Jazairi 10 Posted January 11, 2011 Partager Posted January 11, 2011 80% du sucre importé par l’Algérie était détenu par une seule personne. C’est incroyable et même inimaginable!!! Je n’en ai pas cru mes yeux lorsque j’ai lu sur une page d’un quotidien algérien du Net de samedi dernier où c’était écrit que 80% du sucre importé par l’Algérie était détenu par une seule personne. C’est incroyable et même inimaginable!!! Pour voir un cas pareil, il faut remonter dans le temps et atterrir dans les pays de l’Amérique centrale des années 50 où dans chaque Etat, il y avait deux ou trois familles qui détenaient toutes les richesses du pays. Le comble de l’ironie est que le monopole de cette personne est à triple tranchant. Premièrement, il s’exerce sur une matière première de type denrée alimentaire qui est d’une première nécessité pour le peuple algérien. Secundo, c’est un monopole sur un produit importé et non pas fabriqué localement. Troisièmement, ce groupe qui exerce ce monopole est une entreprise à capital fermé au public, c’est-à-dire avec un seul actionnaire, le patron lui-même qui détient 100% du capital. Dans tous les pays, qui exercent l’économie de marché, qu’ils soient développés ou en voie de développement, ce type de monopole est strictement interdit par les lois antitrust (les lois de la concurrence). Ces lois servent à protéger les citoyens consommateurs de ces pays. Par exemple, aux Etats-Unis d’Amérique, une infraction aux lois antitrust est passible d’une peine de prison allant jusqu’à 10 ans et d’une énorme pénalité allant parfois jusqu’à la mise en faillite de la compagnie qui a exercé ce monopole. Même lors de la fusion de deux compagnies que ce soit aux USA ou en Europe, ce sont toujours les autorités de la concurrence qui sont chargées de juger si la position de la nouvelle compagnie créée n’est pas d’un caractère monopoliste sur le marché avant de procéder à la validation de la fusion. Le cas des monopoles sur des denrées alimentaires détenus par une poignée de personnes en Algérie est unique au monde. Dans les pays arabes, la plupart des gouvernements subventionnent les matières de première nécessité pour leurs peuples comme le blé, le café, le sucre, l’huile, etc. Les autres ont laissé le marché libre à la concurrence. Curieusement, la nouvelle loi de finances en Algérie qui était présentée comme une nouvelle approche économique tirant ses sources du patriotisme économique n’est autre que de la poudre aux yeux car non seulement, cette loi ne mentionne rien sur le phénomène des monopoles, donc les intérêts de cette personne et des autres sont préservés, mais le paradoxe est que cette loi, en réalité et sur le terrain, sert même à protéger les intérêts des monopolistes en instaurant toute une batterie de nouvelles lois visant à se barricader contre la concurrence étrangère et en instaurant un champ plein de marécages bureaucratiques destiné à décourager le petit importateur algérien. Cette nouvelle loi de finances laisse le champ libre sans les barrières de la concurrence, a ce groupe et aux autres barons de l’importation pour s’enrichir davantage. Puisqu’on a droit au doute et dans ce contexte bien précis, on peut se poser maintenant des questions sur l’attitude glaciale du gouvernement algérien face à l’adhésion de l’Algérie à l’OMC (Organisation mondiale du commerce). Pourquoi cette hésitation et cette crainte de l’OMC et pourquoi le gouvernement ne parle plus de cette adhésion et pourquoi aucune démarche n’a été faite depuis quelques années? Une adhésion de l’Algérie à l’OMC cassera les monopoles de certains monopolistes. (*) Expert international et analyste boursier à la banque suédoise Hagströmers och Qviberg Noureddine LEGHELIEL (*) © Copyright L'Expression Citer Link to post Share on other sites
Jazairi 10 Posted January 11, 2011 Author Partager Posted January 11, 2011 EMEUTES DU SUCRE ET DE L’HUILE: Qui paiera la facture? Spéculateurs et manifestants ont causé d’énormes dégâts... Certains lobbies et autres adeptes de la formule «Laissez faire, laissez passer» ont, le temps d’une révolte passagère, caressé l’espoir de voir le gouvernement réviser sa composante. Ces tenants du capitalisme pur et dur croyaient qu’avec une bonbonne d’huile l’on pouvait créer un séisme politique, un Watergate à l’algérienne. Pure prétention! Certes, des capitalistes aux crocs acérés ont, au péril de la stabilité sociale, osé proposer des produits de première nécessité comme l’huile ou le sucre à des prix qui défient la raison. Ils ont attisé le feu. Un bidon d’huile à 950 DA a fini par exacerber la mouise des citoyens au maigre pouvoir d’achat. Cette audace, ou plutôt l’inconscience de certains producteurs, a tout simplement provoqué l’incendie dans un pays déjà à cran. Même si l’Etat aura été, un moment, démissionnaire faute de n’avoir suffisamment pas imposé les moyens de contrôle qui relèvent de ses prérogatives, fort heureusement, la dérive n’a pas eu lieu. Les desseins machiavéliques des apôtres du crime économique n’auront pas abouti. Ces affameurs de peuple avaient pourtant tenté de justifier leur démarche en avançant moult prétextes comme le fallacieux argument de la flambée des cours des matières premières sur le marché mondial. Il faut dire que ces pêcheurs en eaux troubles ont bien trouvé leur compte dans un environnement économique où ils ont accaparé quelque 80% de la production nationale. Ce qui est particulièrement vrai pour un groupe industriel que l’on ne connaît que trop bien. Mais, et fort heureusement, encore une fois, ce n’est pas une vulgaire histoire d’huile de table qui aura eu raison de l’assise du gouvernement. Ce dernier a, en effet, réussi à maîtriser, in extremis, la situation. Cette réaction salutaire du staff gouvernemental a au moins le mérite de démontrer que nos gouvernants ne sont pas à la solde de ces groupes de pression. Mieux, nos décideurs démontrent, l’on ne peut mieux, en préservant avant tout l’intérêt des citoyens, qu’aucune complicité douteuse ne mine la décision au sommet de l’Etat. En revenant à de «meilleurs sentiments», la rue semble avoir compris cette réalité dans une Algérie où tout reste encore à construire, sinon à parfaire après que l’Etat ait engagé, au cours de ces dernières années, de titanesques projets de développement. Ce retour au calme est à lui seul un gage de confiance entre gouvernants et gouvernés. Tout le reste est chahut. Or, ce blanc-seing qu’offre le peuple à l’Exécutif, doit absolument porter ses fruits, car nos ministres n’ont que quelques mois seulement pour sceller définitivement ce pacte social. Cette course contre la montre qui est engagée, n’est, du moins, pas en leur faveur. Ramener les prix du kilo de sucre et de cinq litres d’huile à respectivement 90 DA et 600 DA, est en soi une mesure fort digne. Néanmoins, cette dernière reste très aléatoire surtout que le temps ne manquera pas d’éroder l’effet immédiat de cette disposition. «Que se passera-t-il dans huit mois?» se demande derechef, le commun des citoyens qui aura à affronter alors bien des occasions de dépenses, comme l’Aïd ou la rentrée scolaire après avoir consommé un mois sacré, réputé pour être budgétivore. Bien des observateurs estiment, par ailleurs, que le délai de huit mois que s’impose le gouvernement pour gérer le marché des produits de première nécessité est peu convaincant. «La suppression des taxes durera huit mois, que se passera-t-il après?» s’interroge-t-on. Aussi, serait-t-il plus judicieux de communiquer en langage franc avec les Algériens et leur décrire des plans autrement plus à même de juguler d’éventuelles crises à venir. En demeurant laconique dans ses communiqués, le gouvernement ne fait que prêter le flanc aux propagandistes et aux manipulateurs, voire aux spéculateurs de tout poil. Mais même avant l’arrivée du Ramadhan, il faut s’interroger sur la partie qui devra payer la facture. Aucune estimation précise des dégâts n’est encore établie à ce jour, mais les pertes s’élèveraient à des centaines de milliards de dinars. Les entreprises et les particuliers qui sont assurés contre les dégâts causés par des émeutes sont les plus chanceux. Pour tous le autres, il faudra mettre la main à la poche. Tous les instigateurs et les acteurs des hausses inconsidérées des prix sont aussi au box des accusés et doivent rendre des comptes. Même au plan politique, le gouvernement ne peut pas faire l’économie de quelques délestages. Un remaniement s’impose. La question est de savoir quand il interviendra. Nabil BELBEY © Copyright L'Expression Citer Link to post Share on other sites
Ladoz 11 Posted January 11, 2011 Partager Posted January 11, 2011 Il y a une vaste offensive contre les clans des "hommes d'affaires" !!!! Ça fait des années que ce Rebrab est en position de monopole sur le sucre (et les généraux qui sont derrière décident eux-mêmes qui a ou qui n'a pas le droit d'importer les 20 pour cent restants) !!! Mais là , miracle , on vient de le découvrir !!!!!!!!!!!! Réglez vos comptes Messieurs , mais laissez le ghachi en paix !!!!!!!!!! Citer Link to post Share on other sites
Ladoz 11 Posted January 11, 2011 Partager Posted January 11, 2011 Cette nouvelle loi de finances laisse le champ libre sans les barrières de la concurrence, a ce groupe et aux autres barons de l’importation pour s’enrichir davantage. Puisqu’on a droit au doute et dans ce contexte bien précis, on peut se poser maintenant des questions sur l’attitude glaciale du gouvernement algérien face à l’adhésion de l’Algérie à l’OMC (Organisation mondiale du commerce). Pourquoi cette hésitation et cette crainte de l’OMC et pourquoi le gouvernement ne parle plus de cette adhésion et pourquoi aucune démarche n’a été faite depuis quelques années? Une adhésion de l’Algérie à l’OMC cassera les monopoles de certains monopolistes. (*) Expert international et analyste boursier à la banque suédoise Hagströmers och Qviberg Noureddine LEGHELIEL (*) © Copyright L'Expression Toutes les récentes lois (du 51/49 au CREDOC) n'ont été votées que pour accorder à ces "hommes d'affaires" le monopole sur l'activité économique en Algérie et même un droit à la rapine et à la piraterie sur les investissements étrangers . Mr LADOZ an avait bien parlé .... Peu s'en émouvaient .... Citer Link to post Share on other sites
Guest sab.dz Posted January 11, 2011 Partager Posted January 11, 2011 Mr Ladoz , c'est un mot que tu repete souvent mais je n'en connais pas la signification : Ghachi ? Merci d'avance pour la réponse :D Citer Link to post Share on other sites
Ladoz 11 Posted January 11, 2011 Partager Posted January 11, 2011 Mr Ladoz , c'est un mot que tu repete souvent mais je n'en connais pas la signification : Ghachi ? Merci d'avance pour la réponse :D Ghachi en Algérien veut , grosso-modo, dire "foule " C'est en totale opposition avec "peuple" !!! PS: Il vous en prie !!! Citer Link to post Share on other sites
Jazairi 10 Posted January 11, 2011 Author Partager Posted January 11, 2011 Ghachi en Algérien veut , grosso-modo, dire "foule " C'est en totale opposition avec "peuple" !!! PS: Il vous en prie !!! Ghachi est un terme que je n'aime pas , il désigne avec mépris le petit peuple et en français ça serait plutot "plèbe" en plus péjoratif que "foule" ! Citer Link to post Share on other sites
mquidech 10 Posted January 11, 2011 Partager Posted January 11, 2011 80% du sucre importé par l’Algérie était détenu par une seule personne. C’est incroyable et même inimaginable!!! Je n’en ai pas cru mes yeux lorsque j’ai lu sur une page d’un quotidien algérien du Net de samedi dernier où c’était écrit que 80% du sucre importé par l’Algérie était détenu par une seule personne. C’est incroyable et même inimaginable!!! Pour voir un cas pareil, il faut remonter dans le temps et atterrir dans les pays de l’Amérique centrale des années 50 où dans chaque Etat, il y avait deux ou trois familles qui détenaient toutes les richesses du pays. Le comble de l’ironie est que le monopole de cette personne est à triple tranchant. Premièrement, il s’exerce sur une matière première de type denrée alimentaire qui est d’une première nécessité pour le peuple algérien. Secundo, c’est un monopole sur un produit importé et non pas fabriqué localement. Troisièmement, ce groupe qui exerce ce monopole est une entreprise à capital fermé au public, c’est-à-dire avec un seul actionnaire, le patron lui-même qui détient 100% du capital. Dans tous les pays, qui exercent l’économie de marché, qu’ils soient développés ou en voie de développement, ce type de monopole est strictement interdit par les lois antitrust (les lois de la concurrence). Ces lois servent à protéger les citoyens consommateurs de ces pays. Par exemple, aux Etats-Unis d’Amérique, une infraction aux lois antitrust est passible d’une peine de prison allant jusqu’à 10 ans et d’une énorme pénalité allant parfois jusqu’à la mise en faillite de la compagnie qui a exercé ce monopole. Même lors de la fusion de deux compagnies que ce soit aux USA ou en Europe, ce sont toujours les autorités de la concurrence qui sont chargées de juger si la position de la nouvelle compagnie créée n’est pas d’un caractère monopoliste sur le marché avant de procéder à la validation de la fusion. Le cas des monopoles sur des denrées alimentaires détenus par une poignée de personnes en Algérie est unique au monde. Dans les pays arabes, la plupart des gouvernements subventionnent les matières de première nécessité pour leurs peuples comme le blé, le café, le sucre, l’huile, etc. Les autres ont laissé le marché libre à la concurrence. Curieusement, la nouvelle loi de finances en Algérie qui était présentée comme une nouvelle approche économique tirant ses sources du patriotisme économique n’est autre que de la poudre aux yeux car non seulement, cette loi ne mentionne rien sur le phénomène des monopoles, donc les intérêts de cette personne et des autres sont préservés, mais le paradoxe est que cette loi, en réalité et sur le terrain, sert même à protéger les intérêts des monopolistes en instaurant toute une batterie de nouvelles lois visant à se barricader contre la concurrence étrangère et en instaurant un champ plein de marécages bureaucratiques destiné à décourager le petit importateur algérien. Cette nouvelle loi de finances laisse le champ libre sans les barrières de la concurrence, a ce groupe et aux autres barons de l’importation pour s’enrichir davantage. Puisqu’on a droit au doute et dans ce contexte bien précis, on peut se poser maintenant des questions sur l’attitude glaciale du gouvernement algérien face à l’adhésion de l’Algérie à l’OMC (Organisation mondiale du commerce). Pourquoi cette hésitation et cette crainte de l’OMC et pourquoi le gouvernement ne parle plus de cette adhésion et pourquoi aucune démarche n’a été faite depuis quelques années? Une adhésion de l’Algérie à l’OMC cassera les monopoles de certains monopolistes. (*) Expert international et analyste boursier à la banque suédoise Hagströmers och Qviberg Noureddine LEGHELIEL (*) © Copyright L'Expression salam pourquoi ne pas cité le nom de la personne ? ce sera plus credible non ! en plus tu dis "etait" donc ça ne l'es plus ? Citer Link to post Share on other sites
Jazairi 10 Posted January 11, 2011 Author Partager Posted January 11, 2011 salam pourquoi ne pas cité le nom de la personne ? ce sera plus credible non ! en plus tu dis "etait" donc ça ne l'es plus ? Salam, Je me suis dit la même chose ; notre presse est courageuse mais pas assez téméraire pour aller jusqu'au bout des choses !!! Citer Link to post Share on other sites
talulah 10 Posted January 11, 2011 Partager Posted January 11, 2011 Ghachi est un terme que je n'aime pas , il désigne avec mépris le petit peuple et en français ça serait plutot "plèbe" en plus péjoratif que "foule" ! oui dans la bouche de ladoz le mot ghachi est péjoratif ladoz parle des algériens comme nos dirigeants (politiciens, militaires) en parlent, pour eux les algériens sont des moins que rien, un troupeau qu'il faut maltraiter et insulter à longeur de journée, et surtout les tenir à l'ecart de la vie politique après ça ladoz prétend vouloir le changement, il ne fait que perpétuer une tradition des dirigeants de l'Algérie Citer Link to post Share on other sites
Ladoz 11 Posted January 12, 2011 Partager Posted January 12, 2011 oui dans la bouche de ladoz le mot ghachi est péjoratif ladoz parle des algériens comme nos dirigeants (politiciens, militaires) en parlent, pour eux les algériens sont des moins que rien, un troupeau qu'il faut maltraiter et insulter à longeur de journée, et surtout les tenir à l'ecart de la vie politique après ça ladoz prétend vouloir le changement, il ne fait que perpétuer une tradition des dirigeants de l'Algérie Toute vérité (bonne ou mauvaise) se doit d'être dite et un diagnostic approprié pour chaque mal est nécessaire si on veut le guérir ! Le changement doit se faire d'abord au niveau du ghachi qui doit passer au statut de peuple ! Citer Link to post Share on other sites
Guest anincognito Posted January 12, 2011 Partager Posted January 12, 2011 Toute vérité (bonne ou mauvaise) se doit d'être dite et un diagnostic approprié pour chaque mal est nécessaire si on veut le guérir ! Le changement doit se faire d'abord au niveau du ghachi qui doit passer au statut de peuple ! Et tu penses que c'est en le martelant de qualificatifs péjoratifs que ça va marcher? qu'il va changer pour le mieux? Citer Link to post Share on other sites
Ladoz 11 Posted January 12, 2011 Partager Posted January 12, 2011 Et tu penses que c'est en le martelant de qualificatifs péjoratifs que ça va marcher? qu'il va changer pour le mieux? Il ne peut pas changer tout seul .... Il a besoin d'un bon "père autoritaire" pour l'éduquer , l'instruire .... Citer Link to post Share on other sites
Guest anincognito Posted January 12, 2011 Partager Posted January 12, 2011 Il ne peut pas changer tout seul .... Il a besoin d'un bon "père autoritaire" pour l'éduquer , l'instruire .... C'est pas via un forum qu'un père pourrait user efficacement de son autorité éducatrice :mdr: Citer Link to post Share on other sites
Ladoz 11 Posted January 12, 2011 Partager Posted January 12, 2011 C'est pas via un forum qu'un père pourrait user efficacement de son autorité éducatrice :mdr: Surement pas !!!!!!!!!!!!!! Ce serait le rôle d'un bon dictateur éclairé !!!! Citer Link to post Share on other sites
Guest anincognito Posted January 12, 2011 Partager Posted January 12, 2011 Surement pas !!!!!!!!!!!!!! Ce serait le rôle d'un bon dictateur éclairé !!!! Je ne te contredirai point sur ça, car je sais que le peuple (oui, je l'appelle déjà comme ) Algérien a besoin d'autorité et surtout d'un guide soucieux du développement de la nation et dévoué pour cette cause. Citer Link to post Share on other sites
Ladoz 11 Posted January 12, 2011 Partager Posted January 12, 2011 Je ne te contredirai point sur ça, car je sais que le peuple (oui, je l'appelle déjà comme ) Algérien a besoin d'autorité et surtout d'un guide soucieux du développement de la nation et dévoué pour cette cause. Il faut même réapprendre au "ghachi" que "voler c'est mal" , qu'il faut "travailler pour gagner de l'argent" , qu'il faut aussi "ne pas jeter ses enfants dans la rue" ..... Des éléments basiques ... Même les mosquées ne jouent pas le rôle qui devrait être le leur ! Citer Link to post Share on other sites
Guest anincognito Posted January 12, 2011 Partager Posted January 12, 2011 Il faut même réapprendre au "ghachi" que "voler c'est mal" , qu'il faut "travailler pour gagner de l'argent" , qu'il faut aussi "ne pas jeter ses enfants dans la rue" ..... Des éléments basiques ... Même les mosquées ne jouent pas le rôle qui devrait être le leur ! Les mosquées tiennent un discours langue de bois, et les Imams sont l'incarnation du mauvais comportement, pas tous certainement, mais nombre d'entre eux volent, mentent, empruntent sans régler leurs dettes...etc... Citer Link to post Share on other sites
talulah 10 Posted January 12, 2011 Partager Posted January 12, 2011 Toute vérité (bonne ou mauvaise) se doit d'être dite et un diagnostic approprié pour chaque mal est nécessaire si on veut le guérir ! Le changement doit se faire d'abord au niveau du ghachi qui doit passer au statut de peuple ! le changement ne se fera pas si on martèle à ce peuple qu'il n'en n'est pas un clairement tu n'as jamais travaillé à changer les mentalités concrètement, sinon tu saurais qu'il faut leur redonner confience en leurs capacités et pas les rabaisser, il faut un travail massif à faire dans ce sens surtout sur la jeunesse toi tu veux investir dans les matraques pour les abrutir, alors que c'est un investissement dans des associations, des éducateurs, un travail social, du temps qu'il faut Citer Link to post Share on other sites
ADHAR 110 Posted January 12, 2011 Partager Posted January 12, 2011 Les mosquées tiennent un discours langue de bois, et les Imams sont l'incarnation du mauvais comportement, pas tous certainement, mais nombre d'entre eux volent, mentent, empruntent sans régler leurs dettes...etc... la si tu dontinu a medire, , , , , tu deviens un parfait mauvais musulman ! Citer Link to post Share on other sites
ADHAR 110 Posted January 12, 2011 Partager Posted January 12, 2011 Il faut même réapprendre au "ghachi" que "voler c'est mal" , qu'il faut "travailler pour gagner de l'argent" , qu'il faut aussi "ne pas jeter ses enfants dans la rue" ..... Des éléments basiques ... Même les mosquées ne jouent pas le rôle qui devrait être le leur ! le ghachi est semblable a une masse inerte, merci de m'épargner son discours d'un dictateur éclairé! Citer Link to post Share on other sites
ADHAR 110 Posted January 12, 2011 Partager Posted January 12, 2011 Ghachi en Algérien veut , grosso-modo, dire "foule " C'est en totale opposition avec "peuple" !!! PS: Il vous en prie !!! ******, j'ai toujours lu la rousse, alors qu'il fallait lire la toze pardon Mr ladoz Citer Link to post Share on other sites
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