loliTTa dz 10 Posted January 23, 2011 Partager Posted January 23, 2011 Moi en 12 ans,je suis parti en Algèrie 2 fois. Après 8 ans et la semaine passée,après 4 ans. Je ne reconnais pas Alger.C'est un vrai souk. et si tu reviens d'ici 4 ans, ça sera piiiiire, pratiquement, il n'ya plus d'algerois, ils sont peu à habiter alger centre, moi j'habite alger centre, tout nos voisins, les anciens, ils ont quitté alger vers les hauteurs ou d'autres wilaya, ou l'algerie carrément,ils sont parti du bled, pour le laisser aux **** , donc, mon quartier est habité par des nouveaux débarqués ; et avec le complexe d'infériorité, je te raconte pas ce qu'on subbit. maintenant ceux sont eux qui connaissent , pas nous Citer Link to post Share on other sites
Guest MARCEL Posted January 23, 2011 Partager Posted January 23, 2011 et si tu reviens d'ici 4 ans, ça sera piiiiire, pratiquement, il n'ya plus d'algerois, ils sont peu à habiter alger centre, moi j'habite alger centre, tout nos voisins, les anciens, ils ont quitté alger vers les hauteurs ou d'autres wilaya, ou l'algerie carrément,ils sont parti du bled, pour le laisser aux **** , sonc, mon quartier est habité par des nouveaux débarqués . C'est le cas pour Ruisseau, la Casbah (Place de l'intendance) mes deux quartiers. Citer Link to post Share on other sites
Thanatos 10 Posted January 23, 2011 Partager Posted January 23, 2011 Buena Gente. Ils étaient nos voisins à Alger. Merci, idem pour les kabyles. Citer Link to post Share on other sites
loliTTa dz 10 Posted January 23, 2011 Partager Posted January 23, 2011 C'est le cas pour Ruisseau, la Casbah (Place de l'intendance) mes deux quartiers. eh oui, ça fait mal au coeur, vaux mieu ne pas voir la réalité, 3ine ma tchoufe, 9albe ma yawdja3 Citer Link to post Share on other sites
loliTTa dz 10 Posted January 23, 2011 Partager Posted January 23, 2011 Merci, idem pour les kabyles. oui, 90 % des algerois c'est des kabyles ou turques, Citer Link to post Share on other sites
loliTTa dz 10 Posted January 23, 2011 Partager Posted January 23, 2011 moi j'aime la diversité de mon pays, c'est ce qui fait son charme, les chawi, les kabyles, les tergui, les algerois, les tlemceniens, les constantinois etc........, ça aurait été mieu si chaque région garde ses VRAIS traditions, on aurait une belle identité, mais mélanger et essayer d'exterminer une tradition propre à une région, (c le cas ici à alger), non et non, Citer Link to post Share on other sites
Guest MARCEL Posted January 23, 2011 Partager Posted January 23, 2011 oui, 90 % des algerois c'est des kabyles ou turques, Exact. Les Turcs sont les:Terki,Saboundji,Skandrani,Benturki etc.... Citer Link to post Share on other sites
Thanatos 10 Posted January 23, 2011 Partager Posted January 23, 2011 oui, 90 % des algerois c'est des kabyles ou turques, Pas autant tout de même, mais c'est vrai qu'Alger a la particularité d'incorporer les différentes composantes du pays. Citer Link to post Share on other sites
loliTTa dz 10 Posted January 23, 2011 Partager Posted January 23, 2011 Exact. Les Turcs sont les:Terki,Saboundji,Skandrani,Benturki etc.... oui, bestandji, belkheznadji, damandji, agha, etc.... Citer Link to post Share on other sites
loliTTa dz 10 Posted January 23, 2011 Partager Posted January 23, 2011 Récit d'un mariage typiquement algérois | RÉAGIR | Partager : Les mariages algérois se caractérisent par leur raffinement et l'élégance des femmes portant le karakou. Une multitude de costumes brodés se rencontrent. Les sons de la musique algéroise résonnent et honorent la distribution des petits gâteaux et petits fours spécifiques d'Alger. La fête commence en fait en début de semaine ou dure deux jours d'affilés, les femmes de la famille s'attellent à préparer des gâteaux orientaux. Le premier jour La mariée se rend au bain avec les membres de sa famille. Les dames les plus âgées veillent à ce que la mariée suive les traditions anciennes. On allume les bougies, la limonade et les gâteaux sont servis et des voix anonymes entonnent des chants religieux, suscitant des youyous nourris. Deuxième jour Place à « El khouara », un après-midi convivial dans une salle des fêtes où la mère de la mariée invite ses proches et ses amies à découvrir les tenues de sa fille. Pendant que l'orchestre andalous bat son plein, la mariée défile dans plusieurs effets vestimentaires. De la robe de fiançailles au karakou, du kaftan au bedroune, du karakou à la robe blanche, la mariée se prêtera au jeu du mannequinat et de la séduction avec un réel plaisir. Des boissons fraîches, des salés, des gâteaux à base d'amandes, du thé et des dragées sont distribués à tour de bras à l'intention des convives. Des convives parfois exigeantes. Les flashs des appareils photo et le zoom des caméras vont bon train. Troisième jour Place à trois rendez-vous incontournables : « El taâliq », le repas du soir et « El Henna ». En effet, après que les grandes tantes eurent repassé et placé le trousseau de la future épouse dans les valises, ce dernier est acheminé chez elle. C'est sous des youyous stridents que ses affaires sortent du domicile paternel. Les tantes, les soeurs aînées et les belles-soeurs de la mariée partent en délégation arranger le trousseau de la mariée dans sa future maison. Les beaux-parents les accueillent avec de la limonade, du café et des gâteaux. Un peu plus tard, dans la soirée, un succulent repas « sfari » est concocté à l'intention des invités et des beaux-parents de la mariée. Ce repas, placé sous les auspices du père, comporte des mets, tels qu'une chorba, des boureks, de la « chetitha elhem », des salades, du « ham lahlou » et une corbeille de fruits. Après que les ventres se soient rassasiés, le rituel du henné est à l'honneur. Recouvrant la totalité de son visage avec un foulard en « fetoul » (avec des franches), la belle-mère entonnant des « tekdims » (des chants rituels) demande à sa future bru d'enlever la chaussure de son pied droit pour casser les oeufs, signe de la fécondité. Les deux paumes de la main sont badigeonnées de henné. Avant d'enfiler les gants, la belle-mère prend le soin de mettre deux louis d'or au creux de la main de sa belle-fille. Quatrième jour Le jour se lève avec un autre grand rendez-vous, celui du départ définitif de la mariée chez elle. Pendant que la mariée se rend chez la coiffeuse, la famille prépare les dernières retouches. Vers 14h, des klaxons et « El Zorna » se font entendre dans le quartier. Les riverains accaparent les balcons, pas question de rater un tel spectacle nuptial. Pendant que l'orchestre traditionnel se concentre sur ses instruments musicaux, six femmes vont chercher la mariée. Après d'interminables embrassades et larmes, le père sort sa fille sous sa coupe. Elle est escortée dans la voiture, garnie de fleurs, par des femmes mariées de sa famille proche. Le cortège est de la partie. Direction : une salle des fêtes de la capitale. A l'entrée de la salle, la belle-mère accueille sa belle-fille avec un verre de lait, des dattes et parfois une clé. Un rituel annonciateur de bonne entente, de procréation et de longévité dans le couple. Durant tout l'après-midi, la mariée portera encore une fois ses tenues. Au moment de la robe blanche, le marié rentre pour l'échange des alliances. Une voiture les attendra dehors pour une destination généralement inconnue. Cinquième jour Fin de la cérémonie par un alléchant déjeuner offert à l'intention des parents de la mariée. Après le retour des hommes de la prière du « dhor », les tables sont dressées avec faste et les appétits s'aiguisent. En milieu d'après-midi, du café chaud et des gâteaux dégoulinants de miel sont servis. Après d'interminables discussions, les invités se retirent, laissant derrière eux la mariée dans les bras de sa nouvelle famille. Là, encore, au moment de la séparation douloureuse, des larmes sont essuyées furtivement. La mariée, pour sa part, est inconsolable. Pendant sept jours, la mariée portera ses tenues traditionnelles. Elle sera exemptée de faire le ménage durant toute cette période. Après ce délai, elle pourra voler de ses propres ailes grâce à son nouveau statut de femme mariée. Citer Link to post Share on other sites
tewfikhouari 10 Posted January 23, 2011 Partager Posted January 23, 2011 Exact. Les Turcs sont les:Terki,Saboundji,Skandrani,Benturki etc.... Et tu oublis les turcs de Tlemcen, Kahouadji,triki,stambouli,Bendimred,Merad,Benkalfat,Boudghene,etc...ils sont de l ordre de 60 pour cent3. Citer Link to post Share on other sites
Guest MARCEL Posted January 23, 2011 Partager Posted January 23, 2011 Et tu oublis les turcs de Tlemcen, Kahouadji,triki,stambouli,Bendimred,Merad,Benkalfat,Boudghene,etc...ils sont de l ordre de 60 pour cent3. Non pas du tout Tewfik. Tlemcen,Blida,Médéa. On parlait d'Alger. Citer Link to post Share on other sites
loliTTa dz 10 Posted January 23, 2011 Partager Posted January 23, 2011 Non pas du tout Tewfik. Tlemcen,Blida,Médéa. On parlait d'Alger. oui, on parle de MEZGHENNA Citer Link to post Share on other sites
ghazal 11 Posted January 24, 2011 Partager Posted January 24, 2011 Ajoutez à Alger : les Khaznadji , Khodja , El kamal , Raiss , Kassab ,Fekroune , Kasassni ,Kateb , Belkhodja , Baba , etc...wlad elhouma yahassrah v_v Citer Link to post Share on other sites
Guest MARCEL Posted January 24, 2011 Partager Posted January 24, 2011 Ajoutez à Alger : les Khaznadji , Khodja , El kamal , Raiss , Kassab ,Fekroune , Kasassni ,Kateb , Belkhodja , Baba , etc...wlad elhouma yahassrah v_v Sahit ya Ghazal. Citer Link to post Share on other sites
ghazal 11 Posted January 24, 2011 Partager Posted January 24, 2011 de rien ! ça fait plaisir de remémorer les bonnes choses . Citer Link to post Share on other sites
Guest Ila Posted January 24, 2011 Partager Posted January 24, 2011 et si tu reviens d'ici 4 ans, ça sera piiiiire, pratiquement, il n'ya plus d'algerois, ils sont peu à habiter alger centre, moi j'habite alger centre, tout nos voisins, les anciens, ils ont quitté alger vers les hauteurs ou d'autres wilaya, ou l'algerie carrément,ils sont parti du bled, pour le laisser aux **** , donc, mon quartier est habité par des nouveaux débarqués ; et avec le complexe d'infériorité, je te raconte pas ce qu'on subbit. maintenant ceux sont eux qui connaissent , pas nous ... pour le laisser au Algériens ... pauvres Algerois ... :D Citer Link to post Share on other sites
ghazal 11 Posted January 24, 2011 Partager Posted January 24, 2011 ... pour le laisser au Algériens ... pauvres Algerois ... :D c'était gauche de parler de complexe d'infériorité de sa part mais c'est la nostalgie qui fait parler ..il fût un temps où il y'avait cette réticence envers les habitants des autres régions qui eux aussi nous voyaient d'un œil critique mais plus maintenant on a beaucoup évolué sur ce plan comme dit ma belle mère on es devenu internationales :mdr: Citer Link to post Share on other sites
Guest MARCEL Posted January 24, 2011 Partager Posted January 24, 2011 ... pour le laisser au Algériens ... pauvres Algerois ... :D Aux arrivistes avec leurs odeurs de Granjeros. Citer Link to post Share on other sites
Guest MARCEL Posted January 24, 2011 Partager Posted January 24, 2011 c'était gauche de parler de complexe d'infériorité de sa part mais c'est la nostalgie qui fait parler ..il fût un temps où il y'avait cette réticence envers les habitants des autres régions qui eux aussi nous voyaient d'un œil critique mais plus maintenant on a beaucoup évolué sur ce plan comme dit ma belle mère on es devenu internationales :mdr: Ya Hasrah Aala El Kaadate autour d'un bon thé ou un café aux fleurs d'orangers de Boufarik. Le tout àccompagné de Samsa,M'hencha,Tcharak,Knidlette etc...j'ai l'eau à la bouche. Citer Link to post Share on other sites
Abdell 10 Posted January 24, 2011 Partager Posted January 24, 2011 ya pas mieux que la simplicité. Citer Link to post Share on other sites
ghazal 11 Posted January 24, 2011 Partager Posted January 24, 2011 Ya Hasrah Aala El Kaadate autour d'un bon thé ou un café aux fleurs d'orangers de Boufarik. Le tout àccompagné de Samsa,M'hencha,Tcharak,Knidlette etc...j'ai l'eau à la bouche. Et n'oublies pas lahbeq wez'rayer el yassmine lahlah ! je me rappelle étant petite que chaque printemps nos parents achetaient des pots de h'baq qu'on mettait sur la meida du jardin à l'heure du café avec les petites fleurs (z'har ) dans le sucrier pour donner le parfum et le fameux petit m'rach d'eau d'oranger ( que je garde toujrs ) , on s'amusait aussi à faire des colliers de jasmin .faut pas le nier la vie avait du gout même nos jeux avaient un certain charme , pauvre enfance d'aujourd'hui ! et pauvre de lui celui qui ne connait pas le vieux Alger .. Citer Link to post Share on other sites
Guest MARCEL Posted January 24, 2011 Partager Posted January 24, 2011 Et n'oublies pas lahbeq wez'rayer el yassmine lahlah ! je me rappelle étant petite que chaque printemps nos parents achetaient des pots de h'baq qu'on mettait sur la meida du jardin à l'heure du café avec les petites fleurs (z'har ) dans le sucrier pour donner le parfum et le fameux petit m'rach d'eau d'oranger ( que je garde toujrs ) , on s'amusait aussi à faire des colliers de jasmin .faut pas le nier la vie avait du gout même nos jeux avaient un certain charme , pauvre enfance d'aujourd'hui ! et pauvre de lui celui qui ne connait pas le vieux Alger .. Et les jours ou les femmes (nos mêres) faisait des gateaux, on piquait des l'arrivée des plateaux pour les manger sur la térrase.Ai Ya Yaï..Douka El Ghorba Klatna. Citer Link to post Share on other sites
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