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Menaces sur la famille du haker de Maghnia


Guest D. ESSERHANE

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Guest D. ESSERHANE

Le hacker de Maghnia et sa famille menacés par les services secrets étrangers : ils demandent la protection de l’Algérie

 

Poste par Sat déc 31st, 2010 categorie Actu du jour. Vous pouvez suivre les reponses via RSS 2.0. Vous pouvez commenter et trackbacker cet article Print This Post Print This Post

 

Le hacker de Maghnia s’est dévoilé. Enfin, presque. Dans son édition du 31/12/2010, El Watan nous livre les confidences intrigantes de ce jeune génie algérien, piégé, selon lui, dans un sombre jeu mené par des services secrets étrangers.

 

Les rumeurs avaient donné ce jeune garçon comme récupéré par le Mossad. Selon son témoignage, il n’en est rien. C’est même qu’il se retrouverait dans une situation d’insécurité totale où sa vie serait menacée à chaque instant.

 

«Ce qui est sûr, c’est que je n’ai jamais trahi mon pays et je ne le ferai jamais. Je ne suis plus en sécurité, je veux rentrer dans mon pays…» dira, avec amertume, le hacker de Maghnia au journaliste d’El Watan.

 

Menacé par une organisation secrète visiblement criminelle et exploité par les services secrets français, ce jeune algérien devrait attirer l’attention de nos responsables sécuritaires et consulaires.

 

Il faudrait bien que quelqu’un se manifeste pour lui permettre de rentrer au pays ainsi que toute sa famille, afin qu’ils bénéfécient de la protection algérienne et que cette affaire soit tirée au clair.

 

Ce génie en informatique déclare vouloir servir son pays puisqu’il en a la volonté et les moyens. Car si des services secrets étrangers ont jugé qu’ils pouvaient leur être utile, pourquoi pas le nôtre ?

 

RAF

 

...

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Guest D. ESSERHANE

Pour connaître l’histoire détaillée de ce hacker, lire l’article d’El Watan

 

Toujours en fuite, le hacker de Maghnia se dévoile

 

Retourné par le Mossad israélien ou simple pirate d’Internet en manque de gloire ? Le célèbre hacker de Maghnia, en fuite à l’étranger après une série d’aventures à la James Bond, a contacté notre journaliste pour démentir toutes les rumeurs le concernant. Témoignage.

 

J’ai pris connaissance de l’existence du hacker de ma ville, Maghnia, par le biais d’un site où seule l’expression «Comment un hacker de Maghnia a été recruté par le Mossad» attira mon attention. Puis, dépoussiérant ma mémoire, je me souvins d’un jeune que je rencontrais souvent dans un cybercafé en ville. A l’époque, encore insouciant, il fanfaronnait devant ses copains en disant qu’il pouvait faire exploser des serveurs de n’importe quelle institution internationale. Mon premier réflexe était de prendre langue avec ses proches, des jeunes qui me confirmèrent que leur «ami» était à présent à l’étranger. Mais comme aucun d’entre eux n’avait ses coordonnées, je suis resté dans l’expectative. Curieusement, le soir même, je reçus un appel sur mon téléphone portable à partir d’un numéro privé. C’était lui ! Le hacker. Il me dit tout de go : «Je ne travaille pas avec le Mossad et si tu veux, je te raconte ma véritable histoire.»

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Guest D. ESSERHANE

Recrutement

 

«Comme tous les “white hat’’ (hacker “gentil’’), j’ai rendu publiques beaucoup de failles de systèmes informatiques dans les sites comme “Milw0rm’’ et “Effensive security” depuis 2000. Et personne n’a détecté mon adresse IP. Et c’est le responsable de la société de sécurité informatique, “Effensive security’’, en l’occurrence Mati Aharoni, d’origine juive, qui m’a contacté. On s’est parlé pendant deux ans jusqu’au jour où il m’a proposé un projet : “Veux-tu faire un job de haut niveau ?’’ De quoi s’agissait-il ? Il me précisera : “Tu dois faire un test de pénétration de système.’’ J’ai accepté, puisque seul l’argent m’intéressait. Je demandais simplement quand j’allais pouvoir commencer le boulot. Mati m’a conseillé de “leur’’ parler directement. A qui ? “Eux, les chefs d’une entreprise.’’ Mati me conseillera également de ne pas parler d’Algérie. Deux jours après, j’ai fait un saut à Oujda (Maroc oriental), à 14 km de chez moi, et à partir d’un cybercafé, je suis entré en contact online avec eux. On m’a envoyé un logiciel à test (overflow). 12 heures plus tard, ma mission a été jugée concluante. Très satisfaits, mes nouveaux employeurs m’envoyèrent 5000 dollars.

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Guest D. ESSERHANE

On m’a alors proposé un autre travail, mais il fallait, cette fois-ci, que je sois physiquement présent. J’ai accepté. On me proposa la Tunisie. C’était une aubaine pour moi, un jeune hittiste passant son temps dans un cybercafé de Maghnia. On me réserva une belle chambre dans un bel hôtel. A mon arrivée, une charmante femme du nom de J. C. m’accueillit. On a vite repris le boulot. On m’a confié un autre logiciel à tester. Cela a été pour moi un jeu d’enfant, encore une fois. Et c’est là que j’ai osé leur poser cette question, parce que leur attitude et ce qu’ils demandaient me paraissaient suspects : “Vous êtes quelle entreprise et pourquoi vous avez refusé de venir en Algérie pour me rencontrer ?’’ Ils ont répondu : “Nous sommes des indépendants qui travaillons souvent avec Mati et pour venir en Algérie, on avait besoin d’un visa qu’on n’était pas sûrs d’obtenir.»

 

...

 

Après un séjour de 28 jours en Tunisie, ils m’ont proposé de rentrer au pays et de déposer un dossier de demande de visa au niveau du consulat de Belgique à Alger. Qu’à cela ne tienne. Une fois au service consulaire belge, une jeune femme a personnellement pris en charge mon dossier, sans frais de visa ! Après quoi, je suis rentré à Maghnia et, une semaine plus tard, je reçois un coup de fil du consulat me demandant d’aller récupérer mon visa. Une demi-heure plus tard, on m’appela d’un numéro privé me disant : “Tu peux aller chercher ton argent (78 millions de centimes) versé sur le compte de ton père, c’est pour t’acheter des vêtements et le billet d’avion.“ J’étais intrigué : comment ont-ils pu prendre connaissance du numéro du compte postal de mon père ? Tout excité, j’emmenais mon père à la poste lui faisant croire qu’un ami m’avait envoyé cette somme.

 

Le soir même, je suis entré en contact via le net avec mes interlocuteurs rencontrés en Tunisie pour leur demander qui sont ces gens qui m’ont envoyé de l’argent. On m’a répondu que c’étaient des gens qui travaillaient pour plusieurs entités, même pour les Israéliens. Là, j’ai eu peur. Mais le 15 janvier 2010, j’ai quand même pris l’avion Alger-Bruxelles. Une fois arrivé à l’aéroport belge, une femme m’accosta pour me dire qu’il y avait des gens qui voulaient me parler au parking…»

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Guest D. ESSERHANE

Le piège de Bruxelles

 

Les deux individus qui attendaient le jeune génie dans le parking de l’aéroport montrèrent une grande sympathie à son égard, mais, selon lui, ils n’avaient rien de chefs d’entreprise. Il était clair que les deux personnes n’allaient pas trop s’attarder en salamalecs. Après son installation dans un hôtel du centre de Bruxelles, le hacker prit connaissance du programme à exécuter «On m’a demandé de pirater les serveurs d’institutions étatiques du pays d’accueil. J’ai senti que je n’avais pas affaire… à des hommes d’affaires. J’ai eu peur. Le lendemain, j’ai pris discrètement attache avec notre consulat, d’autant que je n’avais plus mon passeport algérien.» Notre génie, qui possédait plusieurs identités, comme cela lui avait été conseillé lors du voyage de Tunis, tenait à rentrer au pays. «L’étau se resserrait autour de moi : ou j’acceptais ma nouvelle mission avec des services secrets, ou c’est la mort qui m’attendait», nous dit-il.

 

Aux services consulaires algériens, on lui délivra une autorisation de retour au pays valable pour un mois. Il rentre d’abord à Lille, dans le nord de la France pour réembarquer à destination d’Alger. « Mais les services de la police m’ont arrêté à l’aéroport de Lille. Les ennuis allaient se poursuivre.» «Car apparemment, ma réputation m’avait précédée : mes anciens employeurs, qui avaient une couverture de chefs d’entreprise et à qui j’ai faussé compagnie, avaient porté plainte contre moi pour escroquerie. Bizarre, ils m’avaient, pourtant, payé pour des travaux effectués en qualité de “conseiller’’ comme le prouvent les virements effectués sur mon compte en Suisse. A l’aéroport de Lille, au lieu de me mettre en prison ou de me traduire devant un tribunal, on me relâcha sous conditions : je devais collaborer avec des services du renseignement français.»

 

Le hacker, se sentant embourbé, n’avait pas trop le choix. «J’étais en quelque sorte un bandit d’honneur informatique connu, mais recherché pour “désertion, trahison…’’ Et je détenais des informations de première main au sujet de services secrets qui agissaient sous différentes couvertures. Ils craignaient que je me mette à parler. Moi, je ne me faisais pas d’illusion, j’étais dans la gueule… des loups. En France, on m’a donc demandé d’infiltrer des serveurs, notamment ceux de deux journaux algériens, et y publier des informations compromettantes (qu’ils m’avaient confiées) sur des responsables algériens. Je les avais mis en confiance, mais je n’ai pas tardé à fuir à Paris, puis ailleurs… J’ai fui, mais ce qui me fait mal, c’est que mes parents sont constamment harcelés à Maghnia. Eux, ils n’ont rien fait, je suis le seul responsable de tout ce qui arrive… Ce qui est sûr, c’est que je n’ai jamais trahi mon pays et je ne le ferai jamais. Je ne suis plus en sécurité, je veux rentrer dans mon pays…» conclut-il, avant de raccrocher brusquement, comme s’il en avait assez de se justifier…

 

Chahredine Berriah/El Watan

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Guest D. ESSERHANE
wawww ! si c'est vrai bein !

bein hada m3ah da3wéte lkheire !

la totalité narrive pas reprendre surface aprés de tels evenements !

 

un génie ne peut se cacher que dans des lieux surs

ça commence à prendre de l'ampleur cette histoire rocambolesque

de notre cher maghnaoui

 

il aurait compris que la vie de l'appât du gain facile, finirait, tôt ou tard, par 12 balles dans la peau:confused:

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non, ce lien me renvoie sur mon propre topic

wach rak khabet'ha:confused:

 

h!c...hic! mais pas du tout ...h!C...:drinks_nologo::jester:

 

Le lien, _celui de ton topic_ était à l'intention de mon ami Tewfik du DRS pour le cas où il serait intéressé par les élucubrations de ton héros :D

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Guest D. ESSERHANE
h!c...hic! mais pas du tout ...h!C...:drinks_nologo::jester:

 

Le lien, _celui de ton topic_ était à l'intention de mon ami Tewfik du DRS pour le cas où il serait intéressé par les élucubrations de ton héros :D

 

Dés qu'il foulera le sol algérien, il sera conduit manu militari pour pouvoir s'adonner à son jeu favori....aux tagarins

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Guest D. ESSERHANE
Ouais!

Pour une fois, on ne sera pas contre si c'est pour la ... bonne cause:cool:

 

il est c on alors

il aurait du formuler une demande à tawfik

au moins, il mènerait la vie dure aux hakers marocains qui nous empestent tous les jours avec leurs intrusions à répétition :confused:

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il est c on alors

il aurait du formuler une demande à tawfik

au moins, il mènerait la vie dure aux hakers marocains qui nous empestent tous les jours avec leurs intrusions à répétition :confused:

 

Chuuuuuut!..."ILS" sont déjà :mdr::mdr:

 

C'est déjà 2011! :confused:

Bonne année Didine ,

Bonne année à nos frères maghrebins,

Bonne année FA,

Bonne année le monde

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Guest D. ESSERHANE
Chuuuuuut!..."ILS" sont déjà :mdr::mdr:

 

C'est déjà 2011! :confused:

Bonne année Didine ,

Bonne année à nos frères maghrebins,

Bonne année FA,

Bonne année le monde

 

je sais

bonne fête les marocains:confused:

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voici l'erreur!

 

....j’emmenais mon père à la poste lui faisant croire qu’un ami m’avait envoyé cette somme.....

 

comment ce fait il que le pere ne s'est il pas soucier de la provenance de cet argent! si j'etais le pere je le l'enferme dans un placard jusqu'a ce que j'aurais la verité!

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Le hacker promet de tout déballer pour faire éclater toute la vérité sur lui. «Je détiens des milliers de documents compromettants sur des responsables algériens. Des documents, des noms, des numéros de comptes, des numéros de cartes d’identité, des sommes dans des banques du Luxembourg, de Suisse, les noms de conseillers financiers connus…, et qu’on n’ironise pas», confie-t-il sur un ton menaçant.

source: Elwatan (Chahredine Berriah)

 

C'est pas avec des menaces comme ça qu'il réussira à gagner la protection des responsables algériens. Bien au contraire, ils seront les premiers à le liquider s'il rentre au pays.

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