Jazairi 10 Posted January 22, 2011 Partager Posted January 22, 2011 La potentialité caractérisant le marché algérien, « incomparable avec d’autres pays », est l’atout majeur de ce marché et son principal attrait pour les investisseurs, a indiqué hier à l’APS à Londres, M. Robert Carr, directeur de la firme internationale britannique « Tudor ». Tandis que dans la plupart des pays de la région (Maroc, Tunisie, Egypte) « les marchés ont atteint des seuils de saturation et sont difficilement rentables », le marché algérien présente, quant à lui, les caractéristiques « d’un marché nouveau, parfois vierge dans certains secteurs, où les possibilités de progresser sont réellement énormes, pour ceux qui savent investir » , relève cet investisseur présent en Algérie depuis 2008,. « En effet, le marché algérien est prometteur avec cet atout remarquable qu’est la marge de progression », a dit Robert Carr, qui dirige une entreprise spécialisée dans les produits de photographie, représentée dans de nombreux pays en Afrique, en Europe et au Moyen-Orient. « J’ai visité de nombreux pays dans la perspective d’élargir mon réseau avant d’opter pour l’Algérie en 2008″, a affirmé en substance cet homme d’affaires de longue expérience qui a créé une joint-venture avec une entreprise nationale basée à Constantine. « L’Algérie à un très bon potentiel, c’est aussi un marché développé , les marges de progression que représente le marché algérien ont motivé mon choix », a dit ce professionnel soulignant que certains marchés de la région peuvent paraître « minuscules » comparés à l’Algérie, avec ses 35 millions d’habitants, son niveau de vie intéressant et sa croissance économique soutenue. « Les affaires marchent tellement bien en Algérie dans le secteur de la photographie que la compagnie envisage déjà d’étoffer son réseau », a fait savoir M. Carr. « C’est la parfaite illustration d’un cas de win-win (gagnant-gagnant), l’entreprise augmente ses revenus grâce à la demande croissante enregistrée sur le marché algérien et d’un autre côté, l’entreprise algérienne partenaire, ouvre de larges possibilités d’emplois et de revenus avec l’extension du réseau », a-t-il dit. A propos de la sécurité en Algérie, cet investisseur a affirmé que « ce n’est pas plus dangereux que dans d’autres pays, le niveau de risque est normal. Regardez ce qui se passe autour de nous dans d’autres pays », a-t-il soutenu. Parlant de la législation, M. Carr a mis en exergue la souplesse des mesures prises par le gouvernement algérien qui, sur le terrain, se traduisent par une simplicité absolue de procédure. « Il n’y a pas eu de contraintes majeures dans la procédure d’installation qui s’est déroulée normalement », a souligné ce businessman. A son avis, les Britanniques, qui avaient pris un certain retard sur le marché algérien, ont aujourdhui changé leur perception de l’Algérie. A ce propos, il a rappelé la forte délégation d’homme d’affaires britanniques qui sera du 23 au 26 janvier à Alger. A la question de savoir si la langue ne fait pas obstacle aux affaires en Algérie, il a répondu par la négative soulignant que les chinois, ne parlent ni l’arabe ni le français pourtant ils se débrouillent plutôt bien. « Au contraire, les Britanniques ont l’avantage de se situer à deux heures et demie de vol d’Alger », a ajouté ce professionnel. M. Carr a fait savoir avoir lui-même participé à une mission commerciale organisée par la Middle East Association (MEA) en janvier 2010, mission qualifiée de « globalement positive ». « Ces missions sont importantes dans la mesure où elles permettent aux nouvelles entreprises de mettre un pied en Algérie et de découvrir ce marché ainsi que les « possibilités de partenariat », a-t-il conclu. APS Citer Link to post Share on other sites
Jazairi 10 Posted January 22, 2011 Author Partager Posted January 22, 2011 35 hommes d’affaires britanniques et des représentants de grands groupes industriels à Alger Les échanges économiques entre l’Algérie et la Grande-Bretagne se sont considérablement renforcés aux cours de ces dernières années, conformément à la volonté exprimée par les deux pays de renforcer leurs liens dans tous les domaines. L’élan donné au volet économique par la coopération tous azimuts entre Alger et Londres, est perceptible à bien des égards, notamment dans le domaine énergétique où le partenariat est »très solide », estiment des experts britanniques. Les visites de personnalités entre les deux pays ont été plus nombreuses également au cours de ces trois dernières années, et à un plus haut niveau tandis que le volume des échanges commerciaux a doublé durant cette période. L’année 2010 a été marquée notamment par la visite en Algérie du ministre britannique pour le Moyen Orient et l’Afrique du Nord, Alistair Burt qui a souligné le désir d’accroître les échanges économiques avec l’Algérie. APS Citer Link to post Share on other sites
Jazairi 10 Posted January 23, 2011 Author Partager Posted January 23, 2011 Rolls Royce, Massey Fergusson et Asta Zenica à l’affut du marché algérien L’année 2011 semble présenter de belles perspectives en termes de partenariat économique entre l’Algérie et le royaume de Grande- Bretagne avec notamment la visite annoncée à compter d’aujourd’hui de la plus importante mission commerciale britannique en Algérie. Pas moins de 35 hommes d’affaires britanniques et des représentants de grands groupes industriels seront du 23 au 26 janvier à Alger, certaines pour la première fois pour étudier le marché algérien, rencontrer des représentants d’entreprises nationales de tous les secteurs et discuter de possibilités de partenariat. Parmi les firmes qui effectueront le déplacement d’Alger, il y a notamment Rolls Royce (générateurs d’énergie), Massey Fergusson (machines et outillage agricoles), ou Asta Zenica (produits pharmaceutiques). « Un large éventail de secteurs seront représentés à Alger. L’objectif étant de développer encore davantage le volet commercial », a affirmé à Londres, le directeur de la Middle East association M. Hollis. Les hommes d’affaires britanniques ont compris l’importance du marché algérien et veulent aller au-delà de l’acte de vendre leurs produits, estimant qu’il faut désormais s’impliquer davantage dans les projets algériens liés au développement, a déclaré ce responsable à la veille du déplacement de cette mission vers l’Algérie. En Grande-Bretagne, les hommes d’affaires et les responsables britanniques reconnaissent dans leur majorité que le marché algérien offre des possibilités d’affaires dans divers secteurs d’activités. Les échanges économiques entre l’Algérie et la Grande Bretagne se sont considérablement renforcés aux cours de ces dernières années, conformément à la volonté exprimée par les deux pays de renforcer leurs liens dans tous les domaines. L’élan donné au volet économique par la coopération tous azimuts entre Alger et Londres, est perceptible à bien des égards, notamment dans le domaine énergétique où le partenariat est « très solide », estiment des experts britanniques. Les visites de personnalités entre les deux pays ont été plus nombreuses également au cours de ces trois dernières années, et à un plus haut niveau, tandis que le volume des échanges commerciaux a doublé durant cette période. L’année 2010 a été marquée notamment par la visite en Algérie du ministre britannique pour le Moyen Orient et l’Afrique du Nord, M. Alistair Burt qui a souligné le désir d’accroître les échanges économiques avec l’Algérie. « Je consacre ma première visite dans la région à l’Algérie, ce n’est pas fortuit », avait-il déclaré. En octobre dernier, Susan Haird, directrice générale adjointe de l’agence gouvernementale britannique de développement du commerce extérieur et de l’investissement, (UKTI) a indiqué de retour d’Algérie que « le marché algérien est absolument encourageant, il y a de nombreuses possibilités pour les compagnies britanniques dans des secteurs clés de l’économie ». La Grande-Bretagne est aujourd’hui un important investisseur en Algérie avec un montant de 1,4 milliard de livres sterling. Le partenariat entre les deux pays a encore un potentiel d’évolution qualitatif, et il s’agira de mettre en place les mécanismes, à l’occasion des prochaines rencontres bilatérales, estiment-on dans les milieux d’affaires britanniques. Les échanges commerciaux entre l’Algérie et la Grande- Bretagne avaient atteint en 2009, selon les chiffres des Douanes algériennes, près de 2 milliards de dollars, dont 1,18 milliard de dollars d’exportations algériennes et 720 millions de dollars d’importations. En 2009, la Grande Bretagne a été classée 10eme client de l’Algérie et son 14ème fournisseur. Le Financier Citer Link to post Share on other sites
Jazairi 10 Posted January 26, 2011 Author Partager Posted January 26, 2011 Trois accords entre des entreprises algériennes et britannique conclus Trois accords de partenariats ont été conclus entre des entreprises algériennes et britanniques à l’occasion de la visite que mène depuis dimanche une délégation d’hommes d’affaires de Grande-Bretagne à Alger, annonce hier le chef de cette délégation, M. Charles Hollis. «Trois partenariats ont été déjà conclus (entre des entreprises algériennes et britanniques) alors que notre visite en Algérie n’est pas encore terminée», s’est félicité le directeur général de la «Middle East Association», M. Charles Hollis lors d’une conférence de presse qu’il a animée conjointement avec l’ambassadeur de la Grande-Bretagne en Algérie, M. Martyn Roper. Ces partenariats ambitionnent de lancer des projets conjoints dans les secteurs de l’éducation et la formation, de l’engineering et celui de l’industrie pharmaceutique, a-t-il précisé. Selon M. Hollis, l’ «engouement manifesté par les opérateurs britanniques pour ce déplacement en Algérie témoigne de l’intérêt qu’ils portent pour le marché algérien». La délégation du Royaume-Uni qui séjourne depuis dimanche en Algérie est composée de représentants de grands groupes industriels leaders dans leurs secteurs, notamment Rolls-Royce, Cameron, General Dynamics, IHG, Multitone ou SeerPharm. Ces groupes sont présents dans les secteurs de l’énergie, l’industrie, la formation professionnelle pour les entreprises, le matériel électronique ou la santé. horizons-dz.com Copyright HORIZONS Citer Link to post Share on other sites
Jazairi 10 Posted February 3, 2011 Author Partager Posted February 3, 2011 «Un franc succès» pour la Middle East Association La mission économique britannique fait le bilan de sa visite en Algérie: «Un franc succès» pour la Middle East Association La mission économique britannique effectuée en Algérie, fin janvier dernier, a été «un franc succès», selon M. Tom Cook, le responsable des projets de la Middle East Association (MEA). Ce responsable a énuméré plusieurs projets de partenariat conclus ou en cours de concrétisation entre les entreprises britanniques et leurs homologues algériennes. Il s’agit d’un accord déjà signé dans le domaine du management et des négociations qui sont à un stade «avancé» pour la création d’autres joint-ventures. «La MEA dresse un bilan positif de ce déplacement en Algérie marqué par de nombreux aspects positifs, notamment la mise en contact directe entre opérateurs algériens et britanniques», a affirmé M. Cook. Les discussions ont permis la signature d’un partenariat entre la société britannique «London Corporate Training» (LCT) et l’entreprise nationale privée Beladjina, dans le domaine de la formation en management. Des négociations «très avancées» sont également en cours actuellement entre l’entreprise britannique Astra Zeneca (produits pharmaceutiques) et un partenaire algérien pour la production de médicaments en Algérie. Astra Zeneca est présente en Algérie depuis 2007 et emploie 170 cadres nationaux. Par ailleurs, les représentants de Rolls Royce et de Massey Fergusson ont affirmé avoir eu des contacts fructueux avec des partenaires nationaux sans vouloir, pour l’heure, divulguer les noms de ces partenaires. Ils se sont limités à déclarer que «les négociations avancent de manière sérieuse pour des projets en Algérie». M. Cook a parlé aussi d’un projet lié au transfert de l’eau pour l’agriculture et d’un second projet entre International Hospital Group (IHG) et le ministère de la Santé ainsi que des possibilités de partenariat dans le domaine de l’énergie. Sur ce dernier point, le représentant de la MEA a estimé qu’«il y a eu un sens formidable de satisfaction notamment à l’égard des possibilités de partenariat offertes aussi bien par Sonatrach que par Sonelgaz», tout en ajoutant que des «réunions d’importance» ont été tenues entre les hauts responsables de ces deux compagnies avec les représentants de la firme John Crane. La délégation britannique a eu des entretiens également avec les ministères de l’Agriculture, de l’Industrie et des PTIC. «Le message clé» retenu par l’organisateur à travers cette mission est que «les hommes d’affaires britanniques ont voulu faire savoir à leurs partenaires algériens qu’ils recherchent une relation à long terme avec l’Algérie, pour un transfert de technologie et la production locale, tant le marché est riche et prometteur». Pour rappel, cette mission, composée de 35 hommes d’affaires, a effectué une visite en Algérie du 23 au 26 janvier 2011. © Copyright La Tribune d'Algerie Citer Link to post Share on other sites
Guest Biobazard Posted February 4, 2011 Partager Posted February 4, 2011 La mission économique britannique fait le bilan de sa visite en Algérie: «Un franc succès» pour la Middle East Association La mission économique britannique effectuée en Algérie, fin janvier dernier, a été «un franc succès», selon M. Tom Cook, le responsable des projets de la Middle East Association (MEA). Ce responsable a énuméré plusieurs projets de partenariat conclus ou en cours de concrétisation entre les entreprises britanniques et leurs homologues algériennes. Il s’agit d’un accord déjà signé dans le domaine du management et des négociations qui sont à un stade «avancé» pour la création d’autres joint-ventures. «La MEA dresse un bilan positif de ce déplacement en Algérie marqué par de nombreux aspects positifs, notamment la mise en contact directe entre opérateurs algériens et britanniques», a affirmé M. Cook. Les discussions ont permis la signature d’un partenariat entre la société britannique «London Corporate Training» (LCT) et l’entreprise nationale privée Beladjina, dans le domaine de la formation en management. Des négociations «très avancées» sont également en cours actuellement entre l’entreprise britannique Astra Zeneca (produits pharmaceutiques) et un partenaire algérien pour la production de médicaments en Algérie. Astra Zeneca est présente en Algérie depuis 2007 et emploie 170 cadres nationaux. Par ailleurs, les représentants de Rolls Royce et de Massey Fergusson ont affirmé avoir eu des contacts fructueux avec des partenaires nationaux sans vouloir, pour l’heure, divulguer les noms de ces partenaires. Ils se sont limités à déclarer que «les négociations avancent de manière sérieuse pour des projets en Algérie». M. Cook a parlé aussi d’un projet lié au transfert de l’eau pour l’agriculture et d’un second projet entre International Hospital Group (IHG) et le ministère de la Santé ainsi que des possibilités de partenariat dans le domaine de l’énergie. Sur ce dernier point, le représentant de la MEA a estimé qu’«il y a eu un sens formidable de satisfaction notamment à l’égard des possibilités de partenariat offertes aussi bien par Sonatrach que par Sonelgaz», tout en ajoutant que des «réunions d’importance» ont été tenues entre les hauts responsables de ces deux compagnies avec les représentants de la firme John Crane. La délégation britannique a eu des entretiens également avec les ministères de l’Agriculture, de l’Industrie et des PTIC. «Le message clé» retenu par l’organisateur à travers cette mission est que «les hommes d’affaires britanniques ont voulu faire savoir à leurs partenaires algériens qu’ils recherchent une relation à long terme avec l’Algérie, pour un transfert de technologie et la production locale, tant le marché est riche et prometteur». Pour rappel, cette mission, composée de 35 hommes d’affaires, a effectué une visite en Algérie du 23 au 26 janvier 2011. © Copyright La Tribune d'Algerie J'en peux plus là :D ... J'aime bien la flatterie mais là ... :mdr: Aaaaaaah ! Que ne ferait pas un continent avec des marchés saturés et une concurrence très farouches des indiens et des chinois ... Citer Link to post Share on other sites
Recommended Posts
Join the conversation
You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.