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Education et religion

 

Didactique, spiritualité et tolérance en débat

 

Le XXIe siècle sera religieux ou ne sera pas », c’est la phrase prémonitoire d’André Malraux qui tend à se confirmer jour après jour, à travers un retour à la religion et à la spiritualité, et ce, de par le monde. Mais certaines manifestations de ce retour au religieux prennent malheureusement des expressions de violence.

 

Le système éducatif s’est trouvé au centre de l’accusation d’être une fabrique d’extrémistes à travers les programmes subversifs dispensés dans l’éducation religieuse. Sous le thème « Religion et éducation aujourd’hui », la fondation Konrad Adenauer a organisé une soirée thématique, dimanche soir, à l’hôtel Sheraton, invitant hommes de foi, de loi, de sciences et des chercheurs autour d’un débat visant à traiter de cette question de l’enseignement de la religion. Tour à tour, les invités de la Konrad Adenauer Stiftung ont plaidé pour un enseignement non idéologisé basé sur les principes de tolérance.

 

« Suspicions nouvelles »

 

Pour Cheikh Bouamrane, président du Haut Conseil islamique, l’enseignement religieux pour les trois religions monothéistes commence au sein du cercle familial puis se trouve complété par l’école. Cet homme de foi estime que pour les trois religions, ce sont les mêmes valeurs qui doivent être enseignées telles que citées par les commandements avec des différences liées aux particularités de chaque religion. « Les lignes directrices convergentes sont plus nombreuses que les lignes divergentes entre les trois religions », dira M. Bouamrane. Un message qui trouvera écho auprès de l’archevêque d’Alger, monseigneur Teissier, qui estime que le dialogue concret entre les religions existe bel et bien sur le terrain à travers différentes actions qui tendent à rapprocher. « Nous cherchons à nous impliquer dans la réponse à des problèmes humains dans la volonté de respecter l’identité des jeunes et la confiance des familles », explique l’archevêque en citant certains engagements éducatifs dispensés au profit de jeunes des quartiers loin du prosélytisme, et visant à se connaître mutuellement dans le respect de l’identité de chacun. « Nous ne sommes pas nombreux dans la société algérienne, mais il y a des suspicions nouvelles à cause de ceux qui font du prosélytisme. Il ne faudrait pas que des problèmes posés par certains groupes qui ne respectent pas l’interlocuteur détruisent cette expérience construite au fil du temps. On peut dépasser notre origine pour faire une communion », dira Mgr Teissier.

 

Des théories qui s’opposent aux réformes

 

« Un enfant qui est autonome ne se fait pas exploser. » Venant du Maroc et représentant la fondation du roi Abdul Aziz Al Saoud, Mohamed Seghir Janjar dresse un tableau peu reluisant sur l’enseignement de la religion dans son pays. Un constat similaire dans de nombreux points avec l’expérience algérienne. « Jusqu’aux années 1970, c’est l’enseignement traditionnel qui était répandu à travers notamment les zaouïas. A partir des années 1970, l’enseignement de la religion a été généralisé à toutes les écoles. Mais le contenu donné à cet enseignement était basé sur la présentation d’un Islam défensif vis-à-vis des autres idéologies venant de l’extérieur, mais aussi des contestations internes », notera le conférencier, en soulignant que dans cet enseignement « on a oublié l’aspect didactique pour un enseignement idéologique créant une certaine schizophrénie chez l’élève ». Des générations entières ont été formées sur ce modèle manichéiste, explique Janjar en précisant que la bombe explosée à Casablanca en 2003 a fait réagir les autorités en décidant de supprimer des programmes tout ce qui a trait à la subversion. « Ils ont toutefois oublié de supprimer l’enseignant qui dispensait ce type de cours » ajoutera-t-il. Le même conférencier remarque un décalage entre le monde actuel et l’enseignement de la religion. Doit-on garder ces masses de hadith et de textes coraniques, ou opter pour une socialisation de l’enfant, se demande M. Janjar, en notant qu’au Maroc « on enseigne la théorie de la famille en Islam qui est opposée à la réforme établie par la nouvelle moudawana ».

 

Le représentant du ministère des Affaires religieuses, Dr Rasmel, considère qu’à travers toutes les réformes, le système éducatif n’a pas pu répondre aux attentes de la société en termes de création de lien entre l’élève et sa civilisation. Le Pr Nacéra Zellal, qui traite à l’université d’Alger de l’épidémiologie scolaire, estime pour sa part que « l’enfant est soumis à un matraquage à travers un enseignement qui n’obéit à aucune construction de la stratégie d’apprentissage ». Mme Zellal déplore que l’école algérienne n’enseigne pas l’autonomie et n’apprend à l’enfant d’avoir le choix. « L’enfant autonome peut prendre le choix de ne pas se faire exploser en devenant kamikaze ou harraga », explique la professeur.

 

Le père Gonzales rejoint cette idée en notant que « l’enfant n’est pas un objet, mais il faut tout faire pour qu’il devienne un sujet, pour qu’il soit capable de choix devant Dieu », dira-t-il en regrettant que les pédagogies soient toujours squattées par le pouvoir. Pour le philosophe et islamologue, Ziki Ali, la clé de l’enseignement de la religion réside dans l’équilibre de trouver dans la hiérarchisation des valeurs et mettre la religion au niveau des autres valeurs. « Un théologien doit être outillé de sciences et comprendre le monde pour expliquer la parole de Dieu », dira M. Ziki. Alors que son collègue Khenchelaoui Zaïm trouve que le soufisme est capable de réaliser une communion intracommunautaire s’il investit le champ de l’éducation.

 

Nadjia Bouaricha (El Watan)

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Bonjour Admino,

Je suis partisan de l'adage qui dit"Aux grands maux, les grands remèdes".

Quand on voit les dégats qu'a fait l'enseignement de la religion à l'école, il me paraît normal de penser tout simplement à son bannissement pure et simple des programes scolaires.Je demeure sceptique quant à l'idée qui consiste à dire que ce n'est pas l'enseignement de la religion qui est en cause, mais la méthode ou la manière. Car, concrétement, je ne vois pas quelle est la bonne méthode.

La religion étant un ensemble de dogmes; donc théoriquement, l'enseignant est sensé transmettre cette substance dogmatique à l'élève, en l'étayant de versets coraniques et autres paroles du Prophète. Or, l'élève apprend d'autres matières à l'école, telles la philosophie, la biologie, la physique, l'astronomie, l'éducation civique, l'histoire et les civilisations etc... En sachant que très souvent le dogme islamique s'oppose aux principes contenus dans ces enseignements.

Alors, comment voulez-vous que l'enfant gère ces contradictions?

 

Tina me dit qu'ailleurs ça ne marche pas...

La laïcité fonctionne très bien partout où elle est consacrée. Mais certainement, elle est en danger actuellement dans quelques pays du fait de la montée des intégrismes. Nous vivons un début de siècle terriblement intégriste et il n'y a pas que l'intégrisme islamiste; il y a aussi l'intégrisme évangéliste, lui aussi violent.

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Guest Tchipernem
Aucune science n'est en contradiction avec les principes coraniques, si l'humanité se pose des questions c'est que c'est la science qui n'est pas encore arrivée à expliquer des phénomènes.

Je suis pour l'enseignement de l'éducation islamique mais d'une manière sciientifique! il fut baliser le chemin vers dieu pour l'enfant.

 

Pas avec les principes certes, mais sûrement avec les interprétations.

Question: cela consiste en quoi l'enseignement de manière scientifique?:cool:

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Guest Tchipernem
explication, sortie, comparaison avec l'existant, justificaion expérimentale, il y a plusieurs sourates !

ce que je déplore c'est enseigner à un enfant de 12ans :"wadjibates el hay 3al el meits"

ahkam echar3 fi ettalak" etc;;;; c'est trop pour eux par contre il faut adapter les programmes à l'âge des enfants.

Commencer par les péchés sociaux tels que; le mensonge, la corruption...inculquer la probité, la politesse...

Il faut une révolution dans le choix des sujets et pour cela il faut faire appel à des spécialistes .

 

ça s'appelait pas éducation civique? :cool:

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Guest Tchipernem

Un point de vue

 

L'ECOLE DE TOUS LES RISQUES

L'école est au centre de tous les débats. De toutes les convoitises. L'idéologie est l'arme d'un crime plusieurs fois commis au même lieu et endroit. Le mobile: regénérer un système en reproduisant les éléments de son maintien à partir de la société. Des sujets dociles et obéissants, facilement modelables et modulables. C'est ce à quoi s'attèle l'école algérienne. Encore plus aujourd'hui, parce que le système est aux abois.

 

Il y a dix ans - au moment de l'ascension fulgurante de l'islamisme dans la société - et sous ce même titre(*), je rêvais, naïvement, cela est certain, d'une école où un Ali Benhadj, seconde figure du FIS et enseignant de son état, donnait un cours sur les origines de l'homme et les lois de l'évolution devant un parterre de filles et de garçons avides de science et de savoir. C'est tout simplement une hérésie. Hier comme aujourd'hui.

L'article en question dénonçait la mainmise des islamistes sur l'école, leur haine de la mixité, de la modernité. Mais, face à l'urgence, il ne semblait pas utile, ou du moins opportun, de dénoncer cette même école pour ce qu'elle est véritablement, parce qu'en dernier ressort, Benhadj et ses adeptes ne demandaient pas plus que de faire valoir leurs droits sur un bien qu'ils considéraient (et considèrent encore aujourd'hui à travers leurs vitrines politiques légales) comme le leur. Une école-matrice de l'intégrisme islamiste et qui a fait le lit du terrorisme: les chiffres sont éloquents quant à la présence d'enseignants parmi les hordes terroristes et surtout parmi leurs chefs.

 

L'école est une chaîne de violence

Dix ans plus tard, qu'est-ce qui a changé dans l'école? Rien. Rien de ce qui augure d'une démarche véritable de rupture avec un système et d'une volonté réelle de changement.

Des thérapies d'urgence sont administrées ça et là, comme par exemple, en matière d'éducation religieuse, la suppression dans le cycle fondamentale des versets coraniques se rapportant au Djihad, et la recommandation faite aux enseignants via leur tutelle, d'éviter que la matière en question ne se transforme en cours exégétique... Dans ce type d'exemple, on voit bien que le système réagit aux effets et non aux causes. Il demeure entendu que s'attaquer aux causes, c'est s'attaquer au système ce qui amènerait ce dernier à se faire hara-kiri. Ce qui est un non-sens. Mais d'une certaine manière, il s'inscrit déjà dans une démarche suicidaire puisque face au danger, il réagit tel ce chasseur, à bout de munitions, qui se retrouve nez à nez avec un ours. Que faire? Alors pour faire disparaître l'ours, il décide de s'évanouir. Et il s'évanouit.

Un suicide dont les rituels et les préliminaires entraînent déjà toute une société dans les pires exactions commises à son endroit. Le terrorisme islamiste a suffisamment montré l'étendue de sa barbarie qui trouve aussi sa genèse dans un système scolaire qui va, dix années durant, pour le moins, verrouiller l'imagination de l'enfant, pour la réprimer ensuite à travers des mécanismes d'apprentissage parcellaires et récurrents. L'identité de l'enfant est réindexée selon un moule unique et valable pour tous; dans ce climat, l'école tout comme l'enseignant, sont porteurs de valeurs négatives (ségrégation sociale, séparation des sexes, esprit de compétition au lieu et place d'une saine émulation, matraquage et endoctrinement idéologiques, etc.); l'école est déjà en soi, une valeur négative, qui va, renier l'élève pour, en fin de cursus, le rejeter.

Alors, il serait possible d'expliquer pourquoi un jeune terroriste, collégien le jour, a brûlé, la nuit, son école avant de rejoindre définitivement... la nuit.

Expliquer mais non justifier parce qu'un tel acte relève du crime et un crime n'est ni juste, ni justice rendue au nom d'une cause aussi juste soit-elle.

L'école est malade de ses médecins. De ses charlatans. Leur démarche clinique de prédilection: la commission. Violence à l'école? On installe une commission et on attend. Drogue? Idem. Déperdition scolaire? Une autre commission, nationale cette fois-ci. Et la le summum de la bêtise est vite atteint. Des élèves se seraient-ils perdus sur le chemin de l'école? Comment un système hypercentralisé et à structure pyramidale, conçu et programmé à l'image d'une centrifugeuse peut-il se prévaloir d'un quelconque intérêt à propos de cette déperdition scolaire qui a pour véritables noms: rejet, renvoi, exclusion? L'espoir est mince...

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Guest Tchipernem

Un point de vue (suite & fin)

 

Les termes de l'enjeu:

maintenir les conditions de survie du système

La problématique énoncée aujourd'hui porte (une énième fois) sur le devenir de l'école algérienne. Mais telle qu'elle est envisagée, elle se soucie plus de la pérennité d'un système éducatif avec ses avantages, ses rouages d'affaires et ses combines que du sort de millions d'enfants dont l'avenir est hypothéqué dès leur première année scolaire.

La démarche, en apparence mesurée, au regard des efforts de réflexion déployés à différents niveaux, est en réalité frileuse dès qu'il s'agit de changements, même quand il s'agit seulement de changer ses habitudes.

Et c'est tantôt l'allègement des cartables et des programmes, tantôt l'ouverture de débats sur "l'opportunité du rétablissement de l'enseignement privé en Algérie"(1). Et la réforme tant déclamée a toutes les formes possibles de la logorrhée sauf celle du concret.

Le clivage qui oppose réformateurs et conservateurs sur les termes de la réforme et dont le point nodal est l'école privée, n'est en fait, que l'expression d'un affrontement naturel de forces contraires appartenant à un même ensemble.

Dans une réflexion initiée par le Ministère de l'Education Nationale(2), on peut lire après un historique succint et quelques références de textes législatifs: "Quels sont les éléments ou les aspects qui doivent faire l'objet d'un "balisage" de l'enseignement privé pour prévenir les dérives pédagogiques, idéologiques, lucratives et autres? Programmes d'enseignement? Moyens pédagogiques? Qualification de l'encadrement? Conditions de scolarité (locaux, sécurité, hygiène, salubrité physique et morale, équipements, cadre de vie)?"

Un questionnement qui est loin d'être innocent puisque d'emblée, la réflexion est elle-même déjà balisée. Sous forme d'interrogations, l'affirmation est subtilement suggérée: l'école privée ne doit pas quitter le système éducatif et rester "dans une perspective de complémentarité des actions entre l'enseignement public et l'enseignement privé, notamment en ce qui concerne les questions liées aux fondements philosophiques de la formation du futur citoyen, à la quatité des prestations pédagogiques, à la prise en charge de la résorption des déperditions, de la marginalisation et de l'exclusion."(3). Mais aussi, que le rétablissement de l'enseignement privé dans une cadre réglementé, viserait le renforcement de l'appareil d'éducation et de formation "dans un souci de mobilisation des potentialités d'investissement existant dans le secteur privé"(4).

Deux ou trois remarques s'imposent après lecture de ces extraits: on serait tenté de croire que l'école publique est le "modèle" exempt de tares puisqu'on tente ici de faire croire que les critères d'appréciation du "projet école privée", sont déjà en vigueur dans l'école publique! Les dérives? Dix années de terrorisme. Programmes, moyens pédagogiques? Malik et Zina ont fait chavirer l'imagination de nos enfants. Quant à l'hygiène, c'est dans les écoles publiques que la gale a refait son apparition et que la méningite sévit cycliquement. Et pour finir, au registre de la salubrité physique et morale, combien de cas d'attouchements sexuels, qui sont le fait d'un personnel d'encadrement sur de jeunes élèves, sont dénombrés chaque année dans un silence complice?

Des écoles privés existent aujourd'hui dans une sorte de semi-clandestinité, tolérées tant bien que mal par des pouvoirs publics maniant habilement indulgence et sévérité. La première s'exprimant généralement par... le silence. Quant à la seconde, c'est par des procédés de dénigrements et la rumeur que l'on s'attaque aux initiatives audacieuses.

Tout cela masque mal une réalité: le retour à l'école et à l'enseignement privés est inévitable parce qu'il obéit à une démarche de désengagement de l'état et à une politique de libéralisation de l'économie. A ce niveau-là, l'intérêt est certain pour tous ces cadres de l'éducation qui pourraient ainsi disposer d'une sorte de "pied-à-terre", à côté de leurs postes douillets dans le secteur. Un retour qui porte aussi en lui les germes du changement s'il venait à bénéficier de cette règle d'or de l'économie libérale: la liberté d'initiative dans son acception pleine, étendue à la notion d'école même. Intiatives à l'intérieur d'une école libérée des contraintes structurels programmatiques et idéologiques, autonome sur le plan de la démarche et du projet pédagogiques et dont le souci primordial et le libre épanouissement de l'enfant à travers des processus cognitifs modernes et fiables. Voilà ce qui fait peur aux décideurs. Un enfant qui prend le temps de s'épanouir est un adulte qui vivra pleinement son temps. En citoyen accompli. Et non plus en sujet déshumanisé, dévalorisé et perfidement élevé au rang d'acteur social.

Le clivage devrait se situer entre adeptes de la libre école, quelle soit publique ou privée et les tenants du système. Ainsi défini, il pourrait aussi déboucher sur une situation de statu quo, certainement profitable à un système plus enclin aux atermoiements qu'aux décisions franches et courageuses. Un système qui n'ignore pas que l'école est à même de produire une société...

 

Z.A

 

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Guest Tchipernem
En fait, le programme de l'éducation civique comporte: la connaissance des institutions tels que: mairie, wilaya, parlement, l'emblème national et les différentes composantes!le comportement,les valeurs,le voisinage et autres... ont été inclus dans l'éducation religieuse!

 

P.S: je lirais ton post sur l'école plus tard à tête reposée!;)

 

Ce n'est pas du tout une démarche scientifique ça! Encore moins pédagogique:cool:

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un musulman ne peut accepter le concept de la laïcité. elle est meme contraire a sa religion.

nous ne devons pas attendre l'enseignement de la religion à l'école pour l'enseigné a nos enfants. c'est aux parents en tout premier lieu que revient la tache d'apprendre a leurs enfants les fondements de la religion.

sinon, je dis +1 a Tina, il y a d'autres choses plus interessantes (religieusement) a apprendre a un enfant de 12ans que les obligations des vivants envers les morts.

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Guest Tchipernem
tout à fait d'accord avec toi corps, l'Algérie est un pays musulman, la religion est le fondement de son identité spirituelle,elle doit être enseignée

Tu sais Tina, parfois tu causes comme un décret :p

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Quand je lis des énormités telles que celles postés dans le topic du dessous"gog et magog et tutti quanti...", je me dis que la religion a fait des dégats d'une telle ampleur qu'on continuera à en payer le prix pendant encore plusieures générations. Je craint même que nous ayons, par ce biais, pérénnisé l'absurdité, la médiocrité et l'infâme.

 

Dire des hindous et des chinois qu'ils des "gog" et je ne sais quoi encore, voila l'abbération dans toutes sa splendeur!

Je suis consterné et déséspéré!

Cela dénnote si besoin est, à quel point le fachisme et la religion convergent!

L'histoire de l'humanité regorge d'exemples qui illustrent cette convérgence.

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Quand je lis des énormités telles que celles postés dans le topic du dessous"gog et magog et tutti quanti...", je me dis que la religion a fait des dégats d'une telle ampleur qu'on continuera à en payer le prix pendant encore plusieures générations. Je craint même que nous ayons, par ce biais, pérénnisé l'absurdité, la médiocrité et l'infâme.

 

Dire des hindous et des chinois qu'ils des "gog" et je ne sais quoi encore, voila l'abbération dans toutes sa splendeur!

Je suis consterné et déséspéré!

Cela dénnote si besoin est, à quel point le fachisme et la religion convergent!

L'histoire de l'humanité regorge d'exemples qui illustrent cette convérgence.

 

c'est vraiment la réalité.

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Dommage que tina ait décroché de cette discussion !

 

Je suis d'accord avec Salmi au sujet du coté "fasciste" de l'enseignement de l'islam et ses répercussions sur l'esprit d'analyse de l'individu .

Moi personnellement et depuis mon jeune âge , je n'ai jamais pu gober par exemple, qu'un être de lumière (l'ange Gabriel) puisse descendre à 6 pieds sous terre pour casser la gueule à quelques kilos de matière organique ! (3adhab el qabr) .

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Dommage que tina ait décroché de cette discussion !

 

Je suis d'accord avec Salmi au sujet du coté "fasciste" de l'enseignement de l'islam et ses répercussions sur l'esprit d'analyse de l'individu .Moi personnellement et depuis mon jeune âge , je n'ai jamais pu gober par exemple, qu'un être de lumière (l'ange Gabriel) puisse descendre à 6 pieds sous terre pour casser la gueule à quelques kilos de matière organique ! (3adhab el qabr) .

 

Merci Wahrani d'avoir précisé le fond de ma pensée.

C'est ce conditionnement des esprits que je dénonce conçernant l'enseignement de la religion. C'est ce bourrage des crânes qui me révulse.

 

Mes excuses à toi, Tina. Loin de moi l'idée d'insulter ton intélligence. Les propos fachisants me bouleversent profondément et me font sortir de mes gons.

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Merci Wahrani d'avoir précisé le fond de ma pensée.

C'est ce conditionnement des esprits que je dénonce conçernant l'enseignement de la religion. C'est ce bourrage des crânes qui me révulse.

 

Le gouvernement suédois a présenté lundi des mesures visant à interdire toute influence de la religion sur le contenu de l’enseignement dans les écoles communales comme dans les écoles indépendantes religieuses. Les pratiques religieuses "peuvent avoir lieu (...) mais en marge de l’enseignement des matières

 

fairelejour.org, pour la défense des libertés, des droits de l'homme, de la laïcité

 

Ce serait bien que des pays théocratiques en fassent autant.

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Pour moi, la religion est la pire des choses que l'homme ait inventé. A côté, la bombe atomique, c'est deux fois rien!!!

Il ne faut pas oublier que des centaines de millions d'êtres humains ont péri dans des guerres de religions.

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Pour moi, la religion est la pire des choses que l'homme ait inventé. A côté, la bombe atomique, c'est deux fois rien!!!

Il ne faut pas oublier que des centaines de millions d'êtres humains ont péri dans des guerres de religions.

personne n'a inventer la religion, on a été créer pour cervire Dieu pas pour vivre puis mourrir comme ça.

maintenant libre a toi de croire ou pas.

Allah yehdik

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la religion n'est pas une invention de l'homme! c'est une révélation de notre créateur! libre à toi de ne pas y croire!

Impossible pour moi de croire...Sur ce point, je dois dire que je suis irrécupérable! Dieu n'a jamais rien révélé! Ce sont des constructions humaines. L'homme a inventé la religion car il en avait besoin. Dès le moment où l'homme a commencé sa confrontation à la nature, il s'est retrouvé démuni face à l'infini, face à l'absolu que revêtait pour lui cette nature. Il se devait de créer des entités supérieures pour palier à sa peur.

Les religions monothéistes sont l'aboutissement du long procéssus parcouru par les représentations surnaturelles que l'homme à forgées à travers son histoire et auxquelles il fini par donner l'idée d'un dieu unique.

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tout ce que je peux te dire: rabi ynaourek et yehdik ila tarik el hak!

relis le coran et tu sauras que ses mots ne sont l'oeuvre d'aucun humain, il y a même une sourate qui en parle, je peux te citer des tas de preuves mais apparemment tu ne regardes pas avec "el bassira"! c'est un travail sur soi qu'il faut envisager!sur ce, je renouvelle mes prières pour qu'un jour tu sauras, rien n'est impossible !

 

Il faudrait peut-être que j'envisage de lire le Coran en me mettant dans un état d'hypnose...Je me réveillerai ensuite en croyant!

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Il faudrait peut-être que j'envisage de lire le Coran en me mettant dans un état d'hypnose...Je me réveillerai ensuite en croyant!

non, soi consient pour comprendre ce que ça dis, tu trouvera des preuves que Dieu existe est que le Coran n'a pas été écrir par un humain, parce que y a plain de choses qui ont été révélé dans le Coran et que c'est maintenant que la science a confirmé.

par exemple la fisure dans la lune, ou les deux mers qui se croise, une salé une autre non mais elle ne se mélange pas (d'ailleurs c'est a cause de ça que le commandant Coustau est devenu musulman)

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Tous les moyens sont bons du moment que tu n'es pas un cas désespéré!:p

je prierai pour ton salut!

 

Tu es gentille, Tina!

 

Je ne sais pas s'il est possible de lire dans un état d'hypnose! Ou alors, se faire réciter les sourates tout simplement, étendu sur un divan...

Je crois que c'est la seule solution envisageable! Autrement, lire le Coran de façon consciente, je peu te dire que même en faisant le plus grand effort, ma raison n'y trouve rien de sensé.

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