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Une bouteille à la mer


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" Je n'ai pas choisi d'être aussi faible face à toi ... Je te déteste mon amour !"

 

Voila qui est dit :D A votre tour, lancez vos bouteilles !

 

si on lance la bouteille, c qu'on ne connait pas sur qu'elles mains va tomber :rolleyes: c bien ça normalement non?

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si on lance la bouteille, c qu'on ne connait pas sur qu'elles mains va tomber :rolleyes: c bien ça normalement non?

 

A peu près oui, ca donne l'illusion de s’être libéré des mots qu'on arrive pas à prononcer en temps normal. On ne les dit pas à la bonne personne certes, mais ca peut soulager :D

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A peu près oui, ca donne l'illusion de s’être libéré des mots qu'on arrive pas à prononcer en temps normal. On ne les dit pas à la bonne personne certes, mais ca peut soulager =D

 

ahh ouais je vois ce que tu veux dire :D bon je ferai de même :D je vais me jeter entièrement dans l'eau pas seulement la bouteille :mdr: voila :D '' je n'ai pas choisi de t'aimer, c'était mon cœur qui a prit le dessus pour la première fois de toutes ma vie, mais ce qui est sur, c'est que si un jour le temps retourne en arrière, j'ordonne mon cœur de faire ce qu'il a à faire, je ne regrette rien''

 

:D juste une petite remarque ; pour ce qui se trouve au dessus, c'était pas pour toi Coquelicots :confused: MDRRRR

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" Je n'ai pas choisi d'être aussi faible face à toi ... Je te déteste mon amour !"

 

Voila qui est dit :D A votre tour, lancez vos bouteilles !

 

"Pourquoi suis-je un être humain?"

:confused:

 

Bon j'ai cassé l'ambiance désolé je sors.

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:mdr:

 

si tu veux etre autre chose je ss la j'ai le baton magique :D

avec le baton on peut déformer tout :D

 

:mdr: Je deviendrais autre chose: "être humain déformé"!!

Bon je suis finalement content d'être un "être humain" tout court!

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Guest Gitane du sud

J'aimerai partager ce poème avec vous et ça sera ma bouteille :)

 

consolez-moi; je viens de perdre la reine des belles.

Elle repose sous terre.

Un feu ardent brûle en moi !

Ma souffrance est extrême.

Mon coeur s'en est allé, avec la svelte Hiziya.

Hélas ! Plus jamais je ne jouirai de sa compagnie.

Finis les doux moments,

Où, comme au printemps, les fleurs des prairies, nous étions heureux.

Que la vie avait pour nous de douceurs !

Telle une ombre, la jeune gazelle a disparu, en dépit de moi !

Lorsqu'elle marchait, droit devant elle,

Ma bien-aimée était admirée par tous.

Telle le bey du camp qui s'avance, un cimeterre à la ceinture.

Entouré de soldats et suivi de cavaliers

Venus à sa rencontre, lui remettre chacun un présent;

Armé d'un sabre d'Inde,

Il lui suffit de faire un geste de la main,

Pour briser une barre de fer, ou fendre un roc.

Il a tué un grand nombre d'hommes, ennemis du bien.

Orgueilleux et superbe, il s'avance fièrement.

C'est assez glorifier le bey !

Dis-nous, chanteur, dans une nouvelle chanson

Les louanges de la fille d'Ahmad ben al-Bey. Amis, consolez-moi

Je viens de perdre la reine des belles.

Elle repose sous terre.

Un feu ardent brûle en moi !

Ma souffrance est extrême.

Mon coeur s'en est allé, avec la svelte Hiziya.

Lorsqu'elle laisse flotter sa chevelure,

Un suave parfum s'en dégage.

Ses sourcils forment deux arcs bien dessinés,

Telle la lettre noun, tracée dans un message.

Ton oeil ravit les coeurs, telle une balle de fusil européen,

Qui aux mains des guerriers,

Atteint sûrement le but.Ta joue est la rose épanouie du matin,

Et le brillant oeillet;

Le sang qui l'arrose lui donne l'éclat du soleil.

Tes dents ont la blancheur de l'ivoire,

Et, dans ta bouche étincelante,

La salive a la douceur du lait des brebis

Ou du miel qu'apprécient tant les gourmets.

Admire ce cou plus blanc que le coeur du palmier.

C'est un étui de cristal, entouré de colliers d'or.

Ta poitrine est de marbre;

Il s'y trouve deux jumeaux, que mes mains ont caressés,

Semblables aux belles pommes qu'on offre aux malades.

Ton corps a la blancheur et le poli du papier,

Du coton ou de la fine toile de lin,

Ou encore de la neige, tombant par une nuit obscure.

Hiziya a la taille fine; sa ceinture, penche de côté,

Et ses tortis entremêlés, retombent sur son flanc repli par repli.

Contemple ses chevilles; chacune est jalouse de la beauté de l'autre;

lorsqu'elles se querellent

Elles font entendre le cliquetis de leurs khelkhals,

Surmontant les brodequins Quand nous campions à Bazer,

Je me rendais auprès d'elle le matin;

Alors nous goûtions les joies de ce monde.

Je saluais la gazelle; j'observais les présages;

Heureux comme un homme fortuné,

Possédant les trésors de l'univers.

La richesse n'avait pour moi aucune valeur,

Comparée au tintement des khelkhals de Hiziya,

Quand je franchissais les collines pour aller la rencontrer.

Lorsqu'au milieu des prairies, elle balançait son corps avec grâce,

Et faisait résonner son khelkhal,Ma raison s'égarait;

Un trouble profond envahissait mon coeur et mes sens.

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