Maverick 10 Posted February 26, 2011 Partager Posted February 26, 2011 La mise à l’écart de la scène politique du plus ancien chef des services de renseignement au monde serait-elle imminente ? Jeremy Keenan Septembre 2010 marque le vingtième anniversaire de la prise de fonction du plus ancien « chef des services de renseignement » en poste dans le monde. L’homme en question est le Général Mohamed « Toufik » Mediène, Directeur du Département du Renseignement et de la Sécurité (DRS) algérien. Il a été nommé à la tête du DRS en septembre 1990, 15 mois avant que les « Généraux algériens » ou le « Groupe » comme on les appelait à l’époque, et dont Mediène, alors colonel, faisait partie, annulent les élections qui auraient permis de porter au pouvoir le premier gouvernement islamique jamais élu démocratiquement. Être le chef des services de renseignement et de la sécurité de l’un des régimes les plus impitoyablement répressifs et corrompus au monde pendant 20 ans relève de l’exploit. Felix Dzerzhinsky, le fondateur de la Tcheka qui deviendra plus tard le KGB, a dans les faits « contrôlé » l’Union Soviétique pendant neuf ans (1917-1926); Lavrenti Beria, chef du NKVD, l’a terrorisée pendant 15 ans (1938-1953); le chef de la police d’Hitler, Heinrich Himmler, s’est suicidé au bout de 11 ans (1934-1945), quant au Général Hendrik van den Bergh, il a dirigé le Bureau of State Security (BOSS), les services de renseignement du régime de l’apartheid en Afrique du Sud, pendant 11 ans (1969-1980). Mediène les a tous surpassés. Pourquoi alors, juste au moment où Mediène atteint ce jalon extraordinaire, entend-on des rumeurs concernant sa mise à l’écart imminente de la scène politique ? La réponse tient en quelques mots : lorsque le chef du renseignement et de la sécurité d'un pays fait la une de l’actualité, il y a fort à parier qu'il a fait son temps. Au cours des neuf derniers mois, on a beaucoup parlé de Mediène, principalement à cause de la lutte qui l’oppose à Abdelaziz Bouteflika depuis l’élection de ce dernier pour un troisième mandat présidentiel en avril 2009. « L’homme fort » de l’Algérie Pour comprendre cette lutte, il faut revenir quelques années en arrière. Mediène a gravi les échelons de la hiérarchie sur un « tapis rouge » : il a été formé par le KGB en 1961 et soutenu par les chefs du premier service secret algérien. Pendant les années 90, lorsque l’Algérie était plongée dans sa « sale guerre » contre les islamistes, l’homme le plus puissant du pays était le Général Mohamed Lamari, chef d’état-major de l’armée algérienne. Mais lorsque le pays a renoué avec la paix et que les chars ont regagné les casernes, c’est Mediène qui est devenu « l’homme fort » du pays. La transition de la « guerre » à la « paix » et l’ascension de Mediène ont coïncidé avec la période entourant l’élection de Bouteflika à la Présidence de la République en 1999. Les faiblesses personnelles de ses semblables, telles que la propension à la corruption et les penchants sexuels, ont été des éléments fondamentaux dans la manière dont Mediène a exercé le contrôle. Il n’est donc pas surprenant que l’élément qui a décidé Mediène à accorder son soutien à Bouteflika en 1999 ait été la condamnation de ce dernier en 1983 dans le cadre d’un détournement de fonds des chancelleries algériennes, pour un montant total correspondant à 23 millions de dollars actuels, pendant qu’il était ministre des Affaires étrangères entre 1965 et 1978. Mediène est devenu « l’homme fort » incontesté de l’Algérie après les élections présidentielles d’avril 2004 et le limogeage inattendu de Mohamed Lamari qui a eu lieu quatre mois plus tard. Le complot qui a conduit à la mise à l’écart de Lamari comprenait un accord entre Bouteflika et Mediène visant à donner une nouvelle image de l’Algérie en écartant le général le plus haï à cette époque. Une fois Lamari parti, Bouteflika et Mediène se sont effectivement partagé le pouvoir pendant que le Général Smaïn Lamari (aucun lien de parenté avec Mohamed), l’adjoint de Mediène et chef de la Direction du contre-espionnage (DCE) faisait le « sale boulot ». Des ambitions grandioses Mediène est un homme extrêmement secret. Une seule photo de lui a été publiée et quasiment aucune de ses paroles n'ont été enregistrées. On suppose donc que son ambition de prendre le contrôle effectif du pays, si c’est bien de cela dont il s’agit, remonte à l’époque du départ de Lamari. Il existe toutefois un enregistrement de Mediène qui laisse à penser qu’il avait déjà un sens très développé de sa propre importance et de son pouvoir bien avant le « départ à la retraite » de Lamari. C’était en 1999, lorsque Fouad Boulemia a été interrogé et torturé par le DRS qui prétendait qu’il avait assassiné le leader du Front Islamique du Salut (FIS) Abdelkader Hachani. Au cours de son procès très controversé qui a duré une journée en avril 2001, Boulemia a rapporté qu’après avoir été torturé par des agents du DRS, Mediène est entré et lui a dit : « C’est moi le patron (ana rabha). Tu vas voir ce que je vais te faire. Si tu avoues que tu as tué Hachani, tu écoperas de 15 ans de prison et tes parents pourront te rendre visite. Si tu n’avoues pas, je vais t’emmener chez ta mère et je vais l'éviscérer sous tes yeux. Je suis le Général Toufik, le Dieu de l’Algérie (Rab Edzayer). » En dehors de son pouvoir de vie ou de mort sur de simples mortels, les autres attributs divins de Mediène semblent plus relever de l’aspect matériel que spirituel, comme en témoigne l’ampleur de ses participations et investissements dans les ressources naturelles et le secteur immobilier en Algérie. Signal d’avertissement Les difficultés actuelles du « Dieu de l’Algérie » ont commencé avec l’élection de Bouteflika pour un troisième mandat en avril 2009. En effet, un troisième mandat présidentiel exigeait d'amender la Constitution, mesure que le DRS a soutenue à contrecœur. Mais les conséquences de l’élection n’ont pas été celles que Mediène avait prévues. A peine Bouteflika a-t-il été installé dans le fauteuil de son troisième mandat que son « clan », conscient du mauvais état de santé du Président, a commencé à planifier sérieusement sa succession qui devait être assurée par son frère cadet, Said Bouteflika. Bien que considéré par beaucoup comme un incapable, Said Bouteflika était néanmoins en train d’établir une base de pouvoir politique. Il était devenu le « portier » du Président, assurait des fonctions de ministre-sans-portefeuille et rassemblait des soutiens parmi l’élite économique du pays. On parlait même d’un nouveau parti politique qui allait être créé pour lui. La perspective d'une telle succession dynastique n’était pas exactement ce que le chef des renseignements et de la sécurité avait en tête lorsqu’il avait donné son feu vert au troisième mandat de Bouteflika. Mediène observait l’avancée de Said sur le devant de la scène avec dégoût. Bien que le DRS se sente tout à fait capable de gérer le « problème de succession », Mediène était conscient du risque que Bouteflika essaye de se débarrasser de lui au cours de son troisième mandat comme il l’avait fait avec Lamari au début de son deuxième mandat. Le signal d’avertissement est parvenu à Mediène lorsque Said Bouteflika s’est adjoint pour sa campagne les services de l’ancien chef de la sécurité, le Général Mohamed Betchine. Citer Link to post Share on other sites
leparisien 10 Posted February 26, 2011 Partager Posted February 26, 2011 Toufik l'ami de Saadi? Enfin Je comprends pourquoi maintenant le patron du RCD veut coute que coute une pseudo revolution!!!! Citer Link to post Share on other sites
Cosner 10 Posted February 26, 2011 Partager Posted February 26, 2011 salam les gars je vous ai toujours dit que je prefere mille fois mené un combat politique contre Bouteflika ou son frere , ou son entourage que de mener un combat contre cette pieuvre militaire qui n'a ni coeur , ni foi , ni sentiment , on a pu voir et comprendre l'ampleur de leur cruyoté, ils seraint capable de tuer ta famille et de s'abreuver de leur sang sous ton regard , d'ailleurs l'article le mentionne bien ce que ce criminel a dit pendant qu'il torturait sa victime c'est un procédé de bonne guerre , je laisse Bouteflika me debarasser de cette vermine nuisable et contagieuse , apres tout c'est l'heritage qu'il nous a légué avec son president quand il etais ministre des affaires etrangeres , c'est son gouvernement et sous sa presidence que tout ce sale monde a mis main basse sur l'algerie donc laissons les hyenes et les loups s'entretué entre eux , lorsque la meute aura été exterminé par le chef de troupe et qu'il sera plus affaiblie et meurtrie , on aura qu'a le cueillir et le mettre a la place qui est la sienne et nous pourrons inchaallah revenir avec du sang neuf , du sang jeune , avec de vrai compatriotes et des hommes d'honneurs Citer Link to post Share on other sites
Wahrani 1 465 Posted February 26, 2011 Partager Posted February 26, 2011 les gars je vous ai toujours dit que je prefere mille fois mené un combat politique contre Bouteflika ou son frere , ou son entourage que de mener un combat contre cette pieuvre militaire qui n'a ni coeur , ni foi , ni sentiment , on a pu voir et comprendre l'ampleur de leur cruyoté, ils seraint capable de tuer ta famille et de s'abreuver de leur sang sous ton regard , d'ailleurs l'article le mentionne bien ce que ce criminel a dit pendant qu'il torturait sa victime c'est un procédé de bonne guerre , je laisse Bouteflika me debarasser de cette vermine nuisable et contagieuse , apres tout c'est l'heritage qu'il nous a légué avec son president quand il etais ministre des affaires etrangeres , c'est son gouvernement et sous sa presidence que tout ce sale monde a mis main basse sur l'algerie donc laissons les hyenes et les loups s'entretué entre eux , lorsque la meute aura été exterminé par le chef de troupe et qu'il sera plus affaiblie et meurtrie , on aura qu'a le cueillir et le mettre a la place qui est la sienne et nous pourrons inchaallah revenir avec du sang neuf , du sang jeune , avec de vrai compatriotes et des hommes d'honneurs Va faire comprendre ça à certains Bni Kardass ! Citer Link to post Share on other sites
Apulee 10 Posted February 26, 2011 Partager Posted February 26, 2011 Joli conte de fee (part 1). :mdr: Citer Link to post Share on other sites
Ladoz 11 Posted February 26, 2011 Partager Posted February 26, 2011 Toufik l'ami de Saadi? Enfin Je comprends pourquoi maintenant le patron du RCD veut coute que coute une pseudo revolution!!!! ;) ;) ;) ;) Citer Link to post Share on other sites
el-rézo 10 Posted February 26, 2011 Partager Posted February 26, 2011 La mise à l’écart de la scène politique du plus ancien chef des services de renseignement au monde serait-elle imminente ? Jeremy Keenan Septembre 2010 marque le vingtième anniversaire de la prise de fonction du plus ancien « chef des services de renseignement » en poste dans le monde. L’homme en question est le Général Mohamed « Toufik » Mediène, Directeur du Département du Renseignement et de la Sécurité (DRS) algérien. Il a été nommé à la tête du DRS en septembre 1990, 15 mois avant que les « Généraux algériens » ou le « Groupe » comme on les appelait à l’époque, et dont Mediène, alors colonel, faisait partie, annulent les élections qui auraient permis de porter au pouvoir le premier gouvernement islamique jamais élu démocratiquement. Être le chef des services de renseignement et de la sécurité de l’un des régimes les plus impitoyablement répressifs et corrompus au monde pendant 20 ans relève de l’exploit. Felix Dzerzhinsky, le fondateur de la Tcheka qui deviendra plus tard le KGB, a dans les faits « contrôlé » l’Union Soviétique pendant neuf ans (1917-1926); Lavrenti Beria, chef du NKVD, l’a terrorisée pendant 15 ans (1938-1953); le chef de la police d’Hitler, Heinrich Himmler, s’est suicidé au bout de 11 ans (1934-1945), quant au Général Hendrik van den Bergh, il a dirigé le Bureau of State Security (BOSS), les services de renseignement du régime de l’apartheid en Afrique du Sud, pendant 11 ans (1969-1980). Mediène les a tous surpassés. Pourquoi alors, juste au moment où Mediène atteint ce jalon extraordinaire, entend-on des rumeurs concernant sa mise à l’écart imminente de la scène politique ? La réponse tient en quelques mots : lorsque le chef du renseignement et de la sécurité d'un pays fait la une de l’actualité, il y a fort à parier qu'il a fait son temps. Au cours des neuf derniers mois, on a beaucoup parlé de Mediène, principalement à cause de la lutte qui l’oppose à Abdelaziz Bouteflika depuis l’élection de ce dernier pour un troisième mandat présidentiel en avril 2009. « L’homme fort » de l’Algérie Pour comprendre cette lutte, il faut revenir quelques années en arrière. Mediène a gravi les échelons de la hiérarchie sur un « tapis rouge » : il a été formé par le KGB en 1961 et soutenu par les chefs du premier service secret algérien. Pendant les années 90, lorsque l’Algérie était plongée dans sa « sale guerre » contre les islamistes, l’homme le plus puissant du pays était le Général Mohamed Lamari, chef d’état-major de l’armée algérienne. Mais lorsque le pays a renoué avec la paix et que les chars ont regagné les casernes, c’est Mediène qui est devenu « l’homme fort » du pays. La transition de la « guerre » à la « paix » et l’ascension de Mediène ont coïncidé avec la période entourant l’élection de Bouteflika à la Présidence de la République en 1999. Les faiblesses personnelles de ses semblables, telles que la propension à la corruption et les penchants sexuels, ont été des éléments fondamentaux dans la manière dont Mediène a exercé le contrôle. Il n’est donc pas surprenant que l’élément qui a décidé Mediène à accorder son soutien à Bouteflika en 1999 ait été la condamnation de ce dernier en 1983 dans le cadre d’un détournement de fonds des chancelleries algériennes, pour un montant total correspondant à 23 millions de dollars actuels, pendant qu’il était ministre des Affaires étrangères entre 1965 et 1978. Mediène est devenu « l’homme fort » incontesté de l’Algérie après les élections présidentielles d’avril 2004 et le limogeage inattendu de Mohamed Lamari qui a eu lieu quatre mois plus tard. Le complot qui a conduit à la mise à l’écart de Lamari comprenait un accord entre Bouteflika et Mediène visant à donner une nouvelle image de l’Algérie en écartant le général le plus haï à cette époque. Une fois Lamari parti, Bouteflika et Mediène se sont effectivement partagé le pouvoir pendant que le Général Smaïn Lamari (aucun lien de parenté avec Mohamed), l’adjoint de Mediène et chef de la Direction du contre-espionnage (DCE) faisait le « sale boulot ». Des ambitions grandioses Mediène est un homme extrêmement secret. Une seule photo de lui a été publiée et quasiment aucune de ses paroles n'ont été enregistrées. On suppose donc que son ambition de prendre le contrôle effectif du pays, si c’est bien de cela dont il s’agit, remonte à l’époque du départ de Lamari. Il existe toutefois un enregistrement de Mediène qui laisse à penser qu’il avait déjà un sens très développé de sa propre importance et de son pouvoir bien avant le « départ à la retraite » de Lamari. C’était en 1999, lorsque Fouad Boulemia a été interrogé et torturé par le DRS qui prétendait qu’il avait assassiné le leader du Front Islamique du Salut (FIS) Abdelkader Hachani. Au cours de son procès très controversé qui a duré une journée en avril 2001, Boulemia a rapporté qu’après avoir été torturé par des agents du DRS, Mediène est entré et lui a dit : « C’est moi le patron (ana rabha). Tu vas voir ce que je vais te faire. Si tu avoues que tu as tué Hachani, tu écoperas de 15 ans de prison et tes parents pourront te rendre visite. Si tu n’avoues pas, je vais t’emmener chez ta mère et je vais l'éviscérer sous tes yeux. Je suis le Général Toufik, le Dieu de l’Algérie (Rab Edzayer). » En dehors de son pouvoir de vie ou de mort sur de simples mortels, les autres attributs divins de Mediène semblent plus relever de l’aspect matériel que spirituel, comme en témoigne l’ampleur de ses participations et investissements dans les ressources naturelles et le secteur immobilier en Algérie. Signal d’avertissement Les difficultés actuelles du « Dieu de l’Algérie » ont commencé avec l’élection de Bouteflika pour un troisième mandat en avril 2009. En effet, un troisième mandat présidentiel exigeait d'amender la Constitution, mesure que le DRS a soutenue à contrecœur. Mais les conséquences de l’élection n’ont pas été celles que Mediène avait prévues. A peine Bouteflika a-t-il été installé dans le fauteuil de son troisième mandat que son « clan », conscient du mauvais état de santé du Président, a commencé à planifier sérieusement sa succession qui devait être assurée par son frère cadet, Said Bouteflika. Bien que considéré par beaucoup comme un incapable, Said Bouteflika était néanmoins en train d’établir une base de pouvoir politique. Il était devenu le « portier » du Président, assurait des fonctions de ministre-sans-portefeuille et rassemblait des soutiens parmi l’élite économique du pays. On parlait même d’un nouveau parti politique qui allait être créé pour lui. La perspective d'une telle succession dynastique n’était pas exactement ce que le chef des renseignements et de la sécurité avait en tête lorsqu’il avait donné son feu vert au troisième mandat de Bouteflika. Mediène observait l’avancée de Said sur le devant de la scène avec dégoût. Bien que le DRS se sente tout à fait capable de gérer le « problème de succession », Mediène était conscient du risque que Bouteflika essaye de se débarrasser de lui au cours de son troisième mandat comme il l’avait fait avec Lamari au début de son deuxième mandat. Le signal d’avertissement est parvenu à Mediène lorsque Said Bouteflika s’est adjoint pour sa campagne les services de l’ancien chef de la sécurité, le Général Mohamed Betchine. le général Toufik est Un chef-d'œuvre du diabolique Larbi belkhier :04: Citer Link to post Share on other sites
el-rézo 10 Posted February 26, 2011 Partager Posted February 26, 2011 les gars je vous ai toujours dit que je prefere mille fois mené un combat politique contre Bouteflika ou son frere , ou son entourage que de mener un combat contre cette pieuvre militaire qui n'a ni coeur , ni foi , ni sentiment , on a pu voir et comprendre l'ampleur de leur cruyoté, ils seraint capable de tuer ta famille et de s'abreuver de leur sang sous ton regard , d'ailleurs l'article le mentionne bien ce que ce criminel a dit pendant qu'il torturait sa victime c'est un procédé de bonne guerre , je laisse Bouteflika me debarasser de cette vermine nuisable et contagieuse , apres tout c'est l'heritage qu'il nous a légué avec son president quand il etais ministre des affaires etrangeres , c'est son gouvernement et sous sa presidence que tout ce sale monde a mis main basse sur l'algerie donc laissons les hyenes et les loups s'entretué entre eux , lorsque la meute aura été exterminé par le chef de troupe et qu'il sera plus affaiblie et meurtrie , on aura qu'a le cueillir et le mettre a la place qui est la sienne et nous pourrons inchaallah revenir avec du sang neuf , du sang jeune , avec de vrai compatriotes et des hommes d'honneurs une guerre entre les 2 clans est belle et bien là c'est pour cette raison que il y a un silence radio mais ca brule là haut !!!!:04: Citer Link to post Share on other sites
Recommended Posts
Join the conversation
You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.