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Appel à une "autre" Marche le 19 Février 2011


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Appel à une marche populaire le 19 février à Alger

El Watan.com du 13.02.11

 

La coordination nationale pour le changement démocratique ( CNCD ) en Algérie, qui s'est réunie dimanche à Alger pour faire le bilan de la marche repriméé, samedi 12 février à Alger, a lancé un appel à une nouvelle marche pour le 19 février prochain.

 

Elle s’est également entendue sur le principe d’une grève générale pour les prochains jours. Cette option devrait être en revanche décidée en concertation avec les différents partenaires sociaux.

 

La coordination, qui a jugé que son action de samedi a été plus que positive, veut élargir ses rangs à d'autres acteurs de la société civile.

 

D'autre part les membres de CNCD compte mettre à profit la semaine qui commence, pour informer et sensibiliser les citoyens sur les enjeux du combat politique pour le changement démocratique en Algérie.

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..L'initiative du 12 a été une réussite dans la mesure qu'un bon nombre de militants actifs de La Démocratie se sont retrouvés après des années de querelles et de dissenssions. Comme on dit en Kabyle : tamlal tasa d way turuw ( les frères utérins se sont réunis ) : voir des Sadi, des Ait Larbi, des Ali Yahia, des Zenati, des Brerhi, des Benbitour, des Abrika, des Brahimi, avec bien d'autres,bien d'autres, bien d'autres Hommes et Femmes, la main dans la main pour un Objectif commun : Abbattre le Régime qui a tout fait pour les diviser,..diviser les Enfants d'un même Pays, l'Algérie,..effectivement, cela redonne de l'Espoir de voir nos enfants, les Enfants de l'Algérie vivre Dignes et Libres dans un pays Juste et Social !

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un état-caméléon ...

qui intéresse tout le monde à cause du pognon

un président qui a pas mal bouquiné

depuis qu'il a été viré

qui des marcheurs pourrait

dans un face à face tête lui tenir

sans finir

par à ses arguments succomber ...

faîtes-vous une raison

en devenant plus simples

et plus logiques

et en vous accordant du temps ...

pour faire un travail de fond ...

et après 2 ou 3 mois

de réseau-tage social ...

sondez la conscience politique des gens

nous ne sommes ni dupes ni c*ns ...

et tous nous savons

que la Main du TOUT-PUISSANT est avec le groupe

et que la vox populi est la vox dei

tout dépend de vous ...

vous voulez l'instant ...

ou le bien des futures générations ????

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Si vous voulez avoir une chance de réussir , virez Brerhi le fossoyeur de l'université algérienne ! C'est un nahss , croyez moi !

 

Le Fossoyeur de l'Université est le Système de Boumédiène issu du Régime post-62,...je me souviens bien des positions de Brerhi en tant que Ministre, pendant les évenements d'Avril 1980,..il était Ministre mais il avait pris des positions courageuses, quand même,...et je me souviens de lui pendant les années de l'ouverture démocratique, za3ma : 88-92..et puis, on ne peux virez une personne qui veut "virer" ce Pouvoir Maffieux ,..loll !!!

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un état-caméléon ...

qui intéresse tout le monde à cause du pognon

un président qui a pas mal bouquiné

depuis qu'il a été viré

qui des marcheurs pourrait

dans un face à face tête lui tenir

sans finir

par à ses arguments succomber ...

faîtes-vous une raison

en devenant plus simples

et plus logiques

et en vous accordant du temps ...

pour faire un travail de fond ...

et après 2 ou 3 mois

de réseau-tage social ...

sondez la conscience politique des gens

nous ne sommes ni dupes ni c*ns ...

et tous nous savons

que la Main du TOUT-PUISSANT est avec le groupe

et que la vox populi est la vox dei

tout dépend de vous ...

vous voulez l'instant ...

ou le bien des futures générations ????

 

L'algérien moyen te dira , ehyini el youm oueqtoulni ghoudoua :D

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Le Fossoyeur de l'Université est le Système de Boumédiène issu du Régime post-62,...je me souviens bien des positions de Brerhi en tant que Ministre, pendant les évenements d'Avril 1980,..il était Ministre mais il avait pris des positions courageuses, quand même,...et je me souviens de lui pendant les années de l'ouverture démocratique, za3ma : 88-92..et puis, on ne peux virez une personne qui veut "virer" ce Pouvoir Maffieux ,..loll !!!

 

Rani ngoulek belli dhak lebnadem "Nahss" :D , il ne peut y avoir de personne plus radioactive que le ******* qui appliqué le système annuel à l'université algérienne ! Il a donné le coup de grace à un secteur qui etait déja moribond.

 

Demandez lui de manifester ailleurs , à Bordj Badji Mokhtar par exemple ! :mdr:

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Cinq acteurs majeurs pour une crise

 

L’Algérie suivra t-elle la voie de la Tunisie et de l’Egypte ? Voici ceux qui vont décider du sort de l’ex colonie française.

 

Catherine Tardrew | Publié le 13.02.2011, 07h00

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ALGER (Algérie), hier. Les opposants à Bouteflika doivent notamment faire face à une armée toute puissante.

 

ALGER (Algérie), hier. Les opposants à Bouteflika doivent notamment faire face à une armée toute puissante. | (MAXPPP/MOHAMED MESSARA.) Zoom

 

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1 Abdelaziz Bouteflika

 

A 73 ans, au pouvoir depuis 1999, le président algérien issu du FLN, veut s’accrocher. S’il concentre entre ses mains l’essentiel du pouvoir, il est âgé et malade. On le voit rarement. Son départ, de toute façon, ne remettrait pas en question le fonctionnement du système.

 

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* Et si l’Algérie basculait aussi ? Et si l’Algérie basculait aussi ?

 

* Tunisie : Ben Ali chassé du pouvoir, la France «ne souhaite pas» l'accueillir

* Libre et en fête, l'Egypte vit sa première nuit sans Moubarak

 

Ce sont certains cercles de l’armée qui l’ont installé aux affaires, aux termes de négociations acharnées. Sa succession est sans doute déjà à l’étude. A son départ, éventuellement pour raisons de santé, les « décideurs » lui trouveraient sans problème en remplaçant.

 

2 L’armée

 

Elle est toute puissante en Algérie. Elle tire sa légitimité de la guerre d’indépendance contre la France. Quand le FIS (front islamique du Salut) a gagné les premières élections libres, elle a sifflé, très vite, la fin de la récréation. Si elle laisse l’économie se développer suivant un modèle capitaliste et libéral, elle décide du reste. Elle a à sa tête des clans pas toujours en parfait accord entre eux, mais qui se ressoudent s’ils sentent l’institution menacée. Riche grâce à la manne pétrolière, elle profite à fond du système. Jalouse de son indépendance, elle est, à la différence de l’armée égyptienne, très peu sensible aux influences étrangères. Reste que les généraux, qui étaient de jeunes officiers de l’ALN (Armée de libération nationale) avant 1962, sont maintenant à la retraite, même s’ils veillent au grain. Le souci principal pour eux est de ne pas se retrouver devant un tribunal international, pour les exactions qu’ils auraient pu commettre lors de la lutte contre les islamistes.

 

3 Le peuple

 

La contestation actuelle est, selon l’historien Benjamin Stora, une « avant-garde qui n’est pas parvenue à centraliser un mouvement diffus qui existe dans toute l’Algérie ». Mal de vivre, diplômés sans emploi, un peu partout des jeunes gens essaient de se révolter ou de fuir un pays qui n’offre aucune perspective d’avenir. Les « harragas » (NDLR : les brûleurs de frontières) prennent la mer, dans des embarcations précaires, pour traverser la Méditerranée, d’autres se sont immolés. Ils sont des centaines de milliers, voire des millions à communiquer grâce à Twitter ou Facebook. Mais fort de ses 120 milliards de dollars de réserves de change, venus des hydrocarbures, le pouvoir pourrait lâcher du lest, baisser le prix du pain et ou celui du lait par exemple.

 

4 Les partis politiques

 

Influents à la fin des années 1980 et au début des années 1990, ils sont aujourd’hui usés. On est loin des marches qui réunissaient, à cette époque, des foules énormes dans les rues d’Alger. Laminés par le pouvoir, déchirés par des luttes internes, ils ont du mal à embrayer sur le mouvement actuel. Jusqu’à maintenant, fort d’une longue expérience et d’énormes moyens, le pouvoir algérien a pu gérer l’agitation. Mais galvanisés par les renversements des régimes égyptien et tunisien, les contestataires pourraient radicaliser leur lutte et s’installer dans la durée. Le président Bouteflika a promis la levée de l’état d’urgence, instauré en 1992, et juré d’ouvrir les médias officiels à l’opposition, signe qu’au sommet de l’Etat on est inquiet, et que l’on craint la contagion.

 

5 Les islamistes

 

Ils n’ont pas rejoint le mouvement contestataire. Le prédicateur salafiste Cheikh Abdelfetah Zeraoui estime que les organisateurs des marches « ne sont pas le peuple algérien ». Ali Belhadj, l’un des fondateurs du FIS , a été mal reçu par la foule quand il a voulu rejoindre un rassemblement le 22 janvier dernier. Mais surtout, le souvenir de la décennie noire des années 1990, et de ses 200 000 morts, est encore trop récent. S’il reste des groupes armés, dont certains appartiennent à Aqmi (Al-Qaïda au Maghreb islamique), ils ne sont plus très nombreux, quelques centaines de combattants, et ne représentent pas une réelle menace. Le FIS reste interdit.

 

Le Parisien

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Appel à une marche populaire le 19 février à Alger

El Watan.com du 13.02.11

 

La coordination nationale pour le changement démocratique ( CNCD ) en Algérie, qui s'est réunie dimanche à Alger pour faire le bilan de la marche repriméé, samedi 12 février à Alger, a lancé un appel à une nouvelle marche pour le 19 février prochain.

 

Elle s’est également entendue sur le principe d’une grève générale pour les prochains jours. Cette option devrait être en revanche décidée en concertation avec les différents partenaires sociaux.

 

La coordination, qui a jugé que son action de samedi a été plus que positive, veut élargir ses rangs à d'autres acteurs de la société civile.

 

D'autre part les membres de CNCD compte mettre à profit la semaine qui commence, pour informer et sensibiliser les citoyens sur les enjeux du combat politique pour le changement démocratique en Algérie.

 

Marche ou grève ce sera un autre fiasco. Ils n'ont pas compris que la sauce ne prend pas. Par contre ils sont arrivés à se mettre à dos un très très grand nombre de jeunes et moins jeunes Algériens.Il faut consulter les autres forum,facebook,twiter etc... vous serez fixés.

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Marche ou grève ce sera un autre fiasco. Ils n'ont pas compris que la sauce ne prend pas. Par contre ils sont arrivés à se mettre à dos un très très grand nombre de jeunes et moins jeunes Algériens.Il faut consulter les autres forum,facebook,twiter etc... vous serez fixés.

 

..JE suis sur Facebook, Twitter et d'autres Forums, comme FA,...il y a des pour et des contre, c'est ça la démocratie,... c'est à toi de convaincre le bien fondé de ta lutte, mon ami, sans dénigrer et critiquer pour critiquer !!!!!

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il est de Batna, je crois, tu crois qu'il poura faire sortir les Batnéens ?:D

 

Non , il est de Ain El Beïda , c'etait un grand biologiste avant de commettre l'irréparable en entrant en politique.

 

Pour les Batnéens et les gens des Aures , vous n'aurez aucune chance , car ces gens sont programmés depuis l'indépendance à se mettre au garde à vous des qu'on leur fredonne Kassaman !

 

Si la révolution réussira (incha allah ! ), j'irais leur parler puisque je suis originaire de cette région . Mais je ne garantit rien ! :D

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Guest D. ESSERHANE

makallah

si revendications, il y a...les initiateurs n'ont qu'à les présenter à l'Etat....

s'il ne les accepte pas, on sortira tous manifester dans la rue

 

de toute façon, moi, j'attends la réponse du président...il s'est dit disposé au dialogue...

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..il devrait, plutôt, commencer à participer aux Marches "pacifiques",....sinon, c'est le Maquis qui l'attendra !

 

le maquis ... une option comme une autre ...

bien sûr un maquis de gens civilisés ...

salim ... tu penses qu'au maquis ... on peut pirater les connexions wifi des ruraux ????

aujourd'hui ... un collègue s'est amené au bureau avec son i phone et s'est connecté en parasitant une connexion wifi ... de collègues habitant des logements d'astreinte ... la route à faire est risque d'être longue avec ce genre de comportement ...

 

et moi çà m'a fait un problème de plus à gérer ... j'espère qu'il ne va pas recommencer

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Manœuvres politiques

 

Par Omar Berbiche d'El Watan du 14.02.11

 

Face au défi de la Coordination nationale pour la changement et la démocratie (CNCD) de maintenir sa décision d’organiser samedi sa marche à Alger, Bouteflika était placé devant un choix cornélien. Tolérer la manifestation quitte à faire une entorse aux dispositions légales sur l’état d’urgence toujours en vigueur ; cela pour ne pas se mettre à dos les puissances occidentales qui ont multiplié, depuis la révolution tunisienne, les appels en faveur du respect des libertés et du droit d’organiser des manifestations pacifiques. Ou bien, opter, comme cela s’est passé, pour la manière forte en réprimant la marche. Tout en jouant sur la division des rangs pour tuer dans l’œuf le mouvement et le discréditer aux yeux de l’opinion nationale et internationale en engageant avec la Coordination nationale un bras de fer autour de la bataille des chiffres et de la mobilisation sur le terrain.

Fort instruit des expériences des révolutions tunisienne et égyptienne qui ont commencé dans les mêmes conditions, le président Bouteflika s’est gardé de jouer à la roulette russe. Comme l’ont fait les présidents déchus Ben Ali et Moubarak qui ont sous-estimé les capacités de la rue à faire trembler et tomber leur régime, croyant naïvement que la menace des coups d’Etat et la rébellion ne pouvaient provenir que de l’armée. Les images de répression de la marche retransmises par les télévisions étrangères ont offert une bien triste image de l’Etat de droit que nos dirigeants s’emploient, sans convaincre, à vendre à l’étranger. Il aura suffi d’une dose de violence de l’Etat comme celle que la place du 1er Mai a vécue ce samedi pour que la vitrine démocratique du pays volât en éclats. Se pose alors la question de savoir quelles sont les motivations réelles qui se cachent derrière la manière avec laquelle les autorités ont géré la manifestation de samedi.

Une gestion manifestement plus politique que policière contrastant avec la violence effroyable opposée à la marche du RCD. Le fait que les forces antiémeute aient empêché de façon musclée la marche tout en laissant, par ailleurs, les manifestants organiser un rassemblement à la place du 1er Mai qui aura duré près de 5 heures autorise à penser qu’il y eut un ordre d’en haut pour gérer politiquement l’événement en le sous-dimensionnant et en le décrédibilisant à défaut d’écraser la manifestation. Cette dernière option passe désormais aujourd’hui d’autant mal au niveau de l’opinion internationale qu’avec le nouveau contexte créé par les révolutions tunisienne et égyptienne, les dictateurs savent, à présent, que la répression ne fait plus recette.

En réussissant, par diverses manœuvres et intimidations, à réduire la portée numérique mais pas politique de la marche, le pouvoir a voulu montrer les limites des capacités de mobilisation de la CNCD et de l’opposition, d’une manière générale, dans la perspective de négocier la suite des événements en position de force. Bien que condamné à remettre rapidement le pays sur les rails des réformes démocratiques contrariées depuis son arrivée aux affaires, le président Bouteflika ne voudrait pas laisser l’initiative à la rue au risque d’apparaître comme un président désavoué par son peuple, contraint de quitter le pouvoir par une porte dérobée. Jusqu’où pourra-t-il aller dans les réformes qu’il pourrait engager ? A-t-il aujourd’hui toutes les cartes entre les mains pour décider du contenu et de l’agenda des réformes ?

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..JE suis sur Facebook, Twitter et d'autres Forums, comme FA,...il y a des pour et des contre, c'est ça la démocratie,... c'est à toi de convaincre le bien fondé de ta lutte, mon ami, sans dénigrer et critiquer pour critiquer !!!!!

Loin de critiquer ou de dénigrer voilà un point de vue d'un Français posté à partir de Paris.

 

 

Raphael Dufon de France : les algeriens de France ne soutiennent pas la pseudo révolte: preuve en est la faible mobilisation à Paris où les deux tiers n'était pas algériens (et précisons là qu'il n' y avait aucune interdiction, alors pas d'excuse à la faible représe..ntation). la majorité des Algériens de France savent que l'Algérie ce n'est pas l'Egypte, la Tunisie ou autres. L'Algérie a une autre histoire. Ils savent qu'elle se remet tout doucement d'une décennie noire. Quels pays auraient pu se relever d'un tel désastre, quels pays auraient pu rester unis et debout ?? Je me permets de rappeler à ceux qui souhaitent le chaos en Algérie, que la décennie noire à découler directement des émeutes de 1988, c'est de cela que vous voulez ?? vous voulez retournez 20 ans en arrière ?? Vous voulez encore des milliers de morts ?? Laissez le temps à l'Algérie de se relever, de construire doucement mais surement son évolution..!! Arrêtez avec vos pseudo révolution a la tunisienne ou à l'égyptienne manipulées par les américains et d'autres pseudo démocratie !! Vous croyez qu'il va se passer quoi en Egypte ? J'attends avec impatience les prochaines élections ! Un pion sera propulsé à la tête de ce pays et rebelote pour 30 ans ! Les occidentaux et autres alliés n'ont aucun intérêt à ce que les pays arabes se développent ! Regardez le LIBAN, un super pays qui renait toujours avec une force incroyable....Et bien non ! Dès que le Liban prospère : HOP on lui met une petite guerre qui le remet a sa place de pays en éternel développement. L'Algérie n'est pas à la botte des occidentaux. Alors laissez l'Algérie tranquille, laissez la prospérer doucement mais surement : rappelez-vous l'Algérie en 1990 et regardez ce qu'elle est devenu maintenant !! Laissez le temps au temps ! Ne l’a faite pas reculez de 20 ans. Alors je vous rassure les algériens de France sont tous derrière une Algérie stable économiquement et politiquement. Bouteflika a fait beaucoup pour l'Algérie en quelques années seulement ! Alors laissez-le finir son mandat (je rappelle qu'il a été élu). Qu'a fait Saïd SAIDI ? à part de tenter de diviser l'Algérie. Vive l'Algérie unis et STABLE !!!! L'Algérie ne se fera pas acheter comme se sont fait acheter d'autres !!! l'Algérie fait partie des pays au monde à n’avoir qu’une infime dette extérieure !! l'Algérie avait réglé sa dette, allez demander à Sarko ce qu'il en est de la dette de la France; même dans ces rêves les plus fous, il n'imagine payer la dette de la France. L'Algérie l'a fait !! Et maintenant place aux investissements. Vous exigez de l'Algérie qu'elle change en 5 ans ??!!! Laissez le temps au temps !!!! Vive l'Algérie UNIE, STABLE ET EN PAIX !!!

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