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RENAULT se moque de l'Algérie


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en ce qui concerne le Roi lui meme il n'a jamais ete unanime au maroc sinon les prisons politiques n'aurai pas existé et crois moi sur certains domaine il a interet a ecouter la volonté du peuple!!! d'ailleurs au sahara il investie a coup de millions pour developer la region pour ne pas decevoir les gens!!! mais si tu reste persuader que le peuple marocain est un eternel soumi a son Roi aucune discussion sera profitable, un Roi est roi grace a la volonté son peuple sinon ca serai un dictateur comme le fut H2 qui n'avait rien a envie a saddam ou kadaffi ou autres....et M6 pour le moment rien ne montre qu'il n'est pas un bon roi il a organisé des elections irreprochables!!! reste a savoir le jour ou il n'aura pas un parti a sa botte au parlement si 'il se soumittera a la volonté du peuple.!

 

Il n y a aucune difference entre M6 et H2, les deux sont consideres comme des dictateurs de la pire espece. Le marocain lambda (monarchie absolue oblige) n'a pas le droit de critiquer ou meme de se demander de l'etat de sante de M6 sans se trouver derriere des barreaux. ;)

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Renault ne fait que répondre aux exigences irrationnels de l'état algérien par d'autres conditions irrationnels. Renault semble tout simplement dire de facon intelligente: nous accepterons vos conditions fantaisistes si vous acceptez aussi les notres.

 

l'état algérien demande:

la marque renault et non dacia

le transfert de toute la technologie

l'integration de la production et des pieces (alors que le tissu industriel est inexistant et les conditions de sa probable éclosion non reunis)

une participation très importante au financement

 

et la cerise sur le gateau:

 

renault doit se contenter de 49% de participation à ses propres sociétés qui non seulement réduit considerablement ses gaints mais la rend à la merci de l'état algerien qui peut la jeter dehors au moindre coup de gueule d'un président ou ministre dépressif.

 

 

à mon avis je vois la limite de la mendicité chez la partie algérienne qui s'accroche avec toutes ses dents à cet unique constructeur qui ne ferme pas la porte à une éventuelle implantation en Algerie...

 

...car Les autres constructeurs n'y pensent même pas!

Il me semble que vous tenez la une analyse d'une totale incohérence, alors d'une part et selon vos dires le gouvernement Algérien est trop exigent et d'une autre part il est a la limite de la mendicité puisqu'il s'accroche avec toutes ces dents a ce projet, je perds le nord la!!!!!!. et bien sachez Monsieur que sur ce dossier, le gouvernement Algérien (bien que je ne suis nullement un fervent supporteur de ce pouvoir) a tout a fait le droit de défendre les intérêts de l'Algérie, il a le droit d'exiger la marque renault et pas une autre, il a le droit d'exiger un transfère de technologie ainsi qu'une intégration progressive dans la production. Pour ce qui est de l'inexistence d'un tissu industriel et bien cela dénote bel et bien de votre ignorance du sujet parce que dans le domaine de l'industrie je peux vous confirmer l'existence de ce tissu depuis les années 1970 et il s'est même renforcé avec l'apport du secteur privé . La loi de la répartition de 51% Algérie et 49% compagnies étrangères touche tous les secteurs d'activité y compris les grandes compagnies pétrolières qui sont de très loin plus importantes a tous les points de vues que renault. Sachez Monsieur que l'Algérie est classée deuxième plus grand marché d'automobile en Afrique après l'Afrique du Sud et cela donne un poids certain a L'Algérie dans ses négociations avec les éventuels investisseurs étranger. Maintenant dans le cas renault il faudra peut être chercher du coté de la politique francise au Maghreb, une politique qui se base sur tout sauf sur des considérations purement économiques
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Guest Biobazard

Cette firme semble gênée de dire "non" (elle a quelques intérêts ici) alors elle nous sort des conditions inacceptables .

 

Je suis d'accord mais en même temps c'est compréhensible : Qui voudrait s'installer en faisant une concession sur 51% de ses libertés d'investissement (surtout lorsqu'on est une grosse firme) ... à moins que cette boite dispose de faveurs particulières (qui ne lui suffisent pas apparemment)

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Renault et le gouvernement algérien marquent leurs divergences sur les conditions de l’implantation d’une usine en Algérie. Le constructeur français demande un monopole en exigeant de l’Etat algérien la suppression des importations de véhicules, si l’on tient compte des dernières précisions apportées à ce sujet par le ministre de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement.

 

 

Dans une déclaration à l’APS, faite dans l’arrière-cour du Conseil de la nation, Mohamed Benmeradi a indiqué que «la partie française a posé également certaines conditions qui ont trait notamment à la protection du marché national de l’automobile et à la suppression de l’importation de véhicules». Eux (les Français) exigent, de leur côté, un certain nombre de garanties que nous ne pouvons pas leur donner, des garanties de protection du marché et qu’il y ait plus d’importation de véhicules, etc. Ce sont là les questions sur lesquelles nous travaillons», a-t-il précisé.

Par cette exigence qui, le moins qu’on puisse dire, s’inscrit à contre-courant des règles économiques sur la concurrence, Renault risque de compromettre sérieusement son implantation sur le sol algérien. La partie algérienne n’a pas tardé à afficher clairement la couleur : l’exigence de Renault est inaccessible, d’après le ministre en charge des dossiers de l’industrie et de l’investissement. Les incertitudes demeurent ainsi entières sur le projet de voiture algérienne «made by Renault». Beaucoup de bruit pour rien ? Mohamed Benmeradi a néanmoins tenté, tant bien que mal, d’entretenir un espoir en affirmant, à la même occasion, que les discussions avec le constructeur automobile français «sont toujours en cours». Le ministre est allé jusqu’à annoncer une entrevue qui devra regrouper les deux parties à la mi-janvier 2011. Sur le fond, les exigences de Renault sont antiéconomiques, tout comme la décision algérienne d’annuler les crédits à la consommation issue de la loi de finances complémentaire de 2009.

 

Concessions nécessaires

 

A deux doigts de la concrétisation, notamment après l’escale à Alger de l’émissaire spécial de l’Elysée, Jean-Pierre Raffarin, le projet d’une usine Renault en Algérie s’éloigne de plus en plus suite à l’introduction, de façon surprenante, de ce préalable qui n’a pas pu convaincre la partie algérienne. Les annonces faites récemment à Alger par M. Raffarin peuvent être rassurantes, mais ne sont pas de nature à faire sauter tous les verrous retardant la concrétisation du projet. Evoqué lors de la visite à Alger, fin novembre dernier, de M. Raffarin, le projet était annoncé «en cours de négociations» et «au stade d’échange d’informations». Mais il semblerait que la mise sur pied de cette entreprise reste suspendue à une convergence d’idées, voire à des concessions qui ne sont pas des moindres. Sur les exigences de l’Algérie dans le cadre des négociations avec Renault, M. Benmeradi a précisé que la partie algérienne «exige que le projet ne soit pas uniquement une usine de montage, mais une véritable usine de fabrication de véhicules avec un taux d’intégration progressif, permettant à la sous-traitance algérienne de participer au projet». Une façon de faire participer le secteur privé et le public algérien.

 

L’Algérie exige aussi du partenaire français «de s’engager financièrement dans l’investissement et qu’il n’apporte pas uniquement sa marque et son label. Nous voulons qu’il s’implique», a dit le ministre, ne dissimulant pas une forme de désarroi. Si Renault semble, tout compte fait, «irrationnel» dans ses exigences, des questions s’imposent sur la volonté de ce constructeur de concrétiser son projet en Algérie. Les prochaines discussions prévues à la mi-janvier 2011 devraient donner un avant-goût de ce que sera le restant du chemin à parcourir. Concrètement, le principe retenu lors des précédentes discussions entre les deux parties est d’arriver à produire 75 000 véhicules particuliers par an pour trois ou quatre modèles. Le ministre de l’Industrie avait déclaré que «si les négociations aboutissent, l’usine sera implantée sur les sites de la SNVI», précisant que Renault s’est proposé de «livrer ses véhicules au marché algérien d’ici à 2012».

 

Ali Titouche

 

In : elwatan.com

Ce n'est pas

... a M. Ladoz

... que je vais apprendre

.... qu'on ne se moque

.... que de l'i.diot du village

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Je suis d'accord mais en même temps c'est compréhensible : Qui voudrait s'installer en faisant une concession sur 51% de ses libertés d'investissement (surtout lorsqu'on est une grosse firme) ... à moins que cette boite dispose de faveurs particulières (qui ne lui suffisent pas apparemment)

 

Ben oui , tout à fait .........

 

RENAULT c'est une grosse firme , avec des actionnaires , des sous-traitants , des carnets de commande ..........

 

Toute une synergie .....

 

Ils ne vont pas dans un pays pour se faire "pirater" 51 pour cent de leur business .

 

Faut pas rêver , l'Algérie n'a ni le marché Chinois , ni celui de l'Inde à offrir pour se permettre des exigences aussi farfelues .

 

C'est de l'hypocrisie , ils ne veulent pas d’investissements productifs chez nous , ils font toutes les lois pour ça !

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Ce n'est pas

... a M. Ladoz

... que je vais apprendre

.... qu'on ne se moque

.... que de l'i.diot du village

 

Tout à fait ....

Le cabinet noir voulait se moquer du ghachi et de RENAULT en même temps .....

 

Les grands groupes industriels pareils ne sont pas nés de la dernière pluie :mdr::mdr:

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Guest Vert*et*fier
Ça prouve deux choses :

 

1-La façon , à la limite de la mendicité, utilisée par certains "responsables" pour faire "venir" cette firme .

 

2-Le total irrespect et manque de considération de cette firme envers le pays du 1.5 millions de martyrs (à cause de cette pourriture qui le dirige) poussant le bouchon jusqu'à exiger l'arrêt des importations de véhicules .

 

Je ne suis pas un spécialiste en économie mais je ne vois pas où est le problème !!! il n'y a pas de manque de respect ni de considération ! Il veut négocier afin d'assurer la garantie du marché il exige celà Rebbi y'sehhel 3lih d'rahmena fi djibna we hed ma chaf hed !! maintenant si nos dirigeants ne savent pas négocier, ça c'est autre chose ..

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Je ne suis pas un spécialiste en économie mais je ne vois pas où est le problème !!! il n'y a pas de manque de respect ni de considération ! Il veut négocier afin d'assurer la garantie du marché il exige celà Rebbi y'sehhel 3lih d'rahmena fi djibna we hed ma chaf hed !! maintenant si nos dirigeants ne savent pas négocier, ça c'est autre chose ..

 

On n'exige pas à un pays une condition aussi loufoque et totalement inacceptable (jamais aucune multinationale , dans aucun domaine, n'avait osé exiger ça même dans les républiques bananières) .

 

Il aurait pu négocier une "hausse des droits de douane" pour les voitures importées et un "bonus" gouvernemental pour chaque voiture construite sur place.

 

Ça se fait ailleurs et c'est logique que RENAULT cherche à rentabiliser son affaire mais là c'est du n'importe quoi , du foutage de gueule :crazy: façon de dire aux négociateurs Algériens "vous voulez vous payer notre gueule eh bien on va voir qui est le plus malin"

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si quelqu'un peut confirmer...

si c'est vraiment le cas...il n'y a pas à chercher plus loin...le beurre, l'argent du beurre et le ** de la crémière...

 

Comme Mr .........Ladoz :mdr::mdr: l'a dit plus haut .........

 

C'est du foutage de gueule , le cabinet noir ne veut pas d'investisseurs étrangers et fait tout pour dissuader ceux qui voudraient venir .....

 

Et RENAULT le sait très bien et fait tourner les pauvres négociateurs en bourrique .

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franca,franca on dirait que ce pissoire d europe nous donne l air qu on respire l iran nous a proposer leur savoir faire dans l automobile mais nous leur tournons le dos les allemants nous fassent des clins doeils que nous refusons,les chinois viennent dacheter VOLVO pour 7milj de krs=1mlj usdollars tandis que nous dormons sur 146milj us d en se qui me concerne je prefere les allemandes car elle sont supere

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Ça prouve deux choses :

 

1-La façon , à la limite de la mendicité, utilisée par certains "responsables" pour faire "venir" cette firme .

 

2-Le total irrespect et manque de considération de cette firme envers le pays du 1.5 millions de martyrs (à cause de cette pourriture qui le dirige) poussant le bouchon jusqu'à exiger l'arrêt des importations de véhicules .

 

Cet article ne rime absolument à rien, et ce qui dit Mr Ladoz avec ces 1.5 millions de martyrs encore moins.., on ne négocie pas la guerre dans le sujet.

 

Alors je précise en un, que Renault a demander l'arret des importation de véhicule de sa "marque" et non des marques de tous les autres constructeur de la terre, faut pas etre fou comme le démago qui à "pondu" cet article aussi digne de l'amateurisme à l'Algérienne, et de deux sachant que la France est l'ex puissance colonial, l'Algérie se donne le droit de réserve beaucoup plus que quand il sagit d'un autre partenaire économique, puisque c'est d'économie qu'il sagit ici.., pour terminer je rassurerai Mr Ladoz en disant que le projet avance bien et en toute sérénité entre les deux partie qui n'ont pas fini de mettre au clair certains point.. :)

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Cet article ne rime absolument à rien, et ce qui dit Mr Ladoz avec ces 1.5 millions de martyrs encore moins.., on ne négocie pas la guerre dans le sujet.

 

Alors je précise en un, que Renault a demander l'arret des importation de véhicule de sa "marque" et non des marques de tous les autres constructeur de la terre, faut pas etre fou comme le démago qui à "pondu" cet article aussi digne de l'amateurisme à l'Algérienne, et de deux sachant que la France est l'ex puissance colonial, l'Algérie se donne le droit de réserve beaucoup plus que quand il sagit d'un autre partenaire économique, puisque c'est d'économie qu'il sagit ici.., pour terminer je rassurerai Mr Ladoz en disant que le projet avance bien et en toute sérénité entre les deux partie qui n'ont pas fini de mettre au clair certains point.. :)

 

RENAULT accorde ou n'accorde pas le droit de distribuer ses modèles en Algérie à RENAULT Algérie .

RENAULT Algérie est un distributeur qui vend en Algérie les modèles que RENAULT lui fournit.

Si RENAULT lui fournit des modèles MADE in Algeria il les vendra .

L'état n'a pas à interdire l'importation des véhicules RENAULT puisque ça ne concerne que ...........RENAULT .

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RENAULT accorde ou n'accorde pas le droit de distribuer ses modèles en Algérie à RENAULT Algérie .

RENAULT Algérie est un distributeur qui vend en Algérie les modèles que RENAULT lui fournit.

Si RENAULT lui fournit des modèles MADE in Algeria il les vendra .

L'état n'a pas à interdire l'importation des véhicules RENAULT puisque ça ne concerne que ...........RENAULT .

 

Oui mais comprennez bien Mr Ladoz qu'en simple constructeur voulant s'imposé dans le marché local Algérien, Renault a semble t-il crus bon de limiter voir d'intérdire les importations sur les models qu'elle devra produire, je ne trouve pas que ca soit une façon de se moquer de son partenaire Algérien, mais de simple garentie future que ces véhicule seront bien écoulé.

 

Ps: RDV en 2011 :D

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Renault et le gouvernement algérien marquent leurs divergences sur les conditions de l’implantation d’une usine en Algérie. Le constructeur français demande un monopole en exigeant de l’Etat algérien la suppression des importations de véhicules, si l’on tient compte des dernières précisions apportées à ce sujet par le ministre de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement.

 

m

 

achetons japonais et allemand

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Oui mais comprennez bien Mr Ladoz qu'en simple constructeur voulant s'imposé dans le marché local Algérien, Renault a semble t-il crus bon de limiter voir d'intérdire les importations sur les models qu'elle devra produire, je ne trouve pas que ca soit une façon de se moquer de son partenaire Algérien, mais de simple garentie future que ces véhicule seront bien écoulé.

 

Ps: RDV en 2011 :D

 

Renault a vu que le climat n est pas encore propice a un tel investissement qui demande une visibilité au long terme , il lui faut plutôt des garanties de stabilité politique.

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achetons japonais et allemand

 

Raffarin s'est justement rendu en Algerie pour bloquer la route aux Allemands (volksawagen) en rouvrant le dossier de Renault, ces crapauds de Francais savent que leurs jours de business en Algerie sont comptes. :mdr:

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Renault et le gouvernement algérien marquent leurs divergences sur les conditions de l’implantation d’une usine en Algérie. Le constructeur français demande un monopole en exigeant de l’Etat algérien la suppression des importations de véhicules, si l’on tient compte des dernières précisions apportées à ce sujet par le ministre de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement.

 

 

Dans une déclaration à l’APS, faite dans l’arrière-cour du Conseil de la nation, Mohamed Benmeradi a indiqué que «la partie française a posé également certaines conditions qui ont trait notamment à la protection du marché national de l’automobile et à la suppression de l’importation de véhicules». Eux (les Français) exigent, de leur côté, un certain nombre de garanties que nous ne pouvons pas leur donner, des garanties de protection du marché et qu’il y ait plus d’importation de véhicules, etc. Ce sont là les questions sur lesquelles nous travaillons», a-t-il précisé.

Par cette exigence qui, le moins qu’on puisse dire, s’inscrit à contre-courant des règles économiques sur la concurrence, Renault risque de compromettre sérieusement son implantation sur le sol algérien. La partie algérienne n’a pas tardé à afficher clairement la couleur : l’exigence de Renault est inaccessible, d’après le ministre en charge des dossiers de l’industrie et de l’investissement. Les incertitudes demeurent ainsi entières sur le projet de voiture algérienne «made by Renault». Beaucoup de bruit pour rien ? Mohamed Benmeradi a néanmoins tenté, tant bien que mal, d’entretenir un espoir en affirmant, à la même occasion, que les discussions avec le constructeur automobile français «sont toujours en cours». Le ministre est allé jusqu’à annoncer une entrevue qui devra regrouper les deux parties à la mi-janvier 2011. Sur le fond, les exigences de Renault sont antiéconomiques, tout comme la décision algérienne d’annuler les crédits à la consommation issue de la loi de finances complémentaire de 2009.

 

Concessions nécessaires

 

A deux doigts de la concrétisation, notamment après l’escale à Alger de l’émissaire spécial de l’Elysée, Jean-Pierre Raffarin, le projet d’une usine Renault en Algérie s’éloigne de plus en plus suite à l’introduction, de façon surprenante, de ce préalable qui n’a pas pu convaincre la partie algérienne. Les annonces faites récemment à Alger par M. Raffarin peuvent être rassurantes, mais ne sont pas de nature à faire sauter tous les verrous retardant la concrétisation du projet. Evoqué lors de la visite à Alger, fin novembre dernier, de M. Raffarin, le projet était annoncé «en cours de négociations» et «au stade d’échange d’informations». Mais il semblerait que la mise sur pied de cette entreprise reste suspendue à une convergence d’idées, voire à des concessions qui ne sont pas des moindres. Sur les exigences de l’Algérie dans le cadre des négociations avec Renault, M. Benmeradi a précisé que la partie algérienne «exige que le projet ne soit pas uniquement une usine de montage, mais une véritable usine de fabrication de véhicules avec un taux d’intégration progressif, permettant à la sous-traitance algérienne de participer au projet». Une façon de faire participer le secteur privé et le public algérien.

 

L’Algérie exige aussi du partenaire français «de s’engager financièrement dans l’investissement et qu’il n’apporte pas uniquement sa marque et son label. Nous voulons qu’il s’implique», a dit le ministre, ne dissimulant pas une forme de désarroi. Si Renault semble, tout compte fait, «irrationnel» dans ses exigences, des questions s’imposent sur la volonté de ce constructeur de concrétiser son projet en Algérie. Les prochaines discussions prévues à la mi-janvier 2011 devraient donner un avant-goût de ce que sera le restant du chemin à parcourir. Concrètement, le principe retenu lors des précédentes discussions entre les deux parties est d’arriver à produire 75 000 véhicules particuliers par an pour trois ou quatre modèles. Le ministre de l’Industrie avait déclaré que «si les négociations aboutissent, l’usine sera implantée sur les sites de la SNVI», précisant que Renault s’est proposé de «livrer ses véhicules au marché algérien d’ici à 2012».

 

Ali Titouche

 

In : elwatan.com

 

:mdr::mdr::mdr::mdr::mdr::mdr: la premiére phrase est à tomber par terre!!! trés droles les gars de renault!

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Renault c'est la France, mieux vaut traiter avec les entreprises allemandes.

Vu comment l'histoire algérienne est traitée par le GVt français, un GVt qui déteste les algériens. Alors pourquoi courberions nous l'échine devant l'ancien génocidaire du peuple algérien.

 

un algérien de France

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