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Ali BENHAD appelle à la marche


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Par contre là je suis tout à fait d'accord avec toi, c'est à dire que le gens n'ont pas encore appris la leçon , tu sais il n'y a pas plus facile que de convaincre un musulman , il suffit juste de lui parler de la religion et le tour est joué , c'est leur point faible.

 

T'inquites pas, s'il y'a bien une chose que les Algeriens ont appris c'est de ne plus faire confiance aux islamistes. Meme les barbus qu'on voit dans la rue ne voteront pas pour les thahnas qu'ils connaissent mieux que quiconque.

 

Maintenant, si on parle d'hypocrisie, c'est autre chose, la salat, la zakat, la sarka et le kadb sont devenus la norme, l'essentiel est de paraitre religieux. :mdr:

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c'est sur, surtout si il ose dire tout haut ce que tout le monde pense tout bas en place public en pointant le systeme...

 

 

moi je pense plutôt que plus la personne est celèbre dans le monde, moins

le gouvernement peu la touché c'est tout. :(

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T'inquites pas, s'il y'a bien une chose que les Algeriens ont appris c'est de ne plus faire confiance aux islamistes. Meme les barbus qu'on voit dans la rue ne voteront pas pour les thahnas qu'ils connaissent mieux que quiconque.

 

Maintenant, si on parle d'hypocrisie, c'est autre chose, la salat, la zakat, la sarka et le kadb sont devenus la norme, l'essentiel est de paraitre religieux. :mdr:

 

tu as raison

après la décennée noire tout le monde connait les actions sales des islamistes;leur manière de pensée et tout ce qu'ils font pour que l'algérie serait comme elle l'est aujourd'hui

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T'inquites pas, s'il y'a bien une chose que les Algeriens ont appris c'est de ne plus faire confiance aux islamistes. Meme les barbus qu'on voit dans la rue ne voteront pas pour les thahnas qu'ils connaissent mieux que quiconque.

 

Maintenant, si on parle d'hypocrisie, c'est autre chose, la salat, la zakat, la sarka et le kadb sont devenus la norme, l'essentiel est de paraitre religieux. :mdr:

 

 

j'espère men foumek -rabi l'ideale serais de separé la religion de l'etat, là ce sera une vrais démocratie et les election ne serons pas lié à une religion. :04:

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Guest Black Hawk
T'inquites pas, s'il y'a bien une chose que les Algeriens ont appris c'est de ne plus faire confiance aux islamistes. Meme les barbus qu'on voit dans la rue ne voteront pas pour les thahnas qu'ils connaissent mieux que quiconque.

 

Maintenant, si on parle d'hypocrisie, c'est autre chose, la salat, la zakat, la sarka et le kadb sont devenus la norme, l'essentiel est de paraitre religieux. :mdr:

 

Heu, ils sont facilement manipulables, c'est ce que j'ai constaté et je ne suis pas le seul d'ailleurs.

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Heu, ils sont facilement manipulables, c'est ce que j'ai constaté et je ne suis pas le seul d'ailleurs.

 

 

je l'ai aussi remarqué la dernière fois que je me suis rendus, même chez certains des universitaires il suivent les idés de leurs parents :crazy:

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Heu, ils sont facilement manipulables, c'est ce que j'ai constaté et je ne suis pas le seul d'ailleurs.

 

Faut pas se fier aux apparences, ils ont developpe une attitude assez trompeuse pour survivre la decennie noire, l'air religieux avec des slogans auquels ils n'y croient meme pas, tels "macha allah" et "allahou akbar", ne font d'eux ni des saints ni des pro-islamistes. :mdr:

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Guest Black Hawk
je l'ai aussi remarqué la dernière fois que je me suis rendus, même chez certains des universitaires il suivent les idés de leurs parents :crazy:

 

Oui malheureusement, pas certains mais plutôt la plupart des universitaires et je sais de quoi je parle, voir des gens qui ont des doctorats et qui se laissent facilement influencer par ce genre de discours , crois-moi ce n'est pas bon signe.

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Oui malheureusement, pas certains mais plutôt la plupart des universitaires et je sais de quoi je parle, voir des gens qui ont des doctorats et qui se laissent facilement influencer par ce genre de discours , crois-moi ce n'est pas bon signe.

 

 

oui j'ai vu aussi el khoufa pour l'avenir. :(

Bonne nuit blacky et bonne nuit à tous.

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Guest Black Hawk
Faut pas se fier aux apparences, ils ont developpe une attitude assez trompeuse pour survivre la decennie noire, l'air religieux avec des slogans auquels ils n'y croient meme pas, tels "macha allah" et "allahou akbar", ne font d'eux ni des saints ni des pro-islamistes. :mdr:

 

 

Crois-moi c'est beaucoup plus compliqué que ça , je ne dis que tout le monde est comme ça , Dieu merci d'ailleurs, mais la plupart.

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sans vouloir defendre ali benhadj,en lisant la plupart de vos commentaires en l insultant de tous les noms d oiseaux,vous ne dites pas la meme chose envers les generaux qui sont encore plus responsable que benhadj,a ce que je sache ce n est pas ali benhadj qui a ete massacrer dans les douars!!!les generaux on commis les pire atrocites qu hitler ou staline eux meme n avaient pas commis et ceux la vous ne dite mot alors que benhdaj comparer au generaux n est rien du tout!!

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Guest mackiavelik
sans vouloir defendre ali benhadj,en lisant la plupart de vos commentaires en l insultant de tous les noms d oiseaux,vous ne dites pas la meme chose envers les generaux qui sont encore plus responsable que benhadj,a ce que je sache ce n est pas ali benhadj qui a ete massacrer dans les douars!!!les generaux on commis les pire atrocites qu hitler ou staline eux meme n avaient pas commis et ceux la vous ne dite mot alors que benhdaj comparer au generaux n est rien du tout!!

 

on est d'accord pour les généraux mais ce n'est pas un jeu de comparaison non plus

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sans vouloir defendre ali benhadj,en lisant la plupart de vos commentaires en l insultant de tous les noms d oiseaux,vous ne dites pas la meme chose envers les generaux qui sont encore plus responsable que benhadj,a ce que je sache ce n est pas ali benhadj qui a ete massacrer dans les douars!!!les generaux on commis les pire atrocites qu hitler ou staline eux meme n avaient pas commis et ceux la vous ne dite mot alors que benhdaj comparer au generaux n est rien du tout!!

 

L'histoire des generaux qui ont commis des atrocites n'est qu'une fable inventee pas les islamistes pour ceux qui ont vote FIS, tu n'as qu'a demander aux soldats, aux gendarmes et aux flics ce qui s'est passe durant la decennie noire et qui etait derriere les atrocites pour savoir ce que les crapules des islamistes ont fait. :rolleyes:

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Guest mackiavelik
L'histoire des generaux qui ont commis des atrocites n'est qu'une fable inventee pas les islamistes pour ceux qui ont vote FIS, tu n'as qu'a demander aux soldats, aux gendarmes et aux flics ce qui s'est passe durant la decennie noire et qui etait derriere les atrocites pour savoir ce que les crapules des islamistes ont fait. :rolleyes:

 

tu n'as qu'a demander aux soldats a qui on a fermé la caserne et on leur a refusé la sortie la journée complete a bentalha pendant le carnage!

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L'histoire des generaux qui ont commis des atrocites n'est qu'une fable inventee pas les islamistes pour ceux qui ont vote FIS, tu n'as qu'a demander aux soldats, aux gendarmes et aux flics ce qui s'est passe durant la decennie noire et qui etait derriere les atrocites pour savoir ce que les crapules des islamistes ont fait. :rolleyes:

 

Mais bien sûr, il y a plusieurs cas pour ne citer que ça, de massacres et de viols commis devant des militaires sans que ceux-ci ne bougent le petit doigt. C'est ça la réalité du terrain, une réalité bien dégueulasse.

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Pour les amnésiques:

Un jour, ils savent que quelque chose va arriver. Ce sont des riens, des camionnettes bourrées d'hommes qui traversent le quartier à toute allure, des bruits étranges pendant la nuit. Les signes peuvent se multiplier sur quelques jours. Mais ils savent, tout le monde sait. On dit: «Ça va taper.» A Bentalha, en banlieue d'Alger, l'atmosphère s'est ainsi appesantie pendant une semaine, à la mi-septembre, explique cet habitant. Appelons-le Yahia, il s'est réfugié à Bruxelles, depuis le massacre où ont péri 400 habitants sur 2 ou 3 000. «Je ne fais pas de politique et pas de religion. Ce que je vais vous dire, je ne l'aurais pas cru moi-même avant que cela arrive.»

 

Huis-clos. «Ça a tapé» le 22 septembre, entre 18 et 19 heures. «Moi, j'ai vu surgir une cinquantaine d'hommes, mais d'autres affirment qu'ils étaient cent. Ils ont commencé par faire sauter quelques portes de maison un peu partout et se sont installés à table. Ils se sont fait servir à manger et après s'être bien régalés, ils ont dit: "Aujourd'hui, c'est votre fête." Puis ils ont massacré tout le monde. En récupérant les bombonnes de gaz dans la cuisine, ils faisaient sauter la porte suivante, tuant chaque famille l'une après l'autre.» Yahia parle sans émotion apparente. Et puis d'un coup, il s'arrête, perdu au milieu d'une phrase. «Qu'est-ce que je viens de dire? Où j'en suis?» Il a des larmes plein les yeux.

 

«Vers 21 heures environ, les femmes se sont mises à crier: "Voilà l'armée. On est sauvés." Sur la route nationale, la seule qui mène à Bentalha, des militaires se sont postés avec plusieurs petits blindés. Ils ont allumé des projecteurs. On les voyait depuis nos maisons. Ils étaient à un kilomètre, pas plus. Mais au bout d'un moment, les militaires ont éteint leur lumière. Des policiers et des gardes municipaux de Baraki, le quartier à côté, sont venus offrir de l'aide. L'armée les a bloqués . Les soldats disaient que personne n'avait le droit d'intervenir, parce que le capitaine n'était pas là et lui seul pouvait donner l'ordre. Des ambulances étaient garées un peu plus loin, attendant elles aussi.»

 

Dans le huis-clos de Bentalha, la peur atteint son comble parmi les habitants, barricadés chez eux. Personne n'a d'armes, ou presque. Quelques-uns en avaient bien demandé à la caserne, après plusieurs massacres massifs dans la «ceinture verte» d'Alger, ce cordon de cités autour de la capitale qui avaient majoritairement voté pour le Front islamique du salut (FIS) aux élections de 1991. «Un officier leur a donné trois fusils à cinq balles. Il disait qu'il ne pouvait pas faire plus. Au ministère, on leur a répondu: "Quand vous donniez à manger aux terroristes, quand vous les logiez , vous ne veniez pas. Maintenant, débrouillez-vous", continue Yahia. Ce soir-là, on n'a même pas songé à fuir. Pour aller où? Certains se regroupaient juste dans une même maison. Chacun attendait en espérant que les tueurs n'arriveraient pas jusqu'à chez lui.»

 

Cagoules. De sa terrasse, Yahia voit un jeune assaillant s'affoler en apercevant les militaires. «C'était le seul, tous les autres étaient très calmes. Le chef a dit au jeune: "Fais ton travail tranquillement, prends ton temps. Ils n'interviendront pas."» Ce qui frappe Yahia, c'est l'extrême organisation des hommes armés. «Ce sont des gaillards robustes, habillés normalement. Quelques-uns seulement portent des cagoules noires, d'autres sont déguisés en Afghans, avec une barbe et des cheveux longs. Chacun fait son boulot: un groupe est chargé du guet, un autre défonce les portes, un troisième massacre. Ils tuent par petit morceau, une jambe, un bras, la tête. Ils se frottent les mains en faisant cela. Parfois, c'est comme un spectacle. Dans une maison, on a trouvé une femme agenouillée qui serrait contre elle ses deux enfants. Tous les trois n'avaient plus de tête.» Yahia s'arrête. Précise que les tueurs disent aussi «des choses aux gens»: «Mais cela, je ne peut pas le répéter.» Il faut insister. Yahia, qui sans broncher peut parler de la mort, s'embrouille et baisse les yeux. Puis lâche: «Ce sont des gros mots qu'on ne dit pas devant les femmes.»

 

Vers 4 heures du matin, les tueurs commencent à se replier. Alertés par le vacarme, des familles du voisinage sont accourues, venues mains nues à travers champs, pour voir si elles peuvent aider les leurs. «Il y a encore des courageux, dit Yahia. Une heure plus tard, les hommes armés sont partis en criant: "Adieu Bentalha, bienvenu à Baraki (la localité voisine, ndlr). C'est seulement alors que l'armée est entrée.»

 

Parmi les cadavres, ceux de deux tueurs. «L'un était habillé en Afghan, avec des seringues dans sa ceinture. Leurs complices leur avaient coupé la tête à tous les deux et les avaient emportées pour ne pas qu'on les reconnaisse.»

 

Nouveaux tueurs. En six ans de conflit, le quartier de Bentalha était, pour son malheur, habitué à la violence.«Mais jusqu'en1996 environ, c'était autre chose», reprend le réfugié. Il esquisse un sourire, plaisante lui-même d'avoir l'air de regretter les massacres d'avant, par rapport à ceux d'aujourd'hui.«Au début, beaucoup de jeunes montaient au maquis, mais ils ne s'en cachaient pas. La nuit, ils revenaient parfois manger chez leur mère. On savait les choses sans les dire. Chaque mort était ciblée: policier, journaliste... Parfois, toute une famille y passait, des anciens partisans par exemple, qui avaient retourné leur veste. Maintenant, les premières vagues de recrues sont mortes. Les nouveaux tueurs sont différents.»

 

Yahia dit qu'aujourd'hui, dans ce quartier qui l'a vu grandir lui et ses enfants, il ne comprend plus rien. Qui a tué, le 22 septembre? Yahia répond: «On est perdu, on est perdu, on est perdu.» Au cimetière de Bentalha, un homme est resté huit jours roulé en boule sur la tombe de tous les siens .

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tu n'as qu'a demander aux soldats a qui on a fermé la caserne et on leur a refusé la sortie la journée complete a bentalha pendant le carnage!

 

Est ce que tu as visite Bentalha a l'epoque? Je t'assure que tu aurais fait la meme chose. Un petit reglement de compte entre FIS et GIA, je ne vois pas en quoi cela concernerait l'armee et les pauvres soldats. Est ce que tu te rends compte qu'il y'avaient des flics qui ne rentraient chez eux qu'une fois par moi?

 

Pour moi, de toute facon, la decennie noire, il faut l'avoir vecu pour en parler, la plupart ici etaient des enfants a l'epoque. :rolleyes:

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Guest mackiavelik
Est ce que tu as visite Bentalha a l'epoque? Je t'assure que tu aurais fait la meme chose. Un petit reglement de compte entre FIS et GIA, je ne vois pas en quoi cela concernerait l'armee et les pauvres soldats. Est ce que tu te rends compte qu'il y'avaient des flics qui ne rentraient chez eux qu'une fois par moi?

 

Pour moi, de toute facon, la decennie noire, il faut l'avoir vecu pour en parler, la plupart ici etaient des enfants a l'epoque. :rolleyes:

 

un petit reglement de compte et pourquoi? et le GIA n'a pas été infiltré par l'état?

 

un ex agents de la DRS du nom de Moulay qui confirme son implication lui meme dans l,espionnage pour tuer

il se dit millionnaire avec l'argent de l'état, du peuple alors qu'il ne travaillait meme pas officiellement

son témoignage est frappant...pourtant l'état ne le poursuit pas et il est pret a témoigner dans une comission d'enquete que l'état refuse

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