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Bouteflika et la cour des comptes


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Le montant de ces restes à justifier (58 868 679.85 DA) est l’aboutissement des longues investigations de l’institution tant au niveau de la trésorerie principale d’Alger qu’a celui du ministère des affaires étrangères. Et tient compte notamment du rapatriement par M. Abdelaziz Bouteflika au Trésor public. En date du 5 janvier 1979, de la contre valeur en dinars de la somme de 12 212 875.81 DA. En prévenance d la société des banques suisses à Genève.

M. Abdelaziz Bouteflika, qui s’était ingéré dans le recouvrement des recettes revenant à l’État, en violation des principes fondamentaux de la comptabilité publique, sans avoir la qualité de comptable et sans agir sous le contrôle et pour le compte d’un comptable, a été déclaré comptable de fait.

Ces décisions avaient été prises en contradiction flagrante des dispositions des décrets n° 50-1413 du 13 novembre 1950 , du décret n° 65-259 du 14 octobre 1965, du décret n° 67-37 du 8 février 1967 et du décret n° 74-14 du 30 janvier 1974 qui faisait obligation de restitution au Trésor public de toute recette revenant à l’État. Le gel de cette importante trésorerie, qui a notamment profité à un établissement bancaire étranger, n’a donc obéi à aucun texte législatif ou réglementaire et sa gestion échappait totalement au contrôle du comptable supérieur du Trésor.

Afin de tenter de justifier cette démarche qui lui permettait de gérer à sa guise des fonds publics et s’ingérer irrégulièrement dans le recouvrement de recettes revenantes à l’État, M Abdelaziz Bouteflika a invoqué à la cour la construction d’un nouveau siège du ministère des affaires étrangères dont la dépense serait couverte par cette trésorerie amassée à l’étranger.

Ce motif fallacieux ne peut être pris en considération sachant qu’une opération d’investissement obéit à des règles bien précises qu’aucun ordonnateur ne peut ignorer et que l’éventuelle construction d’un nouveau siège du ministère des affaires étrangères doit être financée par des crédits normalement inscrits au budget de l’État.

Ce faisant, M. Abdelaziz Bouteflika a pratiqué des fins frauduleuses une opération non-conforme aux dispositions, légales et réglementaires, commettant de ce fait des infractions prévues et punies par l’ordonnance n° 66-10 du 21 juin 1966 et les articles 424 et 425 du Code Pénal. Avec l’arrêt rendu à l’encontre de ce justiciable le 6 janvier 1983 dans l’affaire du contrôle de la gestion de la régie occulte de devises au niveau du ministre des affaires étrangères, et confirmé par celui prononcé par la cour des comptes siégeant toutes chambres réunies le 14 mai dernier pour statuer sur les pourvois en cassation le concernant. L’arrêt d’hier met un point final aux affaires incriminant M. Abdelaziz Bouteflika et clôt désormais au niveau de l’instruction les dossiers y afférents.

[source El Moudjahid du 9 août 1983 ]

 

ARRET DE LA COUR DES COMPTES A L’ENCONTRE DE M. ABDELAZIZ BOUTEFLIKA · Carton rouge politique

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Relevons l'anecdote que Chadli fera vite en besogne puisque deux mois après la mort de Boumediène, il épinglera le No 2 du régime. Par la même occasion, il expulsera la mère de Boueflika d'une villa de l'Etat à El Bihar et par suite, Bouteflika va ruminer sa revanche.

 

Parvenu au pouvoir au mois d'avril 1999, l'actuel président algérien expulsera la mère de Chadli de ladite demeure!:04:

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Pour la suite de l'histoire, il faut savoir que suite cette condamnation, Bouteflika sera exclu du FNL. Mais en 1987, il obtiendra raison devant la Cour suprême d'Alger en invoquant que la garde des reliquats d'ambassades (l'argent pas dépensé) avait été convenu avec Boumediène afin de financer les mouvements indépendatistes.

 

Sa victoire à la Cour suprême d'Alger est déjà pour le moins bizarre puisque cet argent détourné fut déposé en son propre nom auprès d'une banque suisse, ce qui paraît pour le moins amateur comme procédé.

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6 milliards de l'epoque, c'est au moins 100 milliards d'aujourd'hui.

 

Oui pas moins de 100 000 000 000, ou mazal Chiyatine Itebtbou.

 

 

 

 

le Conseil des ministres vient d'adopter une ordonnance permettant de la réactiver et même d’élargir les attributions de la fameuse Cour des comptes (El Watan, 26 août 2010). Pourtant, depuis 1999, Bouteflika n’a jamais voulu entendre parler de cette institution constitutionnelle de contrôle, qui lui rappelle de très mauvais souvenirs. Il l’a mise en quarantaine, ignorée, abandonnée et, pour tout dire, sabotée. Il a refusé, entre autres, de publier le rapport annuel de l’institution au Journal officiel, alors que c'est une obligation législative. Il a bloqué le statut de ses magistrats. Le syndicat des magistrats de la Cour des comptes avait, on le rappelle, dénoncé à plusieurs reprises la situation catastrophique de la Cour des comptes, muselée et moribonde. « N'eût été la consécration constitutionnelle de cet organe de contrôle, on peut penser que Bouteflika aurait dissout la Cour des comptes, réglant à son tour des comptes », écrit Djilali Hadjadj, président de l’Association algérienne contre la corruption, dans le livre « Notre ami Bouteflika ».

 

Bouteflika a des raisons de tenir rancune à la Cour des comptes. C’est cette institution qui le jugea en 1983 « gestion occulte de devises au niveau du ministère des Affaires étrangères »,selon la formule d’inculpation. L’actuel Chef de l’Etat, qui était ministre des Affaires étrangères, était accusé d’avoir placé sur des comptes particuliers en Suisse, entre 1965 et 1978, et à l’insu du Trésor algérien, les reliquats budgétaires de certaines ambassades algériennes à l’étranger.

 

Hoggar - Bouteflika et la Cour des comptes, Le Matin

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"M. Abdelaziz Bouteflika, qui s’était ingéré dans le recouvrement des recettes revenant à l’État, en violation des principes fondamentaux de la comptabilité publique, sans avoir la qualité de comptable et sans agir sous le contrôle et pour le compte d’un comptable, a été déclaré comptable de fait." Yakhi tmenyek yakhi.

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6 milliards de l'epoque, c'est au moins 100 milliards d'aujourd'hui.

 

Oui 100 000 000 000,

 

ceci explique celà:

 

 

Pour comprendre l’animosité du président Abdelaziz Bouteflika envers la Cour des comptes qui vient d'être réactivée malgré lui (lire article ci-dessous), il faut remonter à janvier 1979. Boumediene venait de mourir et la guerre de succession faisait rage. Parmi les prétendants, Abdelaziz Bouteflika. Il fait valoir son statut de « dauphin ». La Sécurité militaire de Kasdi Merbah intervient et écartera d’un revers de la main cette candidature. Kasdi Merbah, « une de ses bêtes noires » comme le confirme le général Nezzar, exhibe les dossiers accumulés par la police politique sur Bouteflika depuis 1963 et notamment un dossier dont personne n’avait jusqu’alors entendu parler : les détournements par Bouteflika des reliquats budgétaires des ambassades algériennes, versés dans une banque Suisse et dont Merbah a tous les détails.

 

 

 

L’accusation était lourde et passible de condamnation à mort. Bouteflika le savait. Boumediene n’était plus là pour le protéger. Il chercha d’abord à « rembourser » les sommes détournées. Le 5 janvier 1979, soit une semaine à peine après le décès de Boumediène, Bouteflika remet au Trésor public un chèque libellé en francs suisses d’une contre-valeur de 12 212 875,81 DA tiré de la Société des banques suisses à Genève. Il ne rapatriera pas d’autres sommes, ce qui irritera fortement les autorités qui s’estimaient fondées à considérer ces légèretés comme une marque de mépris à leur endroit. Le chèque remis par Bouteflika était, en effet, loin de correspondre aux chiffres que détenaient les services de renseignements de Kasdi Merbah : Bouteflika aurait « oublié » de s’expliquer sur la disparition de 58 868 679, 85 DA. Il négligera, de plus, d’accompagner ces remboursemensts de justificatifs qui les auraient validés aux yeux du Trésor public, comme le lui demandait Chadli Bendjedid.

 

Hoggar - Bouteflika et la Cour des comptes, Le Matin

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le Conseil des ministres vient d'adopter une ordonnance permettant de réactiver et même d’élargir les attributions de la fameuse Cour des comptes (El Watan, 26 août 2010). Pourtant, depuis 1999, Bouteflika n’a jamais voulu entendre parler de cette institution constitutionnelle de contrôle, qui lui rappelle de très mauvais souvenirs. Il l’a mise en quarantaine, ignorée, abandonnée et, pour tout dire, sabotée. Il a refusé, entre autres, de publier le rapport annuel de l’institution au Journal officiel, alors que c'est une obligation législative. Il a bloqué le statut de ses magistrats. Le syndicat des magistrats de la Cour des comptes avait, on le rappelle, dénoncé à plusieurs reprises la situation catastrophique de la Cour des comptes, muselée et moribonde. « N'eût été la consécration constitutionnelle de cet organe de contrôle, on peut penser que Bouteflika aurait dissout la Cour des comptes, réglant à son tour des comptes », écrit Djilali Hadjadj, président de l’Association algérienne contre la corruption, dans le livre « Notre ami Bouteflika ».

 

 

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Le montant de ces restes à justifier (58 868 679.85 DA) est l’aboutissement des longues investigations de l’institution tant au niveau de la trésorerie principale d’Alger qu’a celui du ministère des affaires étrangères. Et tient compte notamment du rapatriement par M. Abdelaziz Bouteflika au Trésor public. En date du 5 janvier 1979, de la contre valeur en dinars de la somme de 12 212 875.81 DA. En prévenance d la société des banques suisses à Genève.

M. Abdelaziz Bouteflika, qui s’était ingéré dans le recouvrement des recettes revenant à l’État, en violation des principes fondamentaux de la comptabilité publique, sans avoir la qualité de comptable et sans agir sous le contrôle et pour le compte d’un comptable, a été déclaré comptable de fait.

Ces décisions avaient été prises en contradiction flagrante des dispositions des décrets n° 50-1413 du 13 novembre 1950 , du décret n° 65-259 du 14 octobre 1965, du décret n° 67-37 du 8 février 1967 et du décret n° 74-14 du 30 janvier 1974 qui faisait obligation de restitution au Trésor public de toute recette revenant à l’État. Le gel de cette importante trésorerie, qui a notamment profité à un établissement bancaire étranger, n’a donc obéi à aucun texte législatif ou réglementaire et sa gestion échappait totalement au contrôle du comptable supérieur du Trésor.

Afin de tenter de justifier cette démarche qui lui permettait de gérer à sa guise des fonds publics et s’ingérer irrégulièrement dans le recouvrement de recettes revenantes à l’État, M Abdelaziz Bouteflika a invoqué à la cour la construction d’un nouveau siège du ministère des affaires étrangères dont la dépense serait couverte par cette trésorerie amassée à l’étranger.

Ce motif fallacieux ne peut être pris en considération sachant qu’une opération d’investissement obéit à des règles bien précises qu’aucun ordonnateur ne peut ignorer et que l’éventuelle construction d’un nouveau siège du ministère des affaires étrangères doit être financée par des crédits normalement inscrits au budget de l’État.

Ce faisant, M. Abdelaziz Bouteflika a pratiqué des fins frauduleuses une opération non-conforme aux dispositions, légales et réglementaires, commettant de ce fait des infractions prévues et punies par l’ordonnance n° 66-10 du 21 juin 1966 et les articles 424 et 425 du Code Pénal. Avec l’arrêt rendu à l’encontre de ce justiciable le 6 janvier 1983 dans l’affaire du contrôle de la gestion de la régie occulte de devises au niveau du ministre des affaires étrangères, et confirmé par celui prononcé par la cour des comptes siégeant toutes chambres réunies le 14 mai dernier pour statuer sur les pourvois en cassation le concernant. L’arrêt d’hier met un point final aux affaires incriminant M. Abdelaziz Bouteflika et clôt désormais au niveau de l’instruction les dossiers y afférents.

[source El Moudjahid du 9 août 1983 ]

 

ARRET DE LA COUR DES COMPTES A L’ENCONTRE DE M. ABDELAZIZ BOUTEFLIKA · Carton rouge politique

 

ce n'est que le minimum du minimum mon amis regarde pendant la période du socialisme et tu verra la vérité ci le personnel du journal el moudjahid veulent bien publié

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Relevons l'anecdote que Chadli fera vite en besogne puisque deux mois après la mort de Boumediène, il épinglera le No 2 du régime. Par la même occasion, il expulsera la mère de Boueflika d'une villa de l'Etat à El Bihar et par suite, Bouteflika va ruminer sa revanche.

 

Parvenu au pouvoir au mois d'avril 1999, l'actuel président algérien expulsera la mère de Chadli de ladite demeure!:04:

Comme quoi

.... c'est un systeme de

.... mesquins

.... par les mesquins

.... et pour les mesquins

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Pour la suite de l'histoire, il faut savoir que suite cette condamnation, Bouteflika sera exclu du FNL. Mais en 1987, il obtiendra raison devant la Cour suprême d'Alger en invoquant que la garde des reliquats d'ambassades (l'argent pas dépensé) avait été convenu avec Boumediène afin de financer les mouvements indépendatistes.

 

Sa victoire à la Cour suprême d'Alger est déjà pour le moins bizarre puisque cet argent détourné fut déposé en son propre nom auprès d'une banque suisse, ce qui paraît pour le moins amateur comme procédé.

 

Sauf que Boumediene n'était pas là (en 1987) pour confirmer ou infirmer........ mouvements indépendantistes mon oeil.

 

L'ingratitude de BoutAli envers son sauveur n'est pas moins répugnante:

 

(...)Non seulement Bouteflika échappa à la prison mais il obtint de Chadli l’assurance qu’il pouvait rentrer au pays sans être inquiété à son arrivée à Alger. « Il a envoyé plusieurs messagers à Chadli en 1984 pour en arracher la promesse qu’il pouvait rejoindre l’Algérie sans risque, soutient le général Benyellès. Chadli m’a dit, et je peux en témoigner, de transmettre à Bouteflika qu’il pouvait rentrer sans problème. “Je lui en donne ma parole”, a-t-il ajouté. Chadli ne voulait pas que Bouteflika ait des ennuis. » (4)

 

« Sans l’intervention magnanime de Chadli, Bouteflika aurait fait plusieurs années de prison pour détournement de fonds publics », confirme Ahmed Taleb Ibrahimi, qui était dans l’entourage de Chadli en qualité de ministre conseiller à la Présidence puis de ministre des Affaires étrangères à partir de 1984. (2) Chadli Bendjedid, qui n’aime pas évoquer cet épisode, se contente d’une formule miséricordieuse : « Ce n’était pas dans ma nature d’enfoncer d’anciens collaborateurs en mauvaise passe. J’ai fait ce qu’il fallait faire envers Bouteflika. » (3)

 

Hoggar - Bouteflika et la Cour des comptes, Le Matin

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Guest D. ESSERHANE
"M. Abdelaziz Bouteflika, qui s’était ingéré dans le recouvrement des recettes revenant à l’État, en violation des principes fondamentaux de la comptabilité publique, sans avoir la qualité de comptable et sans agir sous le contrôle et pour le compte d’un comptable, a été déclaré comptable de fait." Yakhi tmenyek yakhi.

 

wach bik thanatos? Le président te fait jaser à ce point:confused:

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Guest D. ESSERHANE

personnellement, je suis disposé à le pardonner, pourvu qu'il cède son koursi dans le calme...

 

je sais bien que je ne fais aucun poids ici bas, mais là haut,si...

et là étant, ce serait un peu moche de le déplumer à ma guise:confused:

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ce n'est que le minimum du minimum mon amis regarde pendant la période du socialisme et tu verra la vérité ci le personnel du journal el moudjahid veulent bien publié

 

Le jour où on ouvrira la trappe qui couvre le charnier où sont entérrés les secrets des proches collaborateurs de Boumedienne, notament ceux qui composaient le Conseil de la révolution, donc ce jour là les algérois se jetteront dans l'Oued El Harach pour fuire l'odeur nauséabonde de ce cloaque glauque.

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Guest D. ESSERHANE
Je savais qu'on était gouverné par des incapables criminels, mais à ce point...

 

nul n'est infaillible thana, nul n'est à l'abri du péché même fusse-tu-il un président de la république...

 

il serait bon pour lui de demander pardon à la société. Elle gardera de lui l'image d'un homme courageux et puis, peut-être, son geste servira d'exemple en terme de repentir...:confused:

 

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nul n'est infaillible thana, nul n'est à l'abri du péché même fusse-tu-il un président de la république...

 

il serait bon pour lui de demander pardon à la société. Elle gardera de lui l'image d'un homme courageux et puis, peut-être, son geste servira d'exemple en terme de repentir...:confused:

 

 

Je reste sceptique...Mais tout est possible. S'il demande pardon, évidemment que ce sera un grand geste, mais vu le concerné, j'ai un peu du mal à imaginer ça, même dans mes rêves les plus fous, c'est dire.

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Guest D. ESSERHANE
Je reste sceptique...Mais tout est possible. S'il demande pardon, évidemment que ce sera un grand geste, mais vu le concerné, j'ai un peu du mal à imaginer ça, même dans mes rêves les plus fous, c'est dire.

 

souhaitons lui une bonne santé, beaucoup de courage et brin de sagesse

peut-être, qu'au dernier moment, il se montrera à la hauteur de l'homme qu'il se targue d'être et.... à la limite de nos aspirations aussi:confused:

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souhaitons lui une bonne santé, beaucoup de courage et brin de sagesse

 

 

peut-être, qu'au dernier moment, il se montrera à la hauteur de l'homme qu'il se targue d'être et.... à la limite de nos aspirations aussi:confused:

 

Yakhi t......

 

alors là, toi et moi on n'a pas les mêmes aspirations, mais alors du tout.

 

J'aurais aimé qu'il crève là tout de suite,

ce qu'il se targue d'être n'est rien d'autre qu'une raclure, une imposture

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Le montant "détourné" était 500 000 euros et Boutef avait dit que Boumdiène était au courant. Il s'agit d'un coup-fourré de Chadli lors de la "déboumèdienisation". A noter qu'à cette époque travaillait au sein d'El Moudjahid un journaliste au nom de Mohamed Benchicou placé par....Bouteflika.

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