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Un petit poème pour remercier

Ce super sentiment que j'aime chanter

Ce sentiment est un peu une âme

Car sans lui, jamais nous existâmes

Vous l'avez compris

C'est le meilleur que j'ai choisi

Cette sensation s'appelle “Amitié”

Quelque chose que personne ne pourra changer

Commençons par une petite explication

Peut-être serait-ce mieux en chanson

L'amitié est comme une crèpe sucrée

Quelque chose que l'on peut toujours manger

L'amitié nous aide à se sortir d'un problème

Quand c'est nous qui chantons la bohème

Ou quand quelqu'un se moque de nous

Elle nous tire de là, à tous les coups

L'amitié est se qu'on partage avec les amis

Ces gens qui seront à jamais dans notre coeur

Pour nous n'éprouvons aucune rancoeur

Et ce sont à eux que l'on sourit

En bref, pour terminé ce poème

L'amitié est indispensable

Elle ne se compte qu'en grains de sable

Eh oui, l'amitié est quelque chose que l'on sème

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Merci pour le partage et cet hymne à l'amitié.

 

 

 

 

L’amie.

 

Je te vois venir en amie,

 

Angoissée et déjà blessée,

 

Toute tremblante et craintive pénétrée ma

vie,

 

Pour te rassurer, j’ai tenu ta main, et

baiser ton front

 

Caressant ta joue rose bébé, séché tes

larmes.

 

Ton regard hagard, inquiétant et

implorant,

 

Réconforté par ce doux visage amical et

veillant

 

Pour calmer la peur de ce cœur égaré et

soufrant

 

Je t'encense de mes espoirs multiples,

 

A couleurs vivent éblouissantes.

 

Je n'arrive plus à maîtriser ce conte de

fée

 

Survolé de youyous magiques et honorant,

 

Te souhaitant la bienvenue auprès de ton

nouvel ami,

 

Celui que tu appelais mon amant,

 

Celui qui a mit tant de bonheur.

 

Sur ce cœur blessé, solitaire et pénitent,

 

Te voilà, aujourd’hui, bien portante et

guérie,

 

De tes souffrances passées et de moi

 

Toutes lumières et voix éteintes,

 

Sans nouvelle de toi,

 

Ignorant ce nid de passage accueillant,

 

Pour oisillons, sans espoir, perdus

 

Je souris à ton éveil tardif,

 

je t’encourage à reprendre ton envol,

 

Auparavant,et prématurément, suspendu,

Va petit, vol vers ta liberté,

 

Vers cet, nouvel, espoir inattendu,

 

Je garderais de toi, ce visage sincère,

 

Ces yeux noir qui m'avaient ensorcelé,

 

Ce regard intense me fixant droit dans

les yeux.

 

Adieu oisillon chérie.

 

r.b.

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