocation du petit marocain de voir un jour sur un écriteau son nom est détruit à la naissance.

 

Bienvenue en Alaouitie ou meme le coran n'echappe pas a la censure !!!!!!!!!!!!!!!!

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“En vérité, quand les rois entrent dans une cité ils la corrompent, et font de ses honorables citoyens des humiliés. Et c'est ainsi qu'ils agissent". (Coran, verset 34, sourate 27 (Annaml))

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LA TELE ALGERIENNE BOUCHE COUSUE SUR CETTE AFFAIRE.pas une image.

 

Décidément, les émeutes sont en train de transformer Alger en un brasier ardent. Mardi matin, des centaines de jeunes de Baraki ont encore une fois manifesté leur colère en bloquant la route qui mène vers Sidi Moussa. La veille, durant la nuit du lundi, les habitants de "Laquiba" ont pris d'assaut la rue pour demander leur droit au relogement

Les jeunes de Baraki sont sortis mardi, une nouvelle fois, dans la rue pour réclamer leur droit à un logement décent. Et tôt le matin, ils ont procédé à la fermeture de la route qui mène vers Sidi Moussa pour dire tout haut que les promesses des autorités publiques ne suffisent plus à les calmer.

 

Ces jeunes dont les familles occupent des taudis à Baraki ont pris leur mal en patience depuis des années. Et cette fois-ci, la misère et la galère ont fini par avoir raison de leur sang-froid. Le flou et les anomalies qui ont entouré les récentes opérations de relogement à Alger ont été également cette goutte d'eau qui a déversé définitivement le vase de la révolte.

 

Une révolte qui commence à toucher d'autres quartiers pauvres où la promiscuité et l'exiguïté des logements précaires tourmentent des familles entières. Pour preuve, tout au long de la nuit du lundi, des troubles ont éclaté à "Laquiba", la commune de Belouizdad, et à Rouiba au niveau des chalets de Drâa El-Guendoul.

 

Des centaines de familles occupent ces chalets depuis 2003 et évoluent dans des conditions de vie déplorables. Lundi soir, ils sont descendus, eux-aussi, dans la rue pour dire qu'ils ont ras-le-bol de cette "vie de misère". A "Laquiba", un autre quartier sinistre de la capitale, la situation est aussi très tendue.

 

Les promesses du relogement datent de plusieurs années et jusqu'à aujourd'hui, l'humidité et le froid continuent à ronger les murs délabrés des vieilles maisons lesquelles menacent de tomber en ruine à chaque intempérie.

 

Pour faire face à ce vent de révolte et à cette énième crise sociale, les autorités publiques ont promis de distribuer encore plus de logements en 2011. Mais jusque là, les forces de l'ordre ont été les premiers à se mobiliser pour contenir la colère populaire. Les affrontements sont d'une rare violence et à chaque fois des blessés sont à déplorer.

 

Abderrahmane Semmar

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Décidément, les émeutes sont en train de transformer Alger ...

 

Il n'y a qu'au pays des hommes ou tu vois les emeutes. ;)

 

Au pays des khab tel que le tiens, les esclaves se contentent de tres peu sans jamais ouvrir leurs sales gueules. :mdr:

 

[DM]x2x405_bidonvilles-de-sidi-moumen-a-casabl_news[/DM]

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Les politiques passent leur vacances au sri-lanka.Ca ne veut pas dire qu'ils sont pro-sri-lanka....:p

Certains trouvent pretexte à toute soumission.....Pathétique.

 

il s agit d un truc que vous ne pouvez pas comprendre, quand on fait confiance a un pays c est qu il a de quoi . vous etes trop enfermer sur qui est pro et qui ne l est pas . la guerre froide est finie, réveilles toi

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Décryptage : La mauvaise foi accréditée

 

La gestion des relations avec la classe politique espagnole et le traitement de la presse de ce pays est une affaire qui revient au gouvernement et non pas à la population…

 

Plus de trois millions de citoyens ont manifesté à Casablanca pour exprimer l’attachement indéfectible du peuple marocain à son intégrité territoriale et sa prédisposition à toute forme de mobilisation pour défendre la marocanité du Sahara. Tous ceux qui ont défilé le long de l’avenue Mohammed VI l’ont fait dans cet esprit et dans ce but précis et n’avaient qu’un seul message à transmettre au monde entier. Ce message, on peut le résumer dans un seul slogan qui a été scandé par les trois millions de marcheurs : «Meurs Ô ennemi ! Le Roi a son peuple !» (Mout, mout ya la3dou, wel Malik 3andou cha3bou). Pour ce qui est du reste des slogans concernant notamment la dénonciation de l’acharnement médiatique et politique de la droite espagnole sur le Maroc, il est clair que, dans la tête des manifestants, ce n’était qu’un sujet secondaire. L’essentiel pour tous, c’était de sortir dans la rue pour montrer au monde entier que le Maroc parle d’une seule voix sur l’affaire du Sahara.

Mais, la gestion des relations avec la classe politique espagnole et le traitement de la presse de ce pays, elle, c’est une affaire qui revient au gouvernement et non pas à la population. Nous avons un ministre de la Communication qui est aussi le porte-parole de l’exécutif censé gérer les relations de l’Etat avec la presse étrangère accréditée au Maroc et nous avons un ministre des Affaires étrangères et de la Coopération qui est censé – on semble l’oublier – gérer les relations avec les médias étrangers à travers les attachés de presse qui sont en poste dans toutes les ambassades du Royaume à l’étranger. Pour l’aspect politique des relations entre le Maroc et l’Espagne, il est clair qu’une association intelligente des efforts du gouvernement et des partis politiques devrait permettre au Maroc de régler beaucoup de problèmes avec les formations partisanes de ce pays. Commençons par les médias espagnols et analysons les raisons de la situation de blocage dans laquelle on se trouve actuellement. Cette presse, tous titres confondus, publie systématiquement des articles anti-marocains non seulement sous forme de prises de position éditoriales – ce qui est légitime puisqu’il relève de la liberté d’opinion – mais en dénaturant la réalité et en publiant délibérément des contrevérités. C’est un constat clair et indéniable. Qu’est-ce qui explique cet acharnement collectif ? Pourquoi cette unanimité contre le Maroc alors que les médias espagnols sont radicalement divisés sur plusieurs questions? En fait, il y a deux raisons. La première concerne l’approche générale adoptée par le gouvernement dans la gestion de ses relations avec les médias concernés. Durant plusieurs décennies, le Maroc s’est lancé dans un chemin totalement en rupture avec l’usage international. En fait, au lieu de s’occuper des relations avec les journaux étrangers là où ils sont publiés, on le fait ici, au Maroc. Au lieu de créer des ponts de communication avec les rédactions centrales et leurs dirigeants, les responsables marocains se contentent de le faire avec des correspondants locaux qui finissent par se rendre compte de la faiblesse des autorités marocaines face aux médias étrangers et surtout de leur incapacité à communiquer convenablement avec leurs rédactions centrales respectives. Ils se sentent dans une position de force et commencent à exercer leur mission en se permettant tous les vices que le métier de journaliste interdit à celui qui l’exerce : déformation de la réalité, falsification, voire invention de faits, chantage, corruption, collaboration avec des services étrangers, etc. Et c’est ainsi que l’on a vu des petites mains du journalisme chez elles — le cas du pauvre Ignacio Cembrero est emblématique — devenir des stars chez nous, donnant même des interviews inspirées à la presse locale, et réussir à faire trembler certains de nos responsables qui accourent aveuglément pour quémander leur grâce à chaque fois qu’ils les contactent… Tout cela est malsain et disproportionné. Pendant ce temps-là, nos attachés de presse dans le monde entier ne font rien du tout. Ils se tapent la belle vie dans toute sa splendeur diplomatique. Leurs carnets d’adresses sont tout aussi vides que leurs agendas. Et c’est là que réside la deuxième raison de l’échec de notre politique médiatique en Espagne.

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Les marocains vendent leurs enfants pour survivre

 

Au lieu de squatter les forums Algeriens, je conseille aux marocains de s'occuper du sort de leurs freres et soeurs qui sont vendus comme du betail. :o

 

Plus d'un millions d'enfants marocains vendent leurs culs dans leur douar pour quelques dirhams. :o

 

Leurs compatriotes marocains vendent leurs enfants aux plus offrant avec la benediction et l'encouragement de leur roitelet le narcotrafiquant/proxenete a qui il font la courbette. :o

 

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Voici quelques extraits de l'article qui en parle.

 

« Payer la famille pour la ‘dédommager’ »

 

« Certains journaux et associations ont fait un lien entre la hausse des cas de pédophilie et le tsunami, mais nous n’avons pas vraiment fait une étude complète sur ce sujet. Il faut reconnaître que d’autres facteurs jouent dans la perpétuation de ce phénomène. Il y a notamment la violation des droits socio-économiques de l’enfant (droit à un niveau de vie respectable, d’avoir une chaise à l’école, de ne pas travailler, d’avoir des loisirs...) et le fait que le gouvernement essaye de renforcer sa politique de tourisme : il compte atteindre 10 millions de touristes d’ici 2010 sans stratégie et il fait semblant de ne pas voir que le tourisme sexuel augmente.

 

« Les victimes font les frais de tout ça et se retrouvent derrière les barreaux, au nom du code de la famille et de l’honneur, alors que les pédophiles échappent à la justice au Maroc et dans leur pays, comme le montre l’exemple du journal Le Soir belge (l’‘affaire Hervé’, ndlr). Tous les touristes ne sont pas des pédophiles, mais certains profitent des lieux de complaisance pour agir sans crainte. Ils se rendent dans des endroits où l’enfant est mal protégé et où règne la misère sociale et familiale pour contourner et échapper à la loi. Ils n’hésitent pas à payer la famille pour la ‘dédommager’ ».

 

En Italie, on vient de recenser 3 000 enfants d’origine marocaine dans les milieux de la prostitution.

 

En juillet dernier, on a découvert qu’une trentaine de jeunes filles, dont des mineures, étaient exploitées par des Saoudiens à la Palmeraie. Malheureusement, les autorités ont camouflé cette affaire et se sont contentées d’expulser les Saoudiens. Ce n’est pas la première fois : en octobre aussi, des Saoudiens ont été expulsés pour les mêmes motifs », déplore le militant. Qui conclut amèrement : « Des études montrent que le Maroc est le troisième pays dans le domaine de la pédophilie, derrière la Thaïlande et le Brésil. Si le gouvernement ne s’intéresse pas aux droits socio-économiques des enfants et qu’il ne fait pas de prévention, dans trois ans nous serons comme la Thaïlande ».

 

Les marocains qui refusent de vendre leurs culs ou le *** de leurs enfants sont traites comme des animaux:

 

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Décryptage : La mauvaise foi accréditée suite

 

A Madrid, puisque l’on parle de ce pays, notre attaché de presse est tellement effacé qu’on n’est même pas sûr qu’il existe vraiment. Personne ne le connaît et il ne connaît personne. Pourtant, il est censé avoir une forte présence sur la place médiatique madrilène. Ce qui n’est pas le cas. Connaît-il le directeur du service international d’El Mundo ? A-t-il déjeuné un jour avec le patron de la rédaction centrale d’El Pais ? A-t-il réussi à tisser un lien d’amitié avec le premier conseiller de la direction de La Vanguardia ?... Non ! Il est vrai qu’il existe une certaine connivence entre des patrons de presse espagnols et des formations politiques ou des organes étatiques pour maintenir une hostilité systématique contre le Maroc. Mais, il existe aussi des journalistes professionnels honnêtes, sérieux et qui ont le sens de l’éthique en Espagne. Ils sont la règle et non pas l’exception. Et ce sont ces journalistes qui occupent les postes d’avant-garde dans leurs rédactions respectives. Ces journalistes, malheureusement, ne peuvent rien faire du moment que leurs uniques sources d’information restent leurs correspondants au Maroc puisque nous n’avons jamais pu établir des ponts de communication et d’explication directs. Or, un correspondant a toujours besoin de justifier sa présence permanente – très coûteuse pour son journal – au Maroc. Ainsi, quand il ne fait pas dans l’auto-sensationnalisme, il tombe dans le piège de la manipulation étrangère ou il est victime de la contagion mentale de ses confrères en poste à Rabat. N’a-t-on pas vu, à plusieurs reprises, les correspondants espagnols écrire pratiquement le même article avec les mêmes égarements professionnels et contenant les mêmes contrevérités ? Mais, qui se charge de rectifier et de faire les précisions nécessaires à Madrid ? Malheureusement, personne. On se contente de s’indigner, ici, au Maroc, en fustigeant la presse espagnole dans sa totalité sans chercher à établir un bon diagnostic pour détecter aussi nos erreurs et nos failles. Dans le domaine politique, les manquements sont tout aussi nombreux que dans le domaine médiatique. Le champ politique espagnol est très complexe. On ne peut pas le réduire, en ce qui concerne le Maroc, à une simple séparation entre la gauche et la droite, entre les socialistes et les populaires. Cette distinction simpliste fait que notre approche nous mène toujours vers des résultats catastrophiques. Car dans chacune de ces deux familles politiques, il n’existe pas une seule et unique attitude vis-à-vis du Maroc. Au sein du Parti Socialiste ouvrier espagnol (PSOE) et du Parti populaire (PP), il y a deux tendances opposées sur la question du Maroc. Il n’existe pas de position unique. Les Socialistes catalans ont une approche différente de celle des socialistes andalous et les Populaires des Iles Canaries ont une position totalement opposée à celle des Populaires de la Galice, etc. En plus, en Espagne, il existe une multitude de petits partis régionaux, nationalistes, indépendantistes, écologiques, etc. Et ces petites formations ont une grande influence sur la politique générale de l’Etat puisqu’elles sont généralement liées au parti gouvernant par des pactes de coalition que ce soit au niveau central ou dans les régions autonomes. Le PP et le PSOE sont toujours otages, quelque part en Espagne, de certains de ces petits partis politiques. Maintenant, deux questions se posent avec insistance : le gouvernement marocain a-t-il développé des relations sérieuses ou des ponts de communication fiables avec les différentes directions régionales des deux principaux partis politiques espagnols ? A-t-il réussi à établir une stratégie de lobbying auprès des formations politiques régionales ? Malheureusement, non. La communication avec les partis politiques étrangers n’est pas uniquement une affaire protocolaire. Il ne suffit pas de recevoir une délégation parlementaire d’un pays étranger au bureau du président de l’une des deux Chambres du Parlement pour dire que l’on fait dans la diplomatie parlementaire ou partisane. Les relations avec les partis politiques étrangers stratégiques pour le pays se font en marge des activités officielles. Chaque parti politique espagnol a ses hommes de médias influents, ses hommes d’affaires puissants, ses avocats introduits, etc. faire entendre la voix du Maroc, la voix de la raison et de la légitimité devrait se faire par tous les moyens et à travers tous les canaux. On ne peut se contenter de dénoncer et de critiquer la position hostile de certains médias et partis politiques ibériques. Il faut faire aussi l’effort de faire un forcing médiatique et politique pour mieux se faire connaître et mieux expliquer la légitimité de la position du Royaume. Et ce n’est pas en pliant régulièrement sous le joug douteux d’une racaille médiatique accréditée qui joue un jeu sans règles, et sans honneur professionnel, que l’on va y arriver.

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