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( Document à lire ) Algérie : l’autre Libération,..Par Said Sadi


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Actualités : Document paru dans Le Soir d'Algerie du 10/02/11

 

Par Saïd Sadi, député d’Alger, président du RCD

 

Où va l’Algérie ? C’est le titre d’un opuscule publié par Mohamed Boudiaf en 1962. Près de cinquante ans plus tard, le pays qui s’est levé le 1er Novembre 1954 pour remplacer l’ordre colonial par un «Etat démocratique et social garantissant les libertés individuelles et collectives» a fini par sombrer dans un marasme qui menace jusqu’à son existence même.

 

L’abîme

 

L’état des lieux est accablant : deux millions d’hectares irrigables sont en jachère depuis plus de quarante ans ; jadis exportatrice de céréales, l’Algérie importe aujourd’hui l’essentiel de ses denrées alimentaires ; le taux de chômage dépasse les 35% chez les moins de trente ans ; chaque quinzaine, entre 300 et 400 jeunes, souvent diplômés, essaient, avec plus ou moins de succès, de quitter le pays dans des embarcations de fortune ; 43 000 universitaires algériens se sont installés, ces 10 dernières années, dans l’Etat du Québec ; 13 000 praticiens survivent en Ile-de- France et les maladies éradiquées depuis quarante ans resurgissent et submergent un système de santé délétère. Pour la seule année 2010, plus de 9 700 émeutes, d’ampleurs inégales, ont secoué le pays. Sans compter le pillage organisé de nos réserves pétrolières et gazières, confisquées par une caste de privilégiés. Maintenant que les langues se délient, on vient d’apprendre d’une source du ministère de l’Intérieur que le taux de participation à la présidentielle de 2009, qui a vu la reconduction du chef de l’Etat, était de 11,3%, c'est-à-dire deux fois moins que les estimations les plus pessimistes des chancelleries. On se rappelle que la France fut le premier pays à saluer ce «succès». Notre système politique est en fin de course. Bouteflika, déjà ministre au lendemain de l’indépendance, a commis en novembre 2008 son troisième coup d’Etat (après ceux de 1962 et de 1965) quand, violant la Constitution, il s’octroya une présidence à vie. Treize ministères, et non des moindres, sont ou ont été récemment occupés par des personnes issues de sa tribu. Disons-le d’entrée, cette confiscation de l’Etat n’aurait pas été possible sans la bénédiction de l’armée.

 

La régression permanente

 

La moindre des incongruités dans ce détournement institutionnel n’est pas ce ministère des Anciens moudjahidines (Anciens combattants), doté du quatrième budget du pays après ceux de la Défense, de l’Education et de l’Intérieur. Au regard des généreuses pensions allouées, un calcul rapide montre que non seulement aucun ancien combattant n’est décédé depuis 1962, mais que, depuis, leur nombre a été multiplié par 12 ! Grâce à cette inflation de «maquisards», les clans peuvent mieux contrôler le pays. Le wali (préfet) ou même le ministre n’a pas forcément autorité sur le responsable des anciens moudjahidine qui, lui, peut décider de l’implantation d’une usine, d’un lycée ou d’un hôpital au gré du clientélisme. L’Etat est un fantôme servant d’alibi au pouvoir occulte. Privés d’espaces d’où ils peuvent se projeter dans l’avenir, les jeunes Algériens quittent le pays pour l’Europe, l’Amérique du Nord et, maintenant, l’Australie. Enfermement et paranoïa sont les deux mâchoires de la tenaille qui broie le destin algérien. Avant d’être conduite comme une démarche réhabilitant une langue, l’arabisation fut d’abord conçue comme la barrière devant isoler une population qu’il fallait prémunir à la fois de la «pollution occidentale» et du réveil des «démons de la berbérité», failles à travers lesquelles le diable pouvait se faufiler à tout instant. Pour autant, la relation du pouvoir avec l’Occident est toujours restée hypocrite. Au début des années 1970, un groupe d’étudiants, regroupés autour des écrivains Mouloud Mammeri et Kateb Yacine, avait suivi les établissements où étaient inscrits les enfants et ou les frères et sœurs des principaux dirigeants du parti-Etat. Sur 676 responsables, seuls 4 avaient laissé les membres de leur famille fréquenter l’école publique. Tous les autres étaient scolarisés dans les institutions religieuses catholiques, encore très présentes en Algérie, les lycées français, les écoles privées, ou bien disposaient de bourses à l’étranger. Aujourd’hui, il reste 4 salles de cinéma dans la capitale algérienne et on y joue moins d’une pièce de théâtre par an. Les étudiants tunisiens en médecine, formés par la prestigieuse faculté d’Alger des années 1960, dispensent leur savoir à Tunis ou Monastir aux rescapés algériens qui ont pu avoir la chance de s’inscrire chez leurs voisins. Les hauts dirigeants et leur famille se soignent en Occident ; la cour, elle, a droit aux cliniques et hôpitaux tunisiens. Au lieu de prendre acte de l’impasse d’un système-agrégat de tiers-mondisme, de stalinisme, d’intégrisme et d’ultra-jacobinisme, le pouvoir algérien est tétanisé. Son blocage actuel est dû autant à son incapacité à envisager la moindre évolution qu’à une peur panique devant les exemples tunisien, égyptien ou ivoirien. D’où ce chantage, vain et puéril, à l’islamisme ou au chaos.

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...suite...et fin.

 

Résonances tunisiennes

 

Les causes qui ont mené à la révolution tunisienne sont les mêmes en Algérie : coups d’Etat, fraudes électorales et censure, corruption dévastatrice, notamment de la part des familles régnantes, paupérisation, explosions sociales. Pour des raisons historiques et politiques, la traduction de ces fléaux ne s’est pas toujours opérée de la même manière. Le mouvement national tunisien, d’essence citadine, fut mieux structuré que l’algérien et Habib Bourguiba eut moins de peine à séculariser la société au moment où, avant même l’indépendance, les dirigeants rationalistes algériens furent, à l’instar de Abane Ramdane, éliminés par leurs pairs. C’est ainsi que les institutions tunisiennes ont toujours gardé, en dépit d’un despotisme chronique, même dans les pires moments, un minimum de crédibilité. Le barreau de Tunis n’est pas celui d’Alger, on dispense toujours la leçon inaugurale dans les universités tunisiennes alors que Boumediene, abolissant le serment d’Hippocrate et les codes d’éthique et de déontologie, s’autorisait à décerner les agrégations. Pendant que l’UGTT (Union générale des travailleurs tunisiens) assume et accompagne la révolution, son homologue algérienne, l’UGTA, paie des casseurs pour infiltrer des marches pacifiques et installe des milices dans tout le pays. De surcroît, l’armée qui n’a pas été associée à la prédation, est restée sous contrôle du pouvoir civil en Tunisie alors qu’en Algérie, elle est au centre de la décision politique et de la captation de la rente. On a fait remarquer, à juste titre, que les couches moyennes qui ont canalisé et porté la révolte des jeunes en Tunisie sont quasiment inexistantes ou satellisées par le système en Algérie. Si la phase de transition démocratique devait y être contrariée plus longtemps, notre pays risque de connaître des turbulences bien plus violentes qu’en Tunisie.

 

Les ressorts de la refondation

 

Depuis plusieurs décennies, l’opposition démocratique, affrontant pacifiquement le pouvoir dans l’indifférence, voire la complicité de certains partenaires de l’Algérie, a pu construire un projet alternatif inspiré des valeurs qui ont permis de rassembler et de libérer le peuple algérien du colonialisme. La question des droits de l’homme, le statut de la femme, la problématique de l’identité nationale, la place du culte dans la cité, les réformes de l’Etat, de la justice et de l’éducation sont maintenant en bonne place dans l’agenda politique algérien. Acculé, le pouvoir, essayant toujours de louvoyer, n’intègre ces revendications que pour les dénaturer ; mais nul ne le conteste, le projet démocratique humaniste est au cœur du débat public en Algérie. Disposant d’une vraie crédibilité politique face au système qui veut encore perdurer par la rotation de ses clans, l’opposition peut compter sur des énergies déterminantes, à commencer par la jeunesse, désormais déconnectée de l’extrémisme religieux. Soumise depuis l’indépendance à un système éducatif aliéné par un populisme doctrinaire, sectaire, médiocre et violemment répressif, elle lui a miraculeusement survécu au point d’être aujourd’hui la première force sociale à braver le pouvoir. D’aucuns appellent déjà la contestation montante en Algérie «la révolution de la jeunesse». L’émigration, dont de nombreux cadres ont brillamment réussi, reste, pour l’essentiel, disponible envers son pays d’origine dans la perspective d’une reconstruction démocratique. Enfin et pour la première fois depuis l’indépendance, l’idée d’une Assemblée nationale constituante, en gestation depuis 1962, peut être enfin envisagée sans risque de dérapage et l’armée algérienne peut saisir cette occasion pour organiser sa sortie par le haut.

 

Projections géostratégiques

 

Autant l’anticipation sur les bouleversements qui attendent la scène proche et moyen-orientale est délicate, autant les incidences continentales d’une évolution ordonnée en Algérie peuvent être raisonnablement envisagées. Pivot de sa région, carrefour des routes culturelles et énergétiques qui relient le Nord et le Sud, l’Orient et l’Occident, l’Algérie a, en ce début de siècle, une nouvelle opportunité historique. D’abord, l’Afrique du Nord peut construire un binôme structurant avec l’Afrique du Sud pour engager le continent dans une synergie démocratique. Ensuite, la région nord-africaine peut se poser comme matrice de la réforme spirituelle dans un monde musulman englué dans une nostalgie belliqueuse. Il faudra alors que l’Europe apprenne à compter jusqu’à trois pour dépasser enfin l’équation binaire qui a réduit nos destins à un choix morbide : l’intégrisme ou la fatalité de la dictature. A ce propos, nos partenaires européens ne semblent pas avoir évalué l’écho qu’a rencontré dans nos pays le discours prononcé par le président Obama à Accra où, plus qu’à la Baule, un dirigeant d’une grande nation démocratique délivrait un message politique qui faisait de la légitimité des institutions le préalable à la stabilité des Etats. Nous sommes en train de vivre une dynamique fondatrice d’un nouveau monde dans laquelle le Sud fait irruption par ses peuples qui, en Algérie comme ailleurs, aspirent à la liberté et la justice et non plus à travers la vulgate tiers-mondiste de despotes qui ont perverti les luttes anticolonialistes et dévasté leur pays. Dans ce renouveau, l’Algérie doit jouer son rôle. Par fidélité à son histoire et ambition pour sa jeunesse.

 

 

Document publié par l’hebdomadaire français "le Point " dans son édition d’aujourd’hui.

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Par Saïd Sadi, député d’Alger, président du RCD

 

La moindre des incongruités dans ce détournement institutionnel n’est pas ce ministère des Anciens moudjahidines (Anciens combattants), doté du quatrième budget du pays après ceux de la Défense, de l’Education et de l’Intérieur. Au regard des généreuses pensions allouées, un calcul rapide montre que non seulement aucun ancien combattant n’est décédé depuis 1962, mais que, depuis, leur nombre a été multiplié par 12 ! Grâce à cette inflation de «maquisards», les clans peuvent mieux contrôler le pays. Le wali (préfet) ou même le ministre n’a pas forcément autorité sur le responsable des anciens moudjahidine qui, lui, peut décider de l’implantation d’une usine, d’un lycée ou d’un hôpital au gré du clientélisme.......

 

:mdr: ..l'Humour de Sadi est toujours intact !!!

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..Un Aperçu clair et limpide de la situation "politique" de l'Algérie !

..Les gens sensées comprendront,..les autres,..eh bien, ALLAH lay fahmou !!!

 

Le problème , c'est qu'en Algérie les "masses" sont gangrennées , incultes culturellement ,et complètement imperméables à autre chose que les discours populistes et les demi mesures alimentaires !

 

Ce qui reste est insuffisant à mon avis pour provoquer le raz de marée populaire qui pourrait désarçonner le système .

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Le problème , c'est qu'en Algérie les "masses" sont gangrennées , incultes culturellement ,et complètement imperméables à autre chose que les discours populistes et les demi mesures alimentaires !

 

....

 

..c'était le boulot des militants, za3ma, du Fln-62, depuis surtout l'article 120 de Messaadia,..dépolitiser et abêtir les populations et produire des Ladozettes !:brows:

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en tout cas, qu'on aime ou qu'on n'aime pas Sadi et le RCD, il faut bien avouer que l'article est bien foutu .... Maintenant reste à savoir s'il sera capable d'aller au bout de son idée. Parce que si ça se limite à une marche et puis apres silence radio je n'en vois pas l'interet ... Ce n'est pas ça qui va ebranler le regime ...

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en tout cas, qu'on aime ou qu'on n'aime pas Sadi et le RCD, il faut bien avouer que l'article est bien foutu .... Maintenant reste à savoir s'il sera capable d'aller au bout de son idée. Parce que si ça se limite à une marche et puis apres silence radio je n'en vois pas l'interet ... Ce n'est pas ça qui va ebranler le regime ...

 

tout vient à point à celui qui sait attendre,..mais quand il faut bouger, comme demain, il faut bouger :flex:

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au niveau du constat ... Said Sâadi ... est la référence ... j'ai toujours approuvé ce qu'il dit ...

seulement il devrait savoir vu son âge et son expérience ... que ce n'est pas le peuple qui a mis au pouvoir ceux qui y sont et ce n'est pas lui qui les en enlèvera ... il vaut mieux laisser çà ... aux "maitres" du jeu d'échecs politique mondial ... le peuple serait plutôt concerné par ce qui se passera lorsque les "joueurs" vont procéder au remplacement de leurs pions ... comme la situation de "blocage" qui prévaut en Égypte et en Tunisie ( avec la reconduction au pouvoir de membres de la nomenklatura pour faire qu'il ne s'agit pas de système mais d'individus) ... pour ne pas tomber une nouvelle fois dans la situation de 1962 ...

 

les gardiens de l'ordre veillent à ce que leur ordre reste le seul ... dans le cas contraire ils feront "exploser" le pays ... et comme il y'a assez de courants politiques conflictuels en Algérie ... on devine la suite ...

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Guest anincognito

C'est bien dit tout ça, il faut savoir ne pas se discréditer ailleurs par des affirmations et des réactions ridicules :D Ceci vaut pour le parti comme pour salim ici présent, l'éternel RCDiste :D

 

Pour toi salim par exemple, tu pourrais ne plus insulter ceux qui ne t'insultent pas, peu importe leurs orientations politiques.

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tout vient à point à celui qui sait attendre,..mais quand il faut bouger, comme demain, il faut bouger :flex:

 

Absolument, il faut bouger, et il faut surtout tenir ... je pense que les egyptiens sont en train de donner à tout le monde une belle leçon en la matière

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Guest hopeless case
Le problème , c'est qu'en Algérie les "masses" sont gangrennées , incultes culturellement ,et complètement imperméables à autre chose que les discours populistes et les demi mesures alimentaires !

 

Ce qui reste est insuffisant à mon avis pour provoquer le raz de marée populaire qui pourrait désarçonner le système .

 

je discutais avec une amie une fois elle m'a dit que le peuple algérien n'était pas encore prêt pour la démocratie, ce qui est bien vrai , cependant c'est une révolution de ces masses, aussi incultes soient elles, qui fera avancer la société algérienne, les français n'étaient pas non plus un peuple éclairé en 1789 cela ne les a pas empêchés d'écrire la première page, de faire le premier pas vers "la démocratie"

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je discutais avec une amie une fois elle m'a dit que le peuple algérien n'était pas encore prêt pour la démocratie, ce qui est bien vrai , cependant c'est une révolution de ces masses, aussi incultes soient elles, qui fera avancer la société algérienne, les français n'étaient pas non plus un peuple éclairé en 1789 cela ne les a pas empêchés d'écrire la première page, de faire le premier pas vers "la démocratie"

 

En fait la 1ere page a été ecrite par les grecs il y a environ 25 siecles ..

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je discutais avec une amie une fois elle m'a dit que le peuple algérien n'était pas encore prêt pour la démocratie, ce qui est bien vrai , cependant c'est une révolution de ces masses, aussi incultes soient elles, qui fera avancer la société algérienne, les français n'étaient pas non plus un peuple éclairé en 1789 cela ne les a pas empêchés d'écrire la première page, de faire le premier pas vers "la démocratie"

 

Au stade ou nous sommes , nous n'écrirons rien du tout , on risque même de bruler notre histoire ! :D

 

J'espère de tout coeur me tromper , mais à voir la tronche de mes concitoyens et leurs habitudes , je ne me fait pas beaucoup d'illusions .

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Au stade ou nous sommes , nous n'écrirons rien du tout , on risque même de bruler notre histoire ! :D

 

J'espère de tout coeur me tromper , mais à voir la tronche de mes concitoyens et leurs habitudes , je ne me fait pas beaucoup d'illusions .

 

J'espère que tu te trompes Wahrani...de tout cœur...

je constate une chose c'est que le pouvoir et Benbouzid entre autres ont fait du "très bon travail".

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Au stade ou nous sommes , nous n'écrirons rien du tout , on risque même de bruler notre histoire ! :D

 

J'espère de tout coeur me tromper , mais à voir la tronche de mes concitoyens et leurs habitudes , je ne me fait pas beaucoup d'illusions .

 

Quand tu lis les commentaires des maso-aplaventrises sur Al Jazeera ou Echourouk, tu n'as envie que d'une seule chose, te tirer une balle dans la tête.

 

Les peuples ont les gouvernants qu'ils méritent.

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Quand tu lis les commentaires des maso-aplaventrises sur Al Jazeera ou Echourouk, tu n'as envie que d'une seule chose, te tirer une balle dans la tête.

 

Les peuples ont les gouvernants qu'ils méritent.

 

Awah, nos gouvernants ne nous méritent pas. Une telle formule s'applique à la démocratie, pas à la dictature.

Le peuple algérien est capable de grandes choses, et contrairement à beaucoup ici, je ne pense pas qu'ils sont un "ghachis de sauvageons analphabètes".

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Quand tu lis les commentaires des maso-aplaventrises sur Al Jazeera ou Echourouk, tu n'as envie que d'une seule chose, te tirer une balle dans la tête.

 

Les peuples ont les gouvernants qu'ils méritent.

 

donc les égyptiens avaient un gouvernant qu'ils ne méritaient pas ... il est out!

et maintenant ils vont avoir un gouvernant qu'ils méritent ... du moins on l'espère de tout cœur pour eux ... incha ALLAH

p.s.: admino ... on te croyait à charm esheikh !!!:(:D

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Guest hopeless case
Au stade ou nous sommes , nous n'écrirons rien du tout , on risque même de bruler notre histoire ! :D

 

J'espère de tout coeur me tromper , mais à voir la tronche de mes concitoyens et leurs habitudes , je ne me fait pas beaucoup d'illusions .

 

il faut commencer quelque part, vous ne croyez pas ??

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C'est bien dit tout ça, il faut savoir ne pas se discréditer ailleurs par des affirmations et des réactions ridicules :D Ceci vaut pour le parti comme pour salim ici présent, l'éternel RCDiste :D

 

Pour toi salim par exemple, tu pourrais ne plus insulter ceux qui ne t'insultent pas, peu importe leurs orientations politiques.

 

..alors, n'insultes pas l'intelligence des Patriotes en te marrant pendant qu'ils "font" tout pour que tu aies une Dignité d'être Citoyen à part entière, et pas un eternel assisté !:smartass:

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Guest anincognito
..alors, n'insultes pas l'intelligence des Patriotes en te marrant pendant qu'ils "font" tout pour que tu aies une Dignité d'être Citoyen à part entière, et pas un eternel assisté !:smartass:

 

Ma dignité ne dépend pas de vous, je ne vous demande rien du tout, vous n'êtes que des opportunistes :D

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