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Naissance d'une ANC algérienne!


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Certains ne manquent pas d'audace ni de respect envers un mouvement sud-africain qui mériterait à n'être plagié de dénomination.

 

Ceci dit, à voir la composition de l'ANC algérienne, des craintes sont fondées et guère élogieuses d'égard à Ahmed Benbitour!

 

Qu'en dites-vous?

________________________________

 

 

Naissance de l’Alliance nationale pour le changement (ANC)

 

L’Alliance nationale pour le changement (ANC) en Algérie est née. Elle a été lancée samedi 5 février par l’ancien chef du gouvernement Ahmed Benbitour et des représentants du mouvement El Islah, du parti du renouveau algérien, du mouvement de la jeunesse pour le développement (MJD), du mouvement El Infitah, de l'Association des oulémas algériens et d'organisations syndicales , qui ont annoncé samedi 5 février, la création d’une « Alliance nationale pour le changement » en Algérie.

 

Parmi les objectifs de l’ANC figurent l’organisation d’une conférence nationale pour le changement, l’élaboration d'une charte d'honneur de l'opposition et d'une plate‑forme de revendications politiques. Une coordination nationale constituée de représentants de l'ensemble des organisations ayant pris part à cette initiative a été installée à l’occasion.

 

Au cours de son intervention, Ahmed Benbitour, qui a déjà lancé l’initiative des forces du changement, a demandé des mesures assurant « un minimum de conditions susceptibles de garantir les libertés individuelles et collectives ». Le secrétaire général du mouvement El Islah, Djamel Ben Abdeslam, a appelé de son côté à la tenue d’une rencontre entre le pouvoir et l'opposition pour une « refondation de l'État ».

 

Source: TSA

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J'exprimais des doutes sur Monsieur Benbitour et cela se confirme. Notamment, ses thèse sur la rente et syndrôme hollandais assujettis à l'Algérie n'étaient pas corroborés par d'économistes au-dessus de son rang.

 

Donc, M. Benbitour s'inspire de la politique qui prévaut en Turquie: un Parti islamisant et une économie ultra-libérale.

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Certains ne manquent pas d'audace ni de respect envers un mouvement sud-africain qui mériterait à n'être plagié de dénomination.

 

Ceci dit, à voir la composition de l'ANC algérienne, des craintes sont fondées et guère élogieuses d'égard à Ahmed Benbitour!

 

Qu'en dites-vous?

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Naissance de l’Alliance nationale pour le changement (ANC)

 

L’Alliance nationale pour le changement (ANC) en Algérie est née. Elle a été lancée samedi 5 février par l’ancien chef du gouvernement Ahmed Benbitour et des représentants du mouvement El Islah, du parti du renouveau algérien, du mouvement de la jeunesse pour le développement (MJD), du mouvement El Infitah, de l'Association des oulémas algériens et d'organisations syndicales , qui ont annoncé samedi 5 février, la création d’une « Alliance nationale pour le changement » en Algérie.

 

Parmi les objectifs de l’ANC figurent l’organisation d’une conférence nationale pour le changement, l’élaboration d'une charte d'honneur de l'opposition et d'une plate‑forme de revendications politiques. Une coordination nationale constituée de représentants de l'ensemble des organisations ayant pris part à cette initiative a été installée à l’occasion.

 

Au cours de son intervention, Ahmed Benbitour, qui a déjà lancé l’initiative des forces du changement, a demandé des mesures assurant « un minimum de conditions susceptibles de garantir les libertés individuelles et collectives ». Le secrétaire général du mouvement El Islah, Djamel Ben Abdeslam, a appelé de son côté à la tenue d’une rencontre entre le pouvoir et l'opposition pour une « refondation de l'État ».

 

Source: TSA

 

Salut tous le monde.

Je pense qd algerie aujourd'hui y a pas une personne qui n sais pas jouer des sentiments du peuple pour arrivée a leur fin depuis longtemps,

je pense que benbitour avant de ce prendre dans des colonnes des journeaux pour une lumiere politique et economique la plus part on suivie ce qu'il a dit pendant plus de 5ans je pense si je fais le trie de tous sa y a tjrs des contradiction dans ces visions une personne non stable dans ces avis il veut crée un partie qui n peu jamais existé C comme l'eau et l'huile mais ce gars a perdu la boule je pense ou il y a un grand gâteaux a partagé alors les loups vont ce mettre dak la chose la plus efficace que le gouvernement algerien a fais et de le mettre a la porte, il a perdu carrément la boussole le gars.

Comme au guignols de l'info.

l'ideé la plus con de benbitour (union de tous des Islamistes et des laïcs) Mais a koi il pense Aidé moi a comprendre.

salam.:crazy:

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2012 ... arrive ... achetez des kits de survie ... pendant qu'il est encore temps ... (y'en a à boumâati)

 

Si, la fin du monde est pour 2012, tu peux acheté tous les kits de survie que tu voudras, ça ne servira à rien. Autant, partir dignement comme tout le monde.

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ben bitour est un projet mort-né politiquement parlant ; le fait de s'apuiyer sur des islamistes signe son arret de mort , c'est comme Albarad3i d'egypte il etait le plus en vus des opposants egyptiens ; et il viens de se mettre hors circuit, apres avoir signé son alliance avec les "freres musulmans" egyptiens , c'est le prix a payer quand on parie sur un cheval perdant

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Entretien avec Djamel Benabdeslam, secrétaire général du mouvement Islah

 

« L’ANC est constituée de partis islamistes, démocratiques et laïcs »

 

Vous avez constitué une alliance appelée ANC (Alliance nationale pour le changement). S’agit‑il d’un clin d’œil à Nelson Mandela et à son combat ?

 

Notre choix n’est pas fortuit. Nelson Mandela est un homme de paix, nous l’avons pris pour exemple. Pour revenir à l’ANC algérienne, elle est composée de plusieurs partis politiques comme El Islah, PRA, RPR de Merbah, Daâwa oua Taghier de Mustapha Belmehdi (ex‑MSP), de syndicats, d’une organisation de défense des droits de l’homme, de l’association des ex‑détenus du Sud. Elle regroupe des partis islamistes, nationalistes et laïcs. Il y a également des personnalités politiques comme l’ancien chef du gouvernement Ahmed Benbitour, l’ancien secrétaire général du RND, Tahar Benbaibeche, des intellectuels, des universitaires et une quinzaine de députés.

 

Quel est l’objectif de l’ANC ?

 

Le changement pacifique démocratique réel et global en Algérie. Nous sommes pour l’instauration d’un état de droit, le respect des libertés, la justice sociale et l’élaboration d’une stratégie nationale de développement économique. Nous allons commencer par l’adoption d’une forme de revendications politiques lors d’une conférence nationale. Cette plate‑forme sera transmise ensuite au président de la République pour l’ouverture un dialogue politique, avec comme objectif le changement pacifique.

 

 

L’ANC va-t-elle demander le départ du président Bouteflika, comme le font les Égyptiens avec Moubarak et avant eux les Tunisiens avec Ben Ali ?

 

Pour le moment, cette question n’est pas posée. Mais nous estimons qu’une nouvelle révision de la constitution est indiscutable pour rétablir l’équilibre entre l’exécutif et le législatif. Le dernier référendum de 2008 a placé l’exécutif au‑dessus du législatif. L’APN ne peut plus contrôler le gouvernement et le président de la République. Le chef de l’État légifère par ordonnance. L’APN peut contrôler le gouvernement, mais ce dernier applique le programme du président qui ne peut pas être surveillé par les députés. Dans ce système, le premier ministre n’a aucun sens et l’APN non plus. Nous demandons des législatives anticipées.

 

L’ANC est-elle une réponse à l’initiative des partis dits démocratiques de créer la CNCD ?

 

Non. L’ANC est constituée de partis islamistes, démocratiques et laïcs. Lors de sa création, il n’y avait aucune banderole, ni slogan. Seul le drapeau algérien était accroché dans la salle. On a décidé de se réunir en tant qu’Algériens, avec toutes nos différences.

D’ailleurs, nous sommes en contact avec la CNCD, nous allons tenir des rencontres ensemble et discuter de la situation du pays.

 

Est-ce que vous allez participer à la marche de la CNCD le 12 février ?

 

On ne participera pas à cette marche, mais on a demandé aux autorités de l’autoriser et de protéger les manifestants. On soutient toutes les initiatives politiques pour un changement pacifique en Algérie.

 

 

Est-ce que l’ANC prévoit d’organiser des marches populaires ?

 

Pas dans l’immédiat. Mais les marches ne sont pas exclues. Tout dépendra de la réponse du président à notre plate‑forme de revendications. Nous devons d’abord expliquer aux Algériens notre démarche et nos objectifs.

 

 

Le président Abdelaziz Bouteflika a annoncé jeudi 3 février plusieurs mesures dont la levée prochaine de l’état d’urgence. C’est une réponse favorable à une demande ancienne de l’opposition. Quel est votre avis ?

 

Le président a affiché une volonté de lever l’état d’urgence, mais il ne l’a pas fait. On demande sa levée durant ce mois de février, sans aucune exception pour des villes ou des régions. On ne comprend pas le maintien de l’interdiction de manifester à Alger alors que le terrorisme est quasi inexistant dans la capitale. Le terrorisme frappe encore à Boumerdes, Bouira et Tizi Ouzou. C’est une discrimination entre les Algériens. Les mesures de Bouteflika sont insuffisantes. Ce qu’il donne d’une main, il va le reprendre de l’autre.

 

 

Selon vous, pourquoi le pouvoir interdit‑il les marches populaires à Alger ?

Parce que les autorités ne veulent pas entendre les cris de détresse des Algériens. C’est la seule explication à cette décision. Les responsables ne veulent pas écouter le peuple.

 

 

Le président Bouteflika a également annoncé l’ouverture des médias lourds à l’opposition. Êtes‑vous satisfait ?

 

Pas entièrement. On ne peut pas se contenter d’une minute ou deux au journal télévisé. Nous demandons l’ouverture des médias lourds aux débats politiques contradictoires. La télévision doit organiser ces débats, avec la présence des représentants de l’opposition que ces derniers puissent expliquer aux citoyens leurs programmes et visions de la société. Et aussi, faire connaître leurs partis. Les médias lourds doivent permettre à l’opposition de s’exprimer. Aujourd’hui, seuls les 3+1 sont autorisés à s’exprimer à la télévision. Les partis de l’Alliance présidentielle et le PT qui fait de la propagande au nom de l’opposition au service du pouvoir.

 

Nous demandons une vraie ouverture des champs politique et médiatique. Il faut donner la possibilité aux Algériens de créer de nouveaux partis politiques et des journaux. Le peuple doit être le seul juge. L’État ne doit pas favoriser un parti politique donné. Jusqu’à aujourd’hui, El Islah n’a pas de siège alors que d’autres partis ont bénéficié gracieusement de locaux de la part de l’État.

 

Source: TSA

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