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Sit-in d'étudiants à Alger:"ils nous massacrent..."


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Des étudiants ont été violentés dimanche soir par la police antiémeute, devant le siège du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, à Ben Akoun, sur les hauteurs d’Alger.

 

« Informez l'opinion publique. Ils sont entrain de nous bastonner », témoigne, l'un des étudiants, contacté par DNA.

Depuis jeudi 17 février, des centaines d'étudiants organisent un sit-in devant le ministère pour réclamer l'annulation des dispositions d'un décret présidentiel rendant équivalent le diplôme d'ingénieur d'Etat avec le master professionnel

 

Quelque deux cents étudiants de plusieurs universités du pays (Boumerdes, Oran, Constantine) qui comptaient passer la nuit devant le siège du ministère de l’Enseignement supérieur, sis à Ben Aknou sur les hauteurs d’Alger ont été violemment tabassés par les forces antiémeutes a appris DNA, auprès d’un groupe d’étudiants sur place.

 

« Informez l'opinion publique. Ils sont entrain de nous bastonner », témoigne, l'un des étudiants, contacté par DNA. « Ils sont entrain de nous massacrer! », lance un autre étudiant, joint également par téléphone.

 

Il était 18h passé lorsque les étudiants s’apprêtaient à tenir un sit-in devant le bâtiment ministériel. Mais, il ne fallait pas compter sans l’intervention musclée de services de l’ordre.

 

« On était devant le siège du ministère. Des policiers nous ont bousculés et molestés sur une centaine de mètres jusqu’à hauteur de l’INPS. Sur place, ce sont des forces antiémeutes qui ont pris le relais. Ils ont fait usage d’une violence inouïe. Les matraques se sont abattues sans discernement sur des étudiants pacifiques. C’est la répression totale », raconte un étudiant de Boumerdes, sous couvert de l’anonymat, encore sous le choc face à la brutalité des forces de l’ordre.

 

Violemment dispersés, les étudiants n’ont du leur salut qu’en allant se refugier dans l’enceinte de l’Institut nationale de la planification et de statistiques (INPS). « Ils ont essayé de rentrer et nous avons bloqué le portail. D’autres policiers sont venus en renfort », confie notre interlocuteur

 

On dénombre plusieurs blessés dont trois ont été évacués par la protection civile vers l’hôpital le plus proche. « Certains sont touchés à la tête, d’autres au niveau des bras. Les blessés légers ont reçus les premiers soins sur place », ajoute-t-il.

 

Un autre étudiant, Yacine, dénonce « une descente punitive » des forces de l’ordre. « La semaine passée, nous sommes venus passer la nuit pour réclamer l’annulation du décret présidentiel. Il n’y avait pas de grabuge. On n’imaginait pas une seconde que des éléments de CRS, épaulés par des policiers, allaient nous réprimés de la sorte », s’indigne Yacine.

 

Et d’ajouter : « De plus, ils ont violé les franchises universitaires. Ils se sont stationnés dans un endroit qui appartient à l’enceinte même de l'Institut où nous sommes barricadés ».

 

Les étudiants comptent passer la nuit à l’intérieur de l’INPS pour échapper à la répression des forces antiémeutes.

« Les CRS se sont scindés en deux groupes. L’un, stationnant devant la direction des Forets et l’autre devant le siège du ministère. Ils sont aux aguets. Nous ne pouvons pas sortir.

C’est pourquoi on va passer la nuit à l’institut pour éviter qu’on nous interpelle », nous confie –t-il.

 

La révolte estudiantine prend de plus en plus de l'ampleur.

Mercredi dernier, ils étaient 3000 personnes à observer un rassemblement devant le ministère pour protester contre un décret ministériel.

Quelque 200 étudiants ont passé la nuit d'après sur place en signe de protestation.

 

Hermétique le jour, le ministre a tenté d'engager des négociations nocturnes avec les contestataires. Les étudiants sont restés constants dans leur position

 

Depuis jeudi 17 février, des centaines d'étudiants organisent un sit-in devant le ministère pour réclamer l'annulation des dispositions d'un décret présidentiel rendant équivalent le diplôme d'ingénieur d'Etat avec le master professionnel.

 

Une équivalence que les étudiants n’hésitent pas qualifier d’« humiliante ».

 

 

La police disperse violemment un sit-in d?étudiants à Alger : « Ils nous massacrent...»

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Je suis consterné de lire cela , ici en france aucun journal n'as rapporté ces fait , si vous avez des videos ou des photos s 'il vous plais poster les , si vous voulez mon mail demandez le moi en mp et je diffuserais partout ou je pourrais , je tien un blog qui est pas mal visité et je connais plusieurs plateforme en dehor de facebook qui peuvent relayer cette répression injustifiée de la jeunesse algérienne , internet est le seul média sur lequel les puissant n'ont pas la main mise totalement (pour le moment)

:mad:

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Guest petite princesse

pour l'info une grande manifestation est prévue pour demain ,pour répondre aux salauds et leurs transmettre un msg qu'ils nous ne feront pas peur ,c'est nos droits et on va les défendre jusqu'au bout ,on a rien fait ,les étudiants n'ont même pas toucher à la porte du ministère wellah c'était bien organisé ,mais c toujours comme ça chez nous ,ils font taire les gens par tout les moyens

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Guest jagellon
pour l'info une grande manifestation est prévue pour demain ,pour répondre aux salauds et leurs transmettre un msg qu'ils nous ne feront pas peur ,c'est nos droits et on va les défendre jusqu'au bout ,on a rien fait ,les étudiants n'ont même pas toucher à la porte du ministère wellah c'était bien organisé ,mais c toujours comme ça chez nous ,ils font taire les gens par tout les moyens

 

 

Merci pour l'information.Stp essaye de nous en informer demain et fais attention à toi.

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La police réprime des étudiants devant le siège du ministère de l'Enseignement Supérieur

 

Les forces de l'ordre ont tenté lundi matin de disperser par la force plusieurs centaines d'étudiants protestataires à Ben Aknou, au niveau du siège du ministère de l'Enseignement Supérieur.

 

Les étudiants qui ont décidé de reconduire leur mouvement de protestation sont déterminés à se rassembler devant le département de Harrouabia.

Mais les policiers, mobilisés en nombre, ont empêché ce nouveau sit-in.

Ils n'ont pas hésité également à recourir à la matraque pour effrayer et terrifier les étudiants.

 

Une très forte tension règne lundi matin à Ben Aknou où plusieurs centaines d'étudiants ont tenté de forcer le cordon de sécurité mis en place au niveau du siège du ministère de l'Enseigmenet Supérieur.

Des "Casques Bleus" et des "CRS" se sont installés tôt la matinée devant le département de Harrouabia pour empêcher une nouvelle manifestation de colère des étudiants grévistes.

 

Par conséquent, quelques affrontements ont éclaté entre les forces de l'ordre et des centaines d'étudiants qui réclament haut et fort leur droit à manifester pacifiquement.

Repoussés et malmenés par les services de sécurité, ces étudiants ont décidé ainsi de bloquer la route qui mène vers le ministère de l'Enseignement Supérieur.

 

"Nous resterons ici jusqu'à l'aboutissement de notre combat. La matraque et la répression ne vont pas nous effrayer.

On ne se laissera pas faire comme ça. On se battra jusqu'au bout", s'écrient des étudiants que nous avons joint par téléphone.

Ces derniers ont confirmé que les foules estudiantines scandent en ce moment des slogans contre le régime.

 

"Pouvoir Assassin," ont lancé, en effet, ces étudiants grévistes qui ne comprennent pas pourquoi on les réprime alors qu'ils ne tenaient "qu'un rassemblement pacifique" !

 

 

Abderrahmane Semmar

 

Alger : La police réprime des étudiants devant le siège du ministère de l'Enseignement Supérieur - Actualité - El Watan

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Voila des étudiants qui ne veulent pas qu'on clochardise leurs diplômes...le minstre ne veut même pas ls recevoir....on les tabasse!

 

Comment peut-on encore oser se poser des questions sur ces voyous (trabendistes intellectuels) qui nous gouvernent!

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Guest petite princesse

bein voilà nous étudiants nous sommes sorties aujourd'hui réclamer nos droits et défendre nos camarades qui étaient massacré hier par la police ,on a rien fait que manifester en levant nos carte d'étudiants ,mais les forces de l'ordre nous ont pris pour des voyous ,ils n'ont pas hésiter à lever leur matraque sur nous et ils nous ont empêcher d'arriver au ministère ,à un moment donnée on a eu tous peur et en même temps on s'est mit en colère ,les casques bleu nous en encerclé ,y avait des blessés et d'autre ont perdu conscience lors du tapage vue que les policiers ont essayer de nous faire reculer

 

mais comme on était vraiment unie et après une vraie lutte on a pu dépasser la barrière des policiers en levant tjr nos carte d'étudiants

 

voilà notre Etat nous a pris pour des voyous et a envoyer ses chiens nous battre

 

pouvoir assassin je crois que c l'expression qui nous a aider ,ils ont eu peur que les choses s'aggrave ,donc ils nous ont laisser un peu de liberté pour manifester

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La Révolution Tranquille: CAC-D.DZ (et pourquoi pas)

 

Dans cette vie, soit on est des meneurs soit on est des pions manipulés par d’autres. On opte pour le changement, OUI, soit pour nous assurer une bonne vie démocratique soit pour offrir à des profiteurs et des manipulateurs le pouvoir, avec tout les moyens (grabuge, violence, etc.), sans même ce poser de questions sur leur vrais intentions.

 

La question qui se pose : mais comment faire????

 

Nous les ALGERIENS, on connait la violence mieux que quiconque dans ce bas monde. On nous dit que c’est dans nos gènes. OUI, mais entre nous, est ce que on est censé et sensé réagir de la sorte.

 

Notre grand problème en ALGÉRIE réside dans le partage inéquitable de la richesse. Il ne faut pas ce voler la face, mais les gens au pouvoir ne sont pas les seuls à voler l’argent du peuple. Une grande partie du peuple se donne le droit de piger du coffre. EST-CE NORMAL.?

 

 

JE PROPOSE d’amorcer une opération de nettoyage du système des corrupteurs avec les moyens qu’on dispose. Comment? Une éventualité, c’est de monter un site internet (toile) pour la cause : Chasse aux Corrupteurs – Dénonciation (Toile : CAC-D.DZ). Toute personne ayant des preuves concrètes (document officiel, etc.) est invitée à le déposer sur la toile. On va éviter le plus possible de faire d’allégations ou des spéculations non fondées pour donner de la crédibilité à notre action.

 

Une autre fois, on amorce une action, après, on va surveiller la réaction, de qui ou de quoi, mais de DAME-JUSTICE. Notre système judiciaire reste le meilleur moyen pour aboutir à nos fins surtouts si l’action se fait EN PUBLIQUE.

 

On n’arrête pas de dire qu’on est en 2011, et qu’on est plus instruit, civilisé, etc., foutaises. Nous les Algérien, on est comme un produit inflammable (c’est une opinion personnelle). Mais si vous pensé que ce n’est pas vrais à 100%, ou qu’on a trop souffert dans cette vie, qu’on veut changer de cap, et que CAC, alors, il nous reste que le D.

 

Alors, est ce que vous en pensez!!!!

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Il y a eu incontestablement usage abusif de la force :eek: :eek:

 

Les policiers semblent bien décider à "mériter" les 50 pour cent d'augmentation :crazy::crazy:

 

Ces policiers , aussi , traduisent le mépris de la société , du système envers les étudiants , la science , la recherche ......... nonobstant le niveau catastrophique de l'enseignement en Algérie .

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bein voilà nous étudiants nous sommes sorties aujourd'hui réclamer nos droits et défendre nos camarades qui étaient massacré hier par la police ,on a rien fait que manifester en levant nos carte d'étudiants ,mais les forces de l'ordre nous ont pris pour des voyous ,ils n'ont pas hésiter à lever leur matraque sur nous et ils nous ont empêcher d'arriver au ministère ,à un moment donnée on a eu tous peur et en même temps on s'est mit en colère ,les casques bleu nous en encerclé ,y avait des blessés et d'autre ont perdu conscience lors du tapage vue que les policiers ont essayer de nous faire reculer

 

mais comme on était vraiment unie et après une vraie lutte on a pu dépasser la barrière des policiers en levant tjr nos carte d'étudiants

 

voilà notre Etat nous a pris pour des voyous et a envoyer ses chiens nous battre

 

pouvoir assassin je crois que c l'expression qui nous a aider ,ils ont eu peur que les choses s'aggrave ,donc ils nous ont laisser un peu de liberté pour manifester

 

Seule une grève générale à l'échelle nationale réglerait ce problème !!!!!

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ce sont ces derniers qui méritent vraiment notre soutiens, c'est pour eux qu'on doit manifester c'est pour eux qu'on doit réagir c'est pour eux qu'on doit risquer sa vie

 

 

yeeww petite princesse ye bente homti :D douk antame gaa wled el houma :D ou ndjib meme s'hab el ceriere :D...

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ce sont ces derniers qui méritent vraiment notre soutiens, c'est pour eux qu'on doit manifester c'est pour eux qu'on doit réagir c'est pour eux qu'on doit risquer sa vie

 

 

yeeww petite princesse ye bente homti :D douk antame gaa wled el houma :D ou ndjib meme s'hab el ceriere :D...

 

Désolée mais tous ceux qui bataillent pour leurs droits quels qu'ils soient ont droit à mon soutien.

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Guest petite princesse
Seule une grève générale à l'échelle nationale réglerait ce problème !!!!!

 

pour l'instant presque ou toute les écoles supérieurs d'alger sont en grève plus l'université de babez ,et ça a toucher aussi les autres wilayas ,oran boumerdesse ,blida ,et d'autre wilaya ça se généralise petit à petit

qu'il y est un changement radicale du système universitaire une fois pour toute ,pcq y en a marre de l'actuel

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Désolée mais tous ceux qui bataillent pour leurs droits quels qu'ils soient ont droit à mon soutien.

 

moi je le suis aussi mais, je préfère commencer par les priorités, car une chose est plus nécessaire qu'une autre

 

je préfère soutenir les étudiants d'abord car c'est eux l'avenir qui pourra structurer une révolution digne de ce nom

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Club des étudiants de l'INPS (ENSSEA), BenAknoun | Facebook

 

 

voilà je vous invite à cette page de facebook où sont publier les preuves sur ce qui est passer hier et aujourd'hui

 

victime rak tchouf wellah loukan nejiboulhoum welad leblad (madabik jib welad jama3lihoud ,hadouk wa3rine)etchouf wellah ma yedirolhoum wallou

 

 

ah wled le bled rahom yen9ardou ou izidou lool, en plus wled djama3lihom rahom gaa felhabse :D

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moi je le suis aussi mais, je préfère commencer par les priorités, car une chose est plus nécessaire qu'une autre

 

je préfère soutenir les étudiants d'abord car c'est eux l'avenir qui pourra structurer une révolution digne de ce nom

 

Tu ne peux faire qu'une seule chose à la fois???:eek:

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