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Liban : Démission de 11 ministres de l’opposition, chaos, guerre…


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Liban : Démission de 11 ministres de l’opposition, chaos, guerre…

 

Comme prévu depuis l'annonce de l'échec de l'initiative syro-saoudienne, l'opposition s'est retirée du gouvernement de coalition nationale formé depuis les élections législatives libanaises en 2009, et présidé par le chef du Courant du Futur, Saad Hariri. La démission des 10 ministres de l'opposition a été prononcée par le ministre de l’énergie et des ressources hydrauliques, Joubrane Bassil, qui a lu le communiqué durant un point de presse en présence des 10 ministres représentant aussi bien le Hezbollah, le Mouvement Amal que le Courant Patriotique Libre.

 

Expliquant les raisons de cette démission collégiale, Bassil a reproché au Premier ministre Saad Hariri "son impuissance face aux pressions américaines", qui ont contribué à torpiller l’initiative syro-saoudienne élaborée pour contrecarrer les séquelles de la publication de l’acte d’accusation du TSL (Tribunal Spécial pour le Liban). Sachant que ce dernier est accusé par toutes les composantes de l’opposition libanaise, et par la majeure partie du peuple libanais, de vouloir à tort accuser le Hezbollah de l'assassinat de l'ancien Premier ministre libanais Rafic Hariri, pour des raisons politiques et pour éliminer la Résistance. "Le Premier ministre Saad Hariri et les Libanais devraient choisir entre Beyrouth et Washington ou entre Beyrouth et n’importe quelle autre capitale" a déclaré Bassil, en appelant le président de la République à entamer les procédures en vue de former un nouveau cabinet.

 

Un onzième ministre, Adnane Sayed Hussein, proche du président de la République Michel Sleiman, a lui aussi sans tarder présenté sa démission après une rencontre avec le chef de l'État. Dès lors, et en fonction de la Constitution libanaise qui considère la démission du tiers du cabinet comme suffisante pour renverser le cabinet ministériel, ce dernier formé de trente ministres est tombé.

 

Selon certains observateurs, le timing de la démission collégiale survient à un moment délicat pour le Premier ministre Saad Hariri, et ne pourrait que l'embarrasser alors qu'il se prépare pour rencontrer à Washington d'un moment à l'autre le président américain Barack Obama : "il le rencontrera en tant qu'ex-Premier ministre", constate une source pour le journal libanais As Safir.

 

Source : Al-Manar TV

 

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Site Web: Parti Anti Sioniste (PAS) - SITE OFFICIEL

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Le sionisme responsable de la crise en Grèce, selon un évêque grec

 

Le sionisme responsable de la crise en Grèce, selon un évêque grec

 

Le 20 décembre dernier, le métropolite (synonyme d'évêque grec) Seraphim du Pirée a déclaré que les problèmes que traverse actuellement la Grèce étaient « dus au sionisme international et à ses banquiers ». Cette déclaration a bien entendu « indigné » les sionistes et ceux qui sont à leur service. Certains parmi les antisionistes se sont au contraire réjouis de cette déclaration, émanant d’un prélat officiant dans un pays ancien et respecté, et ne semblant pas se trouver en première ligne vis-à-vis du sionisme.

 

Pourtant, il faut croire que notre métropolite était bien informé de ce qui se préparait. On a en effet appris, par la suite, que la Grèce et « Israël » allaient créer un « Conseil ministériel commun de coopération ». Il est facile d’imaginer le scénario ayant abouti à cela : les grandes banques internationales ont surendetté la Grèce (avec la complicité des dirigeants locaux), puis les marchés (devinez qui est derrière…) ont attaqué la Grèce, et enfin Dominique Strauss-Kahn (le directeur du FMI, qui se demande chaque matin ce qu’il peut faire pour Israël…) est intervenu et a mis tout le peuple grec à la diète ! C’est en quelque sorte le docteur qui tue le malade pour mieux le sauver…

 

Aujourd'hui donc, comme par hasard, « Israël » arrive et un accord de « coopération » est signé ! Cet accord a été officialisé par un communiqué précédant la visite en Grèce du raciste Avigdor Lieberman. Notons que ce dernier souhaite ouvertement expulser la population arabe d’ « Israël », ce qui ne l’a jamais empêché d’être reçu avec tous les égards par les « démocrates » qui gouvernent l’Union européenne… On devine aisément que ce n’est pas Athènes qui donnera des ordres à Tel Aviv, mais bien le contraire. En résumé, il y a donc eu mise en faillite d’une nation, traitement de choc du FMI, puis soumission à Tel Aviv…

 

Quel est l’intérêt d’ « Israël » ? Contrer la Turquie qui s’est détachée de l’entité sioniste, en utilisant la Grèce en Méditerranée Orientale. Il n’est pas exclu que la question de Chypre (pomme de discorde entre la Grèce et la Turquie) revienne prochainement sur le tapis. Ce serait un moyen de pression et de diversion à l’encontre de la Turquie. D’autres raisons entrent également en ligne de compte, comme la tentative de rallier les Chrétiens orthodoxes, russes, grecs, etc. à la politique du sionisme. Il faut méditer le processus grec, qui ne pourra que s’amplifier. C’est le destin qui risque de frapper toutes les Nations européennes. Le sionisme vit et se nourrit de la crise des autres peuples qu’il cherche à dominer.

 

Et nous en France, aura-t-on bientôt une structure officielle franco-israélienne comme les Grecs ? Quoi qu'il en soit, les innombrables accords de coopération entre le CRIF (Conseil Représentatif d'Israël en France) et l’administration française (police, magistrature, éducation [dite encore nationale], etc.) remplissent déjà amplement cette fonction. Et c’est sans parler de la politique étrangère de la France, qui doit avoir comme priorité, selon Nicolas Sarkozy, la sécurité d’ « Israël » ! D'ailleurs, en cas de doute lors d’une décision à prendre, il suffit de joindre le président du CRIF et les ordres ne tardent jamais à arriver !

 

Pour notre part, nous aimerions qu’un évêque français, du rang du métropolite du Pirée, dénonce aussi clairement les responsabilités du sionisme. Cela nous changerait de la langue de bois et du robinet d’eau tiède qu’ils ont pour habitude d’utiliser quand il s’agit de l’entité sioniste. Mais patience ! Leurs frères évêques du Moyen-Orient, réunis récemment en synode autours du Pape, ont indiqué le chemin en condamnant « Israël »…

 

Yahia Gouasmi

Président du Parti Anti Sioniste

 

 

 

 

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La démission est une bonne chose en ce qu'elle fait passer les intérêts du pays avant ceux des partis politiques.

Nous connaissons tous la "légitimité" du TSL et les répercussions de l'incrimination du Hesbollah sur la vie politique libanaise (et par extension sur la société). Cela aurait pu mener à une guerre civile comme par le passé.

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