Guest Nimos Posted January 29, 2011 Partager Posted January 29, 2011 Faudrait il s´attendre á une quelconque réaction de la part du régime Algérien Cette semaine si le régime de Moubarek Chute? Vos hypothése.... Pas de débat Racistes et régionaliste (Il y a assez de topics ouverts alors reprennez les lá bas) Les événements en Egypte accentuent la pression sur le pouvoir algérien - Politique - Tout sur l'Algérie - page 1 Au lendemain du discours de Hosni Moubarak annonçant le limogeage du gouvernement et la poursuite des réformes, la rue égyptienne ne décolère pas. Samedi matin, les affrontements ont repris dans plusieurs localités du pays et la situation était très tendue au Caire où des milliers de manifestants se sont rassemblés pour exiger le départ du pouvoir en place. Comme en Tunisie, il y a 15 jours, ces événements montrent que la rue ne veut plus se contenter de mesures de façade. Un remaniement ministériel même profond et la promesse de réformes ne suffisent plus pour calmer des foules en colère. Pour le président Bouteflika, qui réfléchit actuellement à un remaniement ministériel, il s’agit d’une alerte sérieuse. Dans la rue, les Algériens réagissent d’ailleurs à ces rumeurs de remaniement sans enthousiasme, avec une interrogation qui revient régulièrement : « un remaniement, pour quoi faire ? » Dans le cas d’un remaniement, le chef de l’Etat devra annoncer aux Algériens autre chose qu’un simple remplacement d’Ahmed Ouyahia par un autre responsable issu du sérail et le limogeage de quelques ministres sans importance. Mais le président Bouteflika a-t-il les moyens d’effectuer un tel remaniement ? C'est peu probable. Depuis quelques années, le chef de l’Etat, sûr de sa puissance, s’est progressivement isolé. Il a coupé tout contact avec l’opposition et les personnalités de la société civile. Méfiant, il n’accepte de travailler qu’avec les mêmes personnes. Son entourage immédiat, frileux, limite également ses contacts. Sans compter l’existence de ministres quasi-intouchables malgré des résultats catastrophiques dans leurs secteurs. Résultat, le président dispose de très peu d’options pour proposer une alternative crédible au gouvernement actuel. Et même en cas de remaniement profond, le gouvernement aura-t-il les moyens de s’attaquer aux vrais problèmes du pays ? On l’a vu : l’annonce d’une volonté de lutter contre l’informel a mis le feu aux poudres. En fait, en l’absence de légitimité, le pouvoir est condamné à multiplier les concessions à la rue. Aujourd’hui, la persistance du face à face actuel au sommet de l’Etat risque de déboucher rapidement sur une reprise du pouvoir par la rue. Les mesures annoncées sur les prix du sucre, précédées d’une gestion efficace des émeutes par la police, ont permis de calmer momentanément la rue. Mais la colère demeure. Une reprise des affrontements accentuerait la pression internationale sur le pouvoir. Vendredi, les réactions d’Hilary Clinton puis de Barack Obama étaient collées sur les revendications de la rue égyptienne. Et si Washington a lâché son principal allié dans le monde arabe après une journée de violences, il n’hésitera sans doute pas à faire de même avec Alger, un pays moins stratégique pour les Etats-Unis. Citer Link to post Share on other sites
Guest ABD Posted January 29, 2011 Partager Posted January 29, 2011 A mon avis Boulteflika a le savoir et la capacité de gérer. Même s'il n'a pas totalement le pouvoir face aux généraux, je pense qu'il détient le monopole de "l'information" et de "l'influence" en Algérie. Je pense qu'il saura comment faire pour éteindre le feu ou même l'empêcher de s'allumer. C'est l'idée que j'ai. Sinon il faudra que "la révolution" soit très bien organisée sinon il n'y a aucune chance. Citer Link to post Share on other sites
Guest cerisecerise Posted January 29, 2011 Partager Posted January 29, 2011 A mon avis Boulteflika a le savoir et la capacité de gérer. Même s'il n'a pas totalement le pouvoir face aux généraux, je pense qu'il détient le monopole de "l'information" et de "l'influence" en Algérie. Je pense qu'il saura comment faire pour éteindre le feu ou même l'empêcher de s'allumer. C'est l'idée que j'ai. Sinon il faudra que "la révolution" soit très bien organisée sinon il n'y a aucune chance. je pense que tu vas trop loin, j'ai pas l'impression, que les algériens aient une quelconque envie de changements payables comptants....je peux me tromper....on verra bien.... Citer Link to post Share on other sites
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