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La nuit se montrait doucement, à l’ouest, l’éclat flamboyant du soleil commença à s’éteindre petit à petit, laissant place à la lune pour se vanter, majestueusement dorée, elle prodiguait sa richesse à la fenêtre de byouna qui sombrait dans un sommeil profond. Mais sa quiétude physique cachait bien un rêve chavirant.

 

Il s’appelait Victime, un prénom qui lui est étranger, pas plus que lui, ni vu ni connu, ni même entendu parler, une œuvre d’un subconscient innovateur, sur qui elle pouvait parier, et imposer toutes ses cartes maitresses.

 

Elle l‘attachait sur un pilier, lui faisant à la fois subir les plus atroces tortures, et les plus tendres câlineries, Elle exprimait par ses sens tous ses caprices inaccomplis, ses fantasmes inassouvis dessinant sur son corps par ses angles et ses lèvres toute la complexité passionnelle d’un orgasme passionné,

 

Pendant que lui Fidel a son inertie ne cessait de la lutiner des yeux la domptant imperceptiblement par son regard fauve, la désarmant, la possédant, calmant par cela ses ardeurs sauvages, petit à petit La tigresse semble s’apprivoiser !

 

Elle frôla ses lèvres par un baiser fougueux descendant avec sa langue pas loin de ses dents jusqu’à son cou remontant jusqu’à ses oreilles, collant sa poitrine sur son torse, pendant qu’il la serrât vers lui, leur corps synchronisaient, leur haleine se mélangeaient,… des baisers, des morsures… des caresses des blessures … une harmonie entre la douleur et la douceur, qui donnât naissance à ces deux inconnus aux corps nus un plaisir émoustillant.

 

Mais la sérénité de la nuit l’arracha délicatement de ses mains. Elle ouvrit les yeux brusquement sans croire à ce qu’il lui arrive, la tète abandonné sur l’oreiller, les cuisses légèrement écarté le corps perlé de sueur et de désirs étourdissant frissonnait sous le claire de lune.

Le gout délicieux de ses lèvres persista même après son réveil.

 

Elle se dirigea vers la salle de bain pour se rafraichir, fuyant ces idées troublantes, voulant se purifier de ce rêve charnel, qu'il l'emporta, si loin, qu'elle s'efforce de revenir. l’eau tiède ruisselait sur sa peau douce comme la rosée sur les pétales de roses, décuplant sa sensualité, les yeux fermés son corps se noyait dans la buée, soudain une force la bouscula contre le mur, la tenant des poignets toute en pesant sa charge , elle sentit son cœur battre sur son dos, la même haleine capiteuse que celle du rêve, elle ouvrit les yeux et ne trouva personne, c’était une hallucination, un fantasme dont le quel elle a sombré involontairement , elle sorti de la douche la gorge sèche , appétissante et pleine d’appétit elle contemplait son corps nu devant le miroir de la sale de bain qui lui aussi suait devant un spectacle pareil .

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La nuit se montrait doucement, à l’ouest, l’éclat flamboyant du soleil commença à s’éteindre petit à petit, laissant place à la lune pour se vanter, majestueusement dorée, elle prodiguait sa richesse à la fenêtre de byouna qui sombrait dans un sommeil profond. Mais sa quiétude physique cachait bien un rêve chavirant.

 

Il s’appelait Victime, un prénom qui lui est étranger, pas plus que lui, ni vu ni connu, ni même entendu parler, une œuvre d’un subconscient innovateur, sur qui elle pouvait parier, et imposer toutes ses cartes maitresses.

 

Elle l‘attachait sur un pilier, lui faisant à la fois subir les plus atroces tortures, et les plus tendres câlineries, Elle exprimait par ses sens tous ses caprices inaccomplis, ses fantasmes inassouvis dessinant sur son corps par ses angles et ses lèvres toute la complexité passionnelle d’un orgasme passionné,

 

Pendant que lui Fidel a son inertie ne cessait de la lutiner des yeux la domptant imperceptiblement par son regard fauve, la désarmant, la possédant, calmant par cela ses ardeurs sauvages, petit à petit La tigresse semble s’apprivoiser !

 

Elle frôla ses lèvres par un baiser fougueux descendant avec sa langue pas loin de ses dents jusqu’à son cou remontant jusqu’à ses oreilles, collant sa poitrine sur son torse, pendant qu’il la serrât vers lui, leur corps synchronisaient, leur haleine se mélangeaient,… des baisers, des morsures… des caresses des blessures … une harmonie entre la douleur et la douceur, qui donnât naissance à ces deux inconnus aux corps nus un plaisir émoustillant.

 

Mais la sérénité de la nuit l’arracha délicatement de ses mains. Elle ouvrit les yeux brusquement sans croire à ce qu’il lui arrive, la tète abandonné sur l’oreiller, les cuisses légèrement écarté le corps perlé de sueur et de désirs étourdissant frissonnait sous le claire de lune.

Le gout délicieux de ses lèvres persista même après son réveil.

 

Elle se dirigea vers la salle de bain pour se rafraichir, fuyant ces idées troublantes, voulant se purifier de ce rêve charnel, qu'il l'emporta, si loin, qu'elle s'efforce de revenir. l’eau tiède ruisselait sur sa peau douce comme la rosée sur les pétales de roses, décuplant sa sensualité, les yeux fermés son corps se noyait dans la buée, soudain une force la bouscula contre le mur, la tenant des poignets toute en pesant sa charge , elle sentit son cœur battre sur son dos, la même haleine capiteuse que celle du rêve, elle ouvrit les yeux et ne trouva personne, c’était une hallucination, un fantasme dont le quel elle a sombré involontairement , elle sorti de la douche la gorge sèche , appétissante et pleine d’appétit elle contemplait son corps nu devant le miroir de la sale de bain qui lui aussi suait devant un spectacle pareil .

youuuuuu !

WACHE NGOULEK YA Victime !

un vrai régal !

tu devrais écrire un livre !

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Elle mit son peignoir en marchant vers sa chambre ,ne sachant quoi mettre, elle se laissa tenter par une lingerie affriolante , un ensemble noir à dentelle assez transparent ou l' on pouvait voir ses intimités ; un shorty très léger orné de petites fleurs rouge qui mettait en valeur son fessier bien moulé. Le soutif avait les mêmes petites roses qui semblaient s'épanouir sur ses seins.

 

Elle était si attrayante qu’aucun homme au monde pourra lui résister à la seconde ou il poserait les yeux sur elle, une silhouette plus que parfaite, une beauté aphrodisiaque d’une fraicheur édénique tel un fruit défendu prêchant le pécher sans recule et sans regret. En ouvrant sa garde robe, sans trop hésiter, elle prit le premier vêtement qui était à la porté de main, une robe assez courte assez moulante qui collait à sa peau.dessinant fabuleusement sa silhouette, elle l’ avait choisi parce qu’elle était facile à enfilé, mais quelque minute plus tard elle se rendit compte qu’elle portait la même lingerie dans son rêve , cela l'avait quelque peu intrigué, pourquoi un décor et si cohérent??? , la sale de bain, la lingerie, il ne manquait que son esclave dévoué.

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Elle mit son peignoir en marchant vers sa chambre ,ne sachant quoi mettre, elle se laissa tenter par une lingerie affriolante , un ensemble noir à dentelle assez transparent ou l' on pouvait voir ses intimités ; un shorty très léger orné de petites fleurs rouge qui mettait en valeur son fessier bien moulé. Le soutif avait les mêmes petites roses qui semblaient s'épanouir sur ses seins.

 

Elle était si attrayante qu’aucun homme au monde pourra lui résister à la seconde ou il poserait les yeux sur elle, une silhouette plus que parfaite, une beauté aphrodisiaque d’une fraicheur édénique tel un fruit défendu prêchant le pécher sans recule et sans regret. En ouvrant sa garde robe, sans trop hésiter, elle prit le premier vêtement qui était à la porté de main, une robe assez courte assez moulante qui collait à sa peau.dessinant fabuleusement sa silhouette, elle l’ avait choisi parce qu’elle était facile à enfilé, mais quelque minute plus tard elle se rendit compte qu’elle portait la même lingerie dans son rêve , cela l'avait quelque peu intrigué, pourquoi un décor et si cohérent??? , la sale de bain, la lingerie, il ne manquait que son esclave dévoué.

 

 

 

waoww un vrais roman !!! bravo vic. :40::40::40::clap::clap::clap:

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merchi ly

 

mais ne t'en fais pas je sais que le nom de biyouna sonne mal :D

 

Pourquoi, wech khasha Biyouna:rolleyes:?:mdr:

 

 

Vic, ne nous fais pas trop languir. Je ne vais pas dormir tant que je n'ai pas lu la suite:D.

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Pourquoi, wech khasha Biyouna:rolleyes:?:mdr:

 

 

Vic, ne nous fais pas trop languir. Je ne vais pas dormir tant que je n'ai pas lu la suite:D.

 

ou lalalalalalalala :D

 

Tu sais comment m'obliger à m'y mettre ma tite sally

 

biyouna ? khasha koulech:D

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Pourquoi, wech khasha Biyouna:rolleyes:?:mdr:

 

 

Vic, ne nous fais pas trop languir. Je ne vais pas dormir tant que je n'ai pas lu la suite:D.

 

 

tu veux te réveillé toute mouillé, et te retrouvé sous la douche :D

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Guest aladin1000
La nuit se montrait doucement, à l’ouest, l’éclat flamboyant du soleil commença à s’éteindre petit à petit, laissant place à la lune pour se vanter, majestueusement dorée, elle prodiguait sa richesse à la fenêtre de byouna qui sombrait dans un sommeil profond. Mais sa quiétude physique cachait bien un rêve chavirant.

 

Il s’appelait Victime, un prénom qui lui est étranger, pas plus que lui, ni vu ni connu, ni même entendu parler, une œuvre d’un subconscient innovateur, sur qui elle pouvait parier, et imposer toutes ses cartes maitresses.

 

Elle l‘attachait sur un pilier, lui faisant à la fois subir les plus atroces tortures, et les plus tendres câlineries, Elle exprimait par ses sens tous ses caprices inaccomplis, ses fantasmes inassouvis dessinant sur son corps par ses angles et ses lèvres toute la complexité passionnelle d’un orgasme passionné,

 

Pendant que lui Fidel a son inertie ne cessait de la lutiner des yeux la domptant imperceptiblement par son regard fauve, la désarmant, la possédant, calmant par cela ses ardeurs sauvages, petit à petit La tigresse semble s’apprivoiser !

 

Elle frôla ses lèvres par un baiser fougueux descendant avec sa langue pas loin de ses dents jusqu’à son cou remontant jusqu’à ses oreilles, collant sa poitrine sur son torse, pendant qu’il la serrât vers lui, leur corps synchronisaient, leur haleine se mélangeaient,… des baisers, des morsures… des caresses des blessures … une harmonie entre la douleur et la douceur, qui donnât naissance à ces deux inconnus aux corps nus un plaisir émoustillant.

 

Mais la sérénité de la nuit l’arracha délicatement de ses mains. Elle ouvrit les yeux brusquement sans croire à ce qu’il lui arrive, la tète abandonné sur l’oreiller, les cuisses légèrement écarté le corps perlé de sueur et de désirs étourdissant frissonnait sous le claire de lune.

Le gout délicieux de ses lèvres persista même après son réveil.

 

Elle se dirigea vers la salle de bain pour se rafraichir, fuyant ces idées troublantes, voulant se purifier de ce rêve charnel, qu'il l'emporta, si loin, qu'elle s'efforce de revenir. l’eau tiède ruisselait sur sa peau douce comme la rosée sur les pétales de roses, décuplant sa sensualité, les yeux fermés son corps se noyait dans la buée, soudain une force la bouscula contre le mur, la tenant des poignets toute en pesant sa charge , elle sentit son cœur battre sur son dos, la même haleine capiteuse que celle du rêve, elle ouvrit les yeux et ne trouva personne, c’était une hallucination, un fantasme dont le quel elle a sombré involontairement , elle sorti de la douche la gorge sèche , appétissante et pleine d’appétit elle contemplait son corps nu devant le miroir de la sale de bain qui lui aussi suait devant un spectacle pareil .

 

meme Gérard De Villiers ne pourrait faire mieux!

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Guest aladin1000
oui presque c'est le meme style il ne manque que l'expression "un ange passe":angel_sadangel:

pour la suite victime va porter le titre de son altesse serinissime, et se faire appeler le prince Marco Linge victime:D

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Mazal

ma ba el film

hadi lapub :D

 

 

Pour la pub...Je propose cet interlude

 

 

Barbare.

 

Je te réveille sans aménagement.

De si bonne heure.

Alors que je t’ai épuisée la veille.

Merci mon bébé pour ce bonheur.

Fou dont tu m’avais encensé.

Donner sans compter, insatiable.

Je reviens en redemander sans tarder.

Pour reprendre de cet élixir magique.

Femme de mon monde.

Des galaxies étincelantes de bonheur.

De l’amour des contrées célestes inconnues.

J e te veux ma loba.

Je te veux ma femelle.

Je te veux mon amante.

Je te veux femme.

Je te veux, pour toujours, sans pitié.

 

rosier belda.

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Pour la pub...Je propose cet interlude

 

 

Barbare.

 

Je te réveille sans aménagement.

De si bonne heure.

Alors que je t’ai épuisée la veille.

Merci mon bébé pour ce bonheur.

Fou dont tu m’avais encensé.

Donner sans compter, insatiable.

Je reviens en redemander sans tarder.

Pour reprendre de cet élixir magique.

Femme de mon monde.

Des galaxies étincelantes de bonheur.

De l’amour des contrées célestes inconnues.

J e te veux ma loba.

Je te veux ma femelle.

Je te veux mon amante.

Je te veux femme.

Je te veux, pour toujours, sans pitié.

 

rosier belda.

 

trés jolie balade monsieur:)

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