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L'article du journal Liberté Algérie ne transgresse en rien le sujet. Certes tu n'as pas prétendu cela, mais c'est tout comme!

 

Non , ma démarche était peut-être maladroite , mais je ne voulais pas citer quelqu'un en particulier pour ne vexer personne .

 

Mais tu as raison , je n'aurai pas dû intervenir en réponse à cet article .

 

Méa-culpa

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Non , ma démarche était peut-être maladroite , mais je ne voulais pas citer quelqu'un en particulier pour ne vexer personne .

 

Mais tu as raison , je n'aurai pas dû intervenir en réponse à cet article .

 

Méa-culpa

 

Mais de problème l'ami. Ceci dit, l'article en question résume assez bien la situation algérienne.

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Euh c'est ce que j'allais dire, mais en fin de compte je me dis que malgré la pression économique et tous les problème que rencontre l'Algérie elle est toujours sur pied, on s'en sort pas mal malgré tout.

 

 

Salut à toi et bonne année,

 

Il faut être réalistes et l'on ne pas dire qu'avec les moyens qu'elle possède, l'Algérie s'en sort pas trop mal. Critiquer son gouvernement ne veut pas dire que nous renions notre pays mais surtout que nous aimons son peuple (d'où nous venons du reste) et que l'Etat doit vraiment...vraiment s'atteler à ce que ce peuple vive heureux et fier.

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Guest syndrom.x
Salut à toi et bonne année,

 

Il faut être réalistes et l'on ne pas dire qu'avec les moyens qu'elle possède, l'Algérie s'en sort pas trop mal. Critiquer son gouvernement ne veut pas dire que nous renions notre pays mais surtout que nous aimons son peuple (d'où nous venons du reste) et que l'Etat doit vraiment...vraiment s'atteler à ce que ce peuple vive heureux et fier.

 

:confused: éxcuse moi mais T sérieux la ?...

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SAÏD SADI aux militants du RCD, et aux Algériens !

 

«L’Algérie de 2010 était invisible et inaudible»

 

Kamel Amarni - Alger (Le Soir) -

 

Le président du RCD (Rassemblement pour la culture et la démocratie) a adressé, ce weekend, une lettre «aux militants et aux sympathisants » du parti, à l’occasion du nouvel an. Une lettre dans laquelle Saïd Sadi fait un bilan sans concession s’agissant du pouvoir, en même temps qu’il délivre un message d’espoir. Pour sa base, en particulier, et à l’ensemble des Algériens, en général.

«L’année 2010 a vu les problèmes du peuple algérien s’aggraver tant sur le plan social que politique. La misère s’élargit et les espaces d’expression se sont encore rétrécis. Le pouvoir se protège par le clientélisme, la censure, la corruption et l’arbitraire», constate d’emblée le leader du RCD. Ceci au plan interne. «Sur le plan international, l’Algérie de 2010, invisible et inaudible, figure toujours parmi les pays les plus corrompus et les plus instables de la planète». «Aucune cohérence, aucune crédibilité n’apparaît dans les positions officielles», relève encore le président du RCD. Pour mieux illustrer son propos, Saïd Sadi fait appel à un fait très récent : «Après avoir été diabolisé par l’ancien ministre Chakib Khelil, le projet Desertec est accepté sans réserve à Berlin par le chef de l’Etat. Deux semaines après cette offre, le Premier ministre et le nouveau ministre de l’Energie, déjugeant leur responsable direct, déclarent qu’il est trop tôt pour s’engager définitivement sur un dossier aussi sensible.» Cette dualité du discours au sommet de l’Etat, Saïd Sadi la relève y compris dans la bouche d’un seul homme : Ahmed Ouyahia. Il fera ainsi remarquer qu’«à l’Assemblée nationale, le Premier ministre s’est livré à une attaque hystérique contre les députés du RCD qui ont dénoncé les risques que faisaient peser sur le pays l’incohérence et l’opacité de sa politique. Un mois plus tard, il décrit, devant le Conseil de la nation, une situation désastreuse qui, dit-il, n’est rien en comparaison de ce qui attend la nation à l’avenir». Citant ensuite l’exemple du projet du Pnud, refusé pour Tizi-Ouzou mais accepté quand même pour la nouvelle ville de Boughezoul, le patron du RCD conclut que «les exemples d’une gestion marquée par le sectarisme, l’opacité et l’improvisation ont toujours existé. Ils sont devenus plus visibles en 2010. Pourquoi ? La pression exercée quotidiennement dans la rue par les catégories sociales les plus démunies, notamment la jeunesse, a élargi des failles qui séparaient les clans, engendrant un traitement partiel des affaires les plus encombrantes, même si les mis en cause ne sont pas toujours les plus coupables». Pour le leader de l’opposition, ce n’est là que la suite d’un combat mené de longue date par les démocrates. «Cette détermination à exprimer son opinion, défendre ses droits et dénoncer l’arbitraire n’est pas spontanée. Elle est le produit des luttes menées par des militants qui sont restés fidèles à leurs engagements malgré toutes sortes d’entraves et un climat dominé par la démission et les compromissions de ceux dont la mission est d’alerter et d’accompagner les luttes populaires.» Aussi bien les interventions des parlementaires du RCD que les réactions suscitées par le livre consacré au colonel Amirouche sont la preuve que «pour l’essentiel, le débat national se structure autour de ce que dit ou fait le RCD». Comme par le passé avec les idées portant sur les réformes de l’école, la justice, le code de la famille, la laïcité, la résistance face au terrorisme, c’est le cas donc en 2010. «Les réactions d’enthousiasme qu’il rencontre chez le jeune comme celles de dénigrement qu’il génère chez les affidés du système témoignent que notre rassemblement avance dans la société et dérange dans le sérail», note alors Saïd Sadi. Faisant remarquer que «la permanence de l’engagement est la première des vertus dans un combat», le chef du RCD se félicite du fait qu’«en dépit de la chape de plomb qui étouffe la nation, nos positions sont reprises par tous». Reconnaissant que «ce combat n’est pas facile» face aux multiples entraves dressées par le pouvoir, Sadi fera montre d’une inébranlable détermination : «Aucun parti n’a subi autant d’attaques (que le RCD, Ndlr).

 

...suite...

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...suite...

 

Malgré cet acharnement, nous demeurons, sur le front démocratique, la force la plus pérenne, la plus écoutée et la plus performante.» Et pour le proche avenir, le président du RCD écrira que «2011 sera une année de transition qui annonce 2012 où des échéances importantes attendent le pays» Des échéances électorales sur lesquelles planera, bien sûr, l’incontournable fraude ! Saïd Sadi ne l’ignore pas et réitère sa revendication d’une « surveillance internationale massive et qualifiée». Qu’il sait, par ailleurs, sujette à un rejet systématique du pouvoir et sa clientèle. Or, il rappellera à ses militants : «Ce ne sera pas la première fois que nous aurons inscrit dans l’agenda national une thématique novatrice. Quand nos aînés avaient pris la décision de se lever contre la nuit coloniale, beaucoup les avaient affectés aux caves de l’histoire.» La suite des événements tout le monde la connaît, pourtant.

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qd on discute avec quelqu'un , le but est de discuter les idées ,et non d'essayer de le classer de qu'elle bord il est ..

 

..Désolé, mon cher ami, quand on discute "politique", pour le bien du Peuple, les vis-à-vis devraient "afficher" leur bord,...je trouve que c'est plus honnête, plus franc, ...et plus constructif,..car, il s'agit de convaincre l'autre,..et quand on est convaincu, l'on se doit d'être honnête et d'admettre que l'on s'est trompé,..et là l'on se corrige pour.... avancer et construire ! et non persister dans l'erreur...rien que pour détruire ! :33:

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Guest Amangel
Au plan démocratique, social et politique?

 

A vous!

 

Il n y a pas de démocratie et je pense que le miracle n'est pas possible ....sociale ?? la société évolue mais elle n'a pas beaucoup de moyens ... Politique ?? c'est bien connu en Algérie celui qui s'assoie sur une chaise il ne la lâche plus on est encore sous un régime militaire c'est les Généraux qui décide Boutef c'est pour faire jolie ...

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Il n y a pas de démocratie et je pense que le miracle n'est pas possible ....sociale ?? la société évolue mais elle n'a pas beaucoup de moyens ... Politique ?? c'est bien connu en Algérie celui qui s'assoie sur une chaise il ne la lâche plus on est encore sous un régime militaire c'est les Généraux qui décide Boutef c'est pour faire jolie ...

 

Il y a Monsieur Samir "hchicha" qui essaie de construire une initiative qui parait constructive sur Le Quotidien Algérie TV .

 

Notamment sur le cas de Monsieur Mohamed BABA NEDJAR .

 

 

Le Quotidien d'Algérie TV

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..je n'irai pas sur ce lien,..chaque fois qu'un de mes commentaires est contraire à leur ligne politique, il est censuré !...ce journal en ligne est chapeauté par les Sant Egidioistes, de triste mémoire, qui voulait que la République abdique devant les Islamistes !:28:

 

A tu essayé de passer à l'antenne ?

 

Si oui , dis moi si ils t'ont censuré .

 

Ils m'ont donné l'impression qu'ils étaient plutôt ouverts et pluralistes .

 

Peut-être quelque chose m'a échappé lors de l'émission d'hier soir ?

 

Merci de me répondre .

 

Salutations fraternelles .

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..Désolé, mon cher ami, quand on discute "politique", pour le bien du Peuple, les vis-à-vis devraient "afficher" leur bord,...je trouve que c'est plus honnête, plus franc, ...et plus constructif,..car, il s'agit de convaincre l'autre,..et quand on est convaincu, l'on se doit d'être honnête et d'admettre que l'on s'est trompé,..et là l'on se corrige pour.... avancer et construire ! et non persister dans l'erreur...rien que pour détruire ! :33:

 

A condition que l'erreur est considèré comme erreur par tout le monde.

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A tu essayé de passer à l'antenne ?

..en direct, tu es fou....!!!!

 

Si oui , dis moi si ils t'ont censuré .

..et si j'essayais de passer, même pour un enregistrement, et si en le revoyant, je m'apperçoie qu'il y des passages censurés, ou des réponses manipulées,..tu ferais "sauter" le directeur ? c'est qui, d'ailleurs ?

 

Ils m'ont donné l'impression qu'ils étaient plutôt ouverts et pluralistes .

..Ben , entre-eux, c'est normal : " anwi ikm icakran a tislit, d yemma tahdar xalti "

 

 

Merci de me répondre .

voilà, c'est fait :)

 

Salutations fraternelles ...

c'est réciproque...:flowers:

 

 

p-s : On dirait que j'ai affaire à un Académicien :D

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..et tu crois que c'est "tout le monde" qui a voté FIS ou Boutef !!!:donatello:

 

 

tu ne connais la notion de mazjorité (je parle du Fis)

 

Pour boutef , c'est difficile de dire du fait que tout les candidats se sont retiré.

 

Ne pense pas que le fait que la kabylie ne vote pour lui ,qu'il ne pourra avoir la majorité

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Des mouvements de colère spontanés, qu'"aucune organisation ni aucun parti ne vient encadrer", selon Rachid Malaoui. Président du Snapap, premier syndicat autonome de la fonction publique, ce dernier fait face à une étrange situation : la maison des syndicats a été fermée en mai, le pouvoir a adopté une redoutable stratégie, qui consiste à "cloner" les organisations indépendantes, et les adhérents se découragent. Les associations de défense des femmes sont aussi à bout de souffle, et la réunion de quatorze d'entre elles, le 25 novembre dans un hôtel d'Alger, a été annulée par les autorités.

Les jeunes, premières victimes du chômage, sont les plus exposés à ce que l'on nomme ici "la mal vie", comme le prouvent les tentatives continues des harragas, ces clandestins qui essaient de rejoindre l'Europe par la mer au péril de leur vie. "La situation des droits de l'homme régresse, affirme Mustapha Bouchachi, président de la Ligue algérienne des droits de l'homme. La société civile elle-même est démissionnaire et ne joue pas son rôle, laissant face à face la rue et le pouvoir."

 

Une rue algérienne qui porte les signes apparents d'une islamisation grandissante. Au voile, porté par une majorité de femmes, s'ajoutent en nombre de plus en plus important, et visible, les barbes et les kamis ("robes longues") des hommes. "Le salafisme connaît depuis une dizaine d'années un développement exponentiel, explique Amel Boubekeur, chercheure à l'Ecole des hautes études en sciences sociales et à l'Ecole normale supérieure. Jusqu'ici, ces hommes étaient cantonnés dans les quartiers populaires, aujourd'hui ces frontières n'existent plus."

 

La réconciliation nationale, imposée par le pouvoir après la violence des années 1990, est passée par là. Une majorité des nouveaux commerces ont été ouverts par des islamistes hier encore pourchassés et aujourd'hui encouragés.

 

"Militairement, nous avons vaincu le terrorisme, mais, politiquement, les islamistes ont gagné", affirme, amer, Mohamed B., un intellectuel. "Le pouvoir est en train de tout leur céder", assure un diplomate européen. Un pessimisme que ne partage pas Mme Boubekeur : "C'est le paradoxe de cette réconciliation : laréintégration économique des islamistes contre leur neutralisation politique. Quant aux signes d'islamisation, c'est avant tout un mode de vie, un réseau de solidarité bien plus efficace que les partis, qui permet d'ouvrir des commerces, souligne-t-elle. Et pour l'Algérien moyen, si on ne peut pas être citoyen, soyons au moins consommateur, ça au moins c'est permis."

 

Sous leur voile, les jeunes Algériennes affichent souvent un audacieux maquillage. "Ces signes extérieurs religieux sont une modalité de négociation de la paix sociale, une façon de se fondre dans la masse. Si l'Etat jouait son rôle, cela disparaîtrait", estime Daho Djerbal, qui dirige la revue Naqd, créée en 1991. Pour ce dernier, la réconciliation reste "de l'ordre du refoulé".

L'exceptionnelle mobilisation autour de Mohamed Gharbi, un "patriote", comme on désigne ceux qui ont combattu les islamistes, l'illustre bien. Condamné à mort après trois procès pour avoir tué un repenti, le vieil homme a bénéficié d'une grâce présidentielle début décembre.

 

L'Algérie cherche à tourner cette page douloureuse de son histoire. "Après la décennie noire, où le mot culture était presque banni, c'est le retour à la normale, s'enthousiasme Mohammed Djehiche, directeur du superbe et récent Musée d'art moderne d'Alger. Nous essayons de rattraper le temps perdu : plus de 1 000 livres sont édités chaque année, de 30 à 40 pièces de théâtre sont montées et une cinémathèque va ouvrir ses portes. Les choses évoluent, même si on a l'impression du contraire. C'est comme l'iceberg." "La société est plus islamisée en 2010 qu'en 2001, convient Amara Benyounes, ancien ministre de la santé, et pourtant l'Algérie est le pays musulman le plus apte à la modernité."

 

1/1

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Au coeur d'Alger, les commerces se sont multipliés et les restaurants deviennent chaque jour plus fréquentés, témoignant ainsi d'une vitalité retrouvée. Rien de plus normal dans un pays qui a de l'argent : avec des recettes d'hydrocarbures en hausse, l'Algérie a enregistré, sur les onze premiers mois de l'année, un excédent commercial de 14,8 milliards de dollars (11,1 milliards d'euros), à faire pâlir d'envie bien des Etats. De quoi redistribuer, un peu, sous forme salariale, aux magistrats, enseignants et policiers. De quoi éteindre momentanément, aussi, les incendies qui ne cessent de s'allumer à travers le pays. C'est là, en effet, l'un des paradoxes d'une société qui n'en manque pas.

 

1/2

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A tu essayé de passer à l'antenne ?

..en direct, tu es fou....!!!!

 

Si oui , dis moi si ils t'ont censuré .

..et si j'essayais de passer, même pour un enregistrement, et si en le revoyant, je m'apperçoie qu'il y des passages censurés, ou des réponses manipulées,..tu ferais "sauter" le directeur ? c'est qui, d'ailleurs ?

 

Ils m'ont donné l'impression qu'ils étaient plutôt ouverts et pluralistes .

..Ben , entre-eux, c'est normal : " anwi ikm icakran a tislit, d yemma tahdar xalti "

Merci de me répondre .

voilà, c'est fait :)

Salutations fraternelles ...

c'est réciproque...:flowers:

p-s : On dirait que j'ai affaire à un Académicien :D

" anwi ikm icakran a tislit, d yemma tahdar xalti " Traduction SVP

Apparemment , j'ai écouté avec attention et il me semble que les gens qui passent à l'antenne ne soient pas du tout censurés .

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Bonjour à tout le monde,

 

Apparemment, certains manifestants profitent de l'occasion pour faire leurs amplettes (commissions) et de tels actes sont imbéciles dès lors qu'ils portent conséquences à des exigences sociales justifiées. Plus grave encore est que le régime va se servir de ses vols pour discréditer la révolte contre des conditions de vie indignes et les peuple ne retiendra que ces pécadilles (vols).

 

Selon le Nouveobs:

 

Des quartiers populaires aux quartiers huppés

 

Le quartier huppé d'El Biar situé sur les hauteurs a été pris d'assaut par une quarantaine de jeunes armés de sabres qui se sont attaqués à de nombreuses boutiques en début de soirée, ont constaté des journalistes. Ils ont saccagé un restaurant et vidé une bijouterie emportant un important butin selon les habitants du quartier familier de l'endroit, avant de se retrouver encerclés par les forces de sécurité. Le quartier populaire de Bab el Oued connaissait pour la seconde nuit consécutive d'importantes manifestations. La police lourdement armée et venue en nombre dès la fin de l'après-midi dans cette zone très densément peuplée, a dû faire usage de canons à eau et de gaz lacrymogènes pour disperser les manifestants, selon un témoin. Le site du consulat de France a recommandé dans la soirée à ses quelques 23.000 ressortissants de la wilaya d'Alger la plus grande vigilance.

 

En Kabylie, à Bejaia, à quelque 260 km à l'est d'Alger, tout comme Boumerdes, plus proche de la capitale, les manifestants avaient dès l'après-midi coupé les routes principales avec des arbres notamment ou des pneus qui brûlaient. Selon un témoin, le tribunal d'Akbou, près de Bejaia a été incendié en fin de journée.

 

Un peu plus loin vers la frontière tunisienne à Annaba, un correspondant de l'AFP a fait état de sérieux renforcements des forces de sécurité surtout autour des bureaux de la wilaya (département) mais la situation était calme.

 

En revanche à Oran, dans l'ouest algérien, la situation restait tendue après les émeutes de mercredi.

 

(Nouvelobs.com avec AFP)

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