byrham 10 Posted February 24, 2011 Partager Posted February 24, 2011 Voici une réponse trouvée sur le site "El Watan" qui résume bien, je pense, la situation en Algérie : Posté par WAPOTI2, 23 Février, 2011 ACTE1 ; LIQUIDATION DES HOMMES POLITIQUES ET HISTORIQUES Depuis quand le pouvoir algérien est illégitime ? Le coup d'état du Caire contre les politiciens tels que Abane, la guerre de l'été 1962, le coup d'état contre la première assemblée constituante et c'est la seule légitime car le peuple a voté dans la joie pas dans la peur comme dans toutes les élections qui suivirent. Je pense que c'est vrai nous ne sommes pas la Tunisie ou l'Égypte mais il faut reconnaitre à ces deux peuples leur courage, leurs intellectuels ne sont pas corrompus et leurs peuples, même s'ils sont damnés depuis longtemps par les régimes de Ben Ali et Moubarak, ne sont pas frappés d'amnésie car nous, c’est cela notre plus grand problème. On se dit qu'on est les meilleurs, mais en réalité la peur nous hante jusqu'à la moelle car si on fait une légère rétrospective déjà dans les années 60 on pourra se faire l'idée sur la nature du régime qui devenait féroce et capable de tout au fil des années. Regardons un peu en arrière : - 5 juillet 1962 Indépendance du pays même la date est fausse car la véritable indépendance est soit le 19 mars 1962 ou bien le 03 juillet 1962 date du référendum et du Oui pour l'autodétermination. - 25 juillet 1962 : l'armée des frontières aidée d'éléments de la wilaya I s'empare des villes de Constantine, Annaba et Skikda : 50 morts. Plus de 100 citoyens sont arrêtés. - 30 juillet 1962 : Mohamed Boudiaf, membre fondateur du FLN et ministre du GPRA est arrêté à M'sila par des militaires de la wilaya I, agissant pour le compte de l'armée des frontières. - 20 août 1962 : Des hommes armés à la solde de l'armée des frontières tirent sur des maquisards de la wilaya 4 à Alger : nombreux morts et blessés. - 29 août 1962 : Violents accrochages entre éléments infiltrés de l'armée des frontières et maquisards de la wilaya 4 à Alger : plus d'une dizaine de morts. - 30 août 1962 : L'armée des frontières attaque les maquisards de l'ALN sur plusieurs fronts : Bokhari, Masséna, Sour El Ghozlane et Sidi Aïssa. A L'aide de leur armement lourd, ils provoquent un véritable carnage dans les rangs des maquisards et de la population. Des témoins locaux parlent d'un millier de morts. - 1er septembre 1962 : Violents affrontements entre l'armée des frontières et les maquisards de la wilaya 4 à Boghari : plusieurs dizaines de morts et de blessés. - 4 septembre 1962 : violents combats entre l'armée des frontières et des maquisards à El Asnam bilan: 75 morts. - 7 septembre 1962 : Violents accrochages entre l'armée des frontières et des maquisards de l'ALN dans la vallée du Chélif (Chlef) : Plus de 120 morts. - 9 septembre 1962 : l'armée des frontières fait son entrée à Alger après plus de 2 mois de combats et plus de 1500 morts. - 11 avril 1963 : Mohamed Khemisti, ministre des Affaires Étrangères de Ben Bella, est abattu et décédera le 5 mai 1963. - 21 juin 1963 : Mohamed Boudiaf, membre fondateur du FLN et ministre d'État du GPRA est kidnappé au pont d'Hydra par des hommes armés de la police politique. Il sera déporté à Tabi, dans l'extrême-sud durant près de 5 mois. - 29 septembre 1963 : Saïd Ghrib, député à l'assemblée constituante, suspecté de sympathie au FFS est kidnappé par la police politique et meurt sur la table de torture. - 7 juillet 1964 : Arrestation de Abderrahmane Farès, ancien président de l'exécutif provisoire et député à l'assemblée Constituante. Il sera séquestré dans un centre de torture d'El Biar avant d'être déporté vers Béchar. - 19 août 1964 : Ferhat Abbas, 65 ans, ancien président du 1er GPRA et ancien président de l'assemblée Constituante de l'Algérie indépendante est arrêté à son domicile par la police et déporté à Adrar dans le Sud algérien durant 10 mois. - 3 septembre 1964 : Le colonel Chabani, plus jeune officier supérieur de l'armée de libération nationale et ancien chef de la wilaya VI, est fusillé par l'armée des frontières. - Fin 1963-1964 l’armée du groupe de Oujda massacre plus de 400 martyrs de la démocratie en Kabylie, nombreux sont ceux qui ont participé à la guerre de libération nationale, car ils ont osé dire non à la confiscation des libertés au lendemain de l’indépendance, non à la dissolution de l’assemblée constituante qui allait jeter les véritables jalons de la démocratie en Algérie. Cependant pour détourner l’opinion publique ainsi que celle internationale, on invente de concert avec Hassan2 la guerre des sables pour déstabiliser et étouffer la révolution pour l’instauration de la démocratie. Ce jeu d’ennemi voisin est de mise toujours avec le Maroc. C’est cela quel régime est menacé de l’intérieur. - 12 avril 1965 : Aït Ahmed, membre fondateur du FLN et ex-député de l'Assemblée Constituante est condamné à mort par un tribunal d'exception. - 19 juin 1965 : Coup d'État du colonel Boukharouba contre Ben Bella, qui sera séquestré durant 14 ans sans jugement. - 4 janvier 1967 : Mohamed Khider, membre fondateur du FLN ex ministre du GPRA est assassiné par la police politique à Madrid. - 16 décembre 1967 : Le colonel Saïd Abid est “suicidé ” dans son quartier général de Blida. Des rumeurs font état de son élimination par deux ex-sous-officiers de l'armée française. (sa tête retrouvée à Cherchell) - Janvier 1968 : Le colonel Abbas meurt mystérieusement sur la route Cherchell-Alger. Des rumeurs font état de sa liquidation suite au coup d'État manqué de Zbiri. - 27 avril 1968 : Tentative d'assassinat du colonel Boukharouba au palais du gouvernement, perpétré par d'anciens compagnons du colonel Zbiri. - 1er septembre 1968 : Ahmed Francis, député dans la 1ère assemblée constituante, puis ministre des finances le 27 septembre 1962, décède à Genève (Suisse) - 7 avril 1969 : La Cour “révolutionnaire ” d'Oran (tribunal d'exception) condamne à mort par contumace, Krim Belkacem, membre fondateur du FL N et signataire des accords d'Évian : le 18 octobre 1970 il est étranglé et pendu dans un hôtel de Francfort (Allemagne) par la police politique d'Alger. Citer Link to post Share on other sites
byrham 10 Posted February 24, 2011 Author Partager Posted February 24, 2011 Pourquoi les ALgériens ont peur ? (suite) ACTE 2 : SEMER LA PEUR AU MILIEU DU PEUPLE Celle-ci n’est qu’une décennie destinée à la liquidation ou emprisonnement des historiques ou hommes politiques par l’armée des frontières ou bien les négociateurs parallèles d’EVIAN dixit Louis Joxe . Viendra ensuite la période ou ces têtards laissés par le colonialisme vont semer la peur par la terreur parmi la population prélude aux répressions de 1980 en kabylie, emprisonnement, torture et jugement des fondateurs de la première ligue algérienne des droits de l’homme , aussi les révoltes de 1985 à 1987 dans le constantinois, de l’oranais du Mzab, prélude au sanglant octobre 1988 . Puis vint l’avènement du changement politique avec la création de partis mais aussi de pseudo partis qui ont pour rôle de saper la démocratie et semer la terreur en présentant un choix bicéphale à la population, soit la terreur des radicaux du FIS ou bien maintenir celle des corrompus du régime à leur tête, les pseudo déserteurs de l’armée française. Puis viendra la période la plus sanguinaire du pays après la guerre de 54-62, et celle-là ils la commencent bien avec l’assassinat de l’un des pères de la révolution, d’un historique qui a échappé à la mort programmée depuis longtemps par les revanchards de l’Algérie française mais exécuté par ses sous-officiers préparés pour travailler avec eux durant l’indépendance. Puis vint la révolte des jeunes kabyles de 2001 ou les enfants du boycott scolaire ont assez grandi pour protester sur leur sort, mais la révolte est étouffée dans l’œuf par les sauveurs et les amis eternels de ce régime et qui réclament aujourd’hui le départ de ce même régime. Où va l’Algérie, après les tueries, les harragas et maintenant l’immolation. Que reste-t-il à ce peuple martyrisé, tétanisé par la peur, atteint psychologiquement à tel point qu’il a peur de marcher même tout seul de peur qu’on lui dise que fais-tu là près d’une mairie, d’une poste, d’une gare ,d’une daïra… L’Algérien aujourd’hui a hâte de rentrer à la maison, avant de parler politique ou sur son sort, il regarde d’abord si quelqu’un qu’il ne connaît pas ne l’entende. Il a peur qu’on lui enlève sa pension de moudjahid ou fils de chahid. Il a peur qu’on ne lui donne pas un logement, qu’on le licencie de son travail, qu’on lui demande de rembourser l’aide sociale à la construction. Bref il a peur..Il a peur…car on l’a programmé à avoir peur c’est tout. EST-CE UNE AMNESIE COLLECTIVE? Où sont nos intellectuels? Où est notre matière grise, la vraie, pas les arabo baathistes, je parle des partisans de la liberté sous toutes ses formes. Ne dit-on pas qu’un intellectuel doit produire des idées pour sauver son peuple et son monde aussi? Mais comme a dit le défunt Rachid Mimouni dans le fleuve détourné, nos spermatozoïdes sont subversifs selon l’administration coloniale et même celle postcoloniale car elle fait suite à la première sauf que dans la seconde on trouve beaucoup de Mohammed et des SI flan au lieu de Bernard. L’Algérien devient incontrôlable lorsqu’il atteindra son point de limite d’acceptation du mépris à son égard, là, aucune loi scientifique ,ni loi de programmation neuro psychologique ne pourra l’arrêter et les jeunes kabyles qui ont affronté la gendarmerie poings nus et torses-nus n’est qu’un simple échantillon de ce qui pourra se produire si le régime ne vient pas à son propre secours en instaurant de véritables réformes politiques, culturelles, identitaires, économiques et sociales … Sinon un jour LHEMLA TKOUN QWIYYA QWIYYA, dixit le groupe Ddebza , car la jeunesse et le petit peuple frappera partout ou il verra l’odeur du régime. Citer Link to post Share on other sites
Zqoqo 10 Posted February 24, 2011 Partager Posted February 24, 2011 C'est symptomatique de certains ici qui pensent qu'il n'y a que les kabyles qui créent des événements et donc ils n'y a qu'eux qui doivent figurer dans l'histoire ou j'ai mal lu ? ACTE 2 : SEMER LA PEUR AU MILIEU DU PEUPLE Celle-ci n’est qu’une décennie destinée à la liquidation ou emprisonnement des historiques ou hommes politiques par l’armée des frontières ou bien les négociateurs parallèles d’EVIAN dixit Louis Joxe . Viendra ensuite la période ou ces têtards laissés par le colonialisme vont semer la peur par la terreur parmi la population prélude aux répressions de 1980 en kabylie, emprisonnement, torture et jugement des fondateurs de la première ligue algérienne des droits de l’homme , aussi les révoltes de 1985 à 1987 dans le constantinois, de l’oranais du Mzab, prélude au sanglant octobre 1988 . Puis vint l’avènement du changement politique avec la création de partis mais aussi de pseudo partis qui ont pour rôle de saper la démocratie et semer la terreur en présentant un choix bicéphale à la population, soit la terreur des radicaux du FIS ou bien maintenir celle des corrompus du régime à leur tête, les pseudo déserteurs de l’armée française. Puis viendra la période la plus sanguinaire du pays après la guerre de 54-62, et celle-là ils la commencent bien avec l’assassinat de l’un des pères de la révolution, d’un historique qui a échappé à la mort programmée depuis longtemps par les revanchards de l’Algérie française mais exécuté par ses sous-officiers préparés pour travailler avec eux durant l’indépendance. Puis vint la révolte des jeunes kabyles de 2001 ou les enfants du boycott scolaire ont assez grandi pour protester sur leur sort, mais la révolte est étouffée dans l’œuf par les sauveurs et les amis eternels de ce régime et qui réclament aujourd’hui le départ de ce même régime. Où va l’Algérie, après les tueries, les harragas et maintenant l’immolation. Que reste-t-il à ce peuple martyrisé, tétanisé par la peur, atteint psychologiquement à tel point qu’il a peur de marcher même tout seul de peur qu’on lui dise que fais-tu là près d’une mairie, d’une poste, d’une gare ,d’une daïra… L’Algérien aujourd’hui a hâte de rentrer à la maison, avant de parler politique ou sur son sort, il regarde d’abord si quelqu’un qu’il ne connaît pas ne l’entende. Il a peur qu’on lui enlève sa pension de moudjahid ou fils de chahid. Il a peur qu’on ne lui donne pas un logement, qu’on le licencie de son travail, qu’on lui demande de rembourser l’aide sociale à la construction. Bref il a peur..Il a peur…car on l’a programmé à avoir peur c’est tout. EST-CE UNE AMNESIE COLLECTIVE? Où sont nos intellectuels? Où est notre matière grise, la vraie, pas les arabo baathistes, je parle des partisans de la liberté sous toutes ses formes. Ne dit-on pas qu’un intellectuel doit produire des idées pour sauver son peuple et son monde aussi? Mais comme a dit le défunt Rachid Mimouni dans le fleuve détourné, nos spermatozoïdes sont subversifs selon l’administration coloniale et même celle postcoloniale car elle fait suite à la première sauf que dans la seconde on trouve beaucoup de Mohammed et des SI flan au lieu de Bernard. L’Algérien devient incontrôlable lorsqu’il atteindra son point de limite d’acceptation du mépris à son égard, là, aucune loi scientifique ,ni loi de programmation neuro psychologique ne pourra l’arrêter et les jeunes kabyles qui ont affronté la gendarmerie poings nus et torses-nus n’est qu’un simple échantillon de ce qui pourra se produire si le régime ne vient pas à son propre secours en instaurant de véritables réformes politiques, culturelles, identitaires, économiques et sociales … Sinon un jour LHEMLA TKOUN QWIYYA QWIYYA, dixit le groupe Ddebza , car la jeunesse et le petit peuple frappera partout ou il verra l’odeur du régime. Tu cites nommément les kabyles, puis les kabyles, puis des généralités où les algériens sont victimes, mais tu présentes les kabyles comme seuls initiateurs de contestations, et comme seuls dignes de figurer dans l'historique. Les autres sont cités par région le mzab le constantinois. Pourquoi en parlant de l'Algérie et de ses enfants qui sont TOUS concernés, morts partout sur cette terre, tu fais ces distinction ? Les morts ne sont pas égaux ? J'en connais égorgés sur une route, qui n'étaient pas kabyles. Il faut les citer en évoquant "le m'zab" ? Mais pour les kabyles, on parle de "kabyles" ? Citer Link to post Share on other sites
Suicido 11 Posted February 24, 2011 Partager Posted February 24, 2011 résumé ?......... Citer Link to post Share on other sites
Guest vuqaruy Posted February 24, 2011 Partager Posted February 24, 2011 C'est symptomatique de certains ici qui pensent qu'il n'y a que les kabyles qui créent des événements et donc ils n'y a qu'eux qui doivent figurer dans l'histoire ou j'ai mal lu ? Tu cites nommément les kabyles, puis les kabyles, puis des généralités où les algériens sont victimes, mais tu présentes les kabyles comme seuls initiateurs de contestations, et comme seuls dignes de figurer dans l'historique. Les autres sont cités par région le mzab le constantinois. Pourquoi en parlant de l'Algérie et de ses enfants qui sont TOUS concernés, morts partout sur cette terre, tu fais ces distinction ? Les morts ne sont pas égaux ? J'en connais égorgés sur une route, qui n'étaient pas kabyles. Il faut les citer en évoquant "le m'zab" ? Mais pour les kabyles, on parle de "kabyles" ? Il a cité deux fois "Kabyles" alors que toi 7 fois!! Citer Link to post Share on other sites
Guest anincognito Posted February 24, 2011 Partager Posted February 24, 2011 Je ne pense pas que nous autres Algériens avons peur pour nos vies, c'est surtout un problème de confiance, et l'incertitude liée à la suite d'une éventuelle révolte. On ne veut plus donner pour ne rien recevoir par la suite, voire perdre beaucoup plus. Ps: Je n'ai pas lu l'article initiateur, car trop long. Citer Link to post Share on other sites
Wahrani 1 465 Posted February 24, 2011 Partager Posted February 24, 2011 Je ne pense pas que nous autres Algériens avons peur pour nos vies, c'est surtout un problème de confiance, et l'incertitude liée à la suite d'une éventuelle révolte. On ne veut plus donner pour ne rien recevoir par la suite, voire perdre beaucoup plus. ULAC L'CONFIANCE , ULAC ! :mdr: Citer Link to post Share on other sites
djallalnamri 10 Posted February 24, 2011 Partager Posted February 24, 2011 les arabo-bâathistes ils ont bon dos ... si au moins ils existaient ... ! el watan ... c'est un journal à la c*n ... qui aurait été plus honnête ... s'il s'appelait la nation ... ! Citer Link to post Share on other sites
Guest anincognito Posted February 24, 2011 Partager Posted February 24, 2011 lel watan ... c'est un journal à la c*n ... qui aurait été plus honnête ... s'il s'appelait la nation ... ! Plutôt La Patrie, non? :D Citer Link to post Share on other sites
Nytch 10 Posted February 24, 2011 Partager Posted February 24, 2011 On pourra dire que la roue à tourné pour beaucoup d'ambitieux de l'époque . Si Abbane Ramdane et Krim Belkacem avaient complotés (certains témoignage l'affirme ) avec les planqués pour trahir la confiance et faire éliminés les chefs Auressiens principaux obstacles à toutes les trahisons de la révolution . Ils seront à leurs tour assassinés par ces mêmes alliés d'hier . .. Citer Link to post Share on other sites
djallalnamri 10 Posted February 24, 2011 Partager Posted February 24, 2011 Plutôt La Patrie, non? :D comme il veut ... mais qu'il s'arrête de nous la jouer algérien ... alors que quand tu le lis ... tu as l'impression d'être a paris ... comme toi tu es à Oran tu auras l'impression d'être à Lyon !:D:mdr: Citer Link to post Share on other sites
Guest anincognito Posted February 24, 2011 Partager Posted February 24, 2011 comme il veut ... mais qu'il s'arrête de nous la jouer algérien ... alors que quand tu le lis ... tu as l'impression d'être a paris ... comme toi tu es à Oran tu auras l'impression d'être à Lyon !:D:mdr: Non, non, Oran, c'est Saint-Tropez :D Citer Link to post Share on other sites
djallalnamri 10 Posted February 24, 2011 Partager Posted February 24, 2011 Non, non, Oran, c'est Saint-Tropez :D yakha ... j'ai oublié ...: à lyon ... y'a pas la mer ...!!!!:D Citer Link to post Share on other sites
byrham 10 Posted February 25, 2011 Author Partager Posted February 25, 2011 Kabyles par ci ….. Kabylie par là …. !! Il est aberrant comment certaine personnes sur ce forum détournent un topic de son contexte à partir de leur propre préoccupation et leur vision très étroite des évènements d’actualité. Le sujet du topic est : « la peur des algériens » Le topic relate l’histoire de la révolution algérienne, de son origine et des principaux acteurs de cette révolution. La guerre de l’Algérie ne s’est pas faite dans les grandes villes mais bien dans les maquis des Aures et autres campagnes d’Algérie. Dans les villes il y avait certes une résistance qui livrait une bataille à l’OAS et à l’armée française mais là n’était pas la vraie guerre. Revenons à cette peur. Il est dit : « Que reste-t-il à ce peuple martyrisé, tétanisé par la peur, atteint psychologiquement à tel point qu’il a peur de marcher même tout seul de peur qu’on lui dise que fais-tu là près d’une mairie, d’une poste, d’une gare ,d’une daïra… L’Algérien aujourd’hui a hâte de rentrer à la maison et s’assoir face à la télé pour voir les chaînes étrangères, avant de parler politique ou sur son sort, il regarde d’abord si quelqu’un qu’il ne connaît pas ne l’entende. Il a peur qu’on lui enlève sa pension de moudjahid ou fils de chahid. Il a peur qu’on ne lui donne pas un logement, qu’on le licencie de son travail, qu’on lui demande de rembourser l’aide sociale à la construction. » « L’Algérien deviendra incontrôlable lorsqu’il atteindra son point limite d’acceptation du mépris à son égard, là, aucune loi scientifique, ni loi de programmation neuro psychologique ne pourra l’arrêter » Apparemment ce point limite d’acceptation du mépris n’est pas encore atteint, alors ….. attendons !!! Citer Link to post Share on other sites
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