Guest yasmi Posted January 29, 2011 Partager Posted January 29, 2011 Ce que je retiens decette manifestationc'est qu'elle a été acifiste et que les gens se sont dispersés dans le calme après. Ce sot avant tout desalgériens qui ont manifesté et non des kabyles, il ne faut surout pas entrer dans le jeu du pouvoir, qui va faire croire au reste de la population qu'il ne s'agit que d'indépndantistes. J'espère qu'on aura la même chose au niveau national, avec des manifs pacifistes. Les gens nous prendront au sérieux, et c'est là que le reste delapopulation va suivre. S'il n'y a que des casseurs, çà ne servira à rien. Citer Link to post Share on other sites
Guest misn'thmourth Posted January 29, 2011 Partager Posted January 29, 2011 Le 5 Octobre 1988 n'avait rien de berbériste :crazy: :crazy: le bourriquet et ses inepties .... fi khatrek ya si bourriquet ... Il y’a un avant et un après le 5 octobre, dont nous n’avons pas mesuré encore toute les conséquences. Octobre 88 n’est pas un accident de parcours, mais le résultat d’une gestion, la Conséquence d’une politique, dont les signes avant coureurs se sont multipliés dés le début de la décennie 1980, fertile en événements qui ont secoué le pays en profondeur. La politique intransigeante du pouvoir a porté les fruits de la violence, avec le 20 avril 1980, l’arrestation des dirigeants islamiques, le maquis de Bouyali, le procès des dirigeants de la LADDH et des enfants de martyrs de la Révolution, l’agitation dans les mosquées, les stades, les universités, le prix très bas du baril de pétrole, le chômage très élevé, la dette extérieure très importante, l’affaire Mecili. Les violences policières sont entrées dans l’ère du quotidien. L’impunité est la règle. L’humiliation une fois vécue et acceptée, prépare à subir d’autres, à obéir et à se taire en toutes circonstances, à ne plus pouvoir vivre et penser qu’en aliéné. Le peuple algérien dévoré par son Etat a le sentiment que la politique nationale, la vie politique, telles qu’elles sont gérées, se font au dessus de lui, sans lui et contre lui. Ceux qui monopolisent le pouvoir, trouvent qu’il n’est pas bon de le partager, ni de l’éclairer, n’écoutent personne, croient tout savoir, n’avoir rien à apprendre, mais tout à enseigner. Ils ont besoin pour durer de bafouer les règles les plus élémentaires de la démocratie, d’exercer une répression qui a tendance non pas à régler les problèmes, mais à éliminer ceux qui les posent, à supprimer les contradictions en éliminent les contradicteurs. Le divorce est entre le peuple dépouillé de ses droits et le FLN parti unique, qui est supposé le représenter et parler en son nom, pour l’empêcher de parler. L’année sociale 1988 s’annonce morose et même pleine de périls. Une réaction populaire profonde est au bout du chemin. Citer Link to post Share on other sites
Guest misn'thmourth Posted January 29, 2011 Partager Posted January 29, 2011 I- Les événements du 5 octobre 1988. Je m’incline une nouvelle foi avec émotion indicible, devant la mémoire des victimes d’octobre 1988, et représente 20 ans après mes condoléances les plus attristées à tous les membres de leurs familles, avec l’expression de mon profond respect. Les événements d’octobre 88 découlent d’une lutte de clans exaspérée au sein du pouvoir. C’est à l’intérieur de ce dernier que se déroule à huit clos, secret, rude, le plus dur des combats, entre deux tendances divergentes, contradictoire, l’appareil du FLN pour qui la vie politique est conçue avec un seul objectif, pérenniser le système politique en place depuis l’indépendance du pays, et la présidence de la république avec les partisans de l’ouverture contrôlée, du libéralisme. Le FLN dont l’UGTA est une de ses organisations de masse, a incité discrètement les 18000 ouvriers de la zone industrielle de faire grève, qui s’est étendue à tout le pays, bien que sachant que c’est l’armée qui est au pouvoir, et qu’il n’est que l’instrument de sa domination. En Algérie, qui détient l’armée, tien le pouvoir. Pour camoufler les rivalités et les divergences stratégiques au sommet de l’Etat, le pouvoir a déclaré le parti d’avant-garde socialiste(P.A.G.S) qui avait infiltré de nombreux syndicats, responsable de la tragédie, et a procédé à de nombreuses arrestations de ses cadres et militants. Cette déclaration est de toute évidence contraire à la réalité des faits. La rue disponible qui ne supporte pas le vide, est occupée par les jeunes qui ont détruit de nombreux symboles du pouvoir. Ce dernier sous-estimant la profondeur du mécontentement et du désespoir des jeunes, en particulier l’exaspération de ceux sans débouchés, en rupture d’école et de travail, flottant entre petits boulots aléatoires et les combines inavouables, qui se posent avec angoisse la question relative à leur avenir, et celui de la société, a vu leur irruption brutale dans la rue. La coupe est pleine, c’est le ras le bol, car les jeunes ne peuvent aller plus loin dans la démission et la soumission. L’explosion populaire du 5 octobre 1988, s’inscrit dans la mémoire collective du peuple algérien, comme une rupture du pays légal avec le pays profond, un cri de colère et de désespoir d’une jeunesse stressée, flouée, soufrant du double syndrome d’exclusion et de frustration, longtemps drapée dans le silence, en accusations muettes, qui refuse un pouvoir centralisé, bureaucratique, dictatorial. Elle clame par sa descente dans la rue, sa volonté de mettre fin aux entraves à ses droits et à sa liberté, par la mise en œuvre de la démocratie et des droits de l’Homme. L’état de siège décrété par le président Chadli Bendjedid le 6 octobre 1988 a placé sous le commandement militaire, les forces de sécurité et toutes les autorités civiles et administratives. Chaque jour apporte une sinistre moisson d’outrages à la dignité humaine qui est plus chère que la vie. Quand l’homme est humilié, il oublie qu’il habité par la vie et il la risque. La ligne rouge celle du sang a été franchie par les militaires, les gendarmes et les policiers, qui ont tiré avec des armes de guerre, sur des enfants, des adolescents, des jeunes et des moins jeunes, qui n’avaient comme défense que leurs mains nues. Pour le pouvoir la répression doit être sans pitié afin d’être efficace, menée dans le plus grand secret, en dehors des fondements essentiels de l’Etat de droit, des lois et des droits de l’Homme. Les violations des droits de l’Homme ont été à grande échelle, systématiques, massives. Le pouvoir a avoué 500 morts, le double est à retenir. La torture est de notoriété publique, généralisée. Défendre les droits de l’Homme, c’est en premier lieu dénoncer la torture, dont l’interdiction doit être immédiate, globale, efficace. De nombreux témoignages des victimes sont bouleversants, difficiles à supporter. Une manifestation islamique dirigée par Ali Benhadj, dispersée au niveau du siège de la DGSN à Bab el Oued a fait 10 victimes. Au nom de la sécurité, les libertés ont été altérées et aliénées. Il faut naviguer au milieu des vents violents, et faire face à la tempête, condamner les atrocités commises et les horreurs perpétrées. La LADDH s’est fixée un devoir, une obligation et une règle, parler et écrire pour dénoncer les arrestations arbitraires, la torture, les camps de travaux forcés dans le sud du pays, diffusés par la télévision. Marcherait-on à ce point sur la tête en Algérie ? J’ai été convoqué par le général Mohamed Betchine qui venait d’être désigné à la tête de la sécurité militaire par le président en remplacement du général Lekhal Ayat. Trois raisons sont supérieures à la raison d’Etat : celle du droit contre l’injustice, celle de la liberté contre la tyrannie, celle de l’humanité contre la barbarie. Citer Link to post Share on other sites
Guest misn'thmourth Posted January 29, 2011 Partager Posted January 29, 2011 Les intellectuels dans leur grande majorité ont renoncé à leur rôle de critiques et d’analystes rigoureux, pour servir de simples relais et d’instrument du pouvoir.qui sait flatter sait aussi calomnier. Les médias tous publics, la télévision, et la radio et la presse en particulier, ont diffusé non pas l’information mais la propagande, règle totalitaire, qui a pour but de manipuler l’opinion publique considérée comme étant passive et perméable aux principes idéologiques et doctrinaux du pouvoir, qui justifient la dictature. La justice ne contrôle pas la police politique, qui a le pas sur elle. Il faut compter avec la sécurité militaire, bien rodée, d’une redoutable efficacité. Pour qui la fin justifie les moyens ; elle détient l’essentiel des leviers de la justice, pèse d’un poids démesuré sur son fonctionnement et sur ses décisions. Les tribunaux et Cours de justice, ne sont pas des lieux ou la justice est rendue, mais des instances politiques où le pouvoir juge ses adversaires. II- L’après octobre 1988 Quel regard peut-on parler sur l’après octobre 1988 ? Je ne propose pas une solution mais un élément de réflexion. Il faut avancer en regardant devant vers l’avenir et laisser au temps le soin de découvrir toute la vérité sur octobre 1988. La meilleure façon de commémorer octobre 88, c’est d’attirer l’attention sur les tâches qui ne sont pas accomplies par manque de direction ; pour certains le 5octobre a été une vague, mais une fois que la marée s’est retirée, il n’est resté que des pierres. L’action menée était en effet dispersée, n’a pas été plus soucieuse de rigueur et de cohérence, mais a ouvert malgré ses faiblesses un espace politique qui a profité au peuple. La politique menée est ouverte sur le mouvement du temps, dispose d’une peine liberté de conception, d’expression, et d’initiative, a obtenu des résultats concrets et peut en espérer d’autres ; Lorsque des jeunes manifestent pour retrouver le chemin de la dignité et de la liberté, luttent pour sortir le pays de l’arbitraire, de l’injustice et de la corruption, c’est que rien n’est perdu et que l’espoir est permis ; tout pouvoir a besoin d’être contesté ; il ne peut être que contesté de l’extérieur et non transformé de l’intérieur. Le pouvoir a compris que la réforme de la société n’est possible que par la démocratisation, d’où : la Constitution du 23 février 1989, la ratification des pactes internationaux des droits de l’Homme de 1966, reconnaissance d’associations à caractère politique (A.C.P) et d’associations autonomes, la liberté de la presse. Allons dire un jour que le pire est derrière nous, et que le meilleur est devant ? Le peuple algérien ne peut vivre dans la dignité, la justice et la liberté, car il n’y’a pas de justice sans liberté, ni de liberté sans justice, que s’il a acquis ses droits humains, qui sont l’un des rares lieux privilégiés de rencontre des Algériens de tous bords, l’ultime valeur à défendre. La devise dans la voie du devoir nous rappelle constamment, que les droits de l’Homme reviennent de loin en Algérie, mais qu’ils ont encore un long chemin à parcourir, et qu’il faut être plus sensible, plus motivé, plus déterminé à poursuivre la route à faire, qu’au chemin parcouru. Alger le 30 septembre 2008 Maître Ali Yahia Abdennour Citer Link to post Share on other sites
Guest misn'thmourth Posted January 29, 2011 Partager Posted January 29, 2011 à cette epoque saadi etais apprécié par toute la kabylie ... [YOUTUBE]4co_7El4nlA[/YOUTUBE] Citer Link to post Share on other sites
MissK 10 Posted January 29, 2011 Partager Posted January 29, 2011 Pourquoi la marche est interdite a Alger et autorisée à Béjaia . ne serai ce pas encore une manipulation du pouvoir ! pour montrer que c'est juste les kabyle qui s'agitent comme toujours et qui veulent monter a ALGER ! alors il nous raméne sur notre terrain pour dire en quelque sorte : ici CHTAH AALA ROHAK, elle n'était pas autorisée il me semble mais je trompe peut etre pour alger, ya eu beaucoup de blessés Citer Link to post Share on other sites
lalgeroise 10 Posted January 29, 2011 Partager Posted January 29, 2011 vgayeth :smoke: za3ma boutef est au courant pour cette manif, je suis sur quil s'en fout complètement Citer Link to post Share on other sites
djallalnamri 10 Posted January 29, 2011 Partager Posted January 29, 2011 Pourquoi la marche est interdite a Alger et autorisée à Béjaia . ne serai ce pas encore une manipulation du pouvoir ! pour montrer que c'est juste les kabyle qui s'agitent comme toujours et qui veulent monter a ALGER ! alors il nous raméne sur notre terrain pour dire en quelque sorte : ici CHTAH AALA ROHAK, on peut aussi supposer que le pouvoir a peur non pas du peuple ... mais d'autre chose ... et qu'il est obligé aujourd'hui de marcher sur la corde raide ... de même qu'il n'interdira plus les marches ... mais souhaitera que celles-ci se déroulent toutes comme celle de Béjaia ... le pouvoir a peur non pas du peuple mais de quelque chose de plus vicieux et de plus dangereux que lui ... il faut faire attention dans les jours à venir ... le peuple d'une manière ou d'une autre risque d'être manipulé ... à travers un comportement équivoque de l'armée ... car l'attitude de cette dernière semble tout à fait anormale aussi bien en Tunisie qu'en Égypte et peut l'être aussi en Algérie : si elle n'intervient pas c'est qu'elle a lâché le pouvoir dont elle est la superstructure ... si elle intervient d'une manière ou d'une autre c'est que le pouvoir ne changera pas même si le président part ... si elle intervient pour que le président reste ... c'est un avertissement au peuple ... le pouvoir a peur non pas du peuple mais de l'armée et d'autre chose qui se trouve au delà de l'armée ... et si ce même pouvoir pense qu'en faisant cas du peuple ... ce dernier le protègera de l'armée ... il faut faire preuve de prudence ... : les manifestations publiques pourront ne pas être réprimées mais pourront aussi servir à provoquer des troubles ... des émeutes ... les manifestants pourront se trouver sous les tirs de snipers ... la responsabilité est lourde ... et pas uniquement celle du pouvoir ... Citer Link to post Share on other sites
medhy 10 Posted January 29, 2011 Partager Posted January 29, 2011 Désolé, sans vouloir faire dans le régionalisme, y en a marre que c'est toujours les même qui bougent, y en a marre que c'est toujours la même région qui se révolte ! ta raison cé tjr la méme région ki se révolte , cé tjr la kabylié !!! wesh wekela khlass NIF dans les autres régions ??? wela le courage li khelass :04: ??? Citer Link to post Share on other sites
Guest misn'thmourth Posted January 29, 2011 Partager Posted January 29, 2011 on peut aussi supposer que le pouvoir a peur non pas du peuple le pouvoir n'a pas peur du peuple car il s'est que celui ci est divisé les manifestants pourront se trouver sous les tirs de snipers ... la responsabilité est lourde ... et pas uniquement celle du pouvoir ... les manifestants se sont retrouver sous les tirs des snipers à maintes reprises qu'est t'il advenue de la responsabilité des commanditaires .... Citer Link to post Share on other sites
Guest misn'thmourth Posted January 29, 2011 Partager Posted January 29, 2011 ta raison cé tjr la méme région ki se révolte , cé tjr la kabylié !!! wesh wekela khlass NIF dans les autres régions ??? wela le courage li khelass :04: ??? tout comme pour l'indépendance les mêmes qui se sont rebellés et les mêmes qui faisaient khokhoch ... Citer Link to post Share on other sites
Thanatos 10 Posted January 29, 2011 Partager Posted January 29, 2011 tout comme pour l'indépendance les mêmes qui se sont rebellés et les mêmes qui faisaient khokhoch ... Une grande partie de ma famille est morte du fait de sa participation à la résistance. Et nous ne sommes pas Kabyles, il faut arrêter de cracher sur les tombes de nos morts. Citer Link to post Share on other sites
Zombretto 1 127 Posted January 29, 2011 Partager Posted January 29, 2011 tout comme pour l'indépendance les mêmes qui se sont rebellés et les mêmes qui faisaient khokhoch ... Et pourquoi .... vous avez voulu .... les independancer .... alors qu'ils etaient tranquilles .... et ne vous ont rien demande Citer Link to post Share on other sites
djallalnamri 10 Posted January 29, 2011 Partager Posted January 29, 2011 Une grande partie de ma famille est morte du fait de sa participation à la résistance. Et nous ne sommes pas Kabyles, il faut arrêter de cracher sur les tombes de nos morts. les carrés des martyrs fleurissent un peu partout en Algérie et pas uniquement dans une région bien précise de ce pays Citer Link to post Share on other sites
Thanatos 10 Posted January 29, 2011 Partager Posted January 29, 2011 les carrés des martyrs fleurissent un peu partout en Algérie et pas uniquement dans une région bien précise de ce pays Oui c'est une chose qu'il ne faut pas oublier. L'union a fait notre force. Citer Link to post Share on other sites
Guest mackiavelik Posted January 29, 2011 Partager Posted January 29, 2011 il y a deux, 3 semaines, les révoltes avaient commencé ailleurs ou je me trompe. a part si Blida, Bousmail et Alger sont kabyles... la il faudrait médiatiser ca pour que les autres régions suivent Citer Link to post Share on other sites
Guest misn'thmourth Posted January 29, 2011 Partager Posted January 29, 2011 Une grande partie de ma famille est morte du fait de sa participation à la résistance. Et nous ne sommes pas Kabyles, il faut arrêter de cracher sur les tombes de nos morts. je ne "crache" pas sur les tombe de nos morts mais il faut relire l'histoire ... notamment les débuts de de la guerre d'indépendance Citer Link to post Share on other sites
b10dz 10 Posted January 29, 2011 Partager Posted January 29, 2011 Et c'est reparti pour un sujet de plus kabylie vs le reste de l'algérie :dots: Voilà pourquoi nous resterons toujours des couillons manipulés par l'état Voilà pourquoi nous ne sommes bons à rien ... :closedeyes: Citer Link to post Share on other sites
Guest misn'thmourth Posted January 29, 2011 Partager Posted January 29, 2011 Et c'est reparti pour un sujet de plus kabylie vs le reste de l'algérie :dots: Voilà pourquoi nous resterons toujours des couillons manipulés par l'état Voilà pourquoi nous ne sommes bons à rien ... :closedeyes: il ne faut contredire personne ici à ce que je lis .... la vérité peut parfois déplaire malheureusement .... Citer Link to post Share on other sites
Licorne 10 Posted January 29, 2011 Partager Posted January 29, 2011 Cela pourrait s'expliquer par un encadrement politique plus important en Kabylie que dans d'autres régions (mis à part Alger). D'accord avec toi.Le fait aussi que depuis 1980 l'éveil des kabyles a été brutal et massif,puis 2001 avec la déclaration de Boutef:"Tamazight ne sera jamais langue officielle" et qui se ravisa en 2002 ne fut pas un cadeau mais malheureusement le résultat d'affrontements sanglants et meurtriers de jeunes kabyles qui ont affronté une armée:126 morts,et quelques 1000 autres entre blessés et handicapés à vie.Des morts que les familles pleurent toujours parce que justice n'a pas été rendue. Tout cela, fait se resserrer les rangs,les revendications et les objectifs étant communs. Par ailleurs il n'y a pas que les kabyles qui souffrent de la crise,la faim,le chomage,la corruption,les passes-droit....ces maux se posent peut-être avec plus d'acuité dans a Constantine,à Djelfa,El oued,Médéa,Tiaret....Mais la crise que pose la Kabylie est le rappel permanent au manquement à l'engagement de 1954 de Abbane,à la promesse d'une "Algérie algérienne". La pauvreté et la faim de la Kabylie est aussi culturelle,identitaire,linguistique,historique. Citer Link to post Share on other sites
b10dz 10 Posted January 29, 2011 Partager Posted January 29, 2011 il ne faut contredire personne ici à ce que je lis .... la vérité peut parfois déplaire malheureusement .... Surtout une vérité manipulée, parfois fabriquée de toute pièce, et en générale, observée d'un point de vue bien subjectif ... :closedeyes: Citer Link to post Share on other sites
Guest misn'thmourth Posted January 29, 2011 Partager Posted January 29, 2011 Surtout une vérité manipulée, parfois fabriquée de toute pièce, et en générale, observée d'un point de vue bien subjectif ... :closedeyes: la vérité manipulé comme tu tant si bien le dire ce ne sont surement pas les kabyles qui l'ont faites .... Citer Link to post Share on other sites
b10dz 10 Posted January 29, 2011 Partager Posted January 29, 2011 la vérité manipulé comme tu tant si bien le dire ce ne sont surement pas les kabyles qui l'ont faites .... mais je n'ai jamais dis ni ne dirais rien de tel rassures toi ce que je me tue à dire dans ce forum, dans tous les sujets kabyles vs le reste de l'univers, c'est qu'on est tous dans la même merde, et que se diviser en luttes internes (souvent puériles par ailleurs) ne fera que l'affaire de nos tortionnaires communs. Je sais bien que je ce que je dis n'a rien de nouveau, ni d'exceptionnel. Mais quand je vois que la débilité a tant de voix, j'ose espérer servir d'écho à la voix de la raison ... :closedeyes: Citer Link to post Share on other sites
Thanatos 10 Posted January 29, 2011 Partager Posted January 29, 2011 D'accord avec toi.Le fait aussi que depuis 1980 l'éveil des kabyles a été brutal et massif,puis 2001 avec la déclaration de Boutef:"Tamazight ne sera jamais langue officielle" et qui se ravisa en 2002 ne fut pas un cadeau mais malheureusement le résultat d'affrontements sanglants et meurtriers de jeunes kabyles qui ont affronté une armée:126 morts,et quelques 1000 autres entre blessés et handicapés à vie.Des morts que les familles pleurent toujours parce que justice n'a pas été rendue. Tout cela, fait se resserrer les rangs,les revendications et les objectifs étant communs. Par ailleurs il n'y a pas que les kabyles qui souffrent de la crise,la faim,le chomage,la corruption,les passes-droit....ces maux se posent peut-être avec plus d'acuité dans a Constantine,à Djelfa,El oued,Médéa,Tiaret....Mais la crise que pose la Kabylie est le rappel permanent au manquement à l'engagement de 1954 de Abbane,à la promesse d'une "Algérie algérienne". La pauvreté et la faim de la Kabylie est aussi culturelle,identitaire,linguistique,historique. Merci, c'est aussi à ça que je pensais. J'espère que si une révolution se fera, nous n'oublierons pas cette "algérianité" qui finalement nous unis. Citer Link to post Share on other sites
djallalnamri 10 Posted January 29, 2011 Partager Posted January 29, 2011 mais je n'ai jamais dit ni ne dirais rien de tel rassures toi ce que je me tue à dire dans ce forum, dans tous les sujets kabyles vs le reste de l'univers, c'est qu'on est tous dans la même merde, et que se diviser en luttes internes (souvent puériles par ailleurs) ne fera que l'affaire de nos tortionnaires communs. Je sais bien que je ne dis rien de nouveau, ni d'exceptionnel, mais quand je vois que la débilité a tant de voix, j'ose espérer servir d'écho à la voix de la raison ... d'un point de vue économique ... politique ... historique et culturel ... et en tant qu'arabe je soutiens à fond l'autonomie voire l'indépendance de ceux qui passent leur temps à tout mettre sur le dos des arabes ... de toute manière les arabes ou leurs descendants dans cette région d’Afrique ... doivent se reconstruire et ils ne peuvent le faire qu'à partir de l'Islam parce que c'est la seule explication à leur présence ici ... cela leur permettra d'être plus à l'aise entre eux dans leur religion dans leur langue ... etc,etc, ... la paix totale! il y'a le risque de porter atteinte à l'intégrité territoriale ... mais cela on ne pourra pas le mettre sur le dos des arabes ... Citer Link to post Share on other sites
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