Guest jazairia Posted February 25, 2011 Partager Posted February 25, 2011 On faisait croire il n'y a pas si longtemps que la jeunesse arabe n'est bonne que pour être des fans d'un chanteur par ci et d'une danseuse par la, qu'elle n'était bonne que pour être en face d'un film x et fantasmer sur telle ou telle actrice,n'était capable d'être a jour devant cette technologie des temps moderne ces moyens de communications si sophistiquées et n'utiliser le net que pour chatter et faire des connaissances et mater les filles derrière leur cams, une jeunesse hypnotisées par un passé dit glorieux et qui n'est plus et un présent qui est presque néant, une jeunesse qui n'a ni voix ni loi, vider de l'intérieur , une jeunesse qui n'a de soucis que pour les filles et comment les aborder dans les rues et rester des heures au téléphone en flirtant avec elles et leurs disant des poèmes d'amour, une jeunesse qui fuit ou dans la drogue ou sur les barques , fuit une réalité amère , on ne pouvait pas comptait sur cette jeunesse car juger trop passive et oisive et pire encore inutile mais depuis le défunt ( El Bouazizi , le Tunisien) voila cette jeunesse qui prouve qu'elle est là et en force ;une jeunesse capable de changer l'inchangeable et de casser toutes les théories et de dire et crier haut et fort "on est là" comme quoi chaque temps et chaque époque a ses hommes et chaque histoire a ceux qui l'écrivent , ouuuuuuuf! enfin la jeunesse arabe prouve qu'elle n'est pas inutile et que cette image stéréotypée du jeune arabe ne sachant qui il est ni ou il va , ça a changer et une autre image la remplacer......a suivre...... Citer Link to post Share on other sites
Guest samirovsky Posted February 25, 2011 Partager Posted February 25, 2011 23 ans d'humiliation en Tunisie 30 ans d'humiliation en Egypte 42 dans d'humiliation en Libye 35 dans d'humiliation au Yemen Wa ila akhirihi. Je n'accorde aucun crédit à ces gens. Ils replongeront dans une autre dictature pour une autre cinquantaine d'année. Rien à faire, c'est culturel. Citer Link to post Share on other sites
Guest jazairia Posted February 25, 2011 Partager Posted February 25, 2011 23 ans d'humiliation en Tunisie 30 ans d'humiliation en Egypte 42 dans d'humiliation en Libye 35 dans d'humiliation au Yemen Wa ila akhirihi. Je n'accorde aucun crédit à ces gens. Ils replongeront dans une autre dictature pour une autre cinquantaine d'année. Rien à faire, c'est culturel. Non , je ne suis pas d'accord avec toi, le vent du changement a bien et bel souffler je suis confiante rien n'est éternel , il ya un temps a tout l'ami. Citer Link to post Share on other sites
Guest samirovsky Posted February 25, 2011 Partager Posted February 25, 2011 Non , je ne suis pas d'accord avec toi, le vente du changement a bien et bel souffler je suis confiante rien n'est éternel , il ya un temps a tout l'ami. lakhbar idjibouh twala Tu verras à quoi ressemblera le vent de liberté des pays arabes. désolé d'être pessimiste, j'ai longtemps été optimiste. Citer Link to post Share on other sites
Wahrani 1 465 Posted February 25, 2011 Partager Posted February 25, 2011 lakhbar idjibouh twala Tu verras à quoi ressemblera le vent de liberté des pays arabes. désolé d'être pessimiste, j'ai longtemps été optimiste. C'est ce que je crains en effet ! Citer Link to post Share on other sites
Guest jagellon Posted February 25, 2011 Partager Posted February 25, 2011 lakhbar idjibouh twala Tu verras à quoi ressemblera le vent de liberté des pays arabes. désolé d'être pessimiste, j'ai longtemps été optimiste. C'est bon signe.Le plus grand pourcentage de pessimistes se trouve dans les pays développés. Citer Link to post Share on other sites
Bint al Quds 10 Posted February 25, 2011 Partager Posted February 25, 2011 lakhbar idjibouh twala Tu verras à quoi ressemblera le vent de liberté des pays arabes. désolé d'être pessimiste, j'ai longtemps été optimiste. L'essentiel est que cette jeunesse ne le soit pas et continue à transmettre cette maladie incurable qu'est l'espoir. C'est peut être idéaliste comme discours mais le résultat abouti en Tunisie, en Egypte (et actuellement en Libye espérons le inshaAllah) me laisse très optimiste! La répression a profité a cette jeunesse arabe qui en un temps record a réussi à se lever contre ce que ses ainées avaient trop longtemps accepter. Citer Link to post Share on other sites
Guest dounia25 Posted February 25, 2011 Partager Posted February 25, 2011 lakhbar idjibouh twala Tu verras à quoi ressemblera le vent de liberté des pays arabes. désolé d'être pessimiste, j'ai longtemps été optimiste. désolée mais moi aussi je suis pessimiste:confused: Citer Link to post Share on other sites
Guest mackiavelik Posted February 25, 2011 Partager Posted February 25, 2011 lakhbar idjibouh twala Tu verras à quoi ressemblera le vent de liberté des pays arabes. désolé d'être pessimiste, j'ai longtemps été optimiste. donc pourquoi de demander aux algériens de suivre le chemin du changement si on ca ne changera rien? donc les algériens ont raison de ne pas sortir manifester puisque ca donnera le meme résultat que les autres pays arabes...selon toi Citer Link to post Share on other sites
Guest samirovsky Posted February 26, 2011 Partager Posted February 26, 2011 donc pourquoi de demander aux algériens de suivre le chemin du changement si on ca ne changera rien? donc les algériens ont raison de ne pas sortir manifester puisque ca donnera le meme résultat que les autres pays arabes...selon toi Je ne te ferai pas dire le contraire. Citer Link to post Share on other sites
Guest mackiavelik Posted February 26, 2011 Partager Posted February 26, 2011 Je ne te ferai pas dire le contraire. ce qui veut dire?je suis trés optimiste en ce qui concerne les pays arabes qui ont dégagé leurs présidents donc ca ne contredit rien Citer Link to post Share on other sites
lemrid 10 Posted February 26, 2011 Partager Posted February 26, 2011 The End of the Arab Dream Muammar al-Qaddafi's fall won't just mark the close of an awful dictatorship -- it will end the Arab world's disastrous half-century-long affair with utopian governing fantasies. BY JAMES TRAUB | FEBRUARY 25, 2011 If Muammar al-Qaddafi falls, as seems increasingly likely, he will land with the rending crash of an immense, rigid object, like the statue of Saddam Hussein pulled down in Baghdad's Firdos Square. This is not because, despite his own delusions, Qaddafi mattered to the world remotely as much as Saddam did. Rather, it's because the Jamahiriya, or stateless society, he fostered in Libya constitutes the last of the revolutionary fantasies with which Arab leaders have mesmerized their citizens and justified their ruthless acts of repression since the establishment of the modern Arab world in the years after World War II. Qaddafi and the other junior officers who overthrew Libya's King Idris in a bloodless coup in 1969 were inspired by the revolt of the Free Officers in Egypt, who had similarly deposed an unpopular, pro-Western monarch in 1952. The Free Officers under Gamal Abdel Nasser declared a new socialist regime, confiscating the properties and eliminating the privileges of the old elite. Especially after the Bandung Conference of nonaligned nations in 1955, Nasser's pan-Arab vision, which would dissolve colonial borders in order to establish an Arab superstate, became the default ideology of a generation of young thinkers and activists in the Middle East. COMMENTS (0) SHARE: Twitter Reddit Buzz Bookmark and Share More... The leaders of the Libyan coup also called themselves the Free Officers. Nasser's own reputation had been destroyed by the disastrous outcome of the 1967 war with Israel, but Qaddafi and his co-conspirators saw themselves as the new generation of Arab revolutionaries. "Tell President Nasser we made this revolution for him," Qaddafi said in the aftermath of the coup. "He can take everything of ours and add it to the rest of the Arab world's resources to be used for the battle [against Israel, and for Arab unity]." Over the next few years, Qaddafi would forge pacts with his neighbors, including Chad, Egypt, and Sudan -- all of them far more populous than Libya -- in a vain and mostly ludicrous pursuit of Nasser's dream of a pan-Arab state. The Libyan leader's ambitions turned out to be yet more grandiose than Nasser's. Qaddafi's Green Book, first published in 1975, offered a design for a state ruled directly by its own citizens with none of the usual mediating institutions -- parties, parliaments, even central government. The revolution would abolish as well the institutions of private ownership. "Whoever possesses the house in which you dwell, the vehicle in which you ride or the income on which you live," Qaddafi wrote, "possesses your freedom, or part of it." This freedom, however, belonged not to the individual but to the collective, for "the individual is linked to the larger family of humankind like a leaf is to a branch or a branch to a tree. They have no value or life if they are separated." The Green Book was an exercise, if a daft one, in utopian totalitarianism. Qaddafi did in fact succeed in destroying Libya's political and economic institutions -- though only, of course, to remove obstacles to his own brand of despotism. Arab elites came to view him as a loose cannon and a dangerous crank. And yet his revolutionary language and his open support for violence against Israel and the West made him for a time a popular hero in the Arab world. In A History of Modern Libya, Dirk Vandewalle writes that "to many in Libya and within the region, there was something riveting and audacious about his analyses and his proposed solutions." Qaddafi "spoke the unpalatable truths that others" -- those elites -- "did not dare to articulate." Libya's hero offered deeply satisfying answers to the growing Arab sense of failure. The revolutionary ideology was the opiate of the Arab world, distracting citizens from the manifest failure of their rulers. In The Dream Palace of the Arabs, Fouad Ajami describes how an older cosmopolitanism, in tension with the West but assimilating its influences, began to give way in the 1950s to both sectarianism and totalitarian designs. Pan-Arabism broke on the shoals of the 1967 fiasco -- even if Qaddafi didn't get the message -- but Palestinian radicalism offered itself as an alternative unifying ideology. The militants argued, as Ajami writes, "that 'guerrilla warfare' or 'wars of national liberation' or 'revolution' would deliver Arab society from its superstitions and weaknesses." That, too, of course, turned out to be a hollow fantasy, though hatred toward Israel remains an instrument of solidarity and mobilization in the Arab world. The terrain of the Middle East is littered with these Ozymandian shards: pan-Arabism, Palestinian militancy, the "secular socialism" of the Baath Party in Iraq, the Islamic revival of Sudan (now facing the threat of disintegration), and finally the Jamahiriya. The ferocity and swift spread of the uprisings across the Middle East and North Africa have demonstrated the bankruptcy of these ideologies and highlighted the disgust of citizens who know all too well they've been sold a bill of goods. The rage in Libya, a relatively affluent and well-educated state by Arab standards, has been especially shocking; Qaddafi's citizens obviously view him not as a crank but a monster. The statues are crashing to earth. This is the Arab world's exit into history -- an exit from a sterile, walled-off place into a land of painful and consequential choices. The protesters assure journalists, and one another, that they are prepared for the burdens of citizenship, even if their experience of citizenship is only a few days old. They ought to be fully inoculated by now against glittering schemes that direct their attention away from their own well-being toward some remote good or distant enemy. But are they? The vacuum created by the collapse, not only of regimes but of belief systems, no matter how decrepit, could all too easily be filled by other all-encompassing systems -- thus the fear that Islamic radicals will hijack the revolution in Egypt, or that Bahraini Shiites will topple that country's Sunni regime and then profess their fealty to Tehran. History provides plenty of analogies: It took barely a decade for Russians to throw off the yoke of Communism, tire of their messy experiment with freedom, and embrace Vladimir Putin's soft authoritarianism. Libya is the country most likely to replace one totem with another. By eliminating all rival institutions, Qaddafi has ensured that there is nothing, and no one, to take his place. And should the country descend into chaos, the homegrown jihadists known as the Libyan Islamic Fighting Group, supposedly "rehabilitated" by a foundation run by the dictator's son, Saif al-Islam al-Qaddafi, might well make a bid for power, or at least seek to reorganize themselves. A post-Qaddafi Libya is likely to need outside help. Perhaps the Arab League should view the country as its first exercise in state-building. As for the others -- which at this point means Tunisia and Egypt -- it's possible, and maybe even likely, that on balance their new regimes will be less hospitable to the United States and Israel than were their predecessors. But those regimes will almost certainly be better for their citizens themselves -- more accountable to the public, more focused on human development, less ideological and bombastic. And if they're not, the voters can throw them out and try someone else. In his inaugural address, U.S. President John F. Kennedy said of the new countries of the developing world, "We shall not always expect to find them supporting our view. But we shall always hope to find them strongly supporting their own freedom." This was not just inaugural hot air. Whatever its foreign policy, a government whose legitimacy depends on delivering the goods to its citizens rather than on demonizing outsiders -- including the West -- will ultimately be a better partner for the United States. Citer Link to post Share on other sites
Guest snoop dogg Posted February 26, 2011 Partager Posted February 26, 2011 qui a dit que les arabes passaient leur temps à chater, à draguer? les fashos oui, certainement..et tiens pendant qu'on les tient, les généraux algériens.. qui se servent de cette pature pour fredonner ce même refrain, du maghrébin fainéant, qui veut pas travailler et profite du système.. assez çà suffit...marre de ces caricatures qui servent les ambitions d'états voyous, qui ont fait du maghreb, une prison à ciel ouvert... une jeunesse qui tchat? une jeunesse qui veut fuire sa terrible condition tout simplement, la drague comme succédané au bonheur.. pourquoi pas? certains se droguent, parait il même que certains se tuent..pour oublier... et ceux qui n'ont pas choisi la corde comme salut, ou le chiit comme invitation au voyage , ceux là, se retrouvent plongés dans le cahos...contraint d'assumer à eux seuls, cette ****** de réalité que les corrompus ont legué comme héritage... qui va faire relever l'Algérie? le FLN?, celui qui s'est servis dans les caisses et qui a fait condamner des déjeûneurs parcequ'ils n'étaient pas musulmans? celui qui a fait endosser la responsabilité des massacres sur le dos du FIS alors qu'il les a lui même planifié? il n'y a pas pire musulmans que le musulman lui-même, les maghrébins sont très fort pour faire dans l'ostentatoir, précher la bonne parole, mais dès qu'on touche à leur intérêts, ils sont près à décapiter des bébés.. allez défier un képi bleu ou vert quand vous n'avez que vos mains et votre bouche pour vous faire entendre, cette jeunesse a été sodomisé par le FLN, les algériens en sont non seulement conscient, mais ils veulent aujourd'hui agir.. mais agir ce n'est pas en agitant des vieux slogans de manifestants pacifistes, en faisant cela, le statu-quo n'aura que de beaux jours devant lui...au grand soulagement de la bande à bouteflica... agir c'est faire comme en tunisie, ou en lybie, c'est défier les "chiens" avec les armes, c'est quadrillé des villes, des régions, agir c'est faire acculer le pouvoir jusqu'à ses derniers retranchements, c'est investir le palais présidentiel comme on fait les américains avec le nid d'aigle d'Hitler... agir c'est risqué sa vie... il y a eu plus de 2000 morts dans le combat pour la démocratie au maghreb, par respect pour ceux qui ont donné leur vie à cet idéal, il faut que les algériens poursuivent ce combat qu'ils prennent les armes!! nos grands parents ont arraché leur indépendance dans le sang, on ne gagnera pas cette guerre contre le pouvoir, avec des slogans, j'en suis convaincu.. Citer Link to post Share on other sites
Guest samirovsky Posted February 26, 2011 Partager Posted February 26, 2011 C'est bon signe.Le plus grand pourcentage de pessimistes se trouve dans les pays développés. Je suis pessimiste pour l'Algérie mais optimiste pour ma vie personnelle hors d'Algérie. Nuance !! Et c'est qui m'a fait quitter le bled. Citer Link to post Share on other sites
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